Si belle dans sa robe de deuil, la fleur exulte sans cercueil, devenant l'emblème d'une fin, couronnant seulement, celle ci de son destin.

Bel hommage à la mort, mais pourquoi? Ne représenterait elle pas aussi, le bonheur quelque part vers là bas, si jolie dans sa mise en plis d‘éclat.

De ta parure ornant tout, d'une présence vitale, tu devrais oh combien, paraître pour d'autres ébats, merveilleux chrysanthème d'un anathème, sans voie.

Resplendissant de tes harmonies chaleureuses il est vrai que tu réchauffes si bien, nos peines et nos chagrins, par un jour d'un souvenir à bien des destins.

Alors un remerciement sincère à ton ornement prolifère qui rayonne toujours d'une chanson émerveillée, sous l'emprise de cet automne mouillé, et parfois tourbillonnant d'un endiablé de valse.

Auteur mpb

Puis les beaux jours nous enlacent par un hasard en place qui donne de l'espoir à la grâce, sans jugement de personne, aimer se donne, pour une bienveillance de personne.

Et la vie se respire d'une romance de livre en liberté sous l'osmose d'un simple parfum de roses.

Et tout d'un coup tout devient beau, et bon, c'est une reconstitution en bonne éduforme, d'une femme pour un homme.

'ou l'inverse'

La magie de la vie qui progresse, vers la vie pour une envie sincère, d'être près, d'un être cher.

Auteur mpb

Un petit brouillon griffonné sur un papier

Bleuté, comme pour à jamais se délivrer d'une culpabilité injuste, au rythme oppressant d'un temps d'années glissant sur la muse d'un sentiment, adoré.Impossible d'écrire autrement, la fameuse lettre au style impeccable, alors brader des mots dans tous les sens, pour seule évidence à la jolie balade.

Faire ce que l'on peut, avec ce que l'on a, dans un respect du aux autres et à soi, et se sentir plus léger, d'un poids lourd, enlevé, dans un moment marqué par une détresse du rire, finissant seule dans un appartement au silence profond, d'un clin d'oeil au néant.

Et le rêve s'éteint après avoir maintes et maintes fois adulées les gens, sous la lumière d'un grisant, finissant d'user un visage, qui c'était trop miré de ses pages.

L’envers du décor donne de ce frisson quand sous les projecteurs parade l'illusion, d'un bonheur sans nuages, cachant un autre rideau, volontaire, sous une misère personnelle dont personne n'avait que faire　? À part quelques amis très chers. Réalité cruelle, d'un envers au décor qui sonne une longueur de tristesse au travers d'un regard qui se blesse, se rappelant le bonheur éprouvé en la voyant de sa gestuelle vive qui n'appartenait qu'à elle, rayonner sur le plancher des planches.

Et c'est pourquoi en voyant cela, émue aux larmes d'un je ne sais quoi　? Qui dérangeait mon âme, l'enveloppe aux chrysanthèmes donnait une belle envergure au poème, pour que quelqu'un sache à jamais qu'il se trouve toujours un être pour un autre, en discrétion de partition, pour ne plus revoir cette situation de perdition.

Fleur de la vie colorée et jolie, orchestrant de ta parure mille rond poing et devanture.

Une pensée pour réhabiliter un instant éternel, d'un beau message sous l'éternel, ne soit pas trop dans la lumière pour respirer d'un caractère, celui d'une attention à l'ami qui brûle ses ailes, perdant un recul nécessaire, atrophier d'une addiction à la manifestation de son évolution par le théâtre ou la télévision, leur vie, leur passion. Pour nous resplendir aussi d'un sublime sourire, donnant un entracte aux lignes de peine, de notre propre laine.

Un mal de vivre, sous ces aspects du rire, qu'on appelait Madame JM.

Une enveloppe aux chrysanthèmes pour dire aime d'un mot, d'une rencontre, au dilemme du vent qui fronde ou efface, beaucoup, beaucoup, de traces, mais pas celles hélas! D’une solitude d'envergure que l'on soit petit ou bien grand sous la mesure, d'une époque ne permettant pas d'être soi du plus profond de son être, cachée entre deux mondes de son ambivalence d'être.

Aimé, pour sincère, le plus beau cadeau sur terre, merci de nous avoir donné, autant, retrouvant grâce à vous nos rires d'enfants.

Au théâtre assise, doucement refermant les yeux, mon rideau s'ouvre, encore, un peu...

Auteur mpb

C'est de ses paroles du matin qu'une amie m'a montré le chemin, vers cette inspiration de mots qui libère l'écho.

Un rayon sublime le nuage en robe d'un gris d'orage, la journée s'incline d'une page de lignes.

Le partage se volage d'un ensemble au milieu du bocage, quand la paix règne sous le tumulte calme d'une journée entre amis, où des oiseaux par milliers réunient congratules les cieux d'une clémence d'envie.

Le voyage s'éternise de rires aux larmes d'une fin qui s'imprime, avant les adieux qu'il faudra donner à regret sous l'automne arrivé.

Merveilleux séjour sous la lunette d'un très vieux parcours.

Auteur mpb

Pas facile de parler de ces lignes qui nous brisent le coeur, se donnant toutes les raisons pour agir à leur façon, rayant la trame d'une autre âme, pour soigner l'illusion. Mais surtout! Comment parler de nous? Sans se convaincre d'un tout de faiblesse qui blesse nos coeurs dans une splendeur de détresse intérieure.

Sans diviser, pour mieux régner, sur la fraîcheur d'une candeur donnée, pour ne pas recommencer le film d'une même pauvreté de signe.

Respectant la donne, pour ne pas se briser de soi même, en sommes.

Auteur mpb

Un petit voyage en arrière, sur la banquette arrière quelqu'un lance le débat, de tous ces gens qui nous ont fait souffrir par fois, après leur avait donné une tendresse innée, de bon aloi.

Ne parlant pas, ne disant rien, les autres la regardait de son chagrin de silence, lui formulant d'une urgence?:

- et toi?

La trahison gardait l'empreinte d'un visage, d'une symphonie tendre, ayant construit un double jeu à bien de ses pages.

Le temps avait passé, mais quelque chose en elle, savait aujourd'hui, pouvoir être foulé au pied par une personne tant aimée, qu'on avait juste voulu sincèrement, aider.

Mais ne supportant pas son choix, direct de lui montrer la voie, tout en douceur, dans son ensemble, sans la juger, la guidant en respectant son choix, elle savait qu'elle essayerait de mentir son image d'une autre page de livre, pour n avoir pas donné raison à sa lecture d'envie, aimer vrai, est à ce prix, le lui demandant, elle le lui avait dit, tel un devoir, prenant le risque de perdre l'histoire,  à cette vérité de plis.

En sommeil sous le perdu des merveilles, il lui arrivait de prier pour elle, encore par moment. Mais à tout malheur quelque chose se valait bon, le désastre d'une confiance aurait pu être encore plus grand, sous les vents de la balance du temps.

Une bougie brûlait sur la table, pour évader une peine non palpable,en espérant chacun au bien, de son propre désir.

Auteur mpb

Entre ombre et lumière tant qu'un seul coeur aimera, l'oubli ne passera pas.

Rassure toi l'ami(e) toujours un sourire, un mot, un silence pour te ramener vers l'humilité des choses de l'existence qui enrichisse nos vies d'une confiance à l'infinie.

A la vérité de l'être naît  sa force de reconnaître, les eaux de cette source tranquille pour apaiser l'idylle d'un merveilleux sentiment, même en exil sous les vents.

Auteur mpb

mpb.centerblog.net

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Sensibilité de chance tire ta révérence sous ce soleil d'été, laisse chacun naviguer, va t en voir plus loin cette arrivée de liberté qui signe d'un air de paix ce carré au, je sais.

Un petit sous marin s'amusait de son refrain, laissant croire à chacun la beauté de son âme, aux reflets si fragiles de son parfait minois, mais la zizanie régnait en maître au sein de son être, voulant faire mal, de son chagrin d'hier, toujours, tout défaire.

Glisser cette phrase assassine qui en douce fera mouche, et s'en aller d'un air de ne pas y toucher, alors que le but était bien de glisser l'instant sous un dégât, plus méchant.

Lire entre les lignes de l'existence de ces jours heureux ou pas, une rencontre parfois qui peut changer la donne d’un envoi, et devient opium sans délivrance d'un mot vrai, sincère pour congédier les méfaits.

Et la tristesse emporte au méandre du coeur ceux qui d'un mot d'un orgueil de trop on laissé passer, le printemps, qu'ils auraient pu garder en toutes saisons, sous un chant de pinsons.

Qu'il est dur le poème de la vie, pour enlever les doutes, et sa zizanie, pour regarder le livre s'accommoder de tant de moments simples, ne coûtant juste qu'un mot tendre, un sourire à donner, qui ne viendra pas pour semer une joie.

Et file l'eau sur le papier, tourne le monde perdu, sans une vérité à sentir à anoblir

L’éclat au cœur de l’image, et son cœur partait en voyage, malgré tout, vers le bonheur des sages.

Des notes d‘amour, d‘esprit volaient dans le vent les envoyant vers ceux qui les désiraient tant, pour ne léser personne de son penchant, mais hélas, seul le vent fut propice à son chant.

Et le bon sens se perd d'une drôle de manière.

Auteur mpb