La crise dans laquelle la France s'engage est sans limite. En effet, face au chomage, à la déindustrialisation et surtout à la dette publique, les mesures prises par les socialistes vont plonger le pays dans une récession durable.

Le matraquage fiscalabusif et confiscatoire plombe la consommation et refroidit tous les investisseurs. Face aux impératifs de Bruxelles, les prélèvements doivent être alourdis dans les mois qui viennent.

Les mesurettes actées pour relancer un système économique, déjà lourdement afflaibli par les cracks successifs depuis 2008, augmenteront le déficit sans offrir de solution économique.

Le système étatique est à bout de souffle. Son fonctionnement à crédit n'est plus viable. Les personnages qui le compose sont inadaptés car trop engagés idéologiquement, liés à un parti, démunis de tout sens commun.

La véritable cause de la descente du pays dans la récession, c'est l'état lui-même. On voit que toute la politique socialiste est fondée sur la gestion des dépenses publiques.

C'est pourquoi il est nécessaire de réduire cette dépense pour voter des budgets à l'équilibre, tout en diminuant les impôts.

Cela ne peut se réaliser qu'en repensant la structure étatique, en simplifiant drastiquement l'exécutif, en éliminant toutes les dépenses inutiles.

Un fonctionnement simple pourra être compris des citoyens. Ils participeront utilement à la vie démocratique en connaissance de cause et voteront, non en suivant des tendances ou des discours fieleux, mais raisonnablement.

La confiance, dans un commerce mondialisé, reviendra ainsi que l'argent frais, l'emploi et les recettes fiscales.

Deux enjeux majeurs :

- le budget 2014 et la surveillance des dépenses inutiles.

- La retructuration de l'outil étatique au service des citoyens et donc sa simplification.