Comme j aime à vous lire monsieur Baudelaire, découvrir des textes pour moi, ici, inconnus, et parcourir au travers  de vos mots les sentences de votre époque, aux flots d'un pessimisme, d'une déclaration d'indices.

_ Quel talent votre plume ? me rendant grâce  d'une certaine humilité d'audace, ne pouvant à vous se comparer.

_ Quel délice de voir vos mots à l'affiche dans ce texte :_ le tombeau de la haine_ où alliez-vous monsieur trouver ce talent inestimable à la plume de votre jeu, je voyage...

j 'oubliais de vous dire:

- Vous savez mon ami, mes mots s'étaient enfouis au pays des errances, et puis, comme un cadeau ils ont resurgis de l'enfance.

Alors, je vous invite dans une discussion insolite, à vous donner, l'un de vos poèmes qui satisfasse mon coeur d'un long, très long, je t'aime.

Noblesse de coeur oblige de cette parution, à vous lire. Il s'agit :- de l'harmonie du soir - pour ce premier regard.

Et aussi à celui de :- l'automne- qui me fend, la pomme.

Puis! quelques autres, on en reparlera plus tard. mpb

Un pas sous les branches, pour affirmer, une élégance, celle d'un idéal pour s'allonger sous le soleil, sur la paille paisible des temps, et juste regarder le ciel, en sentant la douceur du vent caresser votre oreille, éminemment, pour thésauriser, de belles pensées. mpb

L'irréparable, demander, mille fois pardon, pour ceux qui jamais ne pourront mpb

Le Mahatma Gandhi disait :

Ils m ont tout fait, pour me perdre m'affliger, ils ont frappé mon corps, mon être, ils ont pris mes biens, ils ont détruits pour m'absoudre et m'obliger, ils ont perdu, ils n'auront jamais :- ma dignité. mpb

Quand les hommes deviennent imbus d 'eux-mêmes, au point de perdre la dignité des êtres pour leur propre volonté, à la souffrance cachée, dans l'ombre des abus.

Et continuer, d'aimer même ridiculisé, pour suivre sa route au plaisir d'exister, aux âmes d'amour et de paix, dans cette volonté de penser vrai.

A la foi qui se nourrit d'un choix celui d'aimer pour toi... A vous, qu'on a privé d'un meilleur par ma faute, mais pas par manque de tendresse aux autres, à mes amours...A la bénédiction reçue, d'un prêtre, un jour,  de baptême. Merci. mpb

J' apaiserai pour vivre d'une paix, celle d'aimer vraie.

J 'Apaiserai par un mot de tendresse, comme d'amour, un coeur,
des coeurs, pour ne plus jamais ajouter de la haine à la peine.

J ' apaiserai les tensions,  pour donner une chance aux nations de réprimer
l'iinévitable, aux souvenirs de nos morts, et de ceux des autres,
sacrifiant leurs vies, pour libérer, la nôtre.

A la quiétude de nos jours, pour une  liberté chérie,  je donnerai un mot, une main tendue vers demain.

Je croirai en l'humanité pour rompre ce sort d'un retour aux portes des oublis.

Je retrouverai une force de penser, n'oubliant jamais, le sacrifice de tous, et de cette  jeunesse brisée.

Je n'oublierai pas, ces animaux qui par leur aide, ont aussi soutenus, les êtres,
dans beaucoup de moments de détresse.

Humanité, aide l'homme à rompre de cette fatalité d'un retour aux portes de l'enfer.

Donne-lui l'espoir de trouver sans cesse des têtes bien faites, pour, aux problèmes arrivés,
penser toujours en homme de paix, pour  ramener la paix.

Un jour en Normandie, aux braves de nos livres de vies, d'hier comme d'aujourd'hui.

La vie et sa tragédie ..... à  l'espoir mpb

Là-bas, sur l'océan d'écume vogue les vents, sous les murmures sauvages, brûlants, disgracieux, de leur état violent, d'un galvaudage sous les cieux, longs et langoureux, fouettant les eaux, de leurs sanglots, fous et mystérieux.

L'horizon, sous un rayon  diffus d'une lune couverte, s'enfonce sous la nuit,
dans sa  brune offerte, combattante au long cours, sous la corne de brume,
au loin s'allonge l'écoute, à la toile sombre, sournoise, qui envoûte,
cachant bien des ombres, aux profonds  des abysses.

Hurle la peine de ce maudit d'une souffrance aux baleines, mais n'oublie  jamais,
sur le quai de ce port en mitaine, ceux qui t'aiment, attendant ton retour, de ce parcours au long cours,
s'occupant de ton histoire, d'une émanation de peau, espérant dans l'attente,
sous la violence de ce tumulte des eaux, retrouver ton histoire, pour une page à l'espoir.

Permet lui, de revoir tes doux yeux, quand plongés dans les siens, ils semaient d'une parole, un voeu, celui d'une grâce au chemin, pouvoir encore, te tenir la main.  Revenir d'un endroit d'une furie sous l'exploit, d'où hélas ! Par fois, l'on ne revient pas.  Quand sous la venue d'une aube de plus, la fureur se calme, lâchant prise, par une caresse de brise, une main invisible t'enlace, d'un baiser de méduse, douloureux et brûlant par l'absence, sous l'instant.

Le chant d'une mouette loue ton talent d'athlète, sous ce firmament pour sublimer tes heures d'un message criant.
Et t'entendre forcer le ton sous l'horizon des vents, dire ces mots :
_ je reviens mon amour, les sirènes me l'ont dit, je serai là, demain, ne te te fais plus de soucis. mpb
 A Maria

Une goutte d'eau se déverse de trop d'averses.

là, sur le plancher de sa joue, elle coule.

Personne ne s'attendait à cela, pas plus elle, que toi.

là, aussi, elle pleure du pardon, qu'elle n'aura jamais, du mal qu'on lui a fait.

Un désaroi  de partage, sa douleur son chagrin est sorti par ce jour, après avoir donné tant d'amour.

Un moment qui se perd entre ciel et terre.

Au bord des berges de la vie, après tout rien n'est grave, quand on répare sa misère, pour ne plus subir les dommages, venus des enfers.

Aux abisses de vivre, pas de confession sans  se demander pardon.

La bourrique du temps, tourne de sa ronde effrenée, subit d'un trop long d'attente, à l'année. 

 Mon respect vous accompagne, pour vos activités, si dévouées aux êtres de nos destinés.

la vague de l'existence nous emporte, aux méandres par fois d'un moment plus fragile où tout dérape d'un plan, pourtant si tranquille. 

A la vie, au bonheur, et tant pis! si tout se meurt d'une non chaleur, sous l'emprise des vents moqueurs qui blessent bien des coeurs.

Ne brimer personne est son refrain, on est surpris, par un détail qui foire sur son chemin.

 On a tous des droits, se parler est le premier, pour éviter les détresses de toutes sortes de maux, comme de malentendus trompeurs qui sont sortis d'un quelque part, moins chaud.

mpb

merci de votre passage mpb fin

Et partir en voyage du côté du sage, avant de tomber plus bas, qu'on ne nage mpb

Comment faire autrement?  après avoir expliqué des années au vent
toutes ces priorités, qui nous incombent, d'un devoir à établir même dans l?ombre.

Rien n'arrive par hasard, comme le chante si bien Chimène badi.
Personne ne devrait être en trop dans nos vies, chacun apportant sa manière, d'un bien à faire, à concrétiser.

Pourquoi ? faut - il détruire l'être, pour qu'un autre être, puisse s'épanouir.

Qui sera assez grand pour apaiser tous ces mouvements de révoltes ?
et donner à chacun une dignité, comme pour se retrouver main dans la main,
en éclaircissant point par point, tous les points de discorde.

Sans haine, ni violence, et le monde avance d' une non indulgence, ramenant d'hier, tant de faits mauvais.

A la mémoire des peuples brimés, partout, et ne pas oublier qu'au fait de chacun de nos gestes,
par nos actes du quotidien sur une simple journée, la bonté, ou la violence se ramène,
 d'un choix, d'un bien, ou d'une non élégance.

Rien ne s'efface au sein de nos consciences, et nous léguons à nos familles,
nos êtres chers, la résultante de notre propagation du bien ou du mal.

Et à jamais ! la trace éclabousse d'une fois de trop, l'écho de notre propre écho,
sans se tenir chaud, d'un mot d' apaisement.

Aux énergies vives d' un impératif établi d ' un peu de poésie, d' optimisme,
sur la violence, qui hélas ! jamais ne meurt.

 Ne pas oublier, le passé qui a tant blessé, bien des peuples et simplement s'écouter, de nos problèmes. mpb