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petit coucou du jours.j espère que tu vas bien.je remet petit à petit des photos sur mon blog.un peu le binss
Par koukla, le 06.06.2024
bonjour,
je te remercie doublement de ton aide. non seulement tu as donné ton appréciation, mais tu m'as mo
Par Paule Di Grézia, le 13.01.2013
salut leeloochatana. merci de tes visites.http:/ /drkaroloth.ce nterblog.net
Par drkaroloth, le 12.01.2013
un,deux,trois. ....... du soleil à la lune on s'endort en mélisse...... ... une journée un, deux, trois.......
Par leeloochatana, le 11.01.2013
"qu'allons nous faire que nous n'aurons pas à regretter ?" : fulgurant.http ://babayaga.ce nterblog.net
Par babayaga, le 05.01.2013
Date de création : 19.04.2011
Dernière mise à jour :
10.01.2020
772 articles
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À un certain moment, un homme en chemisette dont l’apparence générale dépareillait du reste de la clique de « flicaillons » qui s’agitait partout autour fit son apparition. Il était grand et maigre ; il avait la peau couleur caramel et il portait une sorte de mallette. Je le vis discuter un instant avec le responsable de la perquisition puis il se dirigea dans ma direction après que l’autre m’eut désigné du doigt. Arrivé près de moi, il s’accroupit afin de se mettre à ma hauteur et se présenta :
« — bonjour, je suis le docteur Poussah. Docteur en médecine auprès du tribunal des affaires financières. Je suis ici pour vous ausculter avant votre transfert au dépôt.
— Au dépôt ?
— Oui, c’est un lieu de rétention temporaire. Vous pourrez y rester une ou deux journées le temps de rencontrer le juge de statut qui décidera de votre proche avenir.
— Ils vont me mettre en prison ?
— Je suis médecin. »
En clair, il n’en savait rien et s’en contrefichait.
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Il déposa sa mallette par terre et l’ouvrit. L’intérieur contenait une sorte de machine électronique complètement recouverte d’un plastique blanc sur lequel n’apparaissait qu’un cadran dans un angle ainsi qu’une petite fente au-dessous. Accrochées au couvercle de la mallette, une vingtaine de petites pièces circulaires, des sortes de ventouses, attendaient d’être utilisées. En fait, il s’agissait de capteurs destinés à transmettre toutes les informations requises sur mon état de santé à l’appareil qui devait en faire la synthèse et éditer un bilan.
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En quelques mouvements, le médecin posa une douzaine de ces ventouses à divers endroits de mon corps : aux tempes, sur le plexus solaire, sur le ventre et à chacune de mes principales articulations. Il attendit quelques secondes et passa la pulpe de son majeur sur l’écran qui s’éclaira aussitôt.
« — Ça ne va pas être long. »
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