Pensées

Ne plus te savoir seule aux portes des tristesses, me rend heureuse de ta douce sagesse.

Un mot, pour congédier d'une révolte, ces harmonies chaleureuses que parfois l'on nous vole.

Et affronter ces fantômes perdus, pour ne jamais se laisser battre, se soumettre, les reléguant aux retraites du clapotis des rues, disparaissant ainsi, à jamais, aux ombres de la nuit, aux caniveaux de l'oubli.

Tout s'éclaire à nouveau, sachant l'amour au creux d'une jeunesse de peau.

Le bonheur est en toi, raccroche ton sourire aux lèvres allongées d'un soleil couchant d'une envie apaisée, au ciel d’un midi d’un charme nuancé, de se sentir libre à nouveau, d'aimer.

Rien ne se perd d'un définitif arbitraire quand une main dans la main veille à la semence première d'une beauté de savoir faire, d'une tendresse pour repère.

Croire en demain d'un présent serein, seule la mort peut mettre un frein, au refrain d'un coeur qui chante, seulement même là, toujours quelqu'un pour se rappeler de toi, alors?! Tu vois rien, ne s'évade quand au coeur du plaisir, un souvenir bat la chamade, au règne d'une autre vie, qui simplement se retient de ta vie.

Auteur mpb