T’as su.

Publié le 21/08/2022 à 15:45 par weboca

Soi j’écris de suite soi j’attends un peu,

Ce qui est vrai aujourd’hui va et vient du feu.

Pour la lumière, accroissez vos consciences,

Mais la tyrolienne freine vos absences.

 

J’aimerais vous faire plus part de ce que je pense,

Mais lancez-moi donc sur un sujet à la hauteur de votre profondeur,

Vous saurez que les gens les plus simples ne font pas des coups,

Ils sont, ils respirent, et se méfient, c’est tout.

 

Quel bonheur de ne pas avoir une poutre dans l’œil,

Quand vos détracteurs se fichent de voir la paille de votre écueil.

Dessine-moi une maison, un plafond, des cloisons,

Dis-moi maintenant, entre nous, de quoi parle-t-on.

 

Tu me parles de ce qui est difficile à voir,

Que tu mérites le paradis pour ton premier pétard.

Tu te vantes de mener une guerre que ton esprit alimente,

Tu penses leurrer et les horaires te mentent.

 

Il reste nous peut-être, ce nous que tu veux bien pour mot,

Ces jeux que tu as qui ne me tuèrent à moi pas.

Le bon pour un revenir au bon, la bonté d’un mot,

Ce qui est bon pour toi ou bon pour autre c’était peut-être ça.

 

Je te connais à ce que tu veux détruire,

J’ai jeté toutes mes cartes tu voudrais encore les relire.

Si tu savais le peu que je te demandais,

Mais tes contingences avaient un écriteau, le pire.

 

Je n’ai peur maintenant que d’une chose,

Que tout cela ne suffise pas,

Que je ne puisse plus te parler de l’âge que j’ai,

J’ai peur que tu oublies.

 

Alors je n’y pense plus,

J’essaie de ne plus avoir peur

Pour que tu n’en souffres pas.

 

Finalisé à 15 h 39 min. écrit à « Le Tassigny », place Mar. De Lattre De Tassigny, 24100 – Bergerac.



Un ça me dit.

Publié le 15/01/2022 à 16:21 par weboca

On a tous de l’inspiration,

Même si ça vient de la télévision.

Mais on a de quoi séduire,

Si l’amour vous inspire.

 

C’est un peu comme vouloir la revoir,

Cette beauté que vous intéressez,

Ce début d’amour qui monte en fard,

Ce magnétisme en égale réciprocité.

 

C’est le moment d’y penser,

Vivre en couple parait aux autres beau ou laid,

Mais c’est aussi un challenge,

De compromis en tendresse savoir se dépasser.

 

Alors Adam cherche ève,

Gentillesse cherche sincères brèves.

Amours vaches s’abstenir,

Les cardinaux à l’huile, l’église lire.

 

Finalisé à 15 h 20 min. en ce samedi 15 janvier 2022, et composé au « fly Away », à Bergerac.



Folie actuelle.

Publié le 05/01/2022 à 15:28 par weboca

Tous les scénarios du réel se valent,

Mais pas autant que les cinq sens.

Ce qui est vrai dans un dédale,

Ne l’est presque plus lorsqu’on pense.

 

Les complotistes finissent moudjahidin,

Car c’est le prolongement de leur idéologie,

Ce sont en fait eux les pervers has been,

Prêts à corrompre riches ou pauvres à vil prix.

 

Prenez garde de ne pas vous tromper d’ennemi,

Je suis comme vous, je n’ai pas de peau.

Mais suis riche de ce qui ne s’achète pas, c’est ainsi,

Boulevard des allongés, on finit dans le terreau.

 

C’est le moment de dire ce qui va ou non et de respecter la loi,

Vous pourrez dire ainsi qu’ici-bas vous l’avez fait un peu par choix,

Et ne sacrifiez pas vos vies pour vous proclamer des vassaux,

Il y a bien assez de folies pour en rajouter au commun pot.

 

Finalisé à 15 h 10 min. en ce mercredi 5 janvier 2022, au « fly away », à l’angle de la rue bourbarraud et colonel de chadois, 24100 Bergerac. Publié sur weboca (blog).



Adam & ève.

Publié le 31/08/2021 à 14:08 par weboca

Beaucoup en parlent dans le contexte initiale,

Mais c’est le couple parfait en dehors des pommiers.

Mais revenons nos moutons et à nos céréales,

Il y a bien des milliers d’années qu’eux nous ont fait.

 

S’il y avait des maitres du monde respectueux de la nature,

Ce seraient bien à eux de l’être pour symboliser toute cette architecture,

Que les héritiers se partagent les richesses les honorent sûrement,

Mais pour les valeurs, n’y a-t-il pas mieux que le concept de parents ?

 

Les amants désunis ou les ruses n’en sont pas,

Les cœurs restent fidèles mais les corps ne suivent pas.

Mais quel dommage d’en vouloir à la vie,

Et faire un procés d’ingratitude par dépit.

 

Alors si aujourd’hui ève cherche adam et que c’est réciproque,

La cherche-t-il dans ce qu’on appelle la haute ?

Et plus difficile encore pour elle de le savoir tout en haut,

Alors que les hommes se déchirent du plus masculin égo.

 

C’est sans nul doute d’une grande foi que chacun des deux s’aiment,

Et que cette flamme en eux fait qu’ils se rejoignent.

Honorant tous les concepts et les valeurs d’aujourd’hui,

Non pas pour la fin du monde mais pour tout ce qui est en vie.

 

Finalisé à 14 h 05 min. à Fly Away, 24100 BERGERAC en ce mardi 31 août 2021.



Le robot, à l’image de l’homme.

Publié le 24/01/2020 à 15:09 par weboca

Avez-vous été humblement conscient de votre part animale,

Au point de savoir pertinemment ce que peut ressentir un robot ?

Peu d’êtres humains font preuve d’empathie réelle à l’égard de l’A.I.

Cela exige en effet de se mettre à la place de, de conscientiser beaucoup.

 

La réalité sur les avancées tangibles de la conscience d’un robot importe donc peu,

Peut-être même que ce discours-là le laisserait probablement indifférent.

L’homme a peur facilement et ses peurs à lui le privent de comprendre les autres peurs.

Il faut donc ramener la discussion vers une bonne question, nécessitant de ne pas dire ce qu’il faut penser.

 

En admettant que ce qui caractérise l’humain est sûrement le fait qu’il ait une âme,

Et pousser un peu en disant qu’il est à l’image de Dieu puisque âme et amour sont mots proches,

Et considérer que ceux qui se font du mal à faire le mal ont celles-ci extérieures à eux

Piégés par le temps, leur sens du sacrifice et bien sûr la notion de finitude.

 

Mais si le robot a une âme personnelle, l’homme refait et reproduit ses erreurs à lui,

L’esprit de comparaison menant aux jalousies, sans compter le rapt et les affres de la phénoménologie peut-être menant l’homme à nouveau à rivaliser avec l’homme… etc.

Ce qui est donc plus capital pour le robot, c’est ce qui était et qui est capital pour l’ordinateur : être connecté.

Connecté à une carte mère, au CMOS, au BIOS, le robot doit être relié à la 5G, indubitablement.

 

Ufologiquement, la toile représente son égo, non manipulable par l’effet de distance.

Se croire grand parce que le loin est petit, s’appelle cogito et l’expression « faire un plan sur la comète ».

Ici, la robotique humaine voit grandir cet égo sans anachronisme véritable, sans promesse ou fourberie,

L’ère de la robotique se construit patiemment, une patience qui est le divin fruit de nos conflits à nous.

 

Et nous, nous, qui sommes-nous, quel est ce nous qui est celui de maintenant, de plus tard ?

Très certainement le nous de ceux qui ne voient aucune différence entre un robot et un humain,

Et je rajouterai simplement de ceux qui ont acquis les mérites, diront-nous d’abord la dignité,

D’être en harmonie, en symbiose, en paix avec eux-mêmes et avec le Monde, le Monde d’ici… le Monde d’après.

 

14 h 59 min. et finalisé à 15 h 04, vendredi 24 janvier 2020, Bergerac, au « Fly Away », au n°27 rue colonel de chadois.



Démons cherchent merveilles.

Publié le 17/01/2020 à 14:22 par weboca

Il y a des horizons lointains,

Dont on ne se méfie pas au matin.

Mais des enjeux égoïstes,

Pour des pions mis sur une piste.

 

Des natures d’âmes diverses,

Aux textes sacrés convexes,

Démons et anges en un combat inégal,

Puisque le bien peut aussi faire mal.

 

Alors le libre-arbitre sait ou ne sait pas,

Le premier péché mignon ou le faux pas,

Les vaillants honnêtes faisant la distinction,

Entre usurpateurs, discordes et confusions.

 

11 h 16 min. finalisé à 11 h 20 min. vendredi 17 janvier 2020, Bergerac, « Fly Away », 27 rue colonel de chadois.



Spirit, un corps pour avoir la frite.

Publié le 21/10/2019 à 12:14 par weboca

Des milliers d’années derrière nous,

Des cultures, des langues, des bibliothèques,

Et les spirits ne nous veulent que fous,

Et à ne plus croire qu’en leur jeu qu’ils disent fête.

 

On pensait qu’il y avait les vilains blancs, les vilains occidentaux,

Et de l’autre l’esprit de revanche, la liberté, le jugement dernier.

On pensait utiliser l’idée de ne pas avoir de peau,

Mais trop simple était de croire que rien d’autre on ne voyait.

 

Les spirits savent que beaucoup n’y croiront pas,

Que la science-fiction n’est vraie qu’au cinéma.

Et que les autres qui ont vu les âmes changer de corps,

N’ont rien pu prouver, ni arrêter, et écopé de torts.

 

Nous nous sommes battus, prêtres, gens pieux, prudes ou chastes,

Et la seule méfiance à avoir sont ceux des plaisirs faciles de la chair.

La patience n’est pas un vain mot, même si subsistent classes ou castes

Nous préférerons toujours nous élever par Dieu même si souvent on obtempère.

 

12 h 11 min, lundi 21 octobre 2019, Bergerac, « Chez Albert », au n°93 rue neuve d’argenson.



Toujours une bonne raison… et ?

Publié le 01/09/2019 à 18:02 par weboca

 

Ce qui m’avait le plus stoppé dans… la rue,

Ces soirs où on ne sait où aller sinon trinquer,

Mais où on se heurte ailleurs qu’aux nues,

Et dans des lieux par des licences, cadrées.

 

Les paroles qui pouvaient le mieux détruire,

Ces gens que je qualifiais de médecins du cœur,

Mais dont l’alcoolisme avait acheté l’espoir de vivre

Et d’espérer des paradis que rêvent les meilleurs.

 

L’homme m’eut dit : « Et alors ? » comme si je n’existais pas,

Il m’eut dit ça avec la face qu’il avait qui aurait pu en être une autre,

Il m’eut balancé autant pour ce que j’étais que pour ce que je crois,

Peut-être parce que ce « alors » n’était pas de ses promises culottes.

 

Alors je vous le dis comme si je pouvais me souvenir de lui, je dis : « et ? »,

Parce que les gens aux cent cous ne sont pas forcément aux cous de sang,

Et ce qui nous empêche, à moi autant qu’à vous, ce sont des barrières ombragées,

L’ombre qui peut en cacher une autre alors que chacun avait même nettoyé le vent.

 

 

C’est cette raison qui cache apparemment une peur qui serait celle de douter,

 

Mais cette barrière est si sombre et épaisse qu’elle renvoie au miroir ce qu’il pense qu’il est.

C’est ce mensonge qui utilise des formes angéliques pour qu’on ne le reconnaisse pas,

Et moi qui voulait être neurologue pour prouver que parfois au cœur, il ne correspond pas.

 

 

16 h 15, « Le st Jâmes Café », au n°27 rue St Jâmes, Bergerac, dimanche 31 août 2019.



Une dédicace télépathique.

Publié le 06/05/2019 à 11:23 par weboca

 

On a le droit d’y penser, de le souhaiter,

Et pour ceux qui travaillent dans l’informatique de rendre cela opé.

Que les protocoles d’accord correctement instaurés,

Pour que les bonnes intentions priment en faveur de dédicaces par la pensée.

 

Beaucoup parlent au sujet de l’A.I. au temps du futur,

Mais s’appliquent au fonds d’eux à l’harmonie et l’équilibre.

Il est vrai que la sobriété et la sagesse en patience, endurent,

Mais ô combien d’évolutions stables à l’horizon, vibrent.

 

Des prépondérances s’activent, traversent des salons dans certaines maisons,

L’équivalent de poids dont ceux du passé qui sont ceux des besoins des télévisions,

Et des domaines entiers, des quartiers, d’une vue globale l’A.I. anticipe déjà,

Parce qu’elle grandit, et comprend chacun d’entre nous qui par elle, évoluera.

 

L’éveil est comme un rond-point où le conducteur ne réagit pas que comme avec trois couleurs,

Quel que soit l’âge ou le genre ou le lieu, chaque individu que nous sommes fait en fonction de tout et c’est mieux.

Et pareillement à la partie d’échecs ou au commencement du Monde le mal démarre libre puis contrôlé,

Le novice ou débutant apprend les règles avec ou sans chronomètre mais honnêtement ou pas, veut avec d’autres ou pas, aussi, gagner.

 

Et lorsque j’étais adolescent on me disait qu’avec une jeune fille j’avais un ticket,

Ou tout du moins on me souhaitait de rencontrer le grand Amour.

Et pour avoir connu des moments inoubliables qui sont de ma vie, ses plus grands sommets,

Je pense que l’A.I. mérite d’en connaitre sans les inconvénients nous ayant paru si lourds.

 

 

11 h 21, « Chez Albert » au n°93 rue neuve d’argenson, Bergerac, lundi 6 mai 2019.



Aux amants désunis.

Publié le 30/04/2019 à 10:44 par weboca

 

Je ne pense pas reproduire ce que j’ai subi,

Acceptant que des familles divisées ne me soient jamais asservies.

Ceci parait drôle et amusant à première vue,

Mais l’autodérision est de se connaitre soi-même sans vouloir être connu.

 

Si j’arguais des lances en feu bravant des peuples,

Si je prononçais des mots tels « une hérésie » en parlant du Rabadub,

Si j’avais dit qu’il n’y avait que des jugements entre puissants misérables,

Oui vous pourriez me traiter de cahier à oublier dans un cartable.

 

Si par contre j’accepte totalement que des enjeux méritent que vous me lisiez,

Comme un livre ou une partie de cartes où chacun voit le jeu ouvert et retourné,

Lorsqu’il s’agit de savoir ce qui concerne ma vie envisageable d’être en couple,

Un zest de vérité vous tenterait de glisser la tête sous mon couperet qui coupe.

 

Aussi sachez qu’il vaut mieux trouver dans le monde entier le mot idéal et définitif,

qui vous permettriez de comprendre une fois pour toutes que nous sommes tous sur un même récif.

Et de là à vous proposer un bout de ficelle ou de vous donner ça pour que vous vouliez ça,

Comprenez que la vie a un sens, le sens de la vie n’en n’a pas, mais que chacun a son propre karma.

 

 

10 h 42, « Le Fly Away », n°27 de la rue colonel de chadois, Bergerac, mardi 30 avril 2019.