Clin d'oeil

Vous qui dites souvent qu'au jeu de la vie rien n'est évident, que comprendre d'un jeu, sans un mot pour en trouver l'aveu.

Si l'on ne c'est pas compris, peu importe, si maintenant vous n'êtes plus ici, il en aurait fallu si peu pour que d'un plis je froisse mes cheveux, entre vos doigts heureux, d'enfin pouvoir croire en nous deux.

L'eau tombe en petits bouillons, clapotant sur la terre de sa claque d'espère.

Le calme règne sur l'emblème de ma chanson donnant à la pluie une conversation choisie pour qu'aux cimes de la vie quelqu'un comprenne le dilemme de vouloir croire au doux poème, d'une façon extrême de marcher sous la nuit avec un violet parapluie, reposant son intention pour répondre à ces questions qui rebellent, nous interpellent de différentes façons.

Sur ce banc de pierre la bruine se désespère, je respire sous le verre de son pelage fluide, me sentant libre de comprendre la suite de ma suite à vivre.

Courage me disaient les gouttes pour retrouver la route de cet univers tendre ou chacun gagne d'une beauté simple, à se comprendre.

Sous mes fesses, la pierre se laisse faire de son talent de bure, froide, je vous l'assure, mais peu importe, sa cape m'entend, chercher du vrai simplement aux sens de ce moment aux sentiments.

Rentrée, quatre heures  résonnent dans le matin fantôme, un livre à la main, je regarde par la fenêtre doucement se lever le matin.

Une pensée me traverse, de vous dire bonjour, aimez moi, comme je suis,  je signerai pour vous, ce livre d'un amour fou, où tout se glisse d'un chacun de nous.

Aux pages de la vie qui se gonflent comme la pluie d'une fresque d'envies, d'un soleil pour gagner aux rives de l'envie, l'envie d'avoir encore envie, de nous demain, comme, aujourd'hui.

Auteur mpb