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nous apprenons le respect à nos enfants, qu'il faut respecter la différence, le bonheur alors viendra !
bises
Par panvrid, le 17.05.2019
merci domino pour ce charmant commentaire mpb
Par Anonyme, le 21.03.2019
merci à vous
Par Anonyme, le 21.03.2019
chatouvivelavi e l de mon retour je vous lis la deesse grecque de la nature---l ecrivaine-''ma intenant qui
Par Anonyme, le 21.03.2019
vous n aurez jà mais ma haine pour mettre sur nos dilemmes. vous en qui j ai tant cru. l amour est un privi
Par Anonyme, le 20.03.2019
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Date de création : 19.03.2011
Dernière mise à jour :
10.07.2019
1937 articles
Nos pensées ont se pouvoir d'aller où bon leurs semblent, auprès de chacun, chacune de ceux qui nous enchantent, pendant, qu'hélas le corps tributaire de ses impératifs de vie, ne peut parfois suivre d'un élan généreux, l'envie, de cette profonde envie.
Alors! fermer les yeux pour s'évader au mieux, sur une épaule, dans d'autres yeux, réchauffant d'un mot l'atmosphère, pour éloigner, cet éloignement morbide d'une attitude positive, se maintenant à l'instant si près de ceux que l'on aime, si près de ceux que l'on aimait.
Pas toujours simple d'être à plusieurs endroits en même temps, culpabiliser de cette impossibilité nous rendrait otage, d'une tristesse insupportable.
Et vivre au plus près des êtres, sans pour cela se morfondre de ne donner en fait, qu'un geste au mieux, quand on ne peut réaliser d'avantage ce voeux, de réunir chacun, dans un partage, de mieux.
Et supporter avec humilité ces embûches à nos pieds, en sachant n'être qu'humain, d'une certaine fragilité, en vain.
Se prendre pour un poète, sous une dérision d'être, pour annuler d'une phrase, l'incommunicabilité d'aimer, sous l'extase.
Auteur mpb
Un petit bonheur reposait sur un coeur sûr.
Une coquetterie de vie signant la vie belle,
donnait à l'instant un charme aux vents sifflant,
une raison d'y croire au miroir lenteur,
de tous nos rêves d'enfants jouant au temps doux,
la partition d'une mélodie d'amour fou,
irréel d'un parfait d'un soin de velours choux.
Laisse voguer les bleus gris convolent vers lui (elle)
Donne ce courtois émoi ranimant la joie.
Au milieu du désespoir tient bon la barre.
Au bout du chemin un matin serein un bien.
Femme qui donne la vie, homme dit merci.
Cette tendresse te revient, d'un lien de soin.
Un tourbillon de coeur parle sur le chemin.
Auteur mpb
Confidences difficiles sous l'ébauche d'un coeur devenu en exil, craquant d'une histoire, sur un mot, quelque part.
Débordant de son flux comme la rivière de son lit, par un jour inouï.
Auteur mpb
Ne regrette jamais les mots d'amour offert par un jour de septembre ou de mai.
Ne regrette jamais de t'être libéré(e) le coeur d'un effet de torpeur.
Ne regrette jamais d'avoir aimé (e) au-delà d'un parfait, devenu imparfait.
Ne regrette jamais ces mensonges que l'on t’a fait.
Ne regrette jamais d'avoir donné plus que tu ne devais.
On ne se refait pas de ce que l'on ait été, c‘est ainsi à tout jamais,mieux vaut le savoir, le regarder.
Aussi vrai, que la mousse repousse sous les attraits d'un automne secret, demain renaîtra d'un singulier bien fait, n'en doute jamais.
L’essentiel est d’être là, sans s’éloigner des autres et de soi.
Merci à toi, d'être là, pour moi.
Auteur mpb
Leurs regards parlent d'eux mêmes, pas besoin de mots pour comprendre, l'essentiel.
Et soudain quelque chose se distingue d'une rose fanée, qu'on voudrait pauvre de soi d’un bel esprit de douceur, rallumer.
Mais hélas, la confiance n'est plus, ils ont oublié à quel point la chaleur qu'elle procure te ramène de l'usure.
Prendre un risque pour enchanter demain, encore de son serein, vaut toutes les audaces, d’un idéal face à face.
A toujours se protéger des autres, on finit par perdre l'éclat principal de notre talent original.
Peu importe! Si tout ne s’implique pas continûment d'un sensible aller retour, le charme ne s'oublie jamais de ce divin partage que de nous l'on a fait, en disant:
_je crois en toi, puisque, pour moi, tu es.
A la chance d'autres rencontres qui finissent évidemment par réparer les déceptions de nos existences, en partance, vers ces oublis immenses.
Un sourire, une voix, une attention sincère, et le reste, reste à l’arrière, il faut juste y croire, encore une fois pour semencer à la vie de belles manières, d'envie.
Auteur mpb
Du mérite, pour pédaler à la suite sur ce précaire engin, imaginé par quelqu'un, donnant à nos diverses envies, l'envie de partir n'importe où, avec lui.
Sur les routes, les sentiers, à la recherche d'un temps tranquillement imagé, laissant le paysage courtoisement défiler, au voyage de la pensée.
Et près des marguerites, allongés sur l'herbe du pré, sous une suite, endiablé d'un forfait de nuageux effets, d'un coton à l’écrin d'un ciel souverain qui poursuivait sa course, nous partions à quatre mains;
sur le guidon, le porte bagage volait ta robe à pois d'un sortilège de vagues, on roulait s'embrassant d'un souhait d'amour, pour toujours au long cours.
Au-delà d'un jour, se respirait une paisibilité de savourer, ces petits riens de velours, saisis à la volée, sous une brise d'été.
Auteur mpb
Une plume pour tout message donnant l'envie de voyage au coeur sauvage, d'un coeur fou d'un ravage, vouant une inclinaison à l'éclat du haut ciel, de sa voûte là-bas, riche, d'émois chauds de miel.
Caressant une inclinaison de charme de son dicton de ses tons qui gouvernent les âmes, de bien jolis boutons d'une grise lames.
Vagabondent les heures, l'idéal se leur, se meure sans une preuve d'atours pour distribuer sur ces jours.
Soit belle de penser, riches sont les temps d'aimer, vraiment, quand se rappelle le chant de ta voix, sous la courtoisie des vents, d'un choix, une aubade se joue, d'un touchable émouvant, d'une soie de l'instant.
Auteur mpb
Et son regard si divin d'un câlin d'une réciprocité me rappelle la douceur de vivre aux vies faciles d'une émotion ne faiblissant pas au son de ces conseils perdus, rendus ternis d'un faux pli, faisant disparaître les choses propres et honnêtes sous un concert de conciliabules d'un monde sans recul.
Où vont se nicher les espoirs fourbus de ceux en qui l'on avait tant crus, et qui par le biais du mensonge, on remplit certains coeurs d'une odeur nauséabonde de méfiance profonde.
On peut tricher avec les autres, mais notre conscience nous rappelle toujours qui nous sommes, au royaume des femmes et des hommes, drôle de jeu de pauvres pommes.
La nature de l'être est ainsi, faite, à se convaincre soi même du malhonnête, pour se rendre foncièrement honnête de notre vilain statut d'être.
Ainsi, d'un regard naît une réflexion de croire, toujours en quelque chose d'un vouloir d'osmose, malgrè, le gris entendu par tout, qui finit par rendre les gens fous, si l'on ne s'accorde pas un crédit de liberté, pour soi même penser,en cette foi en la vie, qui finit un jour, de saigner nos jours.
Auteur mpb
Sans artifice au règne de vie, juste se réclamer en paix d'avoir osé, essayer l'impossible, quand d'un cri d'amour rien ne s'entend, quand d'un son de bonheur tu préférais le malheur, dommage tous l'on t'aimais mais tu tournais toutes les pages de ce respect respectable, pour te donner raison, de nous éloigner de la table.
Pas de regrets, si pour être aimer de toi, il ne fallait rien dire, et te laisser divaguer à mentir, tu méritais mieux, aux aveux, seulement de tendresse, à la sincérité, tu t'es perdue de ne croire qu'en toi.
A l'orgueil d'un hiver mettant en prison une âme de charme, la dépossédant de ce fait de son talent d'humanité, la rendant fragile d'une fleur sous l'été, pour l'anéantir au froid de l'hiver en avance d'une première.
Aux regrets éternels qui gèlent, les compréhensions d'une muselière des temps.
Auteur mpb
Sous les nuages de passage, ton joli visage se mire aux ébats de ramage, où le rêve vient à celui qui ne dit rien, et savoure à jamais la beauté émerveillée de ta lumière à l'automne arrivé.
Un ange passe nous touchant d'une grâce, au pouvoir de lire entre les lignes, de ce devoir d'encrer à tout signe, balbutiant l'instant, d'une image divine.
Auteur mpb