Nom du blog :
cessenon
Description du blog :
Histoires de Cessenon et d'ailleurs, avec des textes d''actualité.
Catégorie :
Blog Journal intime
Date de création :
27.04.2006
Dernière mise à jour :
26.11.2024
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Derniers commentairesla guerre est toujours source de souffrances. les algériens ont payé le prix fort pour en finir avec le coloni
Par Cros Jacques, le 26.11.2024
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vous admettez enfin que vos chers amis algériens ont engendré un régime autoritaire avec des injustices, la co
Par Brottier Jeanne, le 26.11.2024
Elle est connue depuis le XVIII° siècle et a été inscrite à la main sur le catalogue Messier. Elle été référencée M 104 en 1920 et est répertoriée aujourd’hui par NGC 4594. Elle est à 31 millions d’années-lumière de nous et est visible dans la constellation de la Vierge. Cela peut nous apparaître très lointain mais c’est une de nos galaxies voisines. Elle s’éloigne de nous à la vitesse de 1000 km/s, une constatation faite en 1913 qui a conduit à admettre l’expansion de l’univers.
Le télescope spatial James Webb a permis récemment d’obtenir des indications plus précises sur cette galaxie par la photographie qui a pu être prise dans l’infrarouge grâce à l’instrument MIRI qui a été développé par la NASA en collaboration avec l’ESA, l’Agence Spatiale Européenne. Il est acquis à présent que c’est une galaxie elliptique.
L’examen des différentes couches de gaz et de poussière a fourni plus de renseignements sur la formation d’étoiles et d’autres corps célestes. On a pu observer la naissance d’étoiles à la périphérie de M 104. Ce sont des quantités modestes d’étoiles nouvelles qui apparaissant, moins d’une masse solaire annuellement. Les astronomes pensent que cela peut être dû à la collision de NFC 4594 avec une petite galaxie.
Pour le cas, improbable à mon avis, où ce dessin pourrait aider cette dame
L’incompréhension absolue émane d’une dame qui est une nostalgique de l’Algérie française. Elle se manifeste assez souvent par des commentaires qu’elle poste sur mon blog. Elle ne lit pas les articles que je mets en ligne ou plus exactement elle ne les assimile pas, elle se contente d’exprimer son sentiment avec suffisance et agressivité. Elle est tout simplement incapable de débattre de manière argumentée.
Jusqu’ici j’ai répondu à ses interventions qui bien que décousues et mélangeant les dates et les faits m’ont permis de développer ce que je pense de ce dont j’ai été témoin quand j’avais 20 ans et qui a laissé des traces dans ma vie. Mais je ne peux garantir que je vais continuer dans ce registre, il me faudrait plus de rigueur chez mon interlocutrice.
Cette fois elle me ferait admettre qu’il y a des conceptuels capables d’avoir accès à une pensée rationnelle et… les autres ! J’ai clairement donné ma position sur la situation actuelle de l’Algérie illustrée présentement par l’arrestation de Boualem Sansal. Elle ne remet pas en cause la légitimité de la guerre d’indépendance engagée par les Algériens pour en finir avec le colonialisme.
J’ai ajouté que Macron est mal placé pour donner des leçons de démocratie. J’ai conclu aussi en estimant que l’Algérie, comme la France, a besoin d’un changement radical dans son fonctionnement. Je dois me rendre à l’évidence cette personne qui refuse de voir les exigences qui frappaient à la porte de l’histoire au temps de l’Algérie française n’est pas en mesure de lire avec attention ce que je peux écrire aujourd’hui.
… la légitimité de la guerre d’indépendance engagée le 1er novembre 1954 par les Algé »riens pour obtenir la fin du colonialisme et l’indépendance de leur pays, l’arrestation de l’écrivain Boualem Sansal pose problème. C’est ce dont rend compte le dessin de Chaunu qui illustre notre article.
S’ajoute d’ailleurs une autre considération : la leçon de morale de Macron. Il est très mal placé en matière de respect de la démocratie pour critiquer ce qui se passe en Algérie. Qu’il s’agisse du sort réservé aux travailleurs, de la répression organisée contre ceux qui protestent ou qui demandent l’arrêt du génocide perpétré à Gaza et qui militent pour la paix et le désarmement.
Ceci étant, nous sommes convaincus que l’Algérie, comme la France, ne peut continuer à vivre avec un système social en fin de vie qui génère injustices, corruption, gabegie et violence.
Les uns et les autres ont un besoin impérieux de passer dans une autre phase pour leur développement. Un développement qui exige la satisfaction des besoins de notre temps et une liberté pleine et entière.
En Algérie le hirak a mis en évidence cette exigence. En France les résultats des élections législatives anticipées ont souligné qu’il y a nécessité d’une rupture claire et décisive pour sortir de la crise socio-économique insupportable que nous subissons. Algériens et Français sont confrontés quant au fond à une situation analogue.
J‘ai achevé la lecture de ce livre d’Abdelaziz Baraka Sakin. L’essentiel de ce qui me restait à lire se passe à al-Hillal, une localité proche de Gadaref, le chef-lieu d’une province limitrophe de l’Ethiopie. Le narrateur en est un ancien employé d’ONG que des mesures d’austérité budgétaire ont en quelque sorte licencié. Il est le fils d’un gardien de la prison de Gadaref et il faisait équipe avec son ami plus fortuné dont le père occupait une place de haut gradé dans l’armée soudanaise.
C’est une étude sociologique d’un monde que nous ne connaissions pas. Des tas de mots sont employés sans traduction de sorte que leurs significations nous échappent. C’est très divers au niveau des ethnies, des langues. Les Jango constituent une tribu et surtout une classe sociale d’ouvriers agricoles. On cultive par ici du sésame, du sorgho et en période de moisson il y a de quoi acheter des vêtements recherchés ainsi que des montres, K 7 et autres éléments que l’on mettra en gage à la morte saison. C’est qu’il faut payer l’alcool que l’on consomme et les services des prostituées.
La place des femmes dans cette société est cernée. Celles de la religion et de la superstition y sont présentées. On assiste à l’implantation d’une banque et au conflit qui l’oppose aux Jango à qui elle refuse les crédits qui lui sont demandés pour créer des espèces de coopératives agricoles. D’autant que des moissonneuses batteuses sont mises en service privant les moissonneurs de leur gagne-pain.
On revoit Wad Amouna qui sait s’adapter au contexte. Il finira ministre du Soudan grâce peut-être à son homosexualité. Notre narrateur s’éprend d’une nommée Alam Gishi, une péripatéticienne occasionnelle reconvertie. Une relation chaotique cependant que celle de son ami avec Safia reste non explicitée.
La tension entre les Jango et le pouvoir central s’aggrave au point de déboucher sur une guerre civile. Des réfugiés sont accueillis en Ethiopie et on sait que la violence ne s’est pas arrêtée de longtemps au Soudan.
Il s’appelle Alex Pujol et il est né le 15 décembre 1924 à Capestang où il réside et où on doit fêter ses 100 ans le 15 décembre 2024. Nous avons reçu de Jean-Claude Llinares, co-président de l’IHS Maurice Caille, une biographie vde cette figure qui était ambulant à La Poste et militant du syndicat CGT, la FAPT, de ce secteur.
Son grand-père était venu de l’Ariège où il avait été ouvrier agricole indépendant, c’est-à-dire prenant des travaux à forfait. Son père avait perdu une jambe à Craonne lors de l’offensive meurtrière du Chemin des Dames. Il avait par la suite été boulanger à Capestang.
Alex Pujol avait obtenu son certificat d’études et avait commencé sa vie active au domaine viticole de Lafourcade qui employait alors une vingtaine de salariés. Il y avait connu Georges Guibbaud, un rescapé de l’affaire de Fontjun. Il avait ensuite, comme son grand-père, choisi de devenir ouvrier agricole indépendant.
Pendant l’Occupation il avait falsifié sa carte d’identité pour se soustraire au STP pour lequel il était menacé d’être requis. En 1944 afin d’échapper à la rafle de tous les hommes de Capestang ayant entre 18 et 40 ans qui ont été envoyés en Allemagne il s’est caché pendant une dizaine de jours dans l’écurie où logeait l’âne. Il s’était fait une planque avec des planches sous le fumier. Il a pu ainsi ne pas faire partie des 180 hommes de Capestang qui ont subi la déportation. Après le départ des Allemands on le retrouve au comité de Libération de la commune que copréside Hervé Galinier.
En 1951 il passe le concours pour être facteur aux PTT ainsi qu’on désignait alors les employés de ce service postal connus aujourd’hui sous l’appellation de préposés. Reçu il est affecté à Lunéville en Meurthe-et-Moselle où il effectuera les diverses tâches qui lui sont demandées.
Il progresse dans la hiérarchie et devient agent d’exploitation via un nouveau concours. Il remplit plusieurs fonctions en différents lieux ; Marseille, Sète et on le retrouve ambulant sur la ligne Narbonne – Lyon. Conséquence d’un accident du travail survenu en 1977 il obtient d’être mis en préretraite à 54 ans. Il ne lui manquait alors qu’un an pour cesser son activité professionnelle.
Il a été constamment adhérent de la CGT, en tant qu’ouvrier agricole d’abord, puis comme employé des PTT. Un exemple à méditer ! Bon anniversaire Alex pour ces 100 ans !
C’est le nom donné à une étoile distante de 160 000 années-lumière de nous. Elle est située dans le Grand Nuage de Magellan, une petite galaxie satellite de la nôtre. C’est une super géante rouge, dernier stade de la vie d’une étoile avant son explosion en supernova. Elle est 2 000 fois plus grosse que le Soleil et est surnommée « l’étoile colossale ».
La technologie actuelle aves la combinaison de quatre lunettes a permis aux astronomes de l’ASO, un observatoire européen austral basé au Chili, d’en obtenir une image précise. C’est une première pour une étoile située hors de la Voie lactée.
Ce que montre la photo n’est pas une sphère mais à l’allure d’un coton. C’est parce que VOH G64 n’éjecte pas de la matière dans toutes les directions, certaines sont privilégiées d’où l’aspect d’un cocon.
Cet éjection de matière provoque un assombrissement de l’étoile ce qui est habituel en fin de vie. Une fin de vie qui peut durer des centaines de milliers d’années et qui intéresse au plus haut point les scientifiques qui vont utiliser tous les moyens techniques à leur disposition pour observer le phénomène.
Il est possible que VOH G64 ait un compagnon mais pour l’heure aucune étoile n’a été détectée dans son voisinage.
La cave coopérative, hier et aujourd’hui
Elle avait été créée en 1939 et avait compté jusqu’à 285 coopérateurs, les uns de Montady, les autres de Colombiers. Pendant plusieurs années il y avait été tenu devant sa façade un rassemblement à l’occasion du 1er mai. J’avais eu l’opportunité d’y prononcer une allocution sur les questions de la paix et du désarmement.
Comme de nombreux villages elle avait utilisé les possibilités offertes au temps du Front Populaire pour réaliser cette construction qui a amélioré la situation des viticulteurs parle jeu de la coopération. Elle présentait l’avantage de moyens plus modernes de vinification et conduisait également à de meilleurs atouts pour la commercialisation du vin.
Comme beaucoup de caves coopératives elle a arrêté son activité et a fermé ses portes. A Montady cela s’est produit en 2000. Ce qui est en cause c’est toute une politique défavorable aux exploitations viticoles familiales. Il doit rester assez peu de viticulteurs à Montady et à Colombiers. Plusieurs vignes sont devenues des friches et on annonce un nouveau plan d’arrachage qui va en éliminer de nouvelles et faire apparaître d’autres èrmspour employer un mot occitan.
Une résidence pour seniors sera construite sur l’emplacement de la défunte cave coopérative de cet ancien village viticole du Biterrois. Tout un symbole qui illustre la nocivité du capitalisme en matière d’agriculture et de ruralité. Ce n’est pas sans émotion que les vieux Montaynois ont vu détruire la façade qui leur rappelait des souvenirs.
Je l’ai relevé sur le compte Facebook de Christian Harquel, le secrétaire de la section du PCF de l’Ouest Biterrois, et j’avais eu l’occasion de l’entendre le développer lors de réunions auxquelles j’ai participé. Voici le texte en question :
« Tombera, tombera pas ?
Le gouvernement Barnier passera-t-il les fêtes ?
Bien plus que la décision du RN, qui n’y a pas intérêt, cela dépendra du niveau de la protestation populaire. Or si la colère sociale est bien réelle face aux difficultés présentes et à venir, les doutes sur la capacité des formations politiques est tout aussi paralysant.
Le programme du NFP, pourtant porteur d’améliorations immédiates et substantielles, est le premier frappé de perplexité populaire.
Pourquoi ? Parce que les gens ont malgré tout conscience que la résolution des crises, dans lesquelles le capitalisme plonge notre monde et notre société en particulier, exige des transformations radicales telles qu’aucune formation politique n’est en mesure de porter. Alors on s’en remet au pire !
Et donc ? Les organisations de classe du monde du travail ont à se mettre au niveau de cette interrogation populaire en posant la question du changement de société à l’ordre du jour de leurs agendas et aider le monde du travail à s’approprier cette nécessité, à se donner les moyens dans leurs luttes, leur convergence, son unification sur ses intérêts, de porter ce changement jusqu’à la résolution de la crise. »
Je suis moi aussi convaincu de l’exigence d’une rupture franche et décisive avec un système incapable de rien régler des difficultés majeures qui sont les nôtres. Nous devons avoir conscience de cette exigence et nous devons affirmer clairement qu’il n’y a pas de solution sans elle. Reste à définir une stratégie pour gagner les masses à de telles perspectives. Je crois qu’il nous faut multiplier les approches et à partir des problèmes recensés montrer clairement ce qui est en cause dans leurs solutions. Et la réponse à trouver est qu’il s’agit de la loi du profit caractéristique de notre économie et de son impuissance à satisfaire les besoins de notre temps.
Le dessinateur signe Chaunu. Il s’appelle ainsi, Emmanuel de son prénom. Nous en avions déjà parlé il alimente chaque jour d’un de ses dessins le quotidien Ouest-France. Il est né à Caen en 1966. Il est également comédien humoriste.
Ses dessins illustrent souvent avec pertinence l’actualité. C’est le cas avec celui du retour de l’hiver représenté par un bonhomme de neige. Il interroge un couple pour savoir si son arrivée le contente.
Eh bien non, les interpellés sont penchés sur une feuille faisant état du prix de l’énergie et, on les comprend, cette arrivée de l’hiver ne génère pas l’enthousiasme. On ne serait pas étonnés d’apprendre qu’ils n’entendent pas prendre des mesures contre le réchauffement climatique.
C’est qu’avec le pouvoir d’achat des salariés et des pensionnés réduit par l’inflation, les dépenses de santé de moins en moins remboursées, le décalage de l’ajustement des pensions sur l’indice des prix, l’austérité pour les services publics, on n’a guère les moyens d’avoir chaud au cœur, on aurait même froid partout !
Je viens de de prendre connaissance du mot « PeVatron ». Il s’agit d’un accélérateur naturel de particules. Le résultat en est l’émission de rayons gamma à haute énergie qui peuvent être observés sur Terre. C’est précisément ce qui s’est produit récemment.
Les astronomes se sont penchés sur les données fournies par un observatoire perché à 4 000 mètres d’altitude au sommet du volcan Sierra Negra situé au Mexique. Ces données font état de la réception de rayons gamma très énergétiques. Et les scientifiques ont pu savoir d’où ils proviennent.
Ils sont produits au cœur de la Galaxie à la limite du trou noir super massif qui l’occupe. C’est là que serait le PeVatron qui est responsable des rayons gamma qui ont été reçus sur Terre et dont le niveau énergétique a pu être mesuré grâce à des cuves à eau dans laquelle ils émettent une lueur bleue appelée lumière de Cherenkov.
C’est une avancée dans la compréhension de ces accélérateurs de particules qui atteignent des vitesses proches de celle de la lumière. Pour l’heure les spécialistes en sont réduits à des hypothèses. Sont-ils dus à la collision de noyaux stellaires ? A la fusion d’étoiles à neutrons ? Les recherches vont se poursuivre au Chili avec un nouvel observatoire qui permettra peut-être d’apporter une réponse aux questions qui sont posées.