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nous apprenons le respect à nos enfants, qu'il faut respecter la différence, le bonheur alors viendra !
bises
Par panvrid, le 17.05.2019
merci domino pour ce charmant commentaire mpb
Par Anonyme, le 21.03.2019
merci à vous
Par Anonyme, le 21.03.2019
chatouvivelavi e l de mon retour je vous lis la deesse grecque de la nature---l ecrivaine-''ma intenant qui
Par Anonyme, le 21.03.2019
vous n aurez jà mais ma haine pour mettre sur nos dilemmes. vous en qui j ai tant cru. l amour est un privi
Par Anonyme, le 20.03.2019
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Date de création : 19.03.2011
Dernière mise à jour :
10.07.2019
1937 articles
Au couloir du temps se perd les pensées,
les souvenirs joyeux qui maintenant, traversaient, tant d’épreuves, et tout se meurt, en vie, dans un capital d’ivresse folie, emmitouflé sous un monde de détresse.
Et s'acharne le temps thérapeutiquement, au coeur meurtri des gens, perdus ou évadés aux lunes déchirées, de moitié.
Auteur mpb
Aux nuages donnent lui du courage, en cet anniversaire qui vient à grands pas, du péril de l'absence qui ne lui rendra pas, son fils à jamais, évadé au royaume céleste, ne finissant pas avec sa détresse.
Pleure maman lui crie le vent, pardonne moi, de n'avoir pas vu tes larmes, avant ce geste de désespoir qui pris mon destin dans ce noir.
Oh ? Maman, je suis par tout maintenant, tout autour de toi, dans chacun de tes pas, sous l'ombre discrète, du néant, je soutiens ton temps.
Oh ? Maman, pardonne moi de t'avoir oubliée, seule, dans ta destinée.
De là-haut ta solitude m'écrase, pardonne moi d'avoir perdu espoir aux rancunes de la vie, quand tout s'assemble d'un quai de brume, infini.
En ayant tout perdu, pourquoi ? N’ai je pas vu, qu'il me restait encore, un amour au décor.
Aujourd'hui, ta peine remplit l'espace, bien que sous ce masque ta dignité efface, par un sourire, les traces de ton effroyable chagrin.
Toi !tu n'oublies rien, d'hier, de demain, toujours à jamais, tu me tiendras la main.
Sous le rayon de lune, apaisant je m'approche, ne sens tu pas ma mère ce baiser sur ta joue qui vient à bout, de tout, pour soulager un instant ta peine, encore pardon maman, je t'aime.
Bientôt, ton visage près du mien, ton chemin s'accomplira, ton errance finira, maman ne pleure pas, regarde! je suis de nouveau là, à te tenir le bras.
A Jeanne
Auteur mpb autre blog écrire sous la plume des temps
Mélange de genre d'un enclavement incertain, donnant un petit résultat malin, créant ses propres harmonies, en suivant son instinct.
Auteur mpb
Un effet de cheveux sous un foulard envieux caressant au passage les contours d'un visage.
Auteur mpb
Douceur de rose caresse ma peau d'un soulagement de poésie pour distraire les vents sauvages, me secourant d'une parole d'amour, pour rester sage, encore aujourd'hui.
Mettre du beau, du bien sur tout, même quand les griffes de la vie nous gifle de son infini démesure, sortit de je ne sais où, pour modeler ce nous.
Foi de bonne heure embellie cette force qu'il faut pour affronter les heures de paleur, quand l'on ne veut pas devenir autre chose, qu'un joli fond de rose.
Auteur mpb
Un peu de bleu pour conjuguer au mieux une journée qui s'imprègne d'un devoir à l'ancienne, ce boulot coutumier qu'il nous faut sans cesse rattraper.
Heureuse journée...
Auteur mpb
Deux coeurs pour un même coeur dans une fleur d'hiver ou la logique disparait, ne pouvant laisser l'un, sans aimer l'autre d'un autre attrait, et le déchirement se fait, ne pouvant choisir, pour retrouver, enfin, la paix.
Auteur mpb
De son dédale de peau, on la voyait sourire, malgré ces maux, qui donnent parfois du fil à retordre, aux mauvais désordres.
Seulement, aller jusqu'au bout de ces principes, elle est allée sur une belle piste, ne jamais se défaire de son doux savoir faire, quand au règne des effets, se marquent la méchanceté d'un fait.
Sous le silence sa peine se perd, de son rayon de lumière, car par amour, elle a donné, même un peu plus, qu'elle n'aurait pue, penser.
Consciemment, sans reproche, sans haine, allant jusqu'au bout d'elle même, elle cherchait juste à comprendre, ces dilemmes, pour aider de son meilleur côté, les peines rencontrées.
Par amour, l'on tue parfois, l'amour, d'une cruauté d'un mot, d'une volonté de silence, mais par amour aussi, on fuit en liberté, le refrain naufragé pour ne plus couler au long cours de ses dérives des jours, n‘ensemençant rien d‘une bonté de bien.
Aller vers et ce pour quoi l'on ait fait? C’est un savoir précieux de comprendre au mieux, qui l'on eût été.
Tel un guide, suivre le coeur de son principe motif, pour survivre de son choix, imparfait, d‘une décision d‘un partir, d‘un rester sur la route d‘aimer, nécessitant l‘un et l‘autre, un courage d‘apôtre.
Sans une réelle compréhension donnée, aucun effet ne peut briller.
Puis, le doute empile, ses secondes de tuiles, ne donnant pas un murmure pour combattre l’usure.
D’une question à l’autre, porter une armure, ne pouvant répondre loyalement à la personne, sans parjure.
Et chercher en vain, la paix d’un refrain pour ne plus se blesser de son éclipse mordue, rendant votre propre peine, sous une volonté, de la sienne.
Les sentiments sont évidents d’un tarif au bleu gris de principes qui griffent nos vies d’un prix exhaustifs.
Ainsi, sans étiquette, on comprend, le sens d’un choix d’aimer, vrai, pour avancer sous les embruns de pellerins.
Sans une réelle compréhension des faits, aucun effet ne peut briller d'une lumière de vérité, guérissant seule, les existences, d'une chance, enfin illuminée sous l'errance enlevée.
Auteur mpb
Peu importe nos choix de vies, chacun étant libre de son libre essor.
Seule la manière d'agir importe, donnant un prix, de ce respect que l'on doit à ceux, et encore plus, à nous même, d'un je veux de poème.
Entière, jusqu'au bout, de ces paroles, en accord avec ses actes, c'est tout.
A Gandhi
Auteur mpb