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jeudi 18 juillet 2024

Marina Tsvetaeva / Grands poèmes / La vie même

 



Marina Tsvetaeva, Grands poèmes.

Tsvetaeva, la vie même

par Odile Hunoult
6 novembre 2018

La parution des Grands poèmes achève le travail de Véronique Lossky traductrice de Tsvetaeva. En 2015 avaient paru les deux volumes des « poèmes courts » sous le titre général Poésie lyrique. Ces deux volumes ne comprenaient pas les longs poèmes, ceux que la langue russe désigne par le mot poema, généralement narratifs (La Légende des siècles ou Rolla pour la langue française, Eugène Onéguine pour la langue russe, en sont de bons exemples). Redoutable exercice, que d’y maintenir l’intérêt. En Russie beaucoup s’y sont confrontés car le poème narratif est au poète ce que l’opéra est au musicien : un aboutissement. Chez Tsvetaeva, c’est une part très importante de son œuvre, et parmi ces poèmes figurent certains de ses plus célèbres.

Marina Tsvetaeva, Grands poèmes. Édition bilingue. Trad. du russe, préfacé et annoté par Véronique Lossky. Éditions des Syrtes, 1 135 p., 29 €

mercredi 17 juillet 2024

Marina Tsvetaeva / Le charmeur de rats / Le crépitement-roulement de Tsvetaeva

 




Marina Tsvetaeva, Le charmeur de rats. Satire lyrique

Marina Tsvetaeva


Le crépitement-roulement 

de Tsvetaeva


par Odile Hunoult
19 décembre 2017


Le charmeur de rats (1925) de Marina Tsvetaeva, dont on peut enfin lire la première traduction complète grâce aux éditions La Barque, avait enthousiasmé Pasternak.

Marina Tsvetaeva, Le charmeur de rats. Satire lyrique. Trad. du russe, présenté et annoté par Éveline Amoursky. La Barque, 176 p., 24 Є

mardi 16 juillet 2024

Marina Tsvetaeva arrache la porte

 



Marina Tsvetaeva (1911) © Max Voloshin

Marina Tsvetaeva (1911) © Max Voloshin


Tsvetaeva arrache la porte

par Odile Hunoult
5 avril 2016


C’est une première, et c’est colossal : en bilingue, toute la poésie lyrique de Tsvetaeva, soit quelque mille cent soixante-dix poèmes « brefs » (« lirika », en russe) alors même que cette dénomination écarte ce qu’on désigne, toujours en russe, par « poèmes », une forme poétique longue, dont les plus connus dans l’œuvre de Tsvetaeva sont le Poème de la Montagne et le Poème de la Fin1, probablement à l’origine de sa fortune critique en France.

Marina Tsvetaeva, Poésie lyrique (1912-1941). Édition bilingue. Trad. du russe, préfacé et annoté par Véronique Lossky. Éd. des Syrtes, 2 vol., 928 et 830 p., 20 € chacun