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La Grande Conspiration

Validité en question

Publié le 15/04/2022 à 19:58 par laportetroite
 

Mgr Viganò est le premier évêque à émettre l’hypothèse de la nullité de l’élection de Bergoglio, une nullité qui, si elle était prouvée, pourrait déclencher le plus grandresetde l’histoire ecclésiastique, « unresetqui nous ramènerait providentiellement austatu quo ante, avec un Collège des Cardinaux composé uniquement de cardinaux nommés jusqu’à Benoît XVI ». Depuis deux ans, certains canonistes remettent en question la validité de l’élection de Bergoglio, en démontrant que Benoît XVI est toujours le pape légitime, car il n’aurait jamais renoncé expressément aumunuscomme l’exige le Code de droit canonique, mais aurait simplement déclaré l’état desede impedita, comme l’a également bien documenté Andrea Cionci. Pensez-vous que Mgr Viganò fait référence à cette hypothèse lorsqu’il écrit que « la lumière doit être faite sur l’abdication de Benoît XVI » ?

 

Certains des canonistes qui ont étudié le texte de l’abdication de Benoît XVI font remarquer que le pape fait une distinction entre le munus(on pourrait dire l’ « être » pape) et le ministerium(le « faire » le pape). Je ne veux pas m’étendre sur cette distinction, sur laquelle, d’ailleurs, même les experts ne sont pas d’accord. J’observe que, de toute façon, Benoît XVI a toujours dit qu’il renonçait à la papauté et a lui-même invité à convoquer un conclave pour élire un successeur. Je ne vois aucune raison de parler de vice de volonté, sans compter qu’après sa renonciation, Ratzinger a toujours reconnu Bergoglio comme le pape légitime régnant. Tout cela n’enlève rien au fait que le rôle joué par la soi-disant mafia de Saint-Gall dans la mise en difficulté objective de Benoît XVI devrait faire l’objet d’une enquête, au point de poser les conditions de sa renonciation. Dans mon livre Uno sguardo nella notte. Ripensando Benedetto XVI Je montre comment le pontificat de Joseph Ratzinger a été soumis à des attaques systématiques, dans un crescendo d’agressions visant à acculer le pontife et à le présenter comme indéfendable à l’opinion publique mondiale. Selon Mgr Viganò (et je suis avec lui), cette action, de la part de ce que l’archevêque appelle la deep church, est clairement liée aux manœuvres du deep state : tout se déroule dans un cadre qui se configure comme un véritable coup d’état mondial. La preuve en est que les objectifs de ceux qui ont travaillé à saboter Benoît XVI et à élire François coïncident avec ceux des promoteurs du Nouvel Ordre Mondial, et il en va de même pour les moyens utilisés. A première vue, il peut sembler audacieux de lier l’élection de François et, par exemple, les émeutes de la place Maidan à Kiev. En réalité, on peut vérifier que les phénomènes vont dans le même sens, avec un centre de commandement qui a manifestement une vision globale de la réalité. Je constate également que les mesures prises à l’encontre du Vatican par l’exclusion de l’IOR du système Swift peu avant la démission de Benoît XVI (mesure qui a rendu impossible tout paiement du Vatican et mis le Saint-Siège, en pratique, au même niveau qu’un État terroriste, laissant présager sa ruine économique) coïncident avec les mesures prises aujourd’hui à l’encontre des banques russes : il s’agit du même type de chantage à l’ingérence.

 

La question est la suivante : les moyens utilisés pour contraindre Benoît XVI à s’effacer étaient-ils de nature à invalider sa démission et, par conséquent, également le conclave de 2013 ? C’est sur ce point que doivent porter les efforts des spécialistes déterminés à œuvrer pour la clarté.

 
 

En ce qui concerne une éventuelle fraude électorale, Mgr Viganò a parlé d’un conclave nul. A ce jour, le Saint-Siège n’a jamais rejeté les accusations de l’un des grands électeurs de Bergoglio, le cardinal Danneels, selon lequel les cardinaux de la « mafia de Saint-Gall » – comme il l’appelle lui-même – étaient présents au conclave « dans l’esprit de Saint-Gall », c’est-à-dire pour réaliser leurs projets de déstabilisation, planifiés lors de leurs réunions secrètes. Si cette accusation est confirmée, nous pourrions nous retrouver avec des cardinaux (électeurs) excommuniés, qui auraient élu de manière invalide un cardinal à son tour excommunié parce qu’il appartenait à la même mafia qui l’aurait placé sur le trône de Pierre. Pensez-vous que ce soit un scénario probable ? Bergoglio peut-il être défini à plein titre comme étant un « pape infligé » ?

 

La Constitution apostolique Universi Dominici Gregis (publiée par Jean-Paul II le 22 février 1996 et concernant la vacance du Siège apostolique et l’élection du Pontife romain) stipule que tout accord préélectoral entre les cardinaux est interdit. En outre, les procédures à suivre lors du vote sont spécifiées en détail. Or, nous savons de diverses sources (jamais démenties par le Saint-Siège) que l’élection du cardinal Bergoglio a eu lieu le soir du 13 mars 2013 à la suite d’un troisième tour de scrutin. A cet égard, la Constitution (n. 68) prévoit : « Si le nombre de bulletins ne correspond pas au nombre d’électeurs, il faut les brûler tous et procéder immédiatement à un second tour de scrutin ; si, par contre, il correspond au nombre d’électeurs, le dépouillement se fait comme ci-dessous ». Et au n. 69 on lit : « Si, lors du dépouillement, les scrutateurs trouvent deux bulletins pliés de telle manière qu’ils semblent avoir été remplis par un seul électeur, s’ils portent le même nom, ils doivent être comptés pour un seul vote ; si par contre ils portent deux noms différents, aucun des deux votes ne sera valable ; toutefois, dans aucun des deux cas le vote n’est annulé ». Dans le premier cas, le troisième tour de scrutin aurait donc dû être organisé. Si le cas avait été le second, il n’y aurait pas eu de troisième tour de scrutin. Dans les deux cas, il y aurait eu une violation des règles. Un simple vice de procédure, disent certains. Mais Universi Dominici gregis(n. 76) précise :  » Si l’élection avait eu lieu autrement que comme prescrit dans la présente Constitution ou si les conditions établies ici n’avaient pas été observées, l’élection est pour cette raison nulle et non avenue, sans qu’aucune déclaration ne soit faite à ce sujet et, par conséquent, elle ne confère aucun droit à la personne élue ». Par conséquent, soit le Vatican nie qu’il y ait eu des irrégularités, soit, s’il ne le fait pas, nous pouvons penser que l’élection de François est invalide ou au moins demander une enquête. Elle serait également invalide s’il était démontré que la mafia de Saint-Gall a opéré pour orienter les votes des cardinaux vers un candidat. La Constitution apostolique, en effet, est claire : « Je défends à quiconque, même s’il a été honoré de la dignité du cardinalat, de négocier, du vivant du Pape et sans l’avoir consulté, l’élection de son Successeur, ou de promettre des votes, ou de prendre des décisions à ce sujet dans des réunions privées » (n.79). Et encore : « Les cardinaux électeurs doivent également s’abstenir de toute forme de marchandage, d’accords, de promesses ou d’autres engagements de quelque nature que ce soit, qui pourraient les obliger à donner ou à refuser leur vote à un ou plusieurs. Si cela devait être fait, même sous serment, je décrète qu’un tel engagement est nul et non avenu et que personne n’est obligé de le respecter ; et j’excommunie latae sententiae ceux qui violent cette interdiction. Je n’ai cependant pas l’intention d’interdire que pendant la Sede Vacante il y ait des échanges d’idées sur l’élection ». C’est donc le deuxième front qu’il faut investiguer : y a-t-il eu de véritables accords ?

 

L’échec du pontificat de Bergoglio est sous les yeux de tous et est maintenant également admis par « la gauche ». Un récent mémorandum circulant parmi les membres du Collège des Cardinaux (signé du pseudonyme Demos) le dit en toutes lettres. Mais si l’invalidité de l’élection de François était révélée (soit en raison d’un vice de procédure, soit parce qu’il y avait des accords entre les cardinaux), il ne serait pas nécessaire d’examiner cet échec en détail.

 

DansLe Mystère du Mal. Benoît XVI et la fin des temps, Giorgio Agamben écrit : « L’abdication ne peut pas ne pas évoquer dans cette perspective quelque chose comme unediscessio [séparation], l’Eglisedecora[magnifique] qui se sépare de l’Eglisefusca [obscure]; et pourtant Benoît XVI sait que cela ne peut et ne doit se produire qu’au moment de la seconde venue du Christ, qui est précisément ce que la bipartition du corps de l’Église, agissant comme unkatechon, semble destinée à retarder ». Dans le livreBenoit XVI, une vie, Peter Seewald, se référant au livre d’Agamben[voir « La menace vient de la dictature universelle d’idéologies apparemment humanistes »], demande à Benoît XVI si « la véritable raison de sa démission était le désir de réveiller la conscience eschatologique », « une préfiguration de la séparation de ‘Babylone’ et de ‘Jérusalem’ dans l’Église ». La réponse de Benoît XVI semble confirmer la question. Selon les prophéties de Garabandal, Benoît XVI serait le dernier pape ou, du moins, « le dernier à représenter la figure du pape telle que nous l’avons connue jusqu’à présent », selon les mots de Seewald dansDernières Conversations [page 263 de l’édition en français]. Là aussi, la réponse de Ratzinger a été claire : « Tout peut être ». Mgr Viganò, à propos du great reset et de la pseudo-pandémie, a déclaré qu’ils annoncent le règne de l’Antéchrist. Si Benoît XVI clôt une époque et en ouvre une autre, sommes-nous arrivés à la fin des temps ? Est-ce le moment où lekatechonest supprimé pour que l’homme de l’anomie [/le mystère de l’iniquité] puisse se manifester[cf. 2ème lettre de Saint Paul aux Thessaloniciens, 2, 6-7]?

 

Je ne me sens pas capable de répondre à cette question. Les spécialistes, de leur côté, ne sont pas non plus parvenus à des conclusions unanimes sur des questions aussi complexes. Je constate simplement que si Benoît XVI s’est écarté pour laisser la place à un pape plus énergique et capable de gouverner, le projet de Ratzinger a échoué. La gestion de Bergoglio a été désastreuse à tous égards. Et ce n’est pas tout : avec Bergoglio, l’Eglise est devenue une sorte de faire-valoir pour l’ONU et tous les autres centres de pensée et d’action engagés dans l’imposition du Nouvel Ordre Mondial. L’affaire de la  » psychopandémie  » a été extrêmement révélatrice à cet égard. Ce sont des faits, c’est maintenant de l’histoire ancienne. Paraphrasant le fameux dicton « il y a des juges à Berlin« , je continue à espérer et à prier pour qu’il y ait un témoin au Vatican. Un cardinal digne de ce nom, un monsignorequi a un sursaut de conscience. L’archevêque Viganò a fait et fait beaucoup : il faut éviter qu’il soit isolé et discrédité. Il est peut-être le dernier point de référence qui nous reste.

 

 

Armando Savini 
databaseitalia.it

 

 

(Source)

 

Quand les témoins parlent...

Publié le 13/04/2022 à 19:05 par laportetroite

 

 
 

En date du 6 février 2022, voici une lettre ouverte d’un courage incroyable signée par l’ancienne maîtresse de Roland Dumas, salement surnommée “la Putain de la République” ou “la Mata Hari du Périgord“. Aujourd’hui, elle revient à la lumière avec une lettre ouverte absolument vertigineuse.

 

J’entendais leurs délires, loin d’imaginer qu’ils iraient jusqu’au bout de leur folie. Je les ai vus, à l’époque, se goberger, s’empiffrer sur le dos de la bête. Je les ai vus, les yeux plus gros que le ventre, piller et se goinfrer. Se donner des lettres de noblesse factices que leur position et leur pouvoir leur conféraient. Je les ai vus bomber le torse et de leur petite hauteur, mépriser le peuple en donnant au château de Versailles des fêtes royales pour célébrer dignement l’arrivée au pouvoir du nouveau « monarque ».

 

Les cortèges de voitures officielles comme autant de carrosses et les garden-parties de ces nouveaux parvenus bientôt emperruqués. J’ai vu les épouses et leur marmaille jouant à Marie-Antoinette sans vergogne sous les lambris, dont le passe-temps se limitait à organiser des dîners fins entre amis et visiter le Mobilier national comme on va chez Ikea. Gratuit ici. Surtout quand on omettait de restituer pièces d’art et meubles d’époque.

 

Je les ai vus et j’ai payé très cher pour avoir été témoin, n’étant pas du sérail… J’ai vu les caisses noires des ministères exonérées d’impôts, les frais d’intendance éhontés enfler toute honte bue, chauffeurs et gardes du corps à vie et retraites cumulées replètes, rétro-commissions sur des marchés d’état, des avions équipés comme des palaces volants, des jets sur le tarmac prêts à décoller au moindre caprice ou quand tsunamis, tremblements de terre et autres catastrophes permettaient d’appeler les hordes de photographes, après être passé en vitesse chez le coiffeur et le couturier branché, pour se faire immortaliser au pied d’un jet avec un sac de riz sur le dos.

 

J’ai vu des soutes en provenance d’Afrique garnies de billets de banque et des coffres de voitures transformés en caverne d’Ali Baba pour distribution d’argent à grande échelle, des contrats d’État passés aux mains des filous, des comptes bien cachés dans des pays aux lagons bleus, (…)

 

J’ai vu des enfants éventrés, des femmes violées, lapidées, torturées. J’ai vu un avion avec une croix rouge sur son flanc porter secours à des populations africaines affamées en leur tirant dessus, et j’ai même vu certains crocodiles bouffer de malheureux témoins encombrants et d’autres tomber des fenêtres, arrêts cardiaques et cancers fulgurants.

 

Toute cette honte, tous ces crimes pour encore plus de Pouvoir et Richesses. Un monde aux mains de la Finance Internationale, Bilderberg, Nouvel Ordre Mondial criminel, FMI, GAFAM etc., pour maintenir, verrouiller le système, protéger une élite et asservir les peuples en les abrutissant et en les dépravant en inversant les valeurs ! Nous leur donnons une once de pouvoir et ils perdent tout sens commun.

 

Et plus on monte dans la hiérarchie, plus ils s’en donnent à cœur joie, perdent le sens des réalités et franchissent allègrement et sans états d’âme l’inacceptable. Et au plus haut niveau de la pyramide ils n’ont plus rien d’humain. Ce sont des monstres. Le pouvoir, aphrodisiaque suprême, les déshumaniserait-il à ce point ? Et le fric, moteur essentiel à toutes ces dérives…

 

 

Comment osent-ils se poser en donneurs de leçons, parler de probité, d’intégrité, de franchise, quand se multiplient leurs égarements et que les affaires de corruption et autres méfaits les éclaboussent ? (…) Nous sommes devenus un immense peuple de moutons à tondre, tandis que la démocratie n’existe plus depuis longtemps, et tout dépend maintenant du pouvoir de résistance et de révolte des peuples.

 

La mise en esclavage des populations est passée à la vitesse supérieure avec cette « plandémie covid » en créant la PEUR ! Et les grands argentiers de la planète et leurs marionnettes nous font clairement comprendre que seuls comptent leurs profits, que le bien-être des citoyens n’a aucune espèce d’importance. Leurs “plandémies” et leurs vaccins mortifères finiront le sale boulot pour une dépopulation mondiale annoncée : Le projet ne date pas d’hier, croyez-moi !

 

 

 

 

 

 

Nous sommes tous sacrifiés sur l’autel des profits. Depuis ces dernières décennies tout fut mis en œuvre fissa pour nous anéantir. Et la télévision et les médias aux ordres ont participé à cet abrutissement de masse qui nous a conduits à l’impuissance en nous lavant le cerveau. Je veux pourtant rester optimiste. Nous sommes à un tournant majeur, un changement de civilisation.

 

Il est urgent que tous les citoyens se réveillent et reprennent en main leurs pays, leur souveraineté et éliminent cette vermine financière afin de réinjecter dans les caisses des états pour le bien collectif, les incroyables fortunes détournées par une poignée de mafiosi sans foi ni loi et dangereux.

 

Il faut bien prendre conscience que, quels que soient votre bord politique ou votre conception de la vie, si vous ne faites pas partie de leur élite, vous serez broyés. Aussi, il faut s’unir d’urgence car nous marchons vers l’abime ! Et si le monde devient chaotique, cela signifie aussi que ce qui a manqué, c’est la spiritualité individuelle.

 

Il n’y a pas de compromis avec les éléments extérieurs du monde en action et la conscience se révèle encore inactive face à ce monde chaotique. Au contraire, la conscience peut se reconnecter en tout temps et en toute situation avec la spiritualité comme une ascension.

I

l me revient en mémoire cette phrase de Brecht : « Lorsqu’un homme assiste sans broncher à une injustice, les étoiles déraillent »… Alors, vite, protégeons les étoiles et tournons la page sur ces temps décomposés. Levons-nous ! »

 

 

 

Christine Deviers-Joncour

 

Source

 

Mais qui fait la guerre à qui?

Publié le 11/04/2022 à 21:55 par laportetroite Tags : France Russie Ukraine guerre

Guerre économique

La France dindon de la farce

L'Ukraine s'en met sordidement plein les poches via le gaz Russe

L'UE se brouille avec un maximum de peuples

(... ... ...)

 

 

 

Pas de répit

Publié le 06/04/2022 à 19:01 par laportetroite Tags : combat info danger société guerre

 

 

Le Dr Joseph Mercola signe une tribune avertissant que le traité pandémique est une menace directe pour la souveraineté d’une nation à prendre des décisions pour elle-même et ses citoyens.

 

L’HISTOIRE EN UN COUP D’ŒIL

La cabale mondialiste veut monopoliser les systèmes de santé dans le monde entier, et une attaque furtive est déjà en cours sous la forme d’un traité international sur la pandémie, proposé par l’Organisation mondiale de la santé

Le traité est une menace directe à la souveraineté d’une nation à prendre des décisions pour elle-même et ses citoyens, et éroderait la démocratie partout. Non seulement le traité habiliterait l’OMS à imposer des piqûres anti-COVID et des passeports vaccinaux à l’échelle mondiale, mais il pourrait également étendre le pouvoir de l’OMS de dicter toutes les politiques de soins de santé dans le monde.

Le traité donnerait également à l’OMS le pouvoir de censurer les informations sur la santé dans le monde entier. Ce serait désastreux, car l’OMS a une longue histoire de corruption et d’échecs des politiques de santé qui sont intrinsèquement liés aux conflits d’intérêts

Lorsque des personnes sont lésées par les politiques de santé de l’OMS, il n’y a aucune responsabilité parce que l’OMS jouit de l’immunité diplomatique

Bill Gates, le deuxième plus grand bailleur de fonds de l’OMS, a également financé des exercices de pandémie, y compris l’événement 201 et l’exercice de la Nuclear Threat Initiative sur la réponse internationale aux événements biologiques délibérés. Ce scénario impliquait la libération délibérée d’une arme biologique génétiquement modifiée – une peste pulmonaire – pour laquelle il n’existe aucun traitement disponible. Les deux exercices ont eu lieu en 2019.

 

(Dr Mercola ) – La cabale mondialiste veut monopoliser les systèmes de santé dans le monde entier, et une attaque furtive est déjà en cours sous la forme d’un traité international sur la pandémie . Les négociations pour ce traité ont commencé le 3 mars 2022. Comme le rapporte The Pulse :

 

« À la suite de la pandémie de COVID-19, l’Organisation mondiale de la santé propose un nouveau traité sur la pandémie dont elle espère qu’il sera accepté par suffisamment de pays membres pour devenir une réalité d’ici 2024. »

 

Selon le Directeur général Tedros Adhanom Ghebreyesus, les approches « moi d’abord » « contrecarrent la solidarité mondiale nécessaire » pour faire face aux menaces mondiales. Sa solution ? Donnez tout le pouvoir à l’OMS.

 

Au cours des deux dernières années, au nom de la protection de chacun contre l’infection, les mondialistes ont justifié des attaques sans précédent contre la démocratie, les libertés civiles et les libertés individuelles, y compris le droit de choisir son propre traitement médical. Aujourd’hui, l’OMS veut rendre permanent son leadership en matière de pandémie et l’étendre aux systèmes de santé de chaque nation.

 

 

Le traité menace la souveraineté nationale
Comme l’a noté The Pulse, « il y a un certain nombre de choses dans le traité que les peuples du monde doivent considérer avant de s’engager dans cette voie ». Dans la vidéo présentée, Joe Martino de The Pulse interviewe Shabnam Palesa Mohamed, membre du comité directeur du Conseil mondial de la santé, qui souligne que le traité donne à l’OMS :

 

« … un pouvoir démesuré pour prendre des décisions dans des pays souverains sur la façon dont les gens vivent et comment ils font face aux pandémies, des confinements aux mandats de traitement. »

 

En bref, cela créerait une approche unique de la maladie, sans tenir compte de toutes les situations variables rencontrées dans les différents pays, et nous savons déjà que cela ne fonctionne pas. Le traité est une menace directe à la souveraineté d’une nation à prendre des décisions pour elle-même et ses citoyens, et éroderait la démocratie partout.

 

Dans le même temps, il en coûterait à chaque pays membre des millions de dollars pour participer à ce processus. Comme l’a expliqué Mohamed, le traité devra passer par un processus de vote à l’Assemblée mondiale de la santé en 2023. Ils ont besoin d’une majorité pour qu’il soit adopté et, s’il est adopté, tous les pays membres seront liés par celui-ci.

 

 

Le traité est « invalide et illégal »
Une autre préoccupation soulevée par Mohamed est que de nombreux pays ne sont même pas encore au courant de ce traité, et il est possible que l’OMS essaie de faire pression pour une mise en œuvre antérieure à 2024 – le tout sans participation ou contribution du public. « C’est antidémocratique, c’est inconstitutionnel et donc cela rend le traité invalide et illégal », dit-elle.

 

Elle souligne également l’histoire de la corruption de l’OMS et de nombreux échecs des politiques de santé, qui sont « intrinsèquement liés aux conflits d’intérêts ». Dans une lettre ouverte sur le traité pandémique de l’OMS, le Conseil mondial de la santé écrit notamment :

 

« L’accord proposé par l’OMS est inutile et constitue une menace pour la souveraineté et les droits inaliénables. Cela augmente le pouvoir suffocant de l’OMS de déclarer des pandémies injustifiées, d’imposer des confinements déshumanisants et d’appliquer des traitements coûteux, dangereux et inefficaces contre la volonté du peuple.

 

Le WCH [Conseil mondial de la santé] estime que les gens ont le droit de participer à tout accord qui affecte leur vie, leurs moyens de subsistance et leur bien-être.

 

Cependant, l’OMS ne s’est pas engagée dans un processus de participation publique, ce qui prouve que sa priorité est de s’approprier plus de pouvoir pour elle-même et ses complices corporatifs, que de servir les intérêts du peuple. Sans un processus démocratique impartial, tout accord de l’OMS, agissant par l’intermédiaire des Nations Unies, sera illégal, illégitime et invalide.

 

Historiquement, la direction de l’OMS a laissé tomber le peuple. Parmi de nombreux exemples, il a approuvé le vaccin nocif H1N1 (grippe porcine) pour une pandémie déclarée controversée.

 

De même, l’OMS a échoué lors du chapitre COVID-19 car elle a encouragé les confinements, supprimé les traitements préventifs précoces et recommandé des interventions de produits qui se sont avérées ni sûres ni efficaces.

 

L’OMS ne peut être autorisée à contrôler l’agenda mondial de la santé, ni à imposer la biosurveillance. Bien qu’il reçoive des fonds de sources publiques appartenant au peuple, il est pris dans un perpétuel conflit d’intérêts car il reçoit également des financements substantiels d’intérêts privés qui utilisent leurs contributions pour influencer et tirer profit des décisions et des mandats de l’OMS.

 

Par exemple, la Fondation Gates et l’alliance pour la promotion des vaccins GAVI, financée par Gates, contribuent pour plus d’un milliard de dollars par an.

 

Une autre préoccupation est le fait que lorsque des personnes sont lésées par les politiques de santé de l’OMS, il n’y a aucune responsabilité parce que l’OMS jouit de l’immunité diplomatique. Selon Mohamed, « l’OMS ne devrait prendre AUCUNE décision concernant la santé mondiale à l’avenir ».

 

 

La prise de pouvoir ultime
Comme l’a noté Martino, bien que le traité prétende être axé sur la planification et les réponses à la pandémie, on craint sérieusement qu’il ne soit étendu pour couvrir également d’autres domaines de la santé. Mohamed est d’accord, disant qu’il pourrait potentiellement être élargi, en utilisant la constitution de l’OMS comme base pour cette expansion. L’article 2 de la constitution de l’OMS stipule :

 

« Afin d’atteindre son objectif, les fonctions de l’Organisation sont : a) d’agir en tant qu’autorité de direction et de coordination de l’action sanitaire internationale… k) de proposer des conventions, des accords et des règlements, et de faire des recommandations concernant les questions de santé internationale … s) établir et réviser en tant que de besoin les nomenclatures internationales des maladies, des causes de décès et des pratiques de santé publique… v) généralement prendre toutes les mesures nécessaires pour atteindre l’objectif de l’Organisation.

 

Son pouvoir est déjà très important et l’objectif de transformer l’OMS en une dictature mondiale de la santé est pratiquement inscrit dans sa constitution. N’oubliez pas non plus que l’OMS a supprimé la spécificité des pertes massives de la définition d’une pandémie, de sorte qu’une pandémie peut désormais être à peu près n’importe quelle maladie qui survient dans plusieurs pays. Même l’obésité pourrait théoriquement se qualifier. Ainsi, l’OMS pourrait revendiquer le pouvoir sur les systèmes de santé de plusieurs manières, si elle en avait l’occasion.

 

 

Le traité accorderait à l’OMS le pouvoir d’exiger des passeports vaccinaux
Alors que la majeure partie du monde est plus que prête à passer à autre chose, l’OMS ne semble pas disposée à lâcher prise. Un responsable de l’OMS a récemment déclaré au Ottawa Citizen que la pandémie de COVID est encore « loin d’être terminée ».

 

La raison de cette réticence à déclarer la fin de la pandémie est probablement due au fait que l’OMS espère obtenir le pouvoir d’imposer des passeports vaccinaux et des injections anti-COVID dans le monde entier. Il travaille déjà à la création d’un programme mondial de passeport vaccinal/d’identité numérique. Tel que rapporté par WEBLYF :

 

« Sous le couvert d’un « réseau de confiance », une autre initiative appelée Vaccination Credential Initiative (VCI) prend également de l’ampleur.

 

En partenariat avec de grandes entreprises technologiques, de grandes entreprises et de grandes universités, VCI se décrit comme « une coalition volontaire d’organisations publiques et privées engagées à donner aux individus l’accès à des informations cliniques vérifiables, y compris une copie fiable et vérifiable de leurs dossiers de vaccination en format numérique ou papier ». formulaire utilisant des normes ouvertes et interopérables.

 

Les cartes de santé SMART de VCI, comme l’a rapporté Off-Guardian, sont déjà mises en œuvre par « 25 États américains, ainsi que Porto Rico et DC, et sont devenues le passeport national de facto des États-Unis ». Comme expliqué dans l’article :

 

“ Le gouvernement américain, contrairement à de nombreux pays européens, n’a pas délivré son propre passeport officiel pour les vaccins, sachant qu’une telle décision contrarierait le public américain plus libertaire, sans parler de s’emmêler dans la question de l’État contre la loi fédérale.

 

Les cartes à puce leur permettent de contourner ce problème. Ils ne sont techniquement mis en œuvre que par chaque État individuellement via des accords avec VCI, qui est techniquement une entité privée. Cependant, étant donné que les cartes SMART sont indirectement financées par le gouvernement américain, leur mise en œuvre dans tous les États en fait une norme nationale à part le nom. »

 

 

Les tribus unies de Nouvelle-Zélande dénoncent le traité de l’OMS

Comme l’a noté NZDSOS , « Est-ce ainsi que nous voulons vivre nos vies ? Constamment à la demande d’individus et d’entreprises de l’ombre qui surveillent chacun de nos mouvements et déterminent ce que nous pouvons et ne pouvons pas faire, jusqu’à acheter de la nourriture ? »

 

Dans une lettre de notification officielle adressée à l’OMS et au Conseil exécutif de l’Assemblée mondiale de la santé, le gouvernement d’Aotearoa Nu Tireni en Nouvelle-Zélande a fermement dénoncé ce traité et tout autre traité qui remet en cause la souveraineté nationale :

 

« … vous êtes ainsi officiellement informé que le gouvernement Wakaminenga Māori d’Aotearoa Nu Tireni/Nouvelle-Zélande ne consent sous aucune forme à aucun type de traité international sur la pandémie dans le cadre de l’OMS ou de son assemblée. Toute construction de ce type sera nulle ab initio.

 

Nous, en tant que tribus unies et chefs héréditaires, représentons le seul gouvernement légitime actuel en Nouvelle-Zélande. Le gouvernement néo-zélandais actuel représenté par Jacinda Ardern est un gouvernement illégitime car il s’agit d’une société ( SEC CIK # 0000216105) inscrite à la US Security & Exchange Commission sous le nom de Sa Majesté la Reine du chef de la Nouvelle-Zélande.

 

Conformément à la Clearfield Trust Doctrine, une société n’a aucun droit implicite de gouverner un peuple souverain. Nous enregistrons par la présente notre vote de défiance à l’égard des actions ou de l’autorité de la société se faisant passer pour un gouvernement sur notre territoire.

 

Ce gouvernement illégal d’Ardern et ses ministres sont accusés par la Nga Tikanga Māori Law Society et le gouvernement Wakaminenga Maori de Nu Tireni de génocide, de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité liés à leur mépris délibéré pour les souffrances et les pertes de vie résultant de leur illégalité. réponse à l’arme biologique artificielle connue sous le nom de COVID-19 et à l’administration forcée illégale d’un poison à notre peuple et à l’expérimentation médicale forcée.

 

Également accusés de crimes graves liés à une réponse à une pandémie, l’OMS et le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus n’ont aucune qualité ou autorité pour conclure un accord contraignant lié à une réponse à une pandémie, dans aucune juridiction et nous ordonnons que ces tentatives cessent et s’abstiennent immédiatement en attendant le résultat de ces accusations en vertu des statuts de Rome 6, 7 et 8, déposé devant la Cour pénale internationale le 6 décembre 2021 …

 

Par la présente, il vous est demandé de cesser et de vous abstenir de discuter ou de négocier avec le gouvernement illégal d’Arden, une société néo-zélandaise, connue sous le nom de Sa Majesté la reine du chef de la Nouvelle-Zélande. Le gouvernement maori Wakaminenga d’Aotearoa Nu Tireni se réserve le droit de discuter/négocier avec tout partenaire international de son choix, y compris le Conseil mondial de la santé (WCH).

 

 

Le traité créerait une censure mondiale des informations sur la santé

Le traité donnerait également à l’OMS le pouvoir de censurer les informations sur la santé dans le monde entier. Sur la page Web du Conseil européen consacrée au traité sur la pandémie, sous le titre « Rétablir la confiance dans le système de santé international », il est écrit :

 

« L’accord… jettera les bases d’une meilleure communication et information des citoyens. La désinformation menace la confiance du public et risque de saper les réponses de santé publique. Pour racheter la confiance des citoyens, des mesures concrètes devraient être prévues pour améliorer le flux d’informations fiables et précises ainsi que pour lutter contre la désinformation à l’échelle mondiale.

 

En d’autres termes, en vertu de ce traité, nous pouvons nous attendre à une censure encore plus grande que celle que nous avons connue jusqu’à présent. Les entreprises technologiques ont déjà prouvé où se situe leur allégeance, et ce n’est pas avec le public.

 

Google, Facebook, Twitter, Instagram et d’autres ont déformé à peu près tous ceux qui publient des informations sur la santé qui vont à l’encontre de ce que dit l’OMS, au diable les données du monde réel et les faits vérifiables. Les plateformes financières ont également interdit des personnes pour la même raison. Imaginez maintenant qu’il existe une loi internationale contraignante qui rend toute cette censure obligatoire.

 

Leur playbook a été révélé en 2019

Officiellement , la Fondation Bill & Melinda Gates est le deuxième bailleur de fonds de l’OMS, juste derrière le gouvernement américain, mais les contributions combinées de la Fondation Gates et de GAVI ont fait de Gates le principal sponsor non officiel de l’OMS à partir de 2018.

 

Gates a également financé des exercices de pandémie, y compris l’événement 201 , qui s’est tenu le 18 octobre 2019, qui a acquis une notoriété pour ses «prédictions» extraordinairement précises de la pandémie de COVID quelques mois seulement avant sa déclaration. Parmi les autres co-sponsors figuraient le Forum économique mondial et la Johns Hopkins Bloomberg School of Public Health.

 

Cependant, plus tôt cette année-là, le 14 février 2019, Gates a également financé l’exercice pandémique de la Nuclear Threat Initiative (NTI) pour les hauts dirigeants mondiaux sur la réponse internationale aux événements biologiques délibérés, qui a eu lieu à Munich, en Allemagne.

 

NTI a été fondée pour évaluer et réduire les menaces associées à la prolifération des armes nucléaires, mais elle s’est depuis élargie pour inclure les menaces biologiques . Gates a également accordé des subventions au NTI pour le développement de vaccins en relation avec les menaces biologiques.

 

Alors que l’événement 201 présentait une épidémie fictive de coronavirus, l’exercice NTI impliquait une réponse à des « événements biologiques délibérés et à conséquences élevées ». En d’autres termes, une libération délibérée d’une arme biologique génétiquement modifiée – dans ce cas une peste pulmonaire – pour laquelle il n’existe aucun traitement disponible. Ce scénario d’exercice était le premier du genre. La vidéo ci-dessus présente un résumé de l’exercice en quatre phases.

 

Curieusement, à la mi-novembre 2019, The Guardian , The New York Times , The Washington Post et d’autres ont rapporté que deux personnes en Chine avaient en fait reçu un diagnostic de peste pulmonaire.

 

En plus de la Fondation Bill & Melinda Gates, l’événement NTI a été parrainé par le Wellcome Trust, la «bras philanthropique» de GlaxoSmithKline et un investisseur de Vaccitech, qui détient les brevets du jab COVID d’AstraZeneca. Gates et Wellcome font tous deux partie du réseau mondialiste technocratique qui fait avancer The Great Reset.

 

Un autre sponsor était l’Université de Georgetown, qui a également organisé la bibliothèque de traitements COVID-19 du Forum économique mondial (principalement axée sur les antiviraux et les injections de transfert de gène COVID).

 

La conservation a été effectuée par trois professeurs de l’Université de Georgetown et Rebecca Katz, directrice du Georgetown Center for Global Health Science and Security. Katz est également répertorié comme auteur de l’ article du NTI , « A Spreading Plague: Lessons and Recommendations for Responding to a Deliberate Biological Event », publié en juin 2019, dans lequel ils passent en revue les conclusions tirées de cet exercice de février 2019.

 

 

« Un fléau qui se propage »

Ensemble, ces deux exercices pandémiques – tous deux parrainés par Gates – forment un manuel sur la façon de mettre en place une attaque biologique, puis de cacher la vérité au monde afin que vous puissiez non seulement en profiter à court terme, mais aussi centraliser pouvoir, transférer de manière permanente la richesse et changer l’ordre social et financier à votre guise dans le processus.

 

Sans surprise, un certain nombre de participants à l’événement 201 ont également participé à l’exercice de la NTI et occupent des postes au sein d’institutions technocratiques comme Wellcome, l’OMS et le Forum économique mondial.

 

L’événement 201, en particulier, ne visait pas à trouver des remèdes et à sauver des vies, mais à contrôler la « désinformation ». Une grande majorité de cet exercice était centrée sur la création d’une propagande et d’une censure efficaces. De même, « A Spreading Plague » comprend également la recommandation de faire appel à des entreprises privées comme « actifs » pour mener à bien les enchères mondialistes :

 

« En 2019 et 2020, les organisations internationales, y compris l’OMS, l’UNODA [Bureau des Nations Unies pour les affaires de désarmement] et le Forum économique mondial, devraient convoquer les entreprises du secteur privé pour identifier les lacunes et les prochaines étapes concrètes pour renforcer la capacité des entreprises à fournir des actifs. pour aider à la réponse internationale en cas d’attaques biologiques délibérées et d’autres événements biologiques à hautes conséquences.

 

Dans le scénario NTI – dans lequel un pays fictif appelé Carta s’avère avoir conçu et lancé une arme biologique dans le pays voisin de Vestia – nous voyons également de curieux parallèles avec les accusations actuelles de la Russie, qui prétend que des recherches sur les armes biologiques étaient en cours. en Ukraine, nécessitant une action défensive.

 

Dans l’ensemble, l’exercice sur table du NTI ne fait qu’ajouter à la pile de preuves qui suggèrent que la pandémie de COVID a été préméditée et planifiée à l’avance à des fins financières et géopolitiques. C’était une prise de pouvoir.

 

Le traité sur la pandémie avec l’OMS est précisément ce dont le Forum économique mondial et ses alliés ont maintenant besoin, car il mettra la cabale technocratique fermement en charge de la biosécurité du monde entier et lui donnera les moyens de mettre en œuvre le reste du programme The Great Reset.

 

Vous pouvez en savoir plus sur The Great Reset sur le site Web du Forum économique mondial et dans le livre de Klaus Schwab , « COVID-19 : The Great Reset » (mais vous voudrez peut-être d’abord revoir les commentaires extrêmement négatifs sur Amazon).

 

Comme indiqué dans un article du Forum économique mondial du 21 juillet 2020, la dévastation économique causée par les arrêts de la pandémie de COVID-19 « a le potentiel d’entraver la prospérité mondiale pour les générations à venir ». La réponse, selon le Forum économique mondial, est que les pays s’assurent que le système économique est « mieux reconstruit ».

 

Ne vous y trompez pas, ce slogan accrocheur fait partie intégrante du plan Great Reset et ne peut en être séparé, aussi altruiste qu’il puisse paraître. Une partie de la « reconstruire en mieux » consiste à faire passer le système financier à un système monétaire entièrement numérique contrôlé de manière centralisée, lié à un passeport vaccinal et/ou à un système d’identité numérique.

 

Ensemble, ils formeront un système omniprésent de contrôle social, car les comportements souhaités peuvent être incités et les comportements indésirables découragés par la perte de divers «privilèges», y compris l’accès à vos propres finances. La monnaie numérique peut même être programmée par l’émetteur afin qu’elle ne puisse être utilisée que pour certains types d’achats ou de dépenses.

 

Bien qu’il soit très difficile d’arrêter ce train en fuite qu’est la Grande Réinitialisation, une partie de notre défense consiste à nous opposer et à empêcher le traité de l’OMS sur la pandémie de devenir réalité, car nous perdrons notre souveraineté nationale s’il le fait.

 

(Source)

 

À grands pas, la famine accourt

Publié le 30/03/2022 à 23:22 par laportetroite Tags : guerre famine actualité

Un nouveau Nuremberg

Publié le 25/03/2022 à 23:13 par laportetroite Tags : actualité santé combat vérité

 

 

 

Récemment, j’ai lu cet article :

 

« Un politicien danois exige un « procès de Nuremberg » pour les responsables de la pandémie du Covid-19 »

Mads Palsvig est un ancien banquier danois et un homme politique du jeune parti JFK21. Il a envoyé une « déclaration du nouvel an » suggérant un nouveau « processus de Nuremberg » pour la recherche de la vérité et la réconciliation. La déclaration a été envoyée à 1600 journalistes, à tous les membres du parlement danois, au personnel du ministère américain de la Santé CDC et à d’autres décideurs de la police danoise ainsi qu’à des diplomates et politiciens étrangers.

 

 

Palsvig ne veut pas de la peine de mort pour ces criminels. Mais il dit en substance : « …nous avons besoin d’un Nuremberg. Même maintenant, où, pour se soustraire à la justice, ils lèvent les restrictions et prétendent que les vaccins ont été utiles. »

Mads Palsvig avertit qu’il ne faut pas se réjouir trop vite de la levée des mesures en considérant cela comme une victoire. Il craint bien plus que les opposants aux libertés se groupent à nouveau pour lancer une nouvelle attaque contre le peuple. Il invoque avec insistance le maintien de la pression par des actions quotidiennes. C’est la seule façon de mettre à genoux le système mondial de banksters qui financent des États entiers. Les efforts de divulgation doivent être coordonnés à l’échelle mondiale.

 

 

Palsvig va encore plus loin. Il demande l’inculpation, le procès et la condamnation de toutes les personnes impliquées dans l’imposition de ces mesures, de toutes les personnes qui continuent à promouvoir activement les expériences de vaccination, les tests et les masques obligatoires, les restrictions des libertés individuelles et qui font pression sur les personnes non vaccinées. Donc, tous ceux qui ont participé à ces crimes contre la dignité humaine doivent être tenus pour responsables. Il s’agit des politiciens, mais les responsables administratifs, les autorités sanitaires, les établissements d’enseignement, la justice, les journalistes et les responsables des médias sont également concernés. Et tous ceux qui exigent des certificats de vaccination. Ou ceux qui harcèlent ou discriminent les concitoyens non vaccinés, non testés ou sans masque.

 

 

Palsvig met au défi toutes les personnes concernées de se rendre disponibles à titre de témoins principaux contre les puissances qui se cachent derrière cette conspiration mondiale. Il propose d’accorder l’impunité ou l’amnistie aux personnes qui ont été contraintes d’agir parce que du matériel compromettant leur existence avait été utilisé contre elles.

Pour le politicien d’opposition danois, il ne fait aucun doute que de nombreuses personnes impliquées dans les crimes du Covid ont elles-mêmes été victimes d’extorsions de toutes sortes. Ces personnes doivent désigner à une commission les personnes qui se cachent derrière ces événements et rapporter ce qui a été discuté et décidé à huis clos lors des réunions Bilderberg, du Forum économique mondial, de l’Agenda 21, du Rockefeller Lockstep, de l’ID2020 et d’autres réunions conspiratrices de groupes non élus.

 

 

Conclusion de Mads Palsvig : seul un procès de Nuremberg, qui dévoile les commanditaires et les interdépendances internationales de cette affaire criminelle à grande échelle et qui demande des comptes à tous les responsables dans le monde, conduirait à un monde plus juste.

Les émissions Kla.TV suivantes sont également recommandées à ce sujet :

  • Mesures Covid : Plainte pénale pour génocide déposée à La Haye Escroquerie Covid : 80 raisons de « se faire rembourser ! » (Discours aux nations – par le fondateur de Kla-TV Ivo Sasek)
  • Commission Covid : Annonce d’une procédure judiciaire mondiale.

 

La phrase finale de Mads Palsvig est encourageante :

« Je sens au fond de mon cœur que nous allons gagner cette guerre. C’est la dernière bataille pour l’humanité et cette fois-ci, les forces du bien l’emporteront. »

 

source : Kla.TV

 

Un acte de guerre

Publié le 19/03/2022 à 19:35 par laportetroite Tags : info santé

 


  Senta Depuydt: "Mr. Kennedy, votre ouvrage est un véritable missile. Vous y portez non seulement des accusations à l’encontre du numéro 1 de la santé publique, mais vous révélez comment toutes les agences de santé américaine ont été détournées pour servir des intérêts privés, des industries ou même des stratégies politiques et militaires sur le plan mondial. Depuis sa sortie en anglais au mois de novembre, avez-vous ressenti des répercussions sur le plan personnel ?

 

R K Jr: En ce qui me concerne non, cela n’a pas eu d’impact sur ma vie privée. Je suis très heureux qu’il ait été un best-seller dès sa sortie, malgré un boycott absolu. Tous formats confondus, en 3 mois, nous avons dépassé un million d’exemplaires et restons en tête ou dans le top 3 mondial des ventes. Et malgré cela, aucun journal, magazine ou émission télévisée n’a daigné le mentionner ou m’inviter pour en parler, à l’exception d’une interview dans l’émission de Tucker Carlson sur Fox News. Mais cela veut dire que les gens sont en quête de vérité et que ces informations leur sont utiles. Durant la pandémie, disons que près de 30% de la population avait une méfiance spontanée envers les autorités et des personnalités comme Anthony Fauci ou Bill Gates. Mais il leur était quand même difficile de concevoir les motifs pour lesquels les responsables de la santé publique agiraient à l’encontre de l’intérêt des citoyens. Les américains sont assez idéalistes, parfois naïfs. C’est pour les aider à comprendre tout cela que j’ai écrit ce livre.

 

Vu la somme de crimes et délits que vous documentez là, peut-on espérer des poursuites à leur encontre ?

 

R: Difficile à dire. Je pense qu’il y a un espoir que cela arrive, si la situation politique change. Si les républicains gagnent aux élections qui auront lieu à la mi-novembre et qu’ils s’emparent du sénat, il est probable qu’ils procèdent à des auditions à partir de janvier prochain. D’ici là, je pense que les démocrates et les médias qui font leur propagande vont continuer à les protéger[1]. Mais quand on voit les chiffres, Fauci aura des comptes à rendre sur les politiques de réponse à la pandémie. Plus de 28 000 décès par million d’habitants aux USA, c’est extrêmement élevé, alors qu’avec tout le budget et l’expertise dont nous disposons, nous sommes censés avoir les meilleurs résultats. Au Nigéria, où seul 1,5% de la population a été vaccinée, ils n’ont eu que 14 morts par million et la plupart des autres pays d’Afrique ont une moyenne qui tourne autour de 170, on ne peut même pas parler de pandémie. Pourtant, au début de la crise, Gates et Fauci multipliaient les discours alarmistes en prédisant une réelle hécatombe en Afrique. Finalement, c’est l’inverse qui s’est produit. Comment cela se fait-il ? Il va tout de même falloir l’expliquer. Personnellement, je pense que c’est en partie parce que ce sont des pays qui ont l’habitude d’utiliser des médicaments simples, efficaces et accessibles, comme l’hydroxychloroquine ou l’ivermectine. Bien entendu, il y a d’autres raisons, comme le fait que l’Afrique a une population plus jeune et que le Covid a frappé les plus âgés. Mais à tout le moins, nos autorités devraient étudier ces données et fournir des explications. Pour l’instant, cela ne s’est jamais fait. Et la même chose vaut pour l’Europe qui a appliqué des politiques identiques, empêché l’utilisation de médicaments existants, vacciné en masse. Pourquoi les autorités sanitaires ne cherchent-elles pas à tirer les leçons de cet échec ? Pourquoi les médias n’en parlent-ils pas ? Tout le monde devrait se rendre compte que ce n’est pas normal.

 

Quid de Bill Gates ?

 

R: Bill Gates est peut-être moins présent dans les médias, mais il reste très actif en coulisses. Et comme il a le contrôle de l’OMS, il continue à pousser tous ces agendas mondialistes, les passeports vaccinaux, l’identité numérique, les politiques alimentaires. Il est extrêmement riche et puissant, très proche de la plupart des gouvernants d’Europe, mais aussi de la Chine, et il collabore étroitement avec le Forum Économique Mondial (Davos). Malheureusement, beaucoup de gens continuent à le révérer et à écouter ses recommandations, ses ‘prédictions’. Je crois que pour l’instant, il serait difficile de le déboulonner, c’est tout un réseau mondial qui opère avec lui.

 

À propos de réseau mondial, que pensez-vous de cette histoire de labos de recherche en Ukraine ? Il semble que l’on retrouve un certain nombre d’acteurs identiques dans ce partenariat avec l’Ukraine pour les ‘programmes de réduction de la menace biologique’ ?

 

R: Je pense que la manière dont la presse et le gouvernement américain réagissent est très révélatrice. Quand Poutine a lancé ses accusations sur la présence d’une série de laboratoires biologiques secrets de haute sécurité installés en Ukraine, tous les médias et le Pentagone se sont relayés pour faire du ‘fact checking’ et des démentis. Mais lorsque Victoria Nuland, Secrétaire d’état aux affaires politiques et affaires étrangères, a été auditionnée sous serment par le Congrès, elle a semblé particulièrement mal à l’aise en admettant que, oui, les États-Unis financent des labos qui manipulent des souches dangereuses : l’anthrax, certains types d’herpès et même des souches de variole – ce qui est interdit – et de nombreux autres agents susceptibles de créer des pandémies. Et apparemment, ils n’ont pas fait le nécessaire pour les détruire ou les mettre en sécurité, sachant pourtant qu’une attaque russe était imminente.

C’est très révélateur, car dans ce ‘programme de réduction de la menace sanitaire’, nous sommes en présence des mêmes acteurs qu’avec la pandémie. La firme Eco Health Alliance qui avait financé les recherches de gain de fonction des coronavirus à Wuhan avec l’aide de Fauci et Peter Daszak, et USAID qui est une couverture pour les opérations de la CIA[2]. Rappelons qu’en 2014, Obama a interdit les recherches de gains de fonction et d’autres types de technologies servant à développer des agents biologiques mortels, jugeant que c’était trop dangereux pour la population humaine. Car cette année-là, des souches dangereuses s’étaient échappées de laboratoires à trois reprises différentes. Fauci et ses acolytes avaient donc reçu l’ordre de mettre fin à 18 expériences de ce type, mais au lieu d’obéir, ils ont poursuivi leurs expériences à l’étranger par l’intermédiaire d’un scientifique nommé Peter Daszak, en créant Eco Health Alliance. Rien qu’à Wuhan ils avaient investi plus de 100 millions de dollars. Cela fait 2 ans que le gouvernement s’emploie à nier le fait que le coronavirus ait été créé dans un labo, car la pandémie a principalement servi d’excuse à une gigantesque prise de pouvoir et à une transition vers des états sécuritaires, au détriment de nos libertés. Tout cela n’aurait pas été possible dans des circonstances normales.

Et maintenant, voilà à peine la pandémie derrière nous, que nous avons une nouvelles crise qui aura exactement le même impact : cela va enrichir le complexe militaire industriel, renforcer le pouvoir des agences de renseignement et réduire encore plus les libertés partout sur la planète. Nous sortons à peine d’une guerre en Afghanistan, nous avons provoqué une guerre d’Irak et ce sont les mêmes qui sont à la manœuvre en Ukraine, comme Victoria Nuland, une ‘néo-communiste’. Il faut absolument que le public comprenne qu’il est manipulé par de la propagande. Big Pharma contrôle la santé publique, le complexe militaire industriel opère via la CIA et contrôle aussi le Pentagone. Toutes ces institutions sont détournées et ne sont plus au service de la nation.

 

Malheureusement l’Europe semble être sous la même influence. Quel que soit le domaine, on y voit les mêmes experts répétant les mêmes mensonges à l’unisson, peu importe la réalité finalement. Tout récemment par exemple, un de nos ‘Fauci’ locaux a prétendu que la réponse à la pandémie avait été exemplaire, en donnant pour preuve le fait qu’aux USA les états ‘rouges’ (républicains) avaient eu des résultats désastreux, alors que les états ‘bleus’ (démocrates) s’en étaient mieux sortis, grâce à l’application de mesures draconiennes.

 

R: Haha, incroyable, c’est exactement l’inverse ! Et pas plus tard qu’hier, il y a même eu un article dans le New York Times qui l’a confirmé : le confinement, les masques, la distanciation sociale, tout cela n’a eu aucun impact sur la circulation de l’épidémie. De manière générale les états qui ont eu une politique plus souple s’en sont mieux sortis, parce qu’ils ont limité les dommages collatéraux provoqués par ces mesures. L’impact sur les enfants, sur la vie des gens, l’impact économique sur les petites et moyennes entreprises, tout cela a été dramatique. En revanche, cela a permis à ceux qui ont imposé et soutenu ces restrictions (par ex. les GAFA) de s’enrichir d’une manière odieuse. Environ 3,1 trillions de dollars sont partis de la poche des familles américaines vers les méga-corporations et en réalité, c’était une gigantesque opération de racket qui a profité à cette nouvelle caste de milliardaires. Mark Zuckerberg, Jeff Bezos, Sergei Brin, Bill Gates ont censuré toutes les infos critiques sur les politiques sanitaires. Il ne faut pas oublier de se demander « à qui profite le crime » ? Cui bono ? Le public a constamment été manipulé… d’abord avec la pandémie, aujourd’hui avec la guerre en Ukraine et avant cela en Irak etc. Évidemment, je ne dis pas que je suis pour les Russes et pour Vladimir Poutine, je ne dis pas qu’ils ne font pas aussi de la propagande, mais ce qui est important, c’est de se rendre compte de ce qui se passe chez nous, et qui va à l’encontre de l’intérêt de nos populations.

 

Le décalage entre ce qui se passe dans la vie réelle et ce qui est rapporté dans les médias ou les rapports d’expertise est de plus en plus grand et manifeste. Tout semble être fait pour poursuivre un agenda global, peu importe les faits ou les données sur lesquelles l’on se base, et pourtant la plupart des gens l’acceptent.

 

R: Malheureusement, c’est le résultat du contrôle par la peur. La peur les empêche d’exercer leur pensée critique, je dirai même plus, elle inhibe leurs facultés de perception. On le voit avec le vaccin, il y en a qui ont été malades après une première dose, ils ont refait une injection et ont été malades avec la seconde, et ils ont tout de même repris une troisième dose et ont été encore plus malades, mais rien à faire, ils ne sont pas capables de l’admettre. Tant qu’ils sont dominés par la peur, ils se retranchent dans cette sorte de mécanisme de survie, proche de ce que l’on appelle le syndrome de Stockholm, où les victimes d’enlèvements se mettent à aimer ceux qui les ont kidnappés et se convertissent à leur foi ou leur idéologie, devenant même des fanatiques.

 

Comment faire pour résister à de tels pouvoirs ? Vous avez souvent dit ‘la seule barrière qu’il y a entre des prédateurs comme Big Pharma et les enfants, c’est leur mère’.

 

R: Oui, tout à fait. Nos gouvernements avaient créé de nombreuses institutions, afin de protéger les membres les plus vulnérables de la société de toutes sortes de traitements abusifs et les enfants font partie de cette population vulnérable par définition. Mais comme ces agences sont passées sous le contrôle des industries qu’elles sont censées réguler, à l’heure actuelle les seules personnes encore capables de protéger les enfants sont leurs mères. Malheureusement, il y a un effort considérable pour attaquer ce dernier rempart, par le vote d’une série de lois visant à éliminer l’autorité parentale. Par exemple aux États-Unis, de nombreux états accordent à l’enfant la faculté de consentir seul à la vaccination, allant même jusqu’à interdire aux écoles et aux compagnies d’assurance d’en informer les parents.

 

Que faut-il faire, comment des organisations comme la nôtre, peuvent-elles apporter leur soutien à ces familles ?

 

R: Martin Luther King disait qu’il fallait déployer un arsenal d’actions : militer, aller en justice, changer les lois et éduquer et moi j’y ajouterai aussi innover. Nous sommes dans une forme de guerre asymétrique. D’un côté des petits groupes de parents et d’enfants, essentiellement sans pouvoir, face à l’ensemble des institutions, le gouvernement, les médias, les agences et les méga-corporations. Chacun doit avoir le courage d’un guerrier et mener les actions qui sont à sa portée, exploiter toutes les failles du système. C’est la somme de tous ces efforts individuels, ces ripostes sur tous les fronts, qui peut faire la différence. Il faut mener une sorte de guérilla. Ce n’est pas la première fois que la démocratie est sous attaque, on finit par la restaurer, souvent avec des changements positifs à la clé. Mais il est vrai qu’aujourd’hui, la puissance des technologies de surveillance et de contrôle est au-delà de tout ce que l’on a jamais pu connaître dans l’histoire et c’est un vrai défi. Il est essentiel que la résistance citoyenne se développe plus rapidement que la mise en place de ces instruments de contrôle totalitaire.

 

Vous avez parlé d’innovation. Il est évident que si l’on veut aider la population à sortir de la peur, il faut pouvoir apporter la vision de modèles alternatifs, pas seulement de revenir à ce que nous avons perdu. Par exemple, en ce qui concerne la santé publique, personnellement, j’estime qu’elle concerne surtout l’espace public et la qualité des produits et de l’environnement. Pour le reste, la santé serait plutôt une affaire privée, nul besoin de passer son temps à tester et imposer des traitements préventifs. Voyez-vous votre organisation évoluer dans cette direction, soutenir de nouveaux modèles ?

 

R: Je ne sais pas si c’est notre rôle. Je crois que la santé publique a sa place, mais l’essentiel est qu’elle puisse fonctionner de manière indépendante des lobbies. Il faut d’abord que l’industrie pharmaceutique paye pour ses crimes. Je pense par exemple à la crise des opioïdes, où tant de gosses sont morts d’overdose, parce que la firme Purdue a véritablement poussé à la consommation de ces médicaments dangereux (l’Oxycotin). Il faut voir la mini-série Dopesick qui revient sur toute cette horreur et c’est la même chose qui se passe avec les vaccins. On pousse à la consommation en cachant les effets secondaires. On ne peut pas faire confiance à ces entreprises. Mais il est clair que la santé publique devrait agir dans le sens que vous évoquez.

Nous avons une grave épidémie d’autisme. Pourquoi sommes-nous passés d’un enfant sur 10 000 à 1 enfant sur 44 aux États-Unis ? Pourquoi y a-t-il une épidémie d’allergies alimentaires et d’eczéma, et une explosion du nombre de maladies chroniques, comme le diabète juvénile, le lupus, l’arthrite rhumatoïde, les maladies de Crohn, le syndrome de Guillain Barré ? Les gènes ne peuvent expliquer ces épidémies, cela ne peut être attribué qu’à une toxicité de l’environnement ou de certains produits. D’ailleurs c’est pour cela que nous sommes aussi très actifs sur des questions comme les dangers liés à la 5G, aux pesticides (Kennedy et le bureau d’avocats Michael Baum ont gagné le procès contre le Roundup et Monsanto en 2018 NDLR ), la qualité des aliments pour bébé, enfin toutes sortes de pollutions. Donc oui, clairement, le rôle numéro un de la santé publique, c’est d’identifier tous ces facteurs et de les éliminer. Toute cette focalisation sur les maladies infectieuses, n’est qu’une manière de sortir de l’argent. Les maladies infectieuses ne sont pas une menace sur la population américaine ou européenne…à moins qu’ils n’inventent encore une maladie, un ‘superpathogène’ conçu pour éliminer les gens.

D’ailleurs, la preuve en est que dans les années 80, Ronald Reagan avait l’intention de fermer le CDC (Centres for Disease Control, le centre de contrôle des maladies infectieuses qui s’occupe des politiques de surveillance épidémiologique et des politiques de vaccination). À l’époque, il considérait que cette agence n’avait plus son utilité, car il n’y avait plus assez d’américains qui mouraient de maladies infectieuses. Et l’on savait que c’était grâce au progrès, à l’accès à une médecine de qualité et à l’hygiène, mais surtout à l’assainissement des eaux, une meilleure alimentation et même à l’arrivée des frigos, par exemple. Même le CDC l’avait finalement admis. En réalité, la disparition des maladies infectieuses fut plus l’œuvre des ingénieurs que des médecins ! Mais c’est à ce moment-là que les choses ont dérapé. Les agences comme le CDC et le NIAID (Institut National pour la lutte contre les Allergies et des Maladies Infectieuses, dirigé par Anthony Fauci) n’ayant plus de subsides, se sont mises en quête d’une nouvelle mission sous peine de disparaître. Et elles ont fini par tremper dans des affaires louches, en particulier les recherches en bioterrorisme ou tout le business sulfureux autour du SIDA. Ils ont obtenu des sommes colossales, notamment avec la création de USAID qui a été utilisé par la CIA pour toute une série d’opérations internationales sous couvert de programmes de santé.

 

Oui, vous en parlez beaucoup dans votre livre ! A propos du SIDA vous avez bien connu le professeur Luc Montagnier qui est resté très actif jusqu’à la fin. Il avait d’emblée mis en doute la version officielle de l’origine du coronavirus et avait sévèrement critiqué les mesures sanitaires, y compris le développement des vaccins Covid.

 

R: Luc Montagnier était quelqu’un d’assez extraordinaire. Beaucoup de gens lui reprochent d’avoir participé à la promotion de cet agenda du SIDA qui fait l’objet d’une grande controverse scientifique et a en tous cas donné lieu à de gigantesques détournements de fonds. J’ai tenté d’en exposer les principaux éléments dans mon livre, sans pour autant trancher la question. Mais je pense en tous cas que les gens qui ont une opinion négative à l’encontre de Montagnier devraient écouter le discours qu’il a tenu lorsqu’il a reçu le prix Nobel en 2008, car il a tout de même eu le courage de dire qu’il fallait étendre le champ des investigations à d’autres facteurs. D’ailleurs, c’est quelque chose qu’il n’a jamais cessé de faire, en véritable chercheur. Il était capable de remettre les choses en question, même si cela allait à l’encontre de ses travaux préalables, ou de la doxa scientifique. Il avait la passion de la démarche scientifique authentique. Il n’a pas hésité à questionner la sûreté des vaccins et s’opposait à cette obsession de tout expliquer par la seule présence des virus et de maladies infectieuses. Pour moi, c’était quelqu’un de courageux et d’intègre, un esprit brillant. Je suis heureux de l’amitié que nous avons eue. Il avait accepté de venir me rencontrer aux États-Unis, alors qu’il était déjà fort âgé et que sa santé était fragile. Par la suite, nous avons continué d’échanger de manière régulière. Il a d’ailleurs lu mon livre et a rédigé un éloge, dont je suis très fier. C’était quelqu’un de bien.

 

Y a-t-il un dernier message que vous souhaitez partager ?

 

R: Il faut vraiment que les gens comprennent que la pandémie est un acte de guerre mondiale, un coup d’état contre la démocratie. La réponse à la pandémie n’a jamais été médicale, elle a été d’ordre monétaire et militaire. Tout le monde doit prendre ses responsabilités et défendre la démocratie. Il faut lutter contre la propagande que l’on nous inflige, et pour cela il est essentiel de développer la pensée critique chez nos enfants. Quand j’étais enfant, mon père m’a pris à part et m’a dit : ‘Tu sais Bobby, les gens qui sont au pouvoir mentent’.
Je ne l’ai jamais oublié."

 

 

 

Robert F. Kennedy, Jr :
« Les gens qui sont au pouvoir mentent ! »
Propos recueillis par Senta Depuydt
Entretien effectué à l’occasion de la sortie du livre « Anthony Fauci, Bill Gates, Big Pharma, leur guerre mondiale contre la démocratie et la santé publique » (Collection Résurgence)

 

Retrouvez Robert F. Kennedy, Jr. sur http://www.chdeurope.org

Obstacle à la Consécration

Publié le 18/03/2022 à 20:57 par laportetroite Tags : Eglise Russie

 

Pourquoi cette consécration, si simple en soi, est-elle si difficile à réaliser en pratique ?

 

Notre-Dame a demandé que la consécration de la Russie à son Cœur Immaculé soit réalisée par le pape et les évêques du monde entier [1]. Elle a expliqué que si cela était fait, il y aurait la paix dans le monde ; sinon la Russie répandrait ses erreurs, c’est-à-dire le communisme, dans le monde. Cette consécration n’a pas été réalisée telle qu’elle a été demandée. C’est pourquoi le communisme s’est propagé sur toute la terre. Pourquoi cette consécration, si simple en soi, est-elle si difficile à réaliser en pratique ?

 

Première raison.La consécration au Cœur Immaculé de Marie est un acte religieux qui porte sur une nation, c’est-à-dire sur une réalité politique. Elle est donc contraire au libéralisme politique des États, prôné par Vatican II dans Dignitatis humanae.

 

Deuxième raison.De plus, une consécration à Marie n’est rien d’autre qu’une « préparation au Règne de Jésus-Christ »[2].Or, depuis le Concile, la Rome moderniste n’a cessé de découronner socialement Jésus-Christ. En effet, c’est elle qui a organisé systématiquement l’apostasie des nations catholiques au nom de Vatican II [3].

 

Troisième raison.Cette consécration entraînerait le retour des schismatiques à l’Église catholique [4]. Elle est donc contraire à la théorie conciliaire des « églises-soeurs »(le subsistit inde Lumen gentium), selon laquelle les églises catholique, orthodoxe et protestante sont trois parties de l’Église du Christ.

 

Quatrième raison.Cette consécration est un acte de dévotion à la Sainte Vierge. C’est un appel à sa Médiation universelle de toutes grâces. Or, depuis le Vatican II, les hommes d’Église pensent que la Vierge est un « motif de polémique »vis-à-vis des protestants, qui viendrait contrarier l’œcuménisme [5].

 

 raison.Cette consécration vise une conversion en vue du salut. Cela est contraire à la doctrine contenue dans les documents conciliaires Lumen gentium et Unitatis redintegratio qui enseignent la valeur salvifique des religions au-delà des limites visibles de l’Église.

 

Sixième raison. Outre l’orthodoxie, trois religions sont officiellement considérées comme appartenant à la tradition russe : le judaïsme, l’islamisme et le bouddhisme. Rechercher la conversion de la Russie est donc contraire à la doctrine conciliaire contenue dans Nostra aetaterelative à ces religions.

 

Septième raison.Cette consécration doit être faite au Cœur Immaculé de Marie. C’est rappeler l’Immaculée Conception et, du même coup, le péché originel ; c’est donc dénoncer la fausse dignité humaine et le culte de l’homme promus par Vatican II.

 

Huitième raison.Cette consécration est annoncée comme remède au communisme « intrinsèquement pervers »[6]. Or, Vatican II, pour des raisons « pastorales », a refusé de condamner le communisme. Cette consécration est donc contraire au caractère prétendu « pastoral »du concile Vatican II.

 

Neuvième raison.Cette consécration a pour but d’obtenir la paix dans le monde par un autre moyen que les réunions interreligieuses dont le prototype fut celle du 27 octobre 1986 à Assise. Cette consécration s’oppose donc à ce que les hommes d’Église appellent « l’esprit d’Assise ».

 

Dixième raison.L’origine de cette consécration est surnaturelle. Elle est demandée au pape et aux évêques unis au pape comme à leur chef. Puisqu’elle s’accomplirait par voie hiérarchique, c’est-à-dire sur injonction du Ciel, via le pape, elle ne serait pas le fruit d’une démarche synodale et collégiale du peuple de Dieu si chère au pape actuel.

Vatican II est donc le principal obstacle à la consécration de la Russie au Coeur immaculé de Marie. Ainsi, tant que Rome restera attachée au Concile et à ses réformes, cette consécration sera moralement impossible… Cependant, un miracle peut toujours être obtenu par la prière et la pénitence [7].

 

 

 

Source : Le Combat de la Foi / La Porte Latine (11 novembre 2016)

 

 

Une guerre de "civilisations"

Publié le 08/03/2022 à 15:22 par laportetroite Tags : guerre info religion

 

« Le chef de l’Église orthodoxe russe a déclaré que les défilés de la fierté gaie faisaient partie des raisons de la guerre en Ukraine.
Le patriarche Cyrille de Moscou, allié de longue date du président russe Vladimir Poutine, a déclaré dimanche que le conflit dans le Donbass concernait « un rejet fondamental des soi-disant valeurs qui sont proposées aujourd’hui par ceux qui revendiquent le pouvoir mondial ».


Le «test» de quel côté vous êtes, a déclaré Kirill, est de savoir si votre pays est prêt à organiser des défilés de la fierté gaie. « Pour entrer dans le club de ces pays, il est nécessaire d’organiser un défilé de la fierté gay. Pas pour faire une déclaration politique, « nous sommes avec vous », pas pour signer des accords, mais pour organiser une parade gay.
Et nous savons comment les gens résistent à ces demandes et comment cette résistance est réprimée par la force », a déclaré Kirill lors d’un sermon à Moscou. Kirill a classé la guerre comme une lutte de «signification métaphysique», pour que l’humanité suive les lois de Dieu.


« Ce qui se passe aujourd’hui dans le domaine des relations internationales n’a pas seulement une signification politique. Nous parlons de quelque chose de différent et de beaucoup plus important que la politique. Nous parlons du salut humain », a-t-il déclaré.
« Si nous voyons des violations de la loi [de Dieu], nous n’accepterons jamais ceux qui détruisent cette loi, brouillant la ligne entre la sainteté et le péché, et plus encore avec ceux qui promeuvent le péché comme exemple ou comme l’un des modèles de comportement humain », a déclaré Kirill.


« Autour de ce sujet aujourd’hui, il y a une vraie guerre », a-t-il déclaré. Le patriarche Kirill est une figure religieuse majeure en Russie, où la religion orthodoxe russe est considérée comme faisant partie intégrante de l’identité russe. Il a subi des pressions au sein de sa propre église depuis le début de la guerre pour dénoncer l’agression de Poutine, mais ses déclarations publiques jusqu’à présent n’ont pas réussi à le faire. Au contraire, la langue de Kirill a soutenu la vision de Poutine d’un empire russe spirituel et temporel.»

 


https://www.cnn.com/europe/live-news/ukraine-russia-putin-news-03-08-22/index.html

Garabandal et Avertissement

Publié le 24/02/2022 à 15:06 par laportetroite

On m'a transmis:

 
Chers Amis,
 
Il y a URGENCE : Appel à tous les Coeurs Croisés
UNISSON-NOUS, AMIS COEURS CROISES chaque Samedi DANS LA PRIERE pour la France et le Roi Sauveur, là où vous habitez à 14H, en faisant tous ensemble à la même heure le chapelet avec les intentions et les textes que nous mettrons chaque semaine en bas de la lettre... afin de constituer une prière communautaire d'intercession sur toute la France au même moment, chez vous ou dans votre groupe de prières...
Voir en bas de page.
 
Le Lundi 21 Février 2022, le piège de Poutine s'est refermé. Invoquant la légitime défense devant l'encerclement de la Russie par l'OTAN, contrairement aux accords de Minsk,
 
 
 
 
 
 
 
 
 
(...) le président russe a reconnu les républiques populaires de Donetsk et du Lugansk. Il a clairement dit que les nations qui soutenaient l'OTAN seraient en guerre contre la Russie, questionnant les français, je cite  :
« Les citoyens français veulent-ils être en guerre contre la Russie?Car c'est ce qui va arriver ! »
 
Maintenant Poutine va raconstituer les forces du Pacte de Varsovie avant d'attaquer l'Europe, alliée de l'OTAN: « Êtes-vous avec la Russie ou contre la Russie avec l'OTAN notre ennemi ?... »
 
La gesticulation servile de Micron va se terminer comme l'annoncent toutes les prophéties, par une invasion de l'Europe.
 
Le président de la chambre basse du Parlement russe, Viatcheslav Volodine, a assuré : « Si la guerre commence, c’est l’Europe qui deviendra le théâtre des hostilités ».
 
Au lieu d'avoir une défense nationale, nous obéissons aux intérêts des mondialistes américains pour qui la destruction de l'Europe serait un juteux marché ...
La France, assumant la présidence européenne, est responsable de cette entrée en guerre aux yeux de la Russie.
La guerre en Europe est désormais une question de mois...
Seule la prière pourrait calmer la situation, mais combien sommes-nous ? Chaque Samedi à 14H, tous ensemble dans toute la France, faisons le pour obéir au Christ. 
 
Voir en fin de page : Le Samedi 26 Février, les Mystères Glorieux + les prières de la brochure des Cœurs Croisés (en vente chez Résiac : ☎️ 02.43.01.01.26.)
 
 
 
 
 
Devant les préparatifs de guerre mondiale, rappelons-nous l'Avertissement et sa signification donnée à Garabandal entre 1961 et 1962. 
Les jeunes voyantes témoignaient elles-mêmes dans ces interviews enregistrés avec Conchita, Marie-Loli et Jacinta :
 
 
Conchita et la période du miracle
 
Je vous raconte l'histoire du dialogue du père Morelos avec Conchita: *
Mon oncle est allé plus d'une fois rendre visite aux voyantes peu de temps après la fin des apparitions et avant les dénégations.
Lors d'une de ces visites, le père Morelos était chez Conchita, plus précisément dans la cuisine de Conchita et ils étaient seuls.
Mon oncle était très obsessionnel, quelque peu capricieux, mais avec beaucoup de foi.
Et il dit à Conchita:
« En tant que prêtre, je vous ordonne (sic!) de me dire la date du miracle. »
Conchita: « Père, je ne peux pas, la Vierge me l'a interdit »

Père Morelos: « Mais je suis un prêtre et vous devez me le dire. »
Conchita: « Père, je ne peux pas, seulement 8 jours avant que je puisse le dire. »

Père Morelos: « Et si je devine ? »
Conchita: « Même si, je ne peux pas vous dire »

Père Morelos (un peu agacé) « Ah non Conchita! La Vierge ne vous a jamais dit que si quelqu'un le devinait, vous ne diriez pas oui. »
Conchita: « Mais c'est la même chose père »

Père. Morelos: « Ce n'est pas pareil, je suis un prêtre, je connais la théologie et je peux vous assurer de la tranquillité de votre conscience que ce n'est pas un péché, que vous ne manquerez de rien de ce que la Vierge vous a commandé. »
Conchita: « Tout va bien, Père, dites - moi la date »

Père Morelos: « Vous devez m'aider un peu, vous devez juste dire oui ou non, ce n'était pas interdit par la vierge.
Ici ont commencé les questions du père Morelos:
Est-ce pendant les 3 premiers mois de l'année ? Conchita pas si facile a répondu et le Père Morelos: « en tant que prêtre, je vous demande »
Conchita: « Non, Père »

Père Morelos: « Est-ce au premier semestre ou au second semestre ? »
Conchita: « Dans le premier »

Père Morelos: « Est-ce un mois de Jésus? »
Conchita: « Non, Père »

Père Morelos: « Est-ce que c'est dans un mois de María ? »
Conchita: « Aucun père »

Père Morelos: «Il est donc Avril, dites - moi si ce sera au mois d'Avril »
Conchita: « Oui, Père »
 
Le 13 Avril 2023 est la prochaine date possible pour le grand miracle, un Jeudi à 20H30, jour de la Saint Herménéguilde martyr de l'Eucharistie; mais cela aura lieu après l'invasion russe de l'Europe; puis viendra ensuite l'Avertissement " quand les choses seront au pire ". Car l'Avertissement est un phénomène cosmique entrainant la prise de conscience individuelle, avant le châtiment qui est la guerre nucléaire et les 3 jours de ténèbres, provoquant  la disparition de plusieurs nations et des 3/4 de l'humanité...
 
Après l'Avertissement viendra le Miracle à Garabandal, miracle qui provoquera la conversion de la Russie. (13 Avril 2023 ?)
La deuxième partie de la grande tribulation se terminerait par une guerre nucléaire provoquant les 3 jours de ténèbres en Janvier, (-2024 ?-), selon Debora, la stigmatisée de Manduria.
« Alors le Signe du Fils de l'Homme apparaitra dans le ciel et tous se frapperont la poitrine » Le Christ à Dozulé