Fables

Écoute parler le chêne, sous cette lumière diffuse qui sous l'aube de ce matin se traîne d'une limpidité de muse, te donnant un espoir pour continuer à croire aux jolies histoires.

La force de l'esprit pour seule amie, illuminant ces jours d'une pointe de velours caressant l'insaisissable, d'un effort devenant acceptable.

Aux portes du monde tout se vagabonde, quand d'une feuille perdue, l'arbre confus me murmure un message, diluant sur mes jours un accent de voyages.

Chut! Ne t'inquiète de rien, demain, vient à grand pas te tenir la main d'un refrain de joie.

Blottit sous ton parapluie met toi à l'abri, aux ruines de la vie, toujours un peu de lumière sous ces reflets de ciel ternes d'un effet rebelle, te racontant ce roman d'un merveilleux: - je t'aime

Aux bruissements forts une caresse ne vînt, sous le souffle d'automne qui me prenait délicatement, la main.

Au règne d’une saison vivait une maison, imprégnée de rivages aux milles et un visages.

De cette harmonie respirant par ici, une attente espérait, dissiper les brumes paresseuses, qui langoureusement de son châle d’antan, profilait son ouvrage, te mettant au repos , enveloppé dans son nuage d’un charme envoûtant, se posant sur ma peau.

L’air sentait bon d’un mouillé de larmes chaudes, d’une embrassade émue laissant coulée son flux, l’émotion sereinement palpable, me rappelait à toi, mon aimer disparu.

Auteur mpb