Abonnement au blog
Recevez les actualités de mon blog gratuitement :

Je comprends qu’en m’abonnant, je choisis explicitement de recevoir la newsletter du blog "laportetroite" et que je peux facilement et à tout moment me désinscrire.


Rubriques

>> Toutes les rubriques <<
· Prières révélées d'ordre privé (99)
· Père de tous les pauvres (93)
· Vade retro! (25)
· Monter vers Vous... (210)
· Sonne, trompette! (143)
· Lectitudes (278)
· "Trouver une prière" (8)
· La Grande Conspiration (180)
· À vos Bibles! (N.T.) (93)
· Accueil (148)

Statistiques

Date de création : 18.05.2011
Dernière mise à jour : 23.11.2024
2727 articles


Articles les plus lus

· Chapelet des larmes de sang
· Origine du Chapelet des Larmes de Sang
· Prière de protection contre les tempêtes
· Litanies de Sainte Geneviève
· Prière de Bénédiction du sel

· Exorcisme de Saint Michel (intégral)
· "Pais mes agneaux"
· Aurore Boréale
· Parabole de l'Enfant Prodigue
· Une prophétie de saint Charbel
· Neuvaine à St Georges
· Neuvaine d'exorcisme de Saint Benoît
· Vertus, bienfaits, et mérites du Saint Rosaire
· Grand Monarque et Bible
· Litanies de Sainte Jeanne d'Arc

Voir plus 

Derniers commentaires Blogs et sites préférés

· alarecherchedelasagesse
· auto23652
· chemaisrael
· chemindivin
· christroidumonde
· deborahfontana69
· lemondeducielangelique
· nounouchka
· petitremy
· polok

Voir plus


Thèmes

actualité adoration amour apocalypse bible cantique catholique chant chretien christ combat conversion

Rechercher

La Grande Conspiration

World war III ?

Publié le 20/11/2024 à 19:26 par laportetroite Tags : guerre Ukraine

 

 

L'Ukraine a reçu l'autorisation des États-Unis, du Royaume-Uni et de la France de frapper le territoire russe avec des missiles à longue portée


L’Ukraine a reçu l’autorisation des États-Unis, du Royaume-Uni et de la France de frapper le territoire russe avec des missiles à longue portée

Les États-Unis, la Grande-Bretagne et la France ont autorisé l’Ukraine à frapper la Russie avec leurs missiles à longue portée. Les raisons triviales de cette autorisation américaine : est-ce une dernière tentative de rendre impossible la recherche de la paix par la future administration Trump ? Continuer à blanchir de l’argent ? Ramener l’Allemagne au bercail ?

Le complexe militaro-industriel américain veut déclencher une troisième guerre mondiale avant l’investiture de Donald Trump pour plusieurs raisons

« Le complexe militaro-industriel semble vouloir s’assurer de déclencher la troisième guerre mondiale avant que mon père n’ait eu la chance de créer la paix et de sauver des vies », a déclaré le fils du 47e Président des États-Unis, Donald Trump Jr., sur son compte de réseau social X, en commentant l’autorisation du président américain Joe Biden de frapper profondément en Russie avec l’utilisation de missiles américains à longue portée. « Que la vie soit damnée !!! Des imbéciles ! », a ajouté Donald Trump Jr.

 

Le New York Times a rapporté le 17 novembre que le président américain Joe Biden avait autorisé l’utilisation de missiles à longue portée fournis par les États-Unis, connus sous le nom de Army Tactical Missile Systems, ou ATACMS, pour frapper l’intérieur de la Russie. Pour l’instant cette information diffusée par les médias n’a pas eu de confirmation officielle.

Plus tard dans la journée, le quotidien français Le Figaro a rapporté que la France et le Royaume-Uni avaient suivi l’exemple de Biden et avaient également  autorisé Kiev à utiliser leurs armes, SCALP/Storm Shadow pour frapper à l’intérieur de la Russie. Depuis Le Figaro a retiré cette information. Cela signifierait-il que les deux dirigeants, Emmanuel Macron et Keir Starmer, ne sont plus si sûrs d’eux et d’une non-réponse russe sur leur territoire, préférant ainsi rétropédaler ?

Quoi qu’il en soit, cette décision de Biden peut avoir plusieurs raisons : ramener l’Allemagne au bercail qu’elle semble vouloir quitter ; continuer à blanchir de l’argent avec cette guerre de basse intensité ; mettre des bâtons dans les roues de la future administration Trump qui parle de paix

Ramener l’Allemagne au bercail qu’elle semble vouloir quitter

Ramener l’Allemagne au bercail : il n’est pas anodin ni fruit du hasard que cette décision de l’administration Biden soit intervenue deux jours après l’appel téléphonique, vendredi dernier, entre Scholz et Poutine au cours duquel ce dernier a réitéré son ouverture aux négociations. Selon Axios, leur utilisation serait limitée à la seule région de Koursk, mais selon le Washington Post, cette limitation serait temporaire, ce qui signifie que la portée des cibles « pourrait s’étendre ».

Le feu vert aurait été donné en réponse à l’arrivée de soldats nord-coréens en Russie, prétexte hautement ridicule : faut-il rappeler que Koursk est en territoire russe ? Que le contingent nord-Coréen ne dépasse pas 10 000 hommes ? Et que les Russes sont maitres d’opérer des manœuvres avec des armées alliées chez eux ?

Continuer à blanchir de l’argent

Continuer à blanchir de l’argent : comme le souligne le fils de Trump « le complexe militaro-industriel semble vouloir s’assurer de déclencher la troisième guerre mondiale ». L’oligarchie hyper-atlantique qui a dirigé le monde ces dernières décennies sait que l’élection de The Donald peut éroder son pouvoir, et elle réagit.

C’est également l’opinion du futur procureur général nommé par Trump, Matt Gaetz qui dit ce que tous les autres n’osent pas dire : la guerre en Ukraine sert à « blanchir de l’argent » :

« Je pense que la raison pour laquelle nous sommes aussi impliqués en Ukraine, c’est parce que l’Afghanistan s’est arrêté. Si nous avions encore l’Afghanistan pour blanchir de l’argent, nous n’aurions probablement pas besoin de ce type d’implication excessive en Ukraine. Mais je pense que nous pouvons regarder l’Afghanistan et ce qui se passe ici et dire que ce vers quoi tendent beaucoup de ces entreprises de défense, c’est vers une guerre prolongée à faible rendement. S’il y a un moyen d’étirer les choses, de les transformer en une guerre de 20 ou 30 ans où il y a beaucoup d’argent qui circule, où il y a des gens qui ne rendent pas de comptes, (regardez l’énorme trou du budget annuel du Pentagone) où beaucoup d’armes sont achetées et où tous les stocks doivent être rechargés, nous devons dépenser plus d’argent. »

 

Les guerres américaines sont à la recherche d’un blanchiment d’argent à long terme sans comptes à rendre. Robert Kennedy, autre futur membre de l’administration Trump, fait le même constat sur X : « Les hommes anonymes portant des cordons qui dirigent actuellement la politique étrangère américaine veulent apparemment déclencher la troisième guerre mondiale avant de quitter la Maison Blanche. »

The anonymous men in lanyards who are currently running US foreign policy apparently want to start
World War III before they leave the White House.

 

Mettre des bâtons dans les roues de la future administration Trump

Mettre des bâtons dans les roues de la future administration Trump : sur ce prétendu feu vert du président Joe Biden à la transition vers la troisième guerre mondiale, il fait lire les considérations du média ukrainien Stranaqui, après avoir rappelé qu’une telle escalade ne changerait pas le sort de la guerre en faveur des Ukrainiens, souligne cependant comment Poutine a déclaré publiquement à plusieurs reprises qu’il s’agirait d’une déclaration de guerre de l’OTAN contre Moscou, ajoutant que la Russie serait obligée de réagir :

« Mais même si cela n’arrive pas, il sera certainement plus difficile de s’entendre sur une fin rapide de la guerre, car le niveau des hostilités entre l’Occident et la Fédération de Russie connaîtra une augmentation significative ».

Strana poursuit :

« Et c’est probablement le but principal de ce lieu. Poursuivre« parti de la guerre » occidental dirigé par Biden, toujours au pouvoir aux États-Unis, tente de rendre extrêmement difficile la conclusion d’un accord pour mettre fin à la guerre que, selon les médias, Trump est prêt à rechercher après avoir assumé les fonctions de président des États-Unis. L’approbation des attaques de missiles est l’une des dernières opportunités pour le « parti de la guerre » de saboter cet accord. »

En outre, « si la Russie devait réagir par une réponse militaire contre les pays occidentaux, en particulier contre les États-Unis, ce serait là encore une bonne option pour le « parti de la guerre », car, à tout le moins, cela conduirait Trump à complètement retirer de la table la question d’éventuels accords avec la Fédération de Russie et commencer son ordre du jour par une confrontation militaire. »

« De plus, si l’ampleur du conflit entre la Fédération de Russie et l’OTAN s’aggrave, cela pourrait devenir une raison pour arrêter complètement le transfert du pouvoir à Trump, en le gardant entre les mains du parti démocrate. De plus, pour l’establishment de Washington, les nominations annoncées par Trump se présentent comme un véritable désastre. »

« Le principal problème est que le passage de la confrontation entre la Russie et l’OTAN à la phase militaire peut très facilement se transformer en une confrontation nucléaire et provoquer une guerre mondiale qui entraînerait une destruction mutuelle. À ce moment-là, le nom du président des États-Unis n’aurait plus d’importance. »

Ainsi, la recommandation d’il y a un mois de la commission américaine du renseignement et du Pentagone de ne pas donner le feu vert à Kiev pour le lancement de missiles à longue portée à sauter. Non pour aider Kiev dont la victoire est impossible mais pour ces raisons dénoncées plus haut, triviales, mesquines, corrompues.

 

Francesca de Villasmundo

 

 

(Source)

Le professeur Enoch Burke arrêté

Publié le 04/09/2024 à 22:52 par laportetroite

L’Irlandais Enoch Burke a été arrêté pour la troisième fois cette semaine dans l’école où il travaillait. Burke a été renvoyé de l’école Wilson’s Hospital après avoir refusé d’utiliser un pronom transgenre pour désigner un élève.

Le refus du transgenrisme d’Enoch Burke

Enoch Burke, un Irlandais en difficulté, a été arrêté une fois de plus après s’être rendu à l’école où il travaillait. Le lundi 2 septembre, Enoch Burke a été placé en garde à vue par la police irlandaise, An Garda Síochána, après s’être présenté au travail au début du trimestre à l’école secondaire Wilson’s Hospital.

Des images publiées en ligne par sa famille montrent Burke escorté dans une camionnette de la Garda par trois agents. Burke a protesté contre son droit d’être à l’école en disant : « J’ai le droit de travailler ici, j’ai le droit d’être ici. »

« Je ne vais pas tourner le dos à mon devoir envers mes étudiants », a déclaré Burke à l’un des officiers qui ont procédé à l’arrestation. Après son arrestation, Burke est désormais de retour à la prison de Mountjoy et son dossier sera examiné le 11 octobre

L’affaire Burke, désormais connue internationalement, a commencé à l’été 2022. Professeur d’allemand, d’histoire et de politique dans une école de l’Église d’Irlande, il a refusé de s’adresser à un élève de sexe masculin – apparemment en train de « changer de sexe » – en l’appelant une fille, et a également refusé d’utiliser le pronom « il ».

En raison de ce refus, Enoch Burke a déjà passé 400 jours en prison et en janvier 2023, l’école l’a licencié de son emploi

« Le transgenrisme est contraire à mes convictions chrétiennes. C’est contraire aux Écritures, à l’éthique de l’Église d’Irlande et de mon école », a déclaré l’enseignant lors de sa condamnation de 2022. « J’aime mon école, avec sa devise Res Non Verba, des actes et non des mots, mais je suis ici aujourd’hui parce que j’ai dit que je n’appellerais pas un garçon une fille. »

En raison de ce refus, Enoch Burke a déjà passé 400 jours en prison et en janvier 2023, l’école l’a licencié de son emploi. Cette dernière arrestation et son emprisonnement du 3 septembre, rappelle Life Site News, sont dus « techniquement à son non-respect de l’ordonnance du tribunal lui demandant d’éviter l’école de l’hôpital Wilson » mais ajoute LSN « le cas de Burke a été souligné comme étant finalement basé sur la domination croissante de l’idéologie transgenre dans la société.

 

Enoch reçoit un soutien international et dans son Irlande natale

« Pour le crime d’avoir voulu enseigner à ses étudiants et de ne pas être forcé de propager le mal de l’idéologie trans, Enoch est de retour à la prison de Mountjoy, où il a déjà été injustement emprisonné pendant 400 jours pour ses croyances chrétiennes », a commenté le diacre Nick Donnelly.

Le cas d’Enoch continue le quotidien américain « a suscité encore plus d’attention internationale et sur le transgenrisme en général », et le célèbre Dr Jordan Peterson, canadien, a mis en ligne les images de l’arrestation qui sont désormais devenues virales.

Dans cette Irlande anciennement si catholique mais aujourd’hui avec un gouvernement et des politiciens totalement asservis aux diktats arc-en-ciel, Enoch Burke reçoit cependant un immense soutien. Ce qui témoigne que le bon sens règne encore parmi les peuples, au grand dam d’un establishment véreux.

Francesca de Villasmundo

(Source)

Un Chapelet de réparation

Publié le 01/09/2024 à 21:01 par laportetroite

Un politicien aborde le problème du satanisme officiel

Publié le 17/08/2024 à 00:30 par laportetroite

Globalement intéressant, venant d'une personne pas spécialement catholique, même si quelques opinions sont encore le reflet de notre société égarée.

Et il n'y a pas foule pour aborder ces problèmes de front et de manière objective...

 

 

https://s2.qwant.com/thumbr/320x200/7/0/2e4f90afeffb73c1c8380ed4f2b9473cc58287cdaddd1c6ca9dfc0ae25b05a/hqdefault.jpg?u=https%3A%2F%2Fi.ytimg.com%2Fvi%2Fzrfp9SSGpqY%2Fhqdefault.jpg&q=0&b=0&p=0&a=0

                                      https://www.youtube.com/watch?v=zrfp9SSGpqY

Le sens des migrations actuelles

Publié le 16/08/2024 à 18:49 par laportetroite
 

Pourquoi les responsables occidentaux s’obstinent-ils à manipuler l’opinion publique sur les franchissements illégaux de frontières ?

Pourquoi tentent-ils de détruire quiconque s’oppose publiquement à l’immigration de masse en provenance du tiers monde ?

Les lois en vigueur soutiennent la position majoritaire du public en matière d’immigration : venez ici légalement ou ne venez pas du tout.

 

En Europe, au Royaume-Uni et aux États-Unis, les sondages montrent qu’une majorité de citoyens souhaitent une réduction de l’immigration et une meilleure sécurité aux frontières.

Pourtant, les responsables gouvernementaux, qui prétendent souvent « protéger la démocratie », ignorent effrontément les préoccupations de la majorité. Pourquoi ?

 

Depuis de nombreuses années, je propose une théorie spécifique sur le véritable programme qui sous-tend les politiques d’ouverture des frontières dans les pays occidentaux et je pense que cette théorie répond à la plupart des questions relatives à l’immigration clandestine.

L’affirmation commune au sein du mouvement pour la liberté est que tout cela fait partie de la « stratégie Cloward-Piven » : Une méthode d’ingénierie sociale qui utilise la relocalisation à grande échelle de migrants dans une société afin de déstabiliser cette nation. L’objectif est d’importer des personnes ayant une idéologie incompatible ou hostile et, à terme, la culture cible s’effondrera et sera forcée d’accepter un nouveau système de gouvernance (c’est-à-dire de passer du libre marché et de la liberté au communisme et à l’esclavage).

Si les populations occidentales s’opposent d’une seule voix à l’idéologie mondialiste, la tâche de déconstruction leur devient impossible. Ils se contentent donc de détruire l’Occident de l’intérieur en y introduisant des millions de personnes qui ne s’assimileront et ne s’unifieront JAMAIS.

Ma théorie va cependant au-delà de l’explication Cloward-Piven.

Je pense que l’introduction de migrants du tiers monde aux États-Unis et en Europe a un objectif plus profond et encore plus sinistre.

J’ai résumé ma position dans mon article intitulé « Cultural Replacement : Why The Immigration Crisis Is Being Deliberately Engineered » publié en janvier. J’ai noté ce qui suit :

« J’en ai déjà parlé dans des articles précédents et je continue de penser que l’un des principaux objectifs de l’establishment, qui laisse les frontières ouvertes et incite les clandestins à entrer, est de créer une armée de migrants ; une situation dans laquelle des millions de clandestins se verront offrir une citoyenneté facile en échange d’un service. Je pense également que cette armée de migrants sera utilisée contre le public américain (les vrais citoyens) pour imposer des mesures de loi martiale à la suite d’une catastrophe nationale… »

En d’autres termes, mon argument était que les migrants du tiers-monde ne sont pas simplement utilisés comme des outils involontaires pour la saturation culturelle de l’Occident. Ils ne sont pas envoyés par millions pour simplement vivre des fruits de notre travail et de celui de nos ancêtres. Je pense qu’ils sont amenés aux États-Unis, au Royaume-Uni et en Europe en tant qu’agents d’exécution de l’establishment.

Pensez-y : ils sont essentiellement achetés et payés. Ce sont des mercenaires recrutés avec des offres de citoyenneté facile, des aides gouvernementales et la possibilité de brutaliser les populations occidentales (et généralement blanches) qu’ils méprisent. Et ils sont autorisés à le faire en se cachant derrière les forces de l’ordre pour se protéger.

Avec un système policier à deux niveaux, les migrants peuvent faire ce qu’ils veulent sans craindre de répercussions. En Europe, il y a le problème supplémentaire de l’expansion de l’immigration islamique qui est dirigée par la doctrine religieuse pour conquérir les non-croyants. Extrait du Coran :

Coran [9:29] Combattez ceux qui ne croient pas en Allah ni au jour dernier, qui ne considèrent pas comme illicite ce qu’Allah et son messager ont rendu illicite et qui n’adoptent pas la religion de la vérité parmi ceux qui ont reçu l’Écriture – [combattez] jusqu’à ce qu’ils donnent la jizyah de leur plein gré et qu’ils soient humiliés.

Les migrants du tiers monde sont des hommes de main pour les élites politiques. Ils peuvent terroriser la population, et si la population autochtone prend des mesures pour se défendre, le gouvernement peut intervenir, les traiter de racistes haineux et déclarer la loi martiale. Tout le monde y gagne. Les migrants contribuent ensuite à l’application de cette loi martiale, tandis que le gouvernement redouble d’efforts pour mettre en place une police à deux vitesses.

Certains insistent sur le fait que la position anti-immigration est un « faux paradigme ». La notion de « faux paradigmes » est devenue un fléau parmi les penseurs du mouvement pour la liberté et doit être abandonnée. En réalité, nous ne combattons pas seulement les mondialistes, nous devons aussi combattre les personnes qui, volontairement ou involontairement, les aident. Les élites contribuent à susciter des conflits, mais nombre de ces divisions existent déjà sans leur influence.

Par exemple, les cultures du tiers-monde sont intrinsèquement violentes et autoritaires. Les 20 nations les plus violentes et les plus oppressives du monde sont également celles qui envoient des caravanes de migrants. Les progressistes prétendront que c’est une bonne chose et que nous devons aider ces gens. Ce n’est pas une bonne chose et la plupart d’entre eux ne peuvent pas être aidés parce qu’ils ne viennent pas ici pour être libres, ils viennent ici pour prendre tout ce qu’ils peuvent prendre.

La majorité des habitants de ces régions ne pourront jamais coexister pacifiquement au sein des communautés occidentales. Ils ne comprennent pas la liberté, ils ne comprennent pas la diplomatie, ils ne comprennent pas le compromis. Pour eux, la tolérance n’est pas une vertu, c’est une faiblesse qui peut être exploitée à leur avantage. C’est un fait prouvé à maintes reprises au fur et à mesure que les migrations de masse s’accélèrent et je pense que ma théorie a été récemment justifiée par les événements au Royaume-Uni.

Depuis plus d’une décennie, les citoyens britanniques sont victimes d’attaques de migrants et de la criminalité organisée. Le système policier britannique à deux vitesses continue de protéger ces migrants contre les représailles, tandis que le gouvernement dissimule les statistiques qui montrent l’ampleur des violences commises par des non-citoyens.

Les émeutes britanniques de la semaine dernière ont été un moment rare où les patriotes se sont enfin exprimés sur l’ouverture des frontières et sont descendus dans la rue, avant d’être déclarés « nazis » et « racistes ». Le recours à la police anti-émeute pour réprimer les dégâts matériels et les bagarres serait compréhensible jusqu’à un certain point, si ce n’est que des manifestations agressives de migrants ont eu lieu pendant des mois avec très peu d’interférence de la part de la police. Là encore, la police à deux vitesses est évidente.

Ensuite, le Premier ministre britannique Keir Starmer a fait une déclaration condamnant les manifestations patriotiques et défendant les migrants. Aucun référendum sur l’immigration n’a été proposé. Il n’a pas reconnu une seule fois le problème de l’augmentation de la criminalité des migrants et a essentiellement déclaré la guerre aux patriotes.

 

En juillet, le parti travailliste serait en train de créer un nouveau « groupe de leadership musulman » destiné à devenir le principal point d’engagement entre le gouvernement de Keir Starmer et les communautés musulmanes du Royaume-Uni. Un projet de document exposant les plans du réseau décrit ses principaux objectifs, notamment « influencer la politique publique de manière à sauvegarder et promouvoir les droits des musulmans britanniques » et « influencer le débat médiatique sur les musulmans en Grande-Bretagne ». En d’autres termes, il s’agit d’une propagande visant à faire taire les dissidents autochtones.

Les gangs de migrants musulmans, qui se font appeler « Ligue de défense musulmane » (MDL), ont vu dans le discours de Starmer une invitation à arpenter les rues des villes britanniques armés de couteaux et de machettes, se déplaçant de rue en rue et attaquant des Britanniques blancs au hasard.

Les migrants ont clairement indiqué que leur objectif était d' »affirmer leur domination » sur les Britanniques et de les effrayer pour qu’ils se soumettent. Jusqu’à présent, les autorités britanniques ont nié l’existence de ces gangs musulmans. Les médias ont refusé de couvrir la plupart des activités des gangs de migrants et ont rejeté toute la responsabilité sur les patriotes autochtones. L’un des seuls endroits où l’on peut voir des vidéos exposant les gangs de migrants est le site X d’Elon Musk (anciennement Twitter). Musk a également été attaqué par les autorités britanniques pour avoir « fomenté des troubles », simplement parce qu’il ne censure pas les images.

Pendant ce temps, Keir Starmer et d’autres représentants du gouvernement ont rencontré des groupes musulmans pour les rassurer sur le fait que le gouvernement est de leur côté. Les migrants sont désormais encouragés à faire ce qu’ils veulent, tandis que les Britanniques sont confrontés à la réalité : s’ils se défendent, le gouvernement les mettra en prison. Les migrants sont désormais, au sens le plus élémentaire du terme, une aile mercenaire du gouvernement britannique.

Cette dynamique est d’autant plus indéniable que le gouvernement britannique a décidé de supprimer les événements liés au christianisme dans l’armée britannique, tout en encourageant le recrutement de musulmans. N’oublions pas que la semaine dernière, le gouvernement britannique a menacé d’utiliser l’armée contre le peuple britannique. Tout au long de l’histoire, les empires corrompus ont préféré utiliser des mercenaires étrangers pour réprimer leurs propres citoyens. Ce n’est pas une coïncidence si un pourcentage aussi élevé de personnes venant du tiers-monde (environ 80 %) sont des hommes en âge de servir dans l’armée.

 

La population britannique de l’après-guerre a longtemps vécu sans relation avec la véritable violence. Bien sûr, il y a eu des émeutes et des bagarres au football, mais je parle ici d’une guerre ethnique froide et calculée, destinée à soumettre. Les migrants étrangers en provenance d’Afrique et du Moyen-Orient sont intimement familiarisés avec cette violence. Ils la connaissent bien et l’ont totalement intégrée à leur culture.

Peu de Britanniques sont capables de comprendre une attaque au couteau lors d’un récital de danse pour enfants, ou l’agression massive de bambins jouant dans un parc, ou encore le fonctionnement de gangs de viols organisés qui kidnappent des adolescentes. La première fois que l’on fait l’expérience d’une telle volonté démoniaque, on peut être pétrifié. Je crains que les Britanniques ne soient confrontés à quelque chose qui les dépasse tellement qu’ils ne savent pas comment y faire face. La combinaison de la criminalité organisée des migrants et de l’oppression du gouvernement pourrait pousser les Britanniques à une apathie dévastatrice.

Je soupçonne que la situation au Royaume-Uni n’est qu’un précurseur de ce que nous verrons bientôt aux États-Unis. Starmer est un fervent défenseur du Forum économique mondial et il suit leur programme à la lettre. Les conditions qui prévalent au Royaume-Uni sont celles que la foule de Davos veut voir partout.

Quelle que soit l’issue des élections américaines de novembre, la crise de l’immigration clandestine sera au cœur de tout ce que nous ferons au cours des deux prochaines années. Si les gauchistes restent au pouvoir, il est probable que nous assisterons à une tentative similaire de répression des patriotes de la part d’une administration Harris arrogante.

Je pense que Harris offrira très certainement la citoyenneté à tous les illégaux déjà présents dans le pays (beaucoup d’entre eux en échange du service militaire), achetant une force mercenaire et un bloc de vote progressiste en même temps, mettant fin à toute chance pour les conservateurs de participer à nouveau au gouvernement.

Dans le cas d’une deuxième administration Trump, la situation change. L’expulsion des migrants illégaux sera la question principale et les gauchistes américains essaieront de l’empêcher. Ils considèrent les migrants comme la clé de leur royaume, le moyen de « détruire le capitalisme » et d’introduire le socialisme. L’expulsion des clandestins les ramènerait des décennies en arrière. Les gauchistes se révolteront plutôt que de perdre. C’est une certitude.

La différence est que les patriotes américains sont armés (50 millions de personnes avec plus de 400 millions d’armes et des centaines de milliards de munitions). Ces jours-ci, je reçois de nombreux courriels de lecteurs britanniques et européens qui me disent qu’ils veulent désespérément bénéficier des mêmes droits sur les armes à feu que ceux dont nous disposons aux États-Unis. Ils me disent tous : « Ne renoncez jamais à vos armes ». Ne vous inquiétez pas, nous ne le ferons pas. Nous savons ce qui nous attend grâce aux événements survenus au Royaume-Uni.

 

JADE

Traduction d’Alt Market parAube Digitale

Collecte de données sur les avoirs des européens

Publié le 08/08/2024 à 16:10 par laportetroite Tags : Europe économie

L'UE prépare-t-elle un registre de tous les actifs des citoyens européens ?

 

Le professionnel allemand de la finance Sebastian Hell explique ce qui pourrait se cacher derrière un éventuel registre des actifs de l’UE contenant des données sur les actifs des citoyens de l’UE.

 

Officiellement, le porte-parole de la Commission européenne, Eric Mamer, affirme que « La Commission européenne n’a pas l’intention de mettre en place une base de données centrale sur les avoirs des citoyens de l’UE. » Mais il ajoute aussitôt qu’il « est vrai que la Commission, à la demande du Parlement européen ( !), mène actuellement une étude en vue de la pratique de l’enregistrement des avoirs dans les États membres de l’UE ».

Qui peut croire que la Commission européenne ne prévoit aucune activité sur la base des résultats de cette étude.

Voici ce qu’a écrit l’expert financier Sebastian Hell à ce sujet, en se référant à un article de WirtschaftsWoche :

Quand le registre des avoirs de l’UE sera-t-il introduit ?

« Les études de faisabilité sur le registre des actifs de l’UE sont achevées et l’UE publiera prochainement de nouvelles informations à ce sujet. Des plans concrets pourraient être présentés dès les prochaines semaines ou les prochains mois. Une procédure législative devrait suivre, ce qui prendra un certain temps. Selon les estimations, le registre pourrait entrer en vigueur dans les deux à deux prochaines années, en fonction de la rapidité avec laquelle la législation progresse et de l’ampleur de la résistance attendue des États membres. », commente Sebastian Hell.

Comme d’habitude, les raisons officielles d’un registre des actifs de l’UE se présentent sous l’apparence d’un bien. Il s’agit, selon ses promoteurs, « d’accroître la transparence et de mieux lutter contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme ». Mais, sous prétexte d’atteindre cet objectif, nous serons tous surveillés.

Quels biens seraient probablement inscrits dans le registre ?

« Le registre pourrait inclure de nombreux actifs, notamment des biens immobiliers, des comptes bancaires, des titres, des véhicules et éventuellement des œuvres d’art ou des métaux précieux. La liste exacte des actifs à inclure dépendra des résultats de l’étude de faisabilité et des décisions législatives ultérieures. L’objectif est de créer une vue d’ensemble complète du patrimoine des citoyens. », selon l’expert financier Sebastian Hell.

Existe-t-il des possibilités de contourner l’éventuel registre des actifs ?

« Le registre sera probablement conçu de telle manière qu’il sera difficile de le contourner juridiquement, en particulier au sein de l’UE. Un déménagement en Suisse n’offre probablement pas non plus de sécurité, car elle prévoit également un registre de transparence et intensifie la lutte contre le blanchiment d’argent. L’échange automatique d’informations entre les pays rendrait également plus difficile la dissimulation d’avoirs. Quiconque veut encore éviter un tel registre devrait quitter l’Europe. », souligne Sebastian Hell.

Plusieurs observateurs économiques craignent qu’un tel registre ne soit utilisé à mauvais escient en temps de crise pour utiliser les actifs des citoyens pour rembourser des dettes.

 

Pierre-Alain Depauw

 

(Source)

Comprendre et combattre la Haine

Publié le 28/06/2024 à 09:48 par laportetroite Tags : Afrique histoire Réel

Tout se joue maintenant

Publié le 27/06/2024 à 21:18 par laportetroite

 

Par Alexandre Douguine

 

« En fait, nous sommes déjà dans un état de guerre des civilisations, où notre ennemi — la civilisation de l'Occident — est appelé par son vrai nom. C'est une civilisation satanique, combattant Dieu, anti-Dieu, anti-humaine... Le satanisme, c'est la primauté de la matière sur l'esprit, le relativisme postmoderne, c'est-à-dire la relativité de toutes les valeurs, y compris celles de l'être humain et de l'esprit.
Et c'est la voie que l'Occident a empruntée, non pas hier, mais il y a environ 500 ans, avec le début du New Age. »

Von der Leyen a gagné comme à la parade et Bardella a déjà rétropédalé sur les retraites et le reste. C'est fini : il faut quitter l'Europe avant les rats. Dictature Draghi et super-État européen cet été. Revoir aussi nos textes sur le satanisme culturel et leur eurovision.

Peter Vlasov : « Alexandre Douguine, nous entendons de plus en plus souvent les dirigeants du pays définir la civilisation occidentale moderne par le mot "satanisme". Qu'entendez-vous par là, quel est votre avis ? »

Alexander Douguine : « Le président a déclaré que l'Occident était une « civilisation satanique » dans le discours qu'il a prononcé lors de l'admission de nouveaux sujets au sein de la Fédération de Russie. Nous devrions prendre cela au sérieux et essayer de comprendre ce qui se cache derrière cette formulation, d'autant plus qu'elle a été répétée par la suite par de nombreuses personnalités politiques et publiques de haut rang. Il me semble qu'il s'agit d'une déclaration très sérieuse et profonde.

Après le début de l'Opération militaire spéciale, nous avons commencé à nous rendre compte de plus en plus clairement que quelque chose ne tournait pas rond en Occident. La civilisation occidentale moderne s'est soit égarée, soit détournée de la voie qu'elle suivait lorsque nous l'avons acceptée, accueillie, imitée, soit, ce qui est encore plus probable, quelque chose ne va pas depuis longtemps.

Une civilisation que nous admirons, à laquelle nous cherchons à nous intégrer, dont nous partageons les valeurs et les règles et que nous embrassons de toute notre âme, ne peut-elle pas se révéler soudainement satanique ? Parallèlement à cela, nous voyons la question des valeurs se poser à différents niveaux dans notre État. Nous commençons à le répéter : nous défendons nos valeurs. Il y a un an, le Président a adopté un décret sur la défense des valeurs traditionnelles, parmi lesquelles la supériorité de l'esprit sur la matière. C'est une chose absolument étonnante ! Les valeurs traditionnelles de la Russie sont reconnues comme étant, si vous le voulez, l'idéalisme, la religiosité, la domination de l'esprit. Et bien sûr, si nous commençons à nous considérer — pas encore avec confiance, mais de plus en plus — comme des porteurs de valeurs traditionnelles, c'est précisément face à ces valeurs traditionnelles, que nous découvrons tout juste en nous-mêmes, que nous commençons tout juste à comprendre, à appréhender et à défendre, face à ces valeurs, bien sûr, les valeurs occidentales ressemblent à du satanisme pur et simple.

Elles sont tout le contraire des nôtres. Elles reposent sur l'idée que la matière est primordiale par rapport à l'esprit, que l'homme n'est qu'un être bio social qui est un reflet cognitif du monde extérieur. L'Occident perçoit l'homme comme un animal évolué, qui a atteint son stade final pour passer l'initiative à une espèce post-humaine, aux constructions transhumanistes, aux cyborgs, à l'intelligence artificielle. Et la préparation, l'échauffement, c'est la politique du genre, où l'on change de sexe au gré de ses envies — voire de ses caprices — et bientôt d'espèce, où l'on choisit d'appartenir au sexe homme, à des catégories de machines ou à une espèce animale, ce qui fait déjà l'objet de discussions sérieuses au plus haut niveau des personnalités occidentales.

Ayant découvert que l'Occident est monstrueux et se sépare sous nos yeux de l'espèce humaine, la Russie s'en est éloignée. Un problème local, le conflit avec l'Ukraine, nous a soudain conduits à des conclusions fondamentales : l'Occident fait fausse route, il entraîne l'humanité dans l'abîme et nous devons l'affronter. C'est la nouvelle la plus importante, quelque chose d'absolument incroyable, car auparavant, nous nous étions modestement limités à la lutte pour la souveraineté.

Et c'est ici que le concept de « satanisme » acquiert pour la première fois une signification très sérieuse. Il ne s'agit pas seulement d'un mouvement occulte marginal, le satanisme existe en Occident, il y a l'Église de Satan d'Anton LaVey, il y a même le satanisme direct de l'écrivain ultra-capitaliste Ayn Rand (Alice Rosenbaum) qui était d'ailleurs populaire parmi les oligarques et les libéraux russes dans les années quatre-vingt-dix. Mais il s'agit dans l'ensemble de phénomènes marginaux, de sectes occultes et de productions théâtrales. Par « le satanisme de la civilisation occidentale », Poutine entendait quelque chose d'autre, de beaucoup plus profond. Le satanisme, c'est la primauté de la matière sur l'esprit, le relativisme postmoderne, c'est-à-dire la relativité de toutes les valeurs, y compris celles de l'être humain et de l'esprit. Et c'est la voie que l'Occident a empruntée, non pas hier, mais il y a environ 500 ans, avec le début du New Age.

Qui est Satan ? Il n'y a pas de Satan quand il n'y a pas de Dieu, pas de foi, pas de religion. Ce terme reste dans le vide, si pour nous les termes « Dieu », « foi », « éternité », « immortalité », « résurrection des morts », « jugement dernier », « salut de l'âme »... sont tout aussi vides. Si nous suivons l'image scientifique occidentale moderne du monde, il est bien sûr ridicule de parler de satanisme, car il n'y a ni Dieu, ni diable, ni foi, ni âme immortelle, ni vie post-mortelle, mais seulement un flottement d'unités biologiques, d'atomes, qui se collent les uns aux autres, se séparent, puis disparaissent dans l'abîme de l'espace noir et mort. C'est à peu près cette image du monde qui s'est imposée en Occident il y a 500 ans, et que l'on appelle généralement « l'image scientifique du monde ».
 
 
 
DSCN0923
 


Elle s'est accompagnée d'une déchristianisation progressive et complète de la culture occidentale. Ainsi, Satan en tant que phénomène a disparu de la « représentation scientifique du monde » en même temps que Dieu. Lorsque nous affirmons sérieusement que la civilisation occidentale est satanique, nous attirons l'attention sur le fait qu'il s'agit d'une conclusion hâtive, incorrecte, prématurée et, en fait, profondément erronée. C'est à tort que l'on s'est éloigné de la tradition, de l'esprit, de Dieu, de la religion, et c'est là que l'âge moderne de l'Europe occidentale a commencé. Nous l'avons perçue sans esprit critique dès le XVIIIe siècle, lorsque nous avons été emportés par les Lumières européennes. Mais jusqu'en 1917, nous avons maintenu d'une certaine manière le caractère religieux de notre société. Puis nous avons plongé dans l'abîme du matérialisme, et après l'effondrement de l'URSS, nous sommes descendus encore plus profondément dans cet abîme — dans un matérialisme capitaliste libéral encore plus débridé et flagrant. Et finalement, nous nous sommes retrouvés à la périphérie de la civilisation satanique occidentale, en tant que sa province.

En d'autres termes, le concept de Satan prend aujourd'hui, dans le cadre de la guerre contre l'Occident, une toute autre signification dans notre société que le concept de Dieu. S'il y a Dieu, s'il y a la foi et l'Église, la Tradition et les valeurs traditionnelles, cela signifie qu'il y a aussi l'antithèse de Dieu, celui qui s'est rebellé contre Dieu. C'est alors que l'histoire de l'Occident, l'histoire du soi-disant progrès, l'époque de la modernité des 500 dernières années s'ouvre sous un jour complètement nouveau. Il s'avère que l'Occident a rejeté Dieu, a dit : il n'y a ni Dieu ni diable, et le diable, comme après un certain temps, a objecté : il n'y a pas de Dieu, mais c'est moi, parce que c'est moi qui vous ai dit qu'il n'y avait pas de Dieu. »

Peter Vlasov : « Ce que vous appelez le satanisme peut-il être considéré comme une construction idéologique, ou s'agit-il simplement d'un principe de négation, de destruction ? »

Alexander Douguine : « Nous ne devrions pas commencer par le satanisme, mais par Satan, par la figure que l'on appelle par ce nom, si nous sommes des croyants, c'est pour nous un fait ontologique. Pour les non-croyants, le satanisme n'a pas de sens.

Qui est Satan, qui est Lucifer ? C'est un ange, c'est-à-dire l'esprit céleste éternel. C'est la première création suprême de Dieu qui s'est rebellée contre Dieu. C'est l'origine de toutes les attaques contre Dieu, du matérialisme, de l'athéisme, de toutes les notions selon lesquelles des personnes sans Dieu peuvent construire un monde meilleur. Nous retrouvons ce principe dans l'humanisme, dans le développement de la science moderne et dans la doctrine sociale du progrès. Satan n'est pas seulement la destruction ou l'entropie, mais une volonté consciente de détruire. C'est la rébellion, la destruction de l'unité au nom du triomphe de la multiplicité. Ce n'est pas seulement un affaiblissement de l'ordre divin, c'est la volonté de le briser. Quand le corps est affaibli, c'est une chose, mais quand il y a une force, comme le cancer ou une autre maladie naturelle, qui pousse le corps à la décomposition, c'en est une autre. Satan est l'esprit, la volonté de se décomposer, pas seulement la décomposition elle-même, qui est déjà une conséquence. En un sens, il s'agit d'une croyance, d'une religion, d'une anti-église. C'est « l'église noire » qui s'incarne dans la culture occidentale moderne, la science, l'éducation, la politique.

Nous voyons ici non seulement la décadence, mais aussi le refus de construire l'ordre, la hiérarchie, d'élever les principes de la science, de l'esprit, de la pensée, de la culture à l'unité la plus élevée, comme dans la civilisation traditionnelle, au début de la hiérarchie - parce que la hiérarchie terrestre imite le rang angélique. À ce refus de faire le bien s'ajoute la volonté de faire quelque chose de directement opposé, de faire le mal. Quand on regarde les Ukrainiens, Biden, Soros, Macron, on voit une volonté de destruction active, agressive. Le satanisme présuppose nécessairement une stratégie consciente et une impulsion volontaire qui génère un mouvement puissant des masses humaines.

Les masses peuvent détruire la culture traditionnelle par leur stupidité, leur passivité, leur inertie — c'est la propriété de la masse en tant que telle, mais quelqu'un pousse cette masse dans une direction destructrice, quelqu'un la dirige, l'oriente. C'est là qu'apparaît le principe du sujet opposé à Dieu (ainsi qu'à l'homme dans son sens le plus élevé). On le retrouve dans toutes les religions : il s'agit de cette volonté consciente du sujet de construire une civilisation anti-Dieu, inversée. Il ne s'agit pas seulement de détruire l'existant, mais de créer quelque chose de dégoûtant, de pervers, comme les femmes LGBT barbues de l'Occident. »
Peter Vlasov : « Y a-t-il là une image de l'avenir ? »

Alexander Douguine : « René Guénon, philosophe, partisan d'une société spirituelle traditionnelle, l'a appelée la Grande Parodie. C'est à cela que conduit la civilisation satanique. Si, au premier stade du matérialisme, il s'agissait de nier toute spiritualité, c'est-à-dire d'affirmer qu'il n'y a pas d'esprit, mais seulement la matière, l'homme, le monde terrestre, progressivement, au fur et à mesure que cette Grande Parodie prend forme, un nouveau projet émerge : non seulement le rejet de l'Église, mais la construction d'une anti-Église, non seulement l'oubli de l'esprit, mais la création d'une nouvelle spiritualité, inversée. Nous commençons par la destruction de l'église, nous comparons tout à la terre, il ne reste que l'homme, mais après cela, nous commençons à construire un temple souterrain vers le bas, dans la direction opposée, nous faisons un trou dans la matière. L'écrivain français Raymond Abellio a écrit un roman intitulé "La fosse de Babylone", qui traite de la construction de la civilisation dans le sens souterrain. Cette hiérarchie inversée, ce pouvoir inversé, cette spiritualité inversée, voilà ce qu'est le satanisme occidental. »

Peter Vlasov : « On a l'impression que même les vices sont inversés. Je ne comprends absolument pas comment une personne peut être séduite par de telles choses, par les déviations qui fascinent aujourd'hui l'Occident... »

Alexander Douguine : « Contrairement aux vertus, les vices changent, les vertus sont immuables et les vices progressent toujours. Pour une personne progressiste, « la débauche de l'ancien régime » cesse à un moment donné d'exciter, d'affecter. Lorsqu'une personne s'arrête à un certain niveau de vice, qu'elle se fige, cela ne ressemble plus à un vice. Le vice est une décomposition progressive, et la décomposition n'a pas de limites, on ne peut pas se décomposer jusqu'à un certain point et se reposer là. Un homme a besoin de quelque chose qui le saisisse et l'entraîne de plus en plus bas, la décomposition doit aller de plus en plus loin.

L'histoire même de la dépravation occidentale est une histoire de progrès. À chaque étape, de nouveaux vices sont découverts, la perversion elle-même devient la norme. Par exemple, aujourd'hui, l'homosexualité en Occident est reconnue comme la norme, ce n'est plus un vice, il faut donc aller plus loin, vers la pédophilie, l'inceste, le cannibalisme, le changement de sexe... Tout cela est poussé par la législation. Le législateur occidental s'empresse de reconnaître la décomposition, de légaliser ce qui hier encore était interdit et immoral... Michel Foucault l'a écrit : la décomposition est le dépassement de la loi, la transgression. Or, il n'y a plus de loi, plus de vertu, plus de frontière en Occident, et par conséquent, il n'y a plus de vice après sa légalisation. Si nous considérons le vice comme une convention sociale, alors il n'y a pas de vice du tout. Il n'y a qu'un « élargissement de l'expérience », une « libération des préjugés » — comme la honte, la conscience, la moralité, la vertu, l'innocence, la retenue. Lorsque quelque chose n'est plus considéré comme un vice ou un crime, cela devient inintéressant, sans attrait, alors il faut passer à autre chose — changer vingt fois de sexe, se confondre avec les animaux, aboyer, marcher à quatre pattes, exiger que les enfants qui se prennent pour des chats soient nourris sur un plateau par les instituteurs à l'école. La décomposition n'a pas de limites, dès que la décomposition est légalisée, elle cesse d'être attrayante, il faut de nouvelles formes. Le marquis de Sade, l'un des hérauts de la « civilisation satanique » occidentale, disait que la chose la plus importante dans le vice est l'innovation. »

Peter Vlasov : « Cette passion pour la décadence et l'autodestruction est-elle en nous depuis le début ? »

Alexander Douguine : « Si nous considérons la situation sans Satan, il n'y a qu'un homme et une aspiration à la déification de l'homme, dans ce cas, le refus de l'homme de faire un effort et d'aller vers le haut, vers le salut de l'âme, le paradis et l'immortalité pourrait être attribué à des causes naturelles, à l'inertie, à la matière, au corps. Elles poussent l'homme à ne pas garder son image de Dieu, à la disperser dans des objets matériels, dans de basses attractions. Mais ce n'est pas du satanisme, c'est une simple déchéance humaine. Le satanisme commence lorsque le processus de décomposition est associé à une volonté, à un projet, à un esprit, parce que les esprits déchus, selon le christianisme, ne sont pas simplement matériels (les esprits ne sont pas matériels), ils sont spirituels, intelligents, ils ont une volonté et un esprit. Un démon est un sujet. Par conséquent, le satanisme doit être strictement compris comme une stratégie de décomposition, la volonté de décomposition, l'élévation de la décomposition en une idéologie, en un programme, en un projet. Il ne s'agit pas d'un simple instinct animal. Cette volonté, qui vient des profondeurs de l'ontologie, qui vient du mental, de l'esprit, est imposée, comme le disent les ascètes orthodoxes, par des prilogies et des ajouts. »

Peter Vlasov : « Nous disons : c'est du satanisme, et pourtant nous continuons à exister dans le système que l'Occident a créé. Quelle est la probabilité d'une nouvelle confrontation mondiale avec l'Occident, comme à l'époque de l'URSS ? »

Alexander Douguine : « En fait, nous sommes déjà dans un état de guerre des civilisations, où notre ennemi — la civilisation de l'Occident — est appelé par son vrai nom. C'est une civilisation satanique, combattant Dieu, anti-Dieu, anti-humaine. Nous l'avons désignée, mais la question se pose : s'ils sont une « civilisation satanique », qui sommes-nous ? Il s'avère que notre seule voie est d'être une civilisation traditionnelle, religieuse, réunissant les confessions traditionnelles, mais alors nous devons être différents. Fondamentalement, nous devons repenser notre état intérieur. Ce qu'ils sont, nous l'avons déjà exprimé, et ce que nous sommes, nous ne l'avons pas encore réalisé.

Nous sommes déjà en guerre contre Satan, mais nous ne savons pas encore au nom de qui. Nous n'avons pas beaucoup de choix, ce choix nous est suggéré par nos ancêtres, nos grands écrivains, philosophes, penseurs, anciens, ce choix nous est suggéré par notre culture : nous sommes la Sainte Russie, nous sommes un peuple qui porte Dieu. Nous pouvons, bien sûr, tomber - Blok a vu la Russie tomber. Blok appelait la Russie « l'âme du monde », mais il croyait pieusement que nous, Russes, en tant qu'âme du monde, étions tombés pour nous élever. Nous ne réalisons pas encore pleinement qui nous sommes, ce que nous sommes appelés à faire, ce pour quoi nous nous battons, ce pour quoi nous donnons notre sang et notre vie dans cette lutte. Nous venons à peine de commencer à mener cette guerre, non seulement à la mener, mais surtout à la réaliser. Et maintenant, cette guerre est passée d'un massacre physique à une confrontation métaphysique de civilisations. Ce qu'il nous reste à faire, c'est un effort fondamental pour oublier enfin la culture de la décadence des 40 dernières années.

Je me souviens de la culture de la décadence de la dernière décennie de l'ère soviétique. Une décadence totale, une dégénérescence totale. Et sans surprise, cela a été suivi par les hallucinations monstrueuses des années 90 décrépies. Après être allés jusqu'au bout, jusqu'au fond des années 90 - il me semble que l'histoire russe ne nous a jamais menés plus bas — nous avons commencé à émerger de cette ère cauchemardesque de dictature libérale avec Poutine. Non pas d'un gouffre localisé, mais d'un pic mortel, du nadir de l'histoire russe, du point le plus bas et le plus noir. Face à ce point le plus bas, nous savons ce qu'est Satan, non seulement à l'extérieur, mais aussi à l'intérieur. Il s'agit des maudites années 90, lorsque l'Occident est venu ici, chez nous, lorsque nous avons été achetés pour du bling-bling, humiliés, piétinés, violés et obligés d'applaudir. »

Peter Vlasov : « Vous ne pensez donc pas que nous allons, d'une manière ou d'une autre, faire la paix avec l'Occident, faire des compromis ? »

Alexander Douguine : « Satan, voyant que quelqu'un l'a défié, ne nous laissera pas revenir à des solutions tièdes. Il va maintenant exiger que nous renoncions enfin à Dieu, ce que nous n'avons pas fait, même dans les pires périodes d'athéisme et d'impiété. C'est un mystère, nous ne pouvons pas l'expliquer rationnellement, mais nous sommes restés un peuple porteur de Dieu même à l'époque soviétique — en dépit de l'athéisme, du matérialisme, du progressisme, de la « vision scientifique du monde », de toutes les formes de dégénérescence de l'Occident..... Cette fois-ci, si nous faisons marche arrière, l'esprit russe n'aura plus de trous secrets. Il n'y a donc qu'une seule perspective : gagner ou ne rien gagner. Comme l'a dit le président : si nous ne gagnons pas, personne ne gagnera.

Nous avons des alliés — d'autres sociétés traditionnelles, elles ne sont pas comme nous, mais elles sont traditionnelles, elles sont aussi en opposition avec l'Occident, peut-être pourrons-nous gagner le monde multipolaire avec elles dans l'union des traditions et des civilisations. Ce n'est qu'à ce moment-là que nous pourrons avoir une conversation plus équilibrée avec l'Occident, lui expliquer notre position — pourquoi nous ne voulons pas suivre son chemin vers l'abîme.

Peut-être le conflit passera-t-il à une phase brûlante et, qui sait, aboutira-t-il à la mort de la civilisation humaine. Nous sommes à l'aube d'une transformation si fondamentale et décisive que nous ne pouvons pas nous permettre de planifier à long terme. Tout se joue maintenant : le sort de l'humanité, de l'homme, d'Adam en tant que tel. Le destin de l'existence, et nous sommes concernés. Si nous gagnons, le monde sera complètement différent, si nous ne gagnons pas, il n'y aura pas de monde. Sans les Russes, c'est impossible. » 
 
 
 
 
 
 
 
Vu ici
 
SourceDSCN8561

Organisation d'un monde satanique

Publié le 01/03/2023 à 22:05 par laportetroite

La France a 'disparu'

Publié le 20/02/2023 à 00:00 par laportetroite

 

 

DSCN0543

 

 

 

 

LRDM :
Salut à tous les camarades.
Aujourd’hui on a un entretien avec madame Valérie Bugault. Comment allez-vous madame Bugault ?

VALÉRIE BUGAULT:
Bonjour, je vous remercie de m’inviter. Je vais le mieux possible dans cette période extrêmement troublée.

LRDM:
Oui oui c’est sûr, on essaye un peu de se maintenir. C’est sûr que c’est quand même une période assez dingue qu’on est en train de vivre et bien justement on va commencer

VALÉRIE BUGAULT:
C’est une période historique.

 

LRDM:
Oui c’est sûr c’est un tournant aussi historique qu’on vit, ça c’est sûr. Pour commencer on parle un peu de l’actualité folle, du régime tyrannique qui s’instaure en France. Comment vous, vous analysez un peu cette période ? Vous avez parlé d’une grande réinitialisation Davosienne, on peut en parler un peu ?

VALÉRIE BUGAULT :
Il y a deux choses. Il y a premièrement la grande réinitialisation initiée par ces élites économiques et financières qui ont pris le contrôle de nos pays dits développés, c’est à dire les pays qui relèvent grosso modo de l’Otan et puis il y a ce qui se passe en France plus précisément. Donc moi je vais peut-être commencer par ce qui se passe en France actuellement du point de vue constitutionnel, juridique et institutionnel.
Evidemment ce qui se passe en France s’inscrit dans le cadre plus large de ce qui se passe au niveau international vis-à-vis des objectifs de Davos et vis-à-vis d’une guerre de nature géopolitique entre l’empire maritime et l’empire continental. Il y a ces 3, comment dirais-je, 3 objectifs d’analyses qui sont un peu différents mais qui convergent sur beaucoup de choses.
Donc pour ce qui se passe en France, il se trouve que depuis le 16 mars 2020 c’est-à-dire depuis la date à laquelle Emmanuel Macron est intervenu dans les étranges lucarnes pour signifier que nous sommes en guerre, il s’est passé tout un tas de choses au niveau institutionnel dans notre pays.
La première chose qui s’est passée c’est que ce genre de déclarations venant d’un président de la république en place ne peut pas être anodine. La première chose qu’il faut mentionner sur cette déclaration c’est que certes c’est une déclaration de guerre mais c’est une déclaration de guerre atypique parce qu’elle ne mentionne aucun ennemi de type militaire. Or une guerre en général c’est de type militaire. Donc nous avons une déclaration de guerre et pas d’ennemi qui soit précisément mentionné, en tout cas désigné.
A la suite de cette déclaration de guerre, apparaît, votée en urgence avec les conditions d’urgence de la première loi d’urgence sanitaire. Cette loi génère … alors cette loi déjà est votée tout à fait en dehors de toute référence constitutionnelle, c’est à dire qu’aucun élément, aucun article de la constitution ne permet officiellement de créer ce genre de loi, donc elle se situe en dehors du cadre constitutionnel, donc elle est acconstitutionnelle et donc inconstitutionnelle. Cette loi génère en elle-même l’interdiction, enfin en tous cas l’impossibilité du fonctionnement normal des institutions puisque le parlement n’est plus mis en mesure de se réunir de façon satisfaisante dans des conditions normales. Donc dans le cadre constitutionnel l’article 16 peut être invoqué mais il est invoqué dans le cas où les institutions ne sont plus en mesure de se réunir de façon normale. Or là les institutions étaient en mesure de se réunir de façon normale mais ne le sont plus depuis le vote de la loi. Donc c’est vraiment, comment dirais-je, une curiosité historique dans nos institutions.

Deuxièmement suite à cette déclaration donc de guerre nous avons la création d’un comité scientifique qui est dirigé par Monsieur Delfraissy, dans lequel le professeur Raoult était également et duquel il s’est retiré assez rapidement en expliquant que ce n’était finalement pas un comité scientifique sérieux mais un comité des amis de monsieur Delfraissy.
Dans la suite des événements on apprend que monsieur Delfraissy en question est en contact via internet assez étroit avec un certain monsieur Fauci qui est dirigeant du CDC américain. Alors ce contact n’est pas seulement amical mais a une connotation politique évidente dans la mesure où ce conseil, ce comité scientifique français a de facto un rôle politique dans nos institutions.
Ce comité scientifique a été finalement créé sous l’impulsion du seul ministère de la santé et a proposé, a fait la proposition suivante selon laquelle il fallait créer un conseil de défense sanitaire. Donc ce comité scientifique dont l’assise juridique, légale, institutionnelle est extrêmement discutable parce qu’on pourrait, je ne dis pas que ça a été fait, ça n’a pas été fait, mais on pourrait éventuellement analyser les interactions entre Monsieur Delfraissy et Monsieur Fauci comme relevant d’une collusion d’intérêts avec un pays étranger, ça pourrait. Ça n’a pas été fait. Mais enfin cet angle d’analyse peut tenir la route.
Donc ce comité scientifique est extrêmement discutable dans sa composition et dont l’assise juridique est extrêmement étroite puisqu’il a été créé par le seul ministère de la santé, prend l’initiative de proposer un comité de défense sanitaire, un conseil de défense sanitaire qui de facto prend en main la politique, c’est à dire les décisions stratégiques françaises dans tous les domaines. Ce comité, ce conseil de défense sanitaire se réunit si j’ai bien compris le mardi matin et le conseil des ministres du lendemain c’est-à-dire du mercredi entérine les décisions du conseil de défense sanitaire de la veille.

Donc nous sommes à la fois de facto et de jure dans une suspension de nos institutions, les institutions françaises, à la fois du point de vue du droit interne et du point de vue du droit international, n’existent plus. Elles sont mises en suspension, elles ne sont plus valides au sens où elles ne fonctionnent plus. Donc ça veut dire deux choses. Ça veut dire qu’il devrait y avoir … déjà ça devrait être acté, tout le monde devrait comprendre ça.
Les institutions françaises donc l’état français n’existe plus, d’accord. Au niveau juridique, il est dans un état de vide juridique parce que rien ne le remplace officiellement, on n’a même pas acté sa disparition officielle mais officieusement, juridiquement il n’existe plus. Donc il y a une problématique de fond là-dessus, sur la notion d’état.
Par contre il y a quand même une équipe au pouvoir qui prend des décisions, qui les impose et qui les impose par la coercition, en particulier quand une loi est votée, tout l’appareil d’état est mis au service de l’application de cette loi, d’accord. Donc ça signifie que les fonctions régaliennes de l’état ont été détournées, c’est à dire que l’état qui n’existe plus au niveau juridique a été … on est dans le cadre absolument exclusif d’un abus de droit international public où un état n’existe plus mais les fonctions régaliennes ont été détournées au profit d’une instance qui dirige et dont on ne sait pas exactement, on n’a pas exactement identifié qui était derrière. Néanmoins on sait que quand on est en état de guerre, on est sous propagande de guerre. Et là, la propagande de guerre n’est pas franco française. Elle s’applique à tous les états européens, tous les pays de l’Otan de façon assez large donc ça veut dire qu’on peut en déduire assez logiquement que les instances qui ont pris le contrôle de la France ne sont pas des instances nationales. Vous comprenez ?

Donc au niveau international à partir du moment où l’état a disparu, l’état ancien, celui qui a signé les conventions internationales, signé la convention de tous les traités de l’Union Européenne par exemple, celui qui a signé l’adhésion à l’Otan, tous les autres traités, Schengen, tous types de traités, cet état-là n’existe plus donc est ce que les traités internationaux signés par cet état sont encore valides au point de vue du droit international ? la question doit à minima être posée.
Deuxièmement, en droit interne, le fait que l’état officiel, dans lequel les gens croient évoluer n’existe plus, supprime toute légitimité politique aux décisions prises par cet état, qui de facto n’existe plus.
Voilà donc ça c’est le constat. Je ne porte pas de jugement de valeur. J’établis un diagnostic juridique, d’accord ? Les français doivent connaître ce diagnostic parce que tous les français qui travaillent dans les services publics, en tout cas ce qu’il en reste, et en particulier dans les fonctions régaliennes sont de facto détournés de leur mission originaire, sont détournés de la fonction pour laquelle ils ont été créés et qu’ils pensent remplir.

LRDM:
Bien sûr

VALÉRIE BUGAULT:
Donc ça met en fait tous les fonctionnaires d’état et ça met au-delà des seuls fonctionnaires tous les français, face à une responsabilité individuelle et non plus collectif, puisque le collectif n’existe plus, de savoir dans quelle mesure il est bon d’obéir à des ordres alors que l’entité qui les donne est illégitime et détournée, que les fonctions initiales qu’ils doivent remplir a été détourné.

LRDM:
D’ailleurs c’est ce que vous avez fait un peu avec votre vidéo en appel aux forces de l’ordre.

VALÉRIE BUGAULT:
Exactement. Cet appel a été souvent travesti. La vérité c’est que je n’ai pas fait un appel du tout aux soulèvements des forces de l’ordre. J’ai fait un appel à la prise de conscience selon laquelle les fonctions régaliennes de l’état, mais au-delà des seules forces de l’ordre ça concerne tout le monde parce que ça concerne également les médecins, ça concerne en réalité tous les français, doivent être conscients que l’état dans lequel nous pensons vivre n’existe plus juridiquement parlant.
C’est exactement l’objectif sur lequel je voulais insister dans cet appel c’est à dire faire prendre conscience, que soient acté par tous les français et en particulier ceux qui remplissent des fonctions régaliennes le fait que leur fonction a été détournée de sa fonction initiale, que l’état n’existe plus et que nous sommes au service d’identités qui n’ont pas été nommément désignées. Même si on peut globalement comprendre d’où elles viennent, elles viennent de l’OMS, est celle viennent de Davos, elles viennent de tout ça mais elles n’ont pas été actées officiellement comme venant de ces milieux, d’accord. Voilà donc ça c’est vraiment très important à comprendre et c’est vraiment la substance de l’appel que j’avais fait et c’est également ce que j’ai écrit dans un article récent qui a été publié sur différents sites, en particulier le mien et qui est repris et qui sera encore repris par d’autres sites.
Donc ça c’est l’état juridique, constitutionnel, institutionnel de la France. Ça s’écrit L’AFrance donc c’est A privatif, la France n’existe plus.
Est-ce que ça répond à votre question ?

LRDM:
Oui. On voit qu’il y a quand même beaucoup de français qui durcissent un peu le ton. On voit les manifestations grandir, je vois dans mon public beaucoup de mères de familles qui s’inquiètent pour leurs enfants parce que les vaccins vont sans doute devenir obligatoires pour les très jeunes, six ans sûrement, voilà. Vous avez twitté aussi il n’y a pas longtemps que si on constatait en manifestation que des gens essaient de prendre d’assaut un bâtiment public, il fallait les arrêter parce que vous pensiez une attaque au faux drapeau. Est-ce que dans ces gens-là il n’y aurait pas aussi des gens un peu sincères et qui sont à bout eux aussi ?

VALÉRIE BUGAULT:
Alors ce que j’ai twitté c’est la suite de ce que je viens de vous expliquer, parce qu’à partir du moment où vous avez acté la disparition de l’état antérieur, on peut pas rester très longtemps dans cette situation de vide juridique, donc il va falloir acter la réalité d’un nouvel état. Et évidemment ceux qui sont en contrôle, qui tenaient déjà officieusement l’ancien état mais qui veulent passer à un contrôle officiel qui s’appelle le nouvel ordre mondial, vont instituer une nouvelle structure, d’accord, qui s’intègrera dans ce projet d’ensemble de nouvel ordre mondial, c’est à dire de gouvernement mondial. Et ce projet de gouvernement mondial est de nature éminemment dictatorial.
Il suffit de lire ce que Klaus Schwab en explique, il suffit de lire ce que tous ces gens qui sont à la tête de grosses multinationales et de, comment dirais-je, de comités, ou de think tank ou du type Davos, du type le club de Rome etc, expliquent depuis des années. Donc tout ça est officiel, il n’y a pas d’ambiguïté sur leurs projets, il n’y a pas d’ambiguïté sur la finalité de leur projet et il n’y a pas d’ambiguïté sur la transformation de notre état ancien en dictature nouvelle.
Toutes ces lois de plus en plus dingues parce que nous ne sommes plus en état de droit dans la mesure où le cadre constitutionnel n’est plus respecté, où les lois sont votées dans des conditions d’urgence tout à fait stupéfiante, où elles bafouent toutes les libertés publiques, les libertés et les droits fondamentaux les plus essentielles sur lesquelles sont fondées notre civilisation, d’accord.
À partir de ce moment-là, il ne faut pas s’étonner que les gens s’énervent, qu’ils aillent dans la rue, qu’ils les essayent de revendiquer un minimum de liberté des espaces publics politique parce qu’en réalité ces manifestations sont des manifestations politiques, d’accord. Ce ne sont pas des simples revendications sectorielles, ce sont des manifestations qui disent en arrière-plan : nous avons le droit de décider de notre avenir politique. Vous savez qu’à l’ONU, un des grands principes, enfin qui est acté par l’ONU, c’est la liberté, le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes d’accord.
Donc en réalité toutes ces manifestations ne sont que la représentation physique du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes, alors qu’ils ont compris, ou qu’ils ont l’intime conviction ou l’intuition selon les cas, que en réalité ils n’ont plus le pouvoir politique. Le pouvoir politique a été volé et qu’ils n’ont plus leur mot à dire, qu’ils ne sont finalement que des objets, des victimes.
Donc ces manifestations évidemment peuvent comprendre des gens qui sont excédés, mais les gens qui sont au pouvoir bien entendu pour instaurer un nouveau régime ont besoin d’une certaine légitimité vis-à-vis de l’international. Et les débordements de violence peuvent être l’élément tout à fait salvateur pour eux dans la mesure où ça leur permettra d’imposer un régime de type militaire ou militariste ou en tout cas autoritaire, très autoritaire et coercitif, sous le prétexte que l’ordre public n’est plus respecté.
C’est la raison pour laquelle j’ai twitté ça et que je dis : il y a une chose le fait d’acter que les populations ne sont plus en mesure d’assurer la politique chez eux, ne sont plus aux manettes de la politique dans leur pays qui n’existe plus de facto, en tout cas en termes institutionnels, et les débordements qui seront utilisés contre ces populations pour instaurer un ordre dictatorial par les gens qui sont déjà au pouvoir

LRDM:
C’est un peu comme quand Jacques Attali nous explique qu’il nous faut une révolution avant 2022

VALÉRIE BUGAULT:
Jacques Attali c’est un héro, c’est à dire que lui … héro au sens propre du terme ça s’écrit h-é-r-a-u-t, c’est à dire celui qui porte la voix, le message, d’accord ? Donc lui il porte le message, ce globalisme de ce gouvernement mondial depuis fort longtemps, mais il n’est pas parmi à mon avis, n’est pas parmi les décideurs. C’est un messager. Il ne faut pas confondre le messager et le décideur. Évidemment les deux sont liés, on est bien d’accord, parce que s’il n’y avait pas de décideur, il n’y aurait pas de messager. Et puis il y a la volonté personnelle etc, il y a tout un tas de choses qui entrent en jeu mais je dirais que focaliser toute l’attention sur jacques Attali c’est aussi idiot que de focaliser toute l’attention sur Emmanuel Macron parce que ces gens-là …

LRDM:
On est bien d’accord

Valérie Bugault;
D’accord, je veux insister beaucoup là dessus, je ne dénonce pas des individus, je dénonce un système qui est effectivement mis en oeuvre par des individus mais dans un anonymat parfait c’est à dire qu’on a du mal à identifier très clairement qui est aux commandes.

LRDM:
Bien sûr. Vous parlez des messages.

VB:
Comment? Je vous écoute.

LRDM:
Non, non je disais juste que ce n’était pas pour le nommer lui vraiment, c’était le message .On voit qu’ en fait que de la révolte, ils peuvent aussi en tirer des profits. C’est ce que vous dites.

VB:
Bien entendu, et c’est un c’est une façon pour eux tout à fait facile de retourner contre les populations leurs justes revendications politiques puisque leurs revendications politiques et actées en droit international sous le vocable « le droit des peuples à disposer d’eux mêmes » et que le désordre public justifiera l’instauration d’un régime autoritaire dans lequel le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes est mis en suspens. Donc attention ! Je dis précisément attention. Je ne fais aucun appel au soulèvement, au contraire! Les gens doivent prendre leurs responsabilités mais ce sont des responsabilités qui sont de nature individuelle, personnelle et je dirais presque qui relève de la conscience de chacun. C’est tout.

LRDM:
Donc là, on voit que le grand le grand reset est un plan mondial. Chez nous , il y en a plusieurs qui parlent de changer de pays, tout ça, mais c’est mondial . Selon vous, quels pays résistent le mieux, selon ce qu’on peut voir.

VB:
Alors, je vais vous donner mon analyse. Mon analyse peut être contestable et peut-être contestée. Je ne prétends pas avoir la science infuse. Cependant, l’analyse que je fais est la suivante: les projets du Nouvel Ordre Mondial sont très anciens et sont mis en oeuvre sur des périodes de temps très longs, en particulier on parlait de l’agenda 2030. Dans cet agenda 2030, on constate une chose étonnante c’est qu’il s’est réduit l agenda 2022- 2021 donc tout s’est considérablement accéléré. La question qu’il faut se poser c’est pourquoi, pourquoi ces gens qui sont en contrôle intégral de tout ont-ils accéléré tout d’un coup leur projet en prenant le risque de se mettre les populations à dos qui étaient relativement docile jusqu’à présent ?
La réponse que je donne à cette question est une réponse de nature géopolitique. Ces gens qui sont l’origine du nouvel ordre mondial au départ avaient l’intention d’englober dans leurs projets tous les pays, tous les continents du monde. Or il se trouve que la Chine et dans une certaine mesure la Russie mais surtout la Chine a décidé de reprendre son destin de type impérial traditionnelle en main. C’est à dire de ne plus jouer selon les règles du jeu qui sont imposées par ce qu’ils identifient comme l’Occident. Donc nous avons en arrière-plan une guerre de nature civilisationnelle entre un empire maritime, commercial, qui s’est manifestée par l’ Empire britannique qui s’est transférée dans l’Empiré américain, qui aujourd’hui es en délicatesse sur le territoire américain lui-même, c’est-à-dire contestée de l’intérieur et contestée de l’extérieur parce que tout un pan géographique lui échappe, c’est à dire la Chine. La chine qui a décidé de jouer avec les règles du jeu de l’ennemi pour ensuite faire une prise de judo c’est à dire faire des arts martiaux, retourner la force de l’adversaire contre lui. Donc ils se sont émancipés des règles imposées par l’ Empire global apatrides de type commercial et maritime donc il y a en arrière-plan une guerre de type civilisationnel je ne répète entre d’une part une conception de domination maritime et une conception de domination dans l’instant qui semble moins virulente mais de domination de nature terrestre c’est à dire d’un côté ce sont les bois commercial marketing qui sont totalement contrôlés et qui sont sous hégémonie de certaines entités qui sont peu nombreuses et de l’autre côté eh bien ce sont les voies commerciales terrestres qui sont développés et qui ne sont pas encore pour l’instant elles sont en voie de développement elle n’existe pas complètement .Le fait d’être en voie de développement pose un problème stratégique majeur à l’ Empire des mers qui avaient assuré avait en tout cas assis sa domination sur le contrôle total des voies de commerce maritime donc c’est la raison pour laquelle j’estime que l’Ordre suivi par cette oligarchie apatrides de nature financière et commerciale a accéléré ses processus de mise en oeuvre parce qu’ils étaient contestés à la fois de l’intérieur et de l’extérieur. Donc ils ont été mis en difficulté. C’est la raison pour laquelle ils veulent resserrer leur emprise et resserrer leur emprise sur qui? Sur les éléments les plus faibles.
Ils peuvent aussi se rebeller, et en particulier, je pense aux pays d’Europe qui relèvent aujourd’hui de l’Union Européenne.

LRDM:
On parle un petit peu des banques. Il y en a beaucoup qui prévoient une grande faillite bancaire, un peu à la libanaise, voire pire. Qu’est ce que vous en pensez ? Vous pensez que ça peut tenir encore longtemps un système comme ça?

VB:
Non bien sûr que non . En fait, ce n’est pas la question de savoir s’il peut tenir ou pas, c’est la question de savoir jusqu’où ceux qui le tiennent veulent l’amener, c’est ça le sujet. On sait très bien que ces gens là veulent le détruire puisque justement tout l’objet du Grand Reset, la Grande Réinitialisation, bien expliqué sous toutes ses formes par Klaus Schwab qui dirige le club de Davos.
Ce grande réinitialisation comporte éminemment un volet bancaire et monétaire donc il s’agit de remettre à plat la monnaie et pour remettre à plat la monnaie il n’y a qu’une voie possible c’est remettre à plat les économies d’où l’explication de la démolition contrôlée de nos économies à laquelle nous assistons par l’intermédiaire de cette crise sanitaire. Evidemment, en détruisant les économies, on permet une réinitialisation monétaire et cette réinitialisation sera faite en faisant
la somme entre les actifs d’un côté, qui sont de plus en plus étroits puisque vous savez que notre gouvernement ce qui sert de gouvernement la France depuis de nombreuses décennies a entrepris de liquider le patrimoine français, donc les actifs d’un côté et les dettes de l’autre. Vous savez qu’une fois de plus, cette crise sanitaire a permis une envolée extraordinaire du niveau des dettes. Quand vous allez faire les actifs moins les dettes, vous allez comprendre ce qu’il reste aux français, sans compter que certains pays voudront certainement se faire payer des réparations de guerre je pense en particulier à la Syrie et à ses alliés qui voudront se faire payer des réparations de guerre par rapport aux « états » parce que ce sont plus des états politique comme je l’expliquais qui ont participé au financement ou à l’entraînement des mercenaires qui ont attaqué la Syrie et d’autres états comme cela . La question des dommages de guerre va se poser. A votre avis, quand on est dans une négociation, est ce que ce sont les états faibles qui peuvent revendiquer de ne pas payer de dommages de guerre ? Non! Ce sont les états faibles qui vont sur lesquels va porter toute cette réparation de guerre et pour ce qui est de l’Europe et de l’occident, pour sa responsabilité en termes de financement et de d’entraînement, les états faibles c’est la France, c’est
l’Italie, vous voyez, et en particulier la France parce que nous avons un ministre qui a revendiqué officiellement ,nous avions un ancien ministre des affaires étrangères qui publiquement, internationalement a revendiqué que al-Nosra et tous ses mercenaires faisaient du bon boulot. Al Qaida et al Nosra faisaient du bon boulot. Au niveau international, c’est un acte, c’est un acte politique, ce n’est pas comme de quelqu’un qui dit entre deux yeux avec des amis des bêtises. Ca n’a pas d’incidence politique , mais dans la mesure où ça vient d’un ministre des affaires étrangères qui parle de façon publique, les états qui sont en face l’entendent et donc feront payer d’une façon ou d’une autre à la structure politique qui portait ces ministres- là les dommages qu’ils ont correspondu à cette déclaration Donc je suppose que la France sera aux premières loges pour payer les réparations de guerre à un pays comme la Syrie donc nous avons déjà un endettement interne tout à fait phénoménal qui a été énormément aggravée par cette crise sanitaire et qui sera aggravé par des pénalités de type financière au niveau international . Donc je vous laisse deviner ce qui va se passer pour chacun des français. L’endettement, la suppression de tous les services publics, la suppression de l’état, c’est un constat, c’est objectif. C’est vertigineux. Les conséquences qui peuvent découler de tout ça sont vertigineuses, à la fois en terme individuel et en terme collectif. Donc, il est clair, d’une façon tout à fait certaine que l’avenir la France et des français est tout à fait préoccupant et nous sommes dans une urgence pas seulement sanitaire mais aussi politique et même existentielle qui n’a à mon avis pas existé dans l’histoire en tout cas pas dans l’histoire des 200 dernières années donc nous sommes dans une période historique et le problème essentiel pour moi réside dans le fait que les français, tous métiers confondus, ne sont pas conscients de ce processus et donc ils se défendent relativement mal face à un ennemi qu’ils identifient relativement mal. Mon travail à moi consiste à éclaircir le débat . C’est un peu pour ça que j’ai pris la chouette Athéna comme symbole sur mon site, la chouette voit dans le noir et c’est le seul animal qui, dans l’obscurité, est capable de déceler la vérité et c’est ça l’objet de mon travail.

LRDM:

Très bien. Pour ceux qui apprécient votre travail et puis même pour ceux qui regarderont cette vidéo, quels conseils donneriez-vous à ceux qui nous regardent pour affronter au mieux ce monde de dingues?

VB:
Alors je suis assez mal à l’aise pour donner des conseils parce que les conseilleurs ne sont pas les payeurs.

LRDM:
C’est vrai .

VB:
Dans cette situation de chaos intégral et de rupture d’état de droit, d’état de droit non seulement interne mais aussi institutionnelle, il est difficile de donner des conseils. Je fais des propositions qui sont structurées, qui sont réfléchies, qui sont assises sur des fondements historiques institutionnel set politiques très sérieux de réformes des institutions que les français pourraient décider de mettre en place. Mais je ne suis pas à moi toute seule l »es français », c’est à dire que si les gens ne veulent pas, ça ne se fera pas, mais il faut savoir que les les dirigeants que nous avons en face, eux ont déjà des projets donc si vous ne mettez pas en oeuvre. Nous avons une ouverture, nous avons une ouverture : un rare moment de l’histoire. Nous sommes un grave moment d’histoire nous avons une ouverture. On peut profiter du fait que l’ennemi anéantit le passé pour imposer un nouveau système qui soit favorable aux populations qui puisse à nouveau être qualifié de politique, où nous ne faisons pas ça et eux nous imposent l’avenir qu’ils ont fomenté pour nous et qui est un avenir de dictature et de suppression du libre arbitre ,c’est à dire que en réalité il y aura plus d’humanité. On sera tous réduits à l’état de zombie, on n’aura plus la capacité de décision, les capacités de décision seront intégralement dans leurs mains à eux c’est à dire que ils ne donneront plus de quoi subsister si on ne fait pas dans telle direction, on ne va pas dans telle ou telle décision, donc l’avenir en réalité est beaucoup plus grave qu’un avenir politique ,c’est l’avenir de l’humanité. Est ce que les les humains vont continuer à avoir un libre arbitre ou est-ce que c’en est terminé, les enjeux sont ceux-là sans compter les enjeux de dépopulation dont j’ai déjà abondamment parlé par ailleurs, et que eux-mêmes ne se privent pas d’aborder. Il suffit de reprendre les discours de Bill Gates depuis des décennies et des décennies. Il suffit de lire les travaux du club de Rome, il s’agit il s’agit aussi des Georgia Guidestone puisque c’est quand même écrit noir sur blanc. Et puis aussi de lire les travaux de Klaus Schwab pour comprendre que un des enjeux pour eux de contrôle intégral des populations passe par une réduction assez drastique de la population mondiale, donc à la réduction de la population va avec le rôle intégral, donc ce qu’ils ont prévu pour nous c’était ça . Moi je propose un autre chemin, mais il ne dépend pas de moi de le mettre en oeuvre.

LRDM:
C’est bizarre que c’est toujours ceux qui parlent de dépopulation mondiale qui veulent nous sauver la vie. C’est vrai que c’est bizarre tout ça.

VB:
Oui, Bill Gates est obsédé par la surpopulation mondiale et la dépopulation et effectivement c’est lui qui prétend vouloir ….donc c’est totalement incohérent. Si les français résonnaient deux minutes, ils comprendraient tout de suite qu’ il ya une incohérence dans le discours public de ces gens là. Soit ils sont pour sauver les gens, soit ils sont pour dépopuler. Ils ne peuvent pas être dans les deux camps en même temps, c’est évident.

LRDM:

Avant de terminer, si vous avez trois conseils de lecture pour aider les français à comprendre un peu mieux ce qui se joue, on est preneur.

VB:
Mes conseils de lecture je vais prêcher pour ma chapelle c’est à dire que je conseille très très sérieusement de lire » les raisons cachées du Nouvel Ordre Mondial », un livre que j’ai sorti il y a peu de temps.
« Demain, dès l’aube, le renouveau » est aussi un livre que j’ai sorti et qui explique la facette plutôt géopolitique des enjeux actuels mais sous l’angle juridique. E puis , pour le reste il y a tellement de livres intéressants que je ne saurais pas faire de recommandations parce que en réalité sur tous les continents il y a des livres à la fois d’ alerte qui sont passionnants, et il y en a tellement que je ne peux pas les nommer en fait, il y en a trop. Donc ça passe par Antony Sutton, Annie Lacroix-Riz, les auteurs que vous mentionniez tout à l’heure mais il faut toujours considérer les choses de façon globale est effectivement lire prend du temps et mais ça permet de se faire une idée personnelle. Pour ça, il faut avoir du temps devant nous et aujourd’hui il est vrai que normalement la petite difficulté c’est que nous n’avons pas beaucoup de temps parce que l’horloge tourne et que chacun répond à son agenda de son côté que les gens qui sont aux commandes ou manette ont un agenda et suivre cet agenda et sont relativement pressé de mettre en mouvement. Je ne sais pas si j’ai répondu à votre question.

LRDM
Soyons un peu leur caillou dans leurs chaussures et puis voilà .

VB:
Cela passe par une prise de conscience, par une personnalisation individuelle des enjeux qui sont à la fois des enjeux individuels et des enjeux collectifs et ça on peut pas aller plus vite que la musique il faut que tous les français prennent conscience de cela en réalité. Rien ne pourra se faire si les enjeux et si les forces en présence ne sont pas clairement identifiés.

LRDM:
En tout cas merci à vous d’avoir accepté cet entretien.

VB:
Je vous remercie.
C’est plutôt vous que je dois remercier pour m’avoir invitée.

LRDM:
Merci à vous et on se dira bientôt

VB:
Parfaitement au revoir

 

 

 

DSCN0678_2

 

 

Vidéo de Valérie Bugault : « L’Etat français n’existe plus » , Le réveil des moutons
Transcript français ELO et Quadrillage Traduction

Source