Nom du blog :
cessenon
Description du blog :
Histoires de Cessenon et d'ailleurs, avec des textes d''actualité.
Catégorie :
Blog Journal intime
Date de création :
27.04.2006
Dernière mise à jour :
29.11.2024
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est une forme d'art triste que les cochons ne dédaigneraien t pas,
la mangea
Par Anonyme, le 29.11.2024
ah, je n'avais donc pas besoin de traduire ! http://cesseno n.centerblog.n et
Par Cros Jacques, le 29.11.2024
mas lo piquet es pas jamai dintrat dins lo cap d'un borriquet.
n'est-ce pas notre condition humaine que d'
Par Anonyme, le 29.11.2024
eh oui, selon les informations que m'a communiquées jocelyne son arrière-grand -mère avait peur d'être fusillé
Par Cros Jacques, le 29.11.2024
un vol de citrons au dépens des officiers allemands, quel acte de resistance magnifique !!!!!!
Par Brottier Jeanne, le 29.11.2024
Pour le cas, improbable à mon avis, où ce dessin pourrait aider cette dame
L’incompréhension absolue émane d’une dame qui est une nostalgique de l’Algérie française. Elle se manifeste assez souvent par des commentaires qu’elle poste sur mon blog. Elle ne lit pas les articles que je mets en ligne ou plus exactement elle ne les assimile pas, elle se contente d’exprimer son sentiment avec suffisance et agressivité. Elle est tout simplement incapable de débattre de manière argumentée.
Jusqu’ici j’ai répondu à ses interventions qui bien que décousues et mélangeant les dates et les faits m’ont permis de développer ce que je pense de ce dont j’ai été témoin quand j’avais 20 ans et qui a laissé des traces dans ma vie. Mais je ne peux garantir que je vais continuer dans ce registre, il me faudrait plus de rigueur chez mon interlocutrice.
Cette fois elle me ferait admettre qu’il y a des conceptuels capables d’avoir accès à une pensée rationnelle et… les autres ! J’ai clairement donné ma position sur la situation actuelle de l’Algérie illustrée présentement par l’arrestation de Boualem Sansal. Elle ne remet pas en cause la légitimité de la guerre d’indépendance engagée par les Algériens pour en finir avec le colonialisme.
J’ai ajouté que Macron est mal placé pour donner des leçons de démocratie. J’ai conclu aussi en estimant que l’Algérie, comme la France, a besoin d’un changement radical dans son fonctionnement. Je dois me rendre à l’évidence cette personne qui refuse de voir les exigences qui frappaient à la porte de l’histoire au temps de l’Algérie française n’est pas en mesure de lire avec attention ce que je peux écrire aujourd’hui.
… la légitimité de la guerre d’indépendance engagée le 1er novembre 1954 par les Algériens pour obtenir la fin du colonialisme et l’indépendance de leur pays, l’arrestation de l’écrivain Boualem Sansal pose problème. C’est ce dont rend compte le dessin de Chaunu qui illustre notre article.
S’ajoute d’ailleurs une autre considération : la leçon de morale de Macron. Il est très mal placé en matière de respect de la démocratie pour critiquer ce qui se passe en Algérie. Qu’il s’agisse du sort réservé aux travailleurs, de la répression organisée contre ceux qui protestent ou qui demandent l’arrêt du génocide perpétré à Gaza et qui militent pour la paix et le désarmement.
Ceci étant, nous sommes convaincus que l’Algérie, comme la France, ne peut continuer à vivre avec un système social en fin de vie qui génère injustices, corruption, gabegie et violence.
Les uns et les autres ont un besoin impérieux de passer dans une autre phase pour leur développement. Un développement qui exige la satisfaction des besoins de notre temps et une liberté pleine et entière.
En Algérie le hirak a mis en évidence cette exigence. En France les résultats des élections législatives anticipées ont souligné qu’il y a nécessité d’une rupture claire et décisive pour sortir de la crise socio-économique insupportable que nous subissons. Algériens et Français sont confrontés quant au fond à une situation analogue.
J’en ai un très vague souvenir. Il était dans la rue qui partait de la gare et qui traversait le douar, la seule rue peut-être. C’était un bureau d’aspect très désduet. Il ne devait y avoir qu’une seule pièce. Avec peut-être un logement de fonction et si c’est le cas il n’avait à coup sûr pas l’allure d’un palais. Quelles opérations pouvait-on y faire ? Je n’en sais rien, je n’y suis jamais entré.
J’ai vu passer sur la Toile la photographie d’une carte postale ancienne montrant ce bureau de Poste. Un texte qui accompagne la photo indique que ce bureau de Poste a été mis en service en 1894.
A côté figure une vue de ce que devait être, mais je ne suis sûr de rien, le bâtiment dans lequel était logé cette Poste. Cela ressemble au souvenir que j’en ai. J’imagine qu’il existe aujourd’hui dans cette commune qui compte à présent 18 500 habitants avec ses douze douars un local plus important.
Bou-Ktoub, qui s’écrit aujourd’hui Bougtob est le chef-lieu d’une daïra éponyme qui compte trois communes, outre Bougtob il y a El Kreiler (Le Kreider au temps de l’occupation coloniale) et Tousmouline.
Clé de Laghouat
Laghouat est une ville du sud algérien. C’est le chef-lieu de la wilaya éponyme. C’est une oasis située dans l’Atlas saharien et elle est la porte du désert. Un soulèvement de la population a entraîné une répression sanglante qui s’est soldée par le massacre de 2/3 des habitants le 4 décembre 1852. Une plaque sera apposée à Paris rue Laghouat dans le 18ème arrondissement et sera dévoilée le 4 décembre 2024 soit 172 ans après le génocide.
Une colonne de 6 000 hommes commandée par le général Aimable Pélissier avait mis le siège devant Laghouat le 21 novembre. Des combats meurtriers avaient eu lieu et l’armée française avait utilisé des gaz toxiques. L’assaut a été donné le 4 décembre et a été suivi de l’exécution de 2 500 à 3 000 personnes sur les 4 500 que comptait la ville. Femmes, enfants et vieillards ne furent pas épargnés.
Ce 4 décembre 2024 sera donc dévoilée rue Laghouat à Paris 18ème une plaque commémorant ce sinistre épisode de la conquête de l’Algérie par la France. Ceux qui sont à l’initiative de cette démarche, parmi lesquels Benjamin Stora, ont par ailleurs demandé que soient restitués à l’Algérie la clé de Laghouat ainsi que les étendards pris à ses défenseurs.
Devant la stèle aux Rapatriés
Elle a eu lieu le 1er novembre à Chalon-sur-Saône et nous en avons eu connaissance par un courriel que nous a envoyé un contact qui est président du comité de la FNACA de la ville.
Les partisans de l’Algérie française, Pieds Noirs et Harkis, ont commémoré à leur façon le 70ème anniversaire de la Toussaint rouge. Ils ont évoqué le début de la guerre d’indépendance en rendant compte des souffrances qu’elle avait occasionnées. Sont cités les Européens d’Algérie, les Algériens recrutés comme supplétifs, les militaires et parmi eux les appelés du contingent, mais sont oubliés les autochtones qui ont payé le plus lourd tribut à ces plus de sept ans d’un conflit anachronique et sans perspective quant au maintien du colonialisme et d’une fiction, celle de départements français de l’autre côté de la Méditerranée.
Il n’a pas non plus été pris en compte le bilan de 132 ans d’occupation avec la misère engendrée pour les indigènes, spoliés, rabaissés, humiliés et qui ont pris la décision courageuse d’engager la lutte armée pour acquérir leur indépendance. Une lutte qui a porté ses fruits et qui correspondait aux exigences de l’histoire.
On a tenté de nous apitoyer avec le sort réservé aux harkis. Encore que ne sont pas mentionnées les conditions dans lesquelles ont été accueillis ceux qui ont pu entrer en France. La plupart de ceux qui sont restés en Algérie n’ont pas été tués même si certains parmi eux avaient des comptes à rendre. La responsabilité de la puissance coloniale est grande qui les avait mis dans l’impasse en leur faisant prendre les armes contre leurs concitoyens plus conscients qu’eux. En vérité on ne gagne rien à pactiser avec son ennemi, les harkis en ont fait la douloureuse expérience.
Ont été mis en cause les Accords d’Evian qui ouvraient la voie à la paix. Tout ce beau monde voulait sans doute que la guerre se poursuive avec son cortège d’atrocités, la plupart dues aux exactions de l’armée française. Ce n’est pas notre point de vue nous qui étions pour en finir avec ce conflit absurde et sans espoir.
Chalon-sur-Saône doit être un cas d’espèce en matière de commémoration de la Toussaint rouge. Mon correspondant s’est étonné de ne pas avoir été invité à cette initiative. Mais nous n’avions rien à y faire nous qui sommes pour la paix et l’amitié entre les peuples !
Notre ami Michel Dandelot a publié sur son blog un dossier qui rend compte de la position de l’Algérie à propos de la reconnaissance par Macron que Larbi Ben M’hidi a été assassiné par l’armée française ainsi que du point de vue d’un historien qui s’est exprimé sur le sujet.
J’ai posté un commentaire sur le blog de Michel dont voici la teneur :
« Il est clair en effet qu‘il ne faut pas occulter l'ensemble des victimes du colonialisme et de la guerre menée en Algérie pour le perpétuer avec notamment ceux qui ont été liquidés sans jugement dans le contexte de la bataille d'Alger. Maurice Audin, Ali Boumendjel et Larbi Ben M'hidhi ne sont pas les seuls morts que la France a sur la conscience. Mais mesurons ce que constitue la reconnaissance de ces assassinats par l'armée française et le mensonge d'Etat qui nous a été servi pendant de longues années. Non aucun des trois ne s'est suicidé ni n'a été éliminé en tentant de s'enfuir. Que cela soit dit est nouveau, même si nous convenons qu'il reste beaucoup à faire pour éclairer ce qu'est notre passé sur cet épisode honteux de notre histoire. Nous prenons également en compte toutes les manœuvres politiciennes auxquelles se livre le Président de la République, qu'il s’agisse de nos relations avec l’Algérie à propos du Sahara occidental ou des objectifs stratégiques internes. En tout état de cause je considère qu'il faut s'appuyer sur cet aveu du crime que nous avons commis avec Larbi Ben M'hidi pour avancer dans notre dénonciation de ce que nous avons fait en Algérie depuis la conquête du pays en 1830 et pendant les plus de sept ans qu'a duré la guerre que nous avons menée là bas. »
Et il l’a été par l’armée française lors de la bataille d’Alger sur ordre d’Aussaresses. Ainsi, après Maurice Audin et Ali Boumendjel, c’est le meurtre d’une troisième personnalité que le chef de l’état impute aux militaires. Il y en a eu des milliers d’autres !
Rappelons la procédure dans laquelle la France s’était engagée avec le vote des pouvoirs spéciaux le 12 mars 1956. La police et la justice étaient confiées à l’armée. On sait que la justice militaire est à la justice ce que la musique militaire est à la musique ! C’est tout un pan de notre histoire qu’il faut mettre en cause.
Larbi Ben M’hidi était responsable de la zone autonome d’Alger. Il faisait partie des six membres du FLN qui avaient lancé l’appel à l’insurrection à la date du 1er novembre 1954. En Algérie c’est un héros national qui a un statut équivalent à celui de Jean Moulin en France.
Arrêté le 23 février 1957 il meurt quelques jours plus tard, son exécution, confirmée par les aveux d’Aussaresses, sera maquillée en suicide. C’est un petit pas dans le travail de mémoire engagé sur les deux rives de la Méditerranée que la reconnaissance par Macron de cet assassinat. Il reste encore beaucoup de chemin à parcourir !
J’ai visionné trois des quatre épisodes qui ont été diffusés dimanche dernier sur France 2 dans l’émission 13 h 15. Dans les trois on y voit le car dont le bas est vert dans lequel vont monter Guy et Janine Monnerot, un couple d’instituteurs originaires de Limoges venus enseigner en Algérie.
Le car effectue une liaison entre Biskra et Arris. A l’intérieur se trouve parmi d’autres passagers Hadj Sadok le caïd du douar de M’Chounèche qui n’est pas en odeur de sainteté parmi ceux qui ont décidé d’engager la lutte armée pour en finir avec le colonialisme et obtenir l’indépendance de l’Algérie.
Le véhicule est engagé dans les gorges de Tighanimine. Un commando très restreint, ils sont cinq ou six, avec à sa tête un nommé Chiani Bachir, a mis des pierres sur la route. Djemal Hachemi, le chauffeur qui est de mèche, donne un violent coup de frein. Le caïd et les deux enseignants sortent du car.
Le caïd refuse d’obtempérer à l’injonction qui lui a été faite de se déclarer du côté des indépendantistes. Une fusillade éclate et malencontreusement la rafale tirée par Sbaïhi blesse les trois personnes qui sont descendues du car, Guy mortellement. Son corps est laissé sur la route Janine refusant de l’abandonner. Hadj Sadok est amené à Arris. Janine se remettra de ses blessures.
Le drame provoquera une forte émotion dans le milieu des instituteurs et sera longtemps exploité par la direction très réformiste de leur syndicat, le SNI, pour refuser de prendre partie pour la lutte des Algériens qui veulent en finir avec ce qu’ils subissent.
Le déclenchement de ce que nous appelons en France la guerre d’Algérie et de l’autre côté de la Méditerranée la guerre d’indépendance a eu lieu le 1er novembre 1954. Michel Dandelot a mis en ligne sur son blog deux documents qui en rendent compte.
Le premier est une interview de Benjamin Stora, spécialiste de cette question d’histoire. Le second est un film en quatre épisodes qui raconte le déroulement de cette Toussaint rouge. Je n’ai pas encore visionné ce film qui a été projeté dimanche dernier dans l'émission 13 h 15 de France 2 et dont voici le lien
« LA TOUSSAINT ROUGE » Merci Hubert Rouaud de nous avoir informé - micheldandelot1
Ancien d’Algérie j’avais reçu de manière positive le rapport de Benjamin Stora sur le colonialisme et la guerre d’Algérie remis au chef de l’Etat en janvier 2021. Il développe dans son interview quelques aspects avec lesquels je suis d’accord.
L’Algérie c’était la France prétendait-on en métropole. C’était une fiction. Il y avait d’ailleurs une autre monnaie que la monnaie nationale. Une autre population aussi avec son histoire, sa culture, sa langue, sa religion, ses mœurs… Un pays différent du nôtre, largement étranger, et que les appels du contingent ont nécessairement fait connaître aux Français.
C’était la France et ce n’était pas la guerre que nous menions là bas ! On ne fait pas mieux comme falsification à grande échelle. Et on avait réussi pendant des dizaines d’année à faire le black out sur cette partie peu glorieuse de notre histoire ! Le rapport de Stora a eu le mérite de mettre la question sur le tapis.
Que faisaient les jeunes Français qui avaient le malheur d’avoir 20 ans à cette époque à des centaines de kilomètres de chez eux ? Un silence lourd avait pesé pendant des dizaines d’années sur les consciences. Ils participaient à des opérations de maintien de l’ordre et de la sécurité. On pense à l’opération spéciale menée par Poutine en Ukraine !
Benjamin Stora met l’accent sur le comportement des gens de confessions différentes pendant cette guerre d’Algérie. Moi qui n’ai pas de conviction religieuse j’étais plus d’accord avec les chrétiens qui dénonçaient les exactions qu’avec nos bons laïques qui nous avaient envoyés là bas !
Du côté algérien on s’appuyait sur l’islam pour organiser la lutte contre la puissance coloniale qui avait dépossédé les autochtones de leur identité. Les Juifs avaient leur propre religion et un mode de vie qui les rapprochait davantage des musulmans que des Européens.
Stora ajoute un élément concernant la propriété des terres. C’était une propriété collective liée à la structure religieuse qui était en place. Cela a dû renforcer l’adhésion des Algériens à leur engagement dans l’islam.
Naturellement des problèmes ont surgi au moment de l’indépendance mais ce n’est pas ce qui a été déterminant dans l’exode massif des Pieds Noirs.
C’est le titre d’un film consacré à Gilberte et William Sportisse, deux Juifs d’Algérie engagés pour l’indépendance de leur pays mais aussi partisans d’une option socialiste pour résoudre les problèmes sociaux qui se posent aux Algériens. Ils étaient membres du Parti Communiste Algérien. Le titre complet du film est d’ailleurs « Deux vies pour l’Algérie et pour les damnés de la terre..
Gilberte est décédée en 2021 à l’âge de 103 ans et William a fêté ses 100 ans en 2023. Je communique le lien permettant de visionner le film :
DEUX VIES POUR L’ALGERIE ET TOUS LES DAMNES DE LA TERRE – micheldandelot1
Gilberte avait été mariée avec un musulman mort au combat dans l’Ouarsenis lors de la guerre d’indépendance. Une situation exceptionnelle dans l’Algérie coloniale, les membres des diverses communautés se mariaient entre eux. William, est originaire de Constantine où les Juifs constituaient une frange importante de la population. Il était dans un milieu familial favorable aux idées progressistes qui étaient celles du PCA. Son frère Lucien engagé dans la résistance a été assassiné à Lyon le 22 mars 1944.
Le film se déroule sous la forme d’interviews des deux militants. Ils apportent un éclairage sur les Algériens européens et juifs que l’on retrouve dans la lutte armée pour la fin du colonialisme et l’indépendance de l’Algérie. Ceux qui sont venus du PCA apportent une dimension sociale déterminée et spécifique à la situation dégradée que vivent les Algériens.
William est poursuivi par le régime que Boumediene met en place avec son Coup d’Etat du 19 juin 1965. Il se retrouve en prison puis interdit de séjour dans plusieurs villes d’Algérie.
Un regard est porté sur les manifestations du Hirak qui mettent en lumière les manques de démocratie et de réponses aux problèmes sociaux qui caractérisent l’Algérie. Eh oui les dirigeants algériens ne sont pas acquis à l’idée des transformations qui pourtant s’imposent.
Est signalé aussi le soutien des Sportisse à la cause palestinienne. Comme quoi tous les Juifs ne sont pas sionistes !