L'aube

  Oh! Azur de toi qui conjure les tourments me lançant un regard d'envie au miroir de tes cieux si doucement écrits.

 Parle moi d'aujourd'hui, de ces temps au long cours qui ne laissent jamais tomber leurs tendres amours.

Donne moi la main pour qu'encore demain sur les pistes du ciel nous puissions dans ce noir éternel d'une nuit de bohème se regarder en face, au sein de cet ultime espace.

Dans ce sombre bénit éclairé de ces demoiselles polies, complices invétérées de notre propagande aimée, cajolés d'un espoir par cet infini éclat, ton visage rayonne sous les nuages de pommes.

L'immensité nous appartient dans ce silence divin.

Continuons le rêve d'une passion sans trêve qui balance aux cimes éternelles, son refrain, non charnel.

Tout nous apparaît d'une solution de vrai, plus rien ne me fait peur, là, assise aux myriades d'une immensité pompeuse de fleurs audacieuses, mon coeur t'assiste d'une opportunité de glisse,  où ton coeur près du mien, l'éternité nous appartient.

Auteur mpb