Affaire des viols de Mazan

Véronique Guillotin, sénatrice radicale de Meurthe-et-Moselle, est l'invitée de France Bleu Sud Lorraine, en plein cœur du procès des viols de Mazan, elle vient réclamer la reprise d'une mission parlementaire qu'elle a mené, sur la soumission chimique.

L'incertitude demeure sur la reprise du procès des viols de Mazan ce lundi matin devant la cour criminelle de Vaucluse. L'audience va reprendre à 9 heures mais pourrait être immédiatement à nouveau suspendue si Dominique Pelicot n'est pas en état de comparaître.

A Poitiers, 260 personnes se sont rassemblées pour témoigner leur soutien à Gisèle Pélicot victime de viol par soumission chimique. Dans les personnes sur place, beaucoup espèrent des avancées pour protéger les femmes de violences et agressions sexuelles.

Des rassemblements étaient organisés ce samedi 14 septembre à Bastia et à Ajaccio, en soutien à Gisèle Pelicot et à toutes les victimes de viols et de violences sexuelles.

300 personnes se sont rassemblées ce samedi 14 septembre devant le Palais de justice de Rouen en soutien à Gisèle Pelicot et aux autres victimes de viol. Des manifestants demandent de changer la définition du viol dans la loi.

Près de 200 personnes se sont réunies place Darcy en soutien à Gisèle Pelicot et à toutes les victimes de viols et de violences sexuelles. Une trentaine de rassemblements ont été organisés partout en France à l'appel de collectifs féministes.

En soutien à Gisèle Pelicot, victime de soumission chimique par son mari, des centaines de clermontois se sont réunis place de Jaude à Clermont-Ferrand ce samedi 14 septembre.

Trois cent cinquante personnes s'étaient rassemblées ce samedi, place Jean Jaurès à Tours, suite à l'appel de collectifs féministes, pour manifester en soutien à Gisèle Pelicot et à toutes les victimes de viol.

Environ 150 personnes étaient réunies ce samedi 14 septembre sur la place Sainte-Croix à Orléans dans un rassemblement de soutien à Gisèle Pelicot, la victime des viols perpétrés par 51 hommes, dont son mari, à Mazan, dans le Vaucluse.

Une centaine de personnes se sont rassemblées ce samedi 14 septembre place Jean-Jaurès à Saint-Étienne, comme partout en France, pour témoigner leur soutien à Gisèle Pélicot. En refusant que le procès des hommes accusés de l'avoir violée soit à huis-clos, elle permet "que la honte change camp".

Une centaine de personnes se sont réunies, ce samedi 14 septembre, devant le tribunal judiciaire de Bayonne pour montrer leur soutien aux victimes de viols et plus particulièrement de la victime des viols de Mazan, Gisèle Pelicot. Un mot d'ordre, « la honte doit changer de camp ».

Une trentaine de manifestations ont été organisées ce samedi en France, à l'appel de personnalités et de collectifs féministes, en soutien de Gisèle Pélicot, victime de viols par soumission chimique, et des victimes de viol en général.

Ce samedi 14 septembre 2024, près d'un millier de manifestants se sont réunis sur le parvis du palais de justice à Marseille. Manifestation en soutien à Gisèle Pélicot, victime dans le procès hors-norme des "viols de Mazan".

Une trentaine de rassemblements sont prévus ce samedi partout en France pour soutenir les victimes de viols et en particulier Gisèle Pelicot, violée par des inconnus après avoir été droguée par son mari, dont le procès se tient depuis le 2 septembre à Avignon.

Le procès des viols de Mazan a été officiellement suspendu jusqu'à lundi, dans l'attente du retour de Dominique Pelicot, malade, a annoncé jeudi le président de la cour criminelle du Vaucluse, envisageant même un renvoi du dossier. Bilan de cette deuxième semaine de procès.

Plusieurs dizaines de militantes féministes se sont rassemblées ce vendredi après-midi devant le palais de justice d'Avignon pour apporter leur soutien à Gisèle Pelicot et aux victimes de viols.

Alors que le procès des viols de Mazan se déroule devant la cour criminelle du Vaucluse, l'association #NousToutes 35 organise un rassemblement samedi 14 septembre 2024 à Rennes en soutien à Gisèle Pélicot et à toutes les victimes de viols et de violences sexuelles.

Dominique Pelicot, souffrant, n'est pas attendu au procès des viols de Mazan avant ce lundi 16 septembre. Si le principal accusé est "durablement indisponible", l'affaire sera "renvoyée", a indiqué ce jeudi le président de la cour criminelle du Vaucluse.

La cour criminelle du Vaucluse s'est penchée ce mercredi 11 septembre sur la personnalité de Jean-Pierre, un Drômois de 63 ans accusé d'avoir agi comme Dominique Pelicot en droguant sa propre épouse et en invitant ce dernier à abuser d'elle pendant son sommeil.

Le principal accusé dans l'affaire des viols de Mazan, absent depuis lundi du palais de justice d'Avignon, a été dispensé ce mercredi pour le troisième jour consécutif. Dominique Pelicot, malade, ne pourra pas témoigner avant la semaine prochaine au moins. En attendant, le procès continue.

Dominique Pelicot, principal accusé au procès des viols de Mazan, absent depuis lundi car malade, sera de retour devant la cour criminelle de Vaucluse mercredi et pourra être interrogé, a annoncé ce mardi après-midi le président de la cour.

Les avocats de la défense ont pris la parole ce lundi matin à l'ouverture de la deuxième semaine du procès des viols de Mazan. Ils ont annoncé des dépôts des plaintes en raison de menaces envers leurs clients. Dans la journée, la personnalité de Dominique Pelicot a été disséqué, en son absence.

Depuis la prise de parole de Gisèle Pelicot jeudi dernier au procès des viols de Mazan devant la cour criminelle de Vaucluse à Avignon, des dizaines de personnes, surtout des femmes, se pressent pour suivre les débats et soutenir la victime.

Mon père est "sans doute l'un des plus grands criminels sexuels des 20 dernières années", a affirmé ce vendredi Caroline, la fille de Dominique Pelicot, jugé à Avignon avec 50 autres hommes pour avoir drogué sa femme et l'avoir fait violer par des dizaines d'inconnus recrutés sur internet.