Nom du blog :
cessenon
Description du blog :
Histoires de Cessenon et d'ailleurs, avec des textes d''actualité.
Catégorie :
Blog Journal intime
Date de création :
27.04.2006
Dernière mise à jour :
29.11.2024
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Derniers commentairesla banane de maurizio catellan
est une forme d'art triste que les cochons ne dédaigneraien t pas,
la mangea
Par Anonyme, le 29.11.2024
ah, je n'avais donc pas besoin de traduire ! http://cesseno n.centerblog.n et
Par Cros Jacques, le 29.11.2024
mas lo piquet es pas jamai dintrat dins lo cap d'un borriquet.
n'est-ce pas notre condition humaine que d'
Par Anonyme, le 29.11.2024
eh oui, selon les informations que m'a communiquées jocelyne son arrière-grand -mère avait peur d'être fusillé
Par Cros Jacques, le 29.11.2024
un vol de citrons au dépens des officiers allemands, quel acte de resistance magnifique !!!!!!
Par Brottier Jeanne, le 29.11.2024
C’est le titre d’un film documentaire de Roland Nurier sorti en 2023 avant le génocide font nous sommes témoins depuis maintenant plus d’un an. Il sera présenté à la CIMADE (14, Rue de la Rotonde 34500 BEZIERS) le mercredi 4 décembre à 20 h.
Il sera suivi d’un débat, animé par Pierre Stambul, porte-parole de l’UJFP (l’Union Juive Française pour la Paix). Pierre Stambul est un essayiste qui a produit un livre sorti en avril 2024 « Gaza, un choc mondial ».
Cette projection-débat s’inscrit dans le cadre du festival de la CIMADE « Migrant scène 2024 ». Participation financière libre, laissée à la discrétion du public. Buvette et stand CIMADE seront présents.
Nous ajoutons le point de vue de trois journaux sur le film Yallah Gaza :
« Des vérités cruelles et des points de vue iconoclastes » Le Canard Enchaîné.
« A Gaza, exister c’est déjà résister » L’Humanité.
« C’est cette jeunesse, avec sa soif de vivre et de paix qui émeut le plus ! » La Croix.
C’est le jeu auquel nous invite un internaute qui a mis en ligne sur son compte Facebook l’image qui illustre notre article. Une œuvre d’art qui a été inspirée à un dessinateur par deux citrons, l’un entier l’autre coupé en deux.
En fait l’internaute en question nous propose une légende. Ce serait « Citron pressé ». On pourrait envisager de mettre l’expression au pluriel. Quoiqu’à la réflexion on voit bien que le citron placé en haut est épargné, il n’est pas pressurisé comme cela est prévu pour les deux moitiés qui sont en bas.
C’est en fait une illustration de la fiscalité annoncée par les dispositions du plan Barnier / Macron. On pourrait retenir « Note de service aux percepteurs chargés du recouvrement des impôts » !
D’aucuns y ont vu une allusion au Tour de France et n’ont pas craint d’avancer « Maillot jaune ». Nous serions disposés à souscrire à une telle vision. Il reste à préciser les objectifs de l’épreuve. Oui s’il s’agit du recul des mesures sociales, de la démocratie, de la paix et du désarmement et à l’avancée des avantages accordés au monde de la finance.
Dans cet esprit nous voulons bien reconnaître les qualités de ceux qui nous gouvernent et leur attribuer le maillot de vainqueur. Quant aux travailleurs il faudrait les situer à la place de la lanterne rouge tant ils sont dans le collimateur de la logique du système !
Elle est un peu insolite sous nos latitudes mais on avait fait état d’une activité solaire qui pouvait en faire apparaître bien au-delà de l’anneau polaire où elles sont visibles habituellement. Nous devons cette photo à Vincent Lhermet, un photographe professionnel qui exerce son métier à Mende.
La vue a été prise au col de la Banette situé un peu au dessus de la route des Crêtes et à quelques centaines de mètres à l’est de l’ancienne ferme de l’Espinas qui a été une auberge. C’était le 11 octobre.
Les lumières que l’on voit sont celles de Vialas et derrière ce sont les contreforts du sud du massif du Mont Lozère. On devine le rocher de Trenze qui domine le village. La coloration de l’aurore boréale est rouge, signe que le vent solaire a rencontré de l’azote.
Il y a sur le site de Vincent Lhermet d’autres photos de cette aurore boréale ainsi que de nombreuses autres dont celle d’un éclair prise à Saint Etienne du Valdonnez. Voici le lien permettant de visiter le site :
https://www.facebook.com/vincent.lhermet
C’est ce que déclare un asticot dont une perche voulait faire son repas. La scène est une bande dessinée trouvée sur un recueil qui a pour titre « Les aventures de la vandoise ».
Ah, la vandoise ? C’est un poisson d’eau douce. Le mot est d’origine gauloise paraît-il. En occitan on l’appelle « la sièja ». Il est malheureusement plein d’arêtes mais il était plus coté que « la sòfia » qui est un autre poisson blanc dont je n’ai jamais connu la traduction en français. Peut-être hotu ou nase ?
La sièja est réputée pour être plus rusée que la moyenne, capable m’a-ton dit de sauter par-dessus un filet pour éviter d’être prise. Je n’ai jamais vu un tel spectacle !
Ces albums de bande dessinée titrés « Les aventures de la vandoise » sont réalisés par un dessinateur qui signe Gégé. C’est du moins ce que nous avons cru comprendre. Quant au webmestre du site qui publie ces dessins il a pour nom Jean-Pierre Foissy.
Cet asticot (qui n’est pas en sabot) conteste donc l’usage du barbecue source de bien de nos malheurs avec le réchauffement climatique, la canicule, la sécheresse, l’échec scolaire, les refus d’obtempérer, les pannes de trottinettes… ce qu’indique le bout de bande dessinée qui illustre notre propos. Et bien sûr le barbecue est sûrement responsable de bien d’autres de nos difficultés.
Oui, on le comprend le barbecue permet de faire diversion dans la prise de conscience de ce qui est en cause dans la crise socio-économique insupportable que nous subissons.
Pourquoi il y en a un qui n’a pas son auréole ?
C’est Judas qui serre dans sa main la bourse contenant les 30 pièces d’argent,
La récompense de sa trahison !
Je ne suis pas un grand théologien mais j’ai appris lors de mon enfance et au cours des leçons de catéchisme me préparant à ma communion solennelle, ce qu’était la Cène. C’est le dernier repas du Christ.
On a fait état lors d’une récente visite du pape à Jérusalem des doléances d’un Juif dont la famille tient une auberge depuis des générations. Il aurait réclamé au Souverain Pontife le prix de 13 repas qui n’auraient pas été payés. Naturellement il a été incapable de fournir la moindre pièce justificative de ces impayés.
On va citer le poème de Jacques Prévert qui a pour titre La Cène, extrait de « Paroles » :
Ils sont à table
Ils ne mangent pas
Ils ne sont pas dans leur assiette
Et leur assiette se tient toute droite
Verticalement derrière leur tête
Voilà qui devrait éclairer une polémique née d’un tableau présenté à l’occasion de la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques de Paris.
Il s’agit d’un correspondant dont je ne connaissais que le pseudo. J’avais exploité deux dessins de lui montrant Macron avec une grenade dans les mains et une silhouette de lui le présentant sous l’aspect d’un personnage entêté. J’avais donc rédigé un article que j’avais mis en ligne sur mon blog et diffusé via mon carnet d’adresses.
J’apprends que cet internaute s’appelle Jean de Collias et qu’il est dessinateur. J’ignore s’il a acquis une certaine notoriété. En tout cas il m’a envoyé une de ses nouvelles productions, ce dont je le remercie. Elle illustre notre propos.
On le voit elle est inspirée de la déclaration d’une candidate RN à la députation qui nous affirmait qu’elle n’est pas raciste. La preuve qu’elle avait fournie c’est que son ophtalmo est juif et son dentiste musulman.
Sur ce thème notre dessinateur nous assure que son dentiste est Malgache, son kiné musulman et son cochon d’Inde. Evidemment nous voilà rassurés surtout pour le cochon. Mais on sait que le cochon d’Inde n’est pas un cochon. Pas plus que le cochonnet qu’on utilise à la pétanque.
Il signe Z’lex mais il s’appelle Alexandre Saurel. Il est agriculteur dans l’ouest de l’Aveyron et produit du lait bio. J’ai trouvé ses dessins en navigant sur la Toile à la recherche d’inspiration.
Je suis ainsi tombé sur celui qui illustre mon propos. Il évoque l’euro 2024 et plus précisément le match France Belgique où, ai-je cru comprendre, les Belges ont marqué contre leur camp.
Dans le journal sportif « L’épique », eh non ce n’est pas tout à fait « L’Equipe », on est à la recherche d’un nom pour le buteur malheureux qui envoie le ballon dans ses propres filets. Une proposition fuse, « Emmanuel Macron » !
Nous ne savons pas si elle a été retenue par le comité de rédaction du journal. Mais elle nous a paru pertinente. Il est certain que le Président de la République a marqué contre la France avec la politique qu’il a menée et qui a conduit au score alarmant du Rassemblement National lors du scrutin du 9 juin dernier.
Il a d’ailleurs complété le désastre en décidant la dissolution de l’Assemblée nationale. A la réflexion on s’interroge : « N’est-ce pas délibéré ? »
On se demande si les bulots, ces gastéropodes marins fort honnêtes, n’ont pas l’intention de porter plainte contre Xavier Gorce. D’abord ils n’ont nullement l’intention de présenter l’un des leurs comme candidat à l’élection présidentielle.
Et d’autant moins avec l’étiquette RN. Le dessinateur laisse entendre qu’ils ont un QI qui les situe au bas de l’échelle sociale. Evidemment on peut comprendre qu’ils aient pu pour cette raison être sollicités pour représenter ce parti politique lors d’échéances électorales décisives.
Mais des responsables situés dans ce registre le RN n’en manque pas et il n’est pas nécessaire qu’il cherche ailleurs qu’au sein de la formation de quoi remplir une mission qu’ils sont parfaitement capables de mener à bien. Finalement Xavier Gorce sous estime les possibilités d’adaptation du Rassemblement National à la réalité du terrain.
Il y a un autre point qui a heurté la sensibilité de la communauté des bulots. Il s’agit du mépris qu’ils seraient incapables d’avoir à l’égard des électeurs. Eh bien on n’a pas sondé la masse de ces buccins. Rien ne dit qu’ils n’éprouvent pas pour le moins de la condescendance à l’égard du corps électoral qui se laisse aller à voter pour l’extrême droite. C’est pourtant partant qu’elle n’a pas de solution aux problèmes posés.
Je parcours régulièrement la Toile en quête de dessins susceptibles de me fournir l’inspiration. Ce n’est pas évident de trouver quelque chose de nouveau et adapté à ce que je souhaite.
Je suis tombé sur un filon dont j’ai extrait l’image qui illustre mon billet. Est posée à travers elle la situation des jeunes que le système a laissés à la dérive. La possibilité d’accès au pouvoir du Rassemblement National offre des perspectives.
Le dessinateur s’appelle Charles Gobi, tiens comme le désert et aussi comme le nom donné à un poisson de la Méditerrané. J’ai cru comprendre qu’il vit à Nîmes ou du moins dans le Gard d’où il est originaire. Il a été influencé par la graphie japonaise ai-je lu. Il travaille pour la presse marseillaise et il m’a semblé qu’il a acquis une certaine notoriété.
Je ne vais pas commenter plus ce que dit cette réalisation artistique. Elle résume bien l’escroquerie de l’extrême droite. Elle exploite la détresse des gens sans rien résoudre quant aux problèmes qui sont les leurs.
C’est le titre d’une série d’images que j’avais découverte sur Facebook. Je l’avais perdue mais elle est réapparue. On la doit à un nommé Vincent Despi que je ne connais pas.
Il met en scène des éphémères qui ont des allures de sauterelles vertes mais j’ignore si le mot « éphémère » désigne un de ces insectes précis ou s’il s’agit d’un terme générique.
Sont évoqués quelques problèmes du quotidien qui sont conditionnés par la très courte vie de ceux qui les évoquent. L’un d’eux réclame un post-it pour rédiger ses mémoires !
Ah, on voit une de ces bestioles prête à appuyer sur un bouton nucléaire. Elle déclare « Après moi la fin du monde ». Elle est entourée de deux drapeaux qui peuvent être ceux de la Russie.
Tel autre a acheté une maison qui ne tarde pas à accuser des malfaçons. Et il s’est endetté pour 20 ans. Eh non, on ne sait pas comment il va gérer son affaire.
En voilà un qui mange des bananes qui ont mûri sur la banquise. Il n’a toutefois pas noté de réchauffement climatique au cours de la journée qu’il vient de vivre.
Celui-ci sollicite un emploi mais se voit reproché son manque d’expérience. Forcément comme l’espérance de vie n’est que de 24 h on n’a pas le temps d’en acquérir.
Il y a divers inconvénients à cette courte durée de vie. Ainsi si la femelle éphémère ne couche pas le premier soir c’est bien compromis. Cette autre se plaint de la brièveté de l’acte sexuel. Deux minutes ce n’est quand même pas mal répond le mâle.