Au bord de la mare vivait sous la pierre un lézard.

Tranquillement installé, près des feuilles d'hébé,

Il réchauffait habile, sa peau sur le caillou tranquille, agrémentant

le pourtour, de sa figure de coeur de ce trou d'eau, porte-bonheur.

Sous sa ligne de cou, un vert fluorescent, comme si la fête se préparait dans sa tête.

Un chat passant par là, trouvait sa soif accomplie d'un espoir.

Vite  fait, il se met à l'abri, ayant peur de servir de repas à ce drôle d'animal, là.

Actif, rapide, il guette de son antre, cet énorme ventre.

Placé au-dessus de lui, comme un parasol, un parapluie.

-Fiche donc, le camp, je suis chez moi, mon dominant.

Et d'un point de vu de correction par télépathie sûrement, le poilu à fourrure disparu sur le champ, lentement, comme devenu le confident de ce drôle de charmant.

Ainsi, va la vie au monde de dame nature qui parodie ses lieux, d'une composition d'un merveilleux, d'aventure.

Auteur mpb