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RechercherDerniers commentairesceci est mon témoignage sur la façon dont j'ai finalement rejoint le nouvel ordre mondial, les illuminati aprè
Par Mirabel, le 15.10.2024
oui
Par Anonyme, le 20.09.2023
excellent film!
Par Anonyme, le 07.04.2022
exellent film. a voir§
Par Anonyme, le 16.03.2022
un lien valide pour telecharger ce film merci
Par Anonyme, le 11.07.2021
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Date de création : 14.04.2008
Dernière mise à jour :
27.12.2024
1362 articles
1975 : Le Blanc, le Jaune et le Noir (Il bianco, il giallo, il nero)
de Sergio Corbucci ITALIE
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Nous avons présenté une petite dizaine de westerns de cet auteur tant vénéré par Quentin Tarentino.. Ce réalisateur italien que seul le western et peut-être le péplum ont sorti de l’(ombre où l’avait cantonné des comédies sans grande saveur encore que nous les connaissons peu.
Il avait une vingtaine de films à son actif quand il aborda le genre qui allait lui donner des lettres de noblesse avec notamment son troisième western devenu culte « DJANGO » en 1966. Celui que nous présentons sera son ultime réalisé près de 10 ans après le précité.
Le Shérif Edward Gideon dit « Black Jack » (Eli Wallach ) rencontre sur sa route montagneuse un individu bien sur lui Stetson dit « Blanc de Blanc » (Giuliano Gemma ) qu’il prend sur son cheval avant d’en être démuni ainsi que de son arme lors d’une farce qui tourne à son désavantage. Stetson va prendre un train en marche où il croisera un asiatique hébété Saoura (Tomás Milián) idiot et servile.
Le train sera attaqué par des indiens qui voleront un poney sacré et tueront le maitre de Saoura qui prend la fuite et durant celle-ci croisera celle du shérif
Le réalisateur tire sa révérence au genre, sans majesté , ni scènes majeures inoubliables comme certaines de ses œuvres précédentes et fait le minimum syndical au point de se demander « Vous n’avez pas vu Sergio Corbucci » ; eh , ben non.Il loin et s’auto parodie recopiant certaines scènes de ses précédents westerns ()
Dès le prologue il joue la carte de la caricature sur les clichés mettant en scène une femme rouspéteuse citant dans ces vociférations une dizaine de titres de westerns italiens. Nous sommes désarmés devant cette entrée grotesque comme de la suite de l’intrigue et comme ses personnages. Si le genre se mourrait ; il n’avait pas besoin de ce coup de grâce au point de devenir décadent et peu productif
La musique conciliante des frères Guido et Maurizio de Angelis ne dessert pas le film au contraire, lui donne un tempo parallèle . nous leur devons celles de : On continue à l'appeler Trinita d'Enzo Barboni -- 1976 : Keoma d'Enzo G. Castellari et celle plus entrainante et plus mémorable : 1975 : Zorro de Duccio Tessari
TOMAS MILIAN s’en donne à cœur-joie et ne joue pas réellement mais participe comme il le fit dans moult polars sans grand intérêt où il fut le comique inspecteur Nico Giraldi) .il fut bien meilleur dans les westerns suivants : 1966 : Colorado (La resa dei conti) -- 1967 : Le Dernier face à face (Faccia a faccia) – et 1968 : Saludos hombre (Corri, uomo, corri) 3 bons westerns signes Sergio Sollima --1970 : Compañeros (Vamos a matar, compañeros) de Sergio Corbucci et plusieurs cinéastes américains ert non des moindres firent appel à lui : Sydney Pollack -- Steven Spielberg -- James Gray --
GIULIANO GEMMA fut une des têtes d’affiches du genre avec en 1965 : Le Dollar troué (Un dollaro bucato) – en 1965 : Un pistolet pour Ringo (Una pistola per Ringo) du sieur Duccio Tessari qui l’avait dirigé dans un peplum honorable en 1962 :: Les Titans (Arrivano i titani) et le dirigera de nouveau en 1985 : Tex et le Seigneur des abysses (Tex e il signore degli abissi) . il fut aussi peu doublé pour les cascades et son talent sezra aussi reconnu hors du genre avec en 1976 : Le Désert des Tartares (Il deserto dei Tartari) de réalisé par Valerio Zurlini --1977 : L'Affaire Mori (Il prefetto di ferro) et 1984 : ClarettaPasquale Squitieri
ELI WALLACH avait déjà une carrière riche dans son pays (1956 : Baby Doll d'Elia Kazan :--- 1960 : Les Sept Mercenaires (The Magnificent Seven) de John Sturges : Calvera--- 1961 : Les Désaxés (The Misfits) de John Huston :) quand le western le happa pour le pire (1968 : Les Quatre de l'Ave Maria de Giuseppe Colizzi :) et le meilleur (1966 : Le Bon, la Brute et le Truand (Il buono, il brutto, il cattivo) de Sergio Leone :) Dieu merci il ne s’éternisera pas en Europe et reprit une carrière aux USA (1976 : Independence de John Huston--- 1977 : La Théorie des dominos (The Domino Principle) de Stanley Kramer ---1990 : Le Parrain, 3e partie (The Godfather: Part III) de Francis Ford Coppola :)
oui
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