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petit coucou du jours.j espère que tu vas bien.je remet petit à petit des photos sur mon blog.un peu le binss
Par koukla, le 06.06.2024
bonjour,
je te remercie doublement de ton aide. non seulement tu as donné ton appréciation, mais tu m'as mo
Par Paule Di Grézia, le 13.01.2013
salut leeloochatana. merci de tes visites.http:/ /drkaroloth.ce nterblog.net
Par drkaroloth, le 12.01.2013
un,deux,trois. ....... du soleil à la lune on s'endort en mélisse...... ... une journée un, deux, trois.......
Par leeloochatana, le 11.01.2013
"qu'allons nous faire que nous n'aurons pas à regretter ?" : fulgurant.http ://babayaga.ce nterblog.net
Par babayaga, le 05.01.2013
Date de création : 19.04.2011
Dernière mise à jour :
10.01.2020
772 articles
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Je m’étonnai, mais je fis ce que l’on exigeait de moi sans protester. L’instant d’après, le slip à hauteur des genoux, j’exposais mes parties génitales à tout venant. Un sentiment de honte s’insinua en moi. Pourtant, le type qui n’était apparemment pas un policier — plutôt un genre de garde-chiourme — semblait se soucier de ma semi-nudité comme d’une guigne — il devait en voir de toutes les tailles et de toutes les couleurs avec ce job. Il s’approcha tout près et, me prenant par les épaules, il me demanda de me retourner, d’écarter un peu les jambes puis de me pencher vers l’avant jusqu’à me casser en deux. Lorsque je fus dans la position qu’il attendait de moi et qui n’était guère avantageuse, je vous l’assure, il me dit :
« — tousse !
— Pardon ?
— Tousse, nom de Dieu ! Ce n’est quand même pas compliqué à comprendre ni à faire, non ! Ne t’inquiète pas, il n’y a pas de pédé dans ce bâtiment. »
Je n’en aurais pas donné ma main au feu, mais j’obéis bien qu’avec une certaine crispation tout en mettant ma main devant ma bouche, signe d’une bonne éducation, cependant que l’autre ayant reculé d’un pas et s’étant légèrement baissé vers l’avant observait le comportement de mon anus. Je ne sais pas ce qu’ils s’imaginaient, lui et ceux qui l’employaient. Pouvaient-ils vraiment me croire capable de cacher dans mon fondement une liasse de billets de banque finement serrée en rouleau ? Par bonheur, rien ne sortit. Ouf ! Pas même un petit gaz. Je m’en sentis soulagé. Pourtant je ne pus m’empêcher de sourire en pensant à ce qui aurait pu se passer si sous la pression d’un vent quelque chose de plus ou moins immonde avait été éjecté de mon corps par cette voie. En un éclair, je vis la tête de mon gros moustachu mouchetée de matière fécale. Il me fallut retenir un rire inopportun pour ne pas risquer un coup de matraque mal placé.
« — C’est bon ! Vous pouvez remettre vos fringues ! », me dit le gardien en m’administrant deux tapes amicales sur la fesse droite avec son bâton.
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