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petit coucou du jours.j espère que tu vas bien.je remet petit à petit des photos sur mon blog.un peu le binss
Par koukla, le 06.06.2024
bonjour,
je te remercie doublement de ton aide. non seulement tu as donné ton appréciation, mais tu m'as mo
Par Paule Di Grézia, le 13.01.2013
salut leeloochatana. merci de tes visites.http:/ /drkaroloth.ce nterblog.net
Par drkaroloth, le 12.01.2013
un,deux,trois. ....... du soleil à la lune on s'endort en mélisse...... ... une journée un, deux, trois.......
Par leeloochatana, le 11.01.2013
"qu'allons nous faire que nous n'aurons pas à regretter ?" : fulgurant.http ://babayaga.ce nterblog.net
Par babayaga, le 05.01.2013
Date de création : 19.04.2011
Dernière mise à jour :
10.01.2020
772 articles
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Jour merveilleux
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Je me souvenais aussi des jours moins heureux, de ses moments de tristesse inexplicable, de ses débordements lacrymaux et de l’exaspération qu’ils provoquaient en moi ; de mes injonctions à cesser sur le champ ces pleurs inutiles. Je n’étais plus capable de supporter sa détresse. Bien sûr, nous traversions une épreuve difficile ! Notre monde semblait sur le point de s’écrouler, en passe de s’effondrer, mais rien n’était perdu ! Nous étions vivants ! Nous avions deux splendides enfants et même si notre horizon se couvrait de nuages sombres, l’avenir nous appartenait encore. Il serait simplement un peu différent de celui de nos espérances. Je reconnais ma responsabilité dans notre naufrage financier, j’avais misé et j’avais perdu, par ignorance et par malchance, mais se complaire dans la mélancolie ne servait à rien. Je savais comment finit ce genre de grand plongeon dans le marasme. Lorsque j’étais enfant, l’une de mes tantes a glissé ainsi dans l’abîme. Je ne sais pas quel a été le déclencheur de sa maladie, par contre, je sais parfaitement comment elle s’est terminée. Après une dizaine d’années de séjours répétés en centre hospitalier spécialisé, un jour, pendant une permission de sortie, chez elle, elle s’est pendue. Je ne voulais pas que Mylène devienne à l'état de zombie, comme j’avais connu ma tante. Déjà, elle avait commencé à prendre des anxiolytiques sur les conseils de notre médecin. Inutile de dire que dès que je m’en suis aperçu, je les ai mis à la poubelle et je lui ai interdit d’absorber ce genre de médicaments. Pour moi, ils étaient un engrenage dans lequel il valait mieux éviter de glisser le doigt. Il fallait tout essayer avant d’accepter d’en arriver là. C’est d’ailleurs ce qu’elle a fait. Dans cette affaire, on peut dire que j’ai été de bons conseils puisque c’est sans doute à cette époque qu’elle a rencontré Abdel. Tout à coup, elle s’est sentie mieux et a recommencé à remonter la pente et moi, satisfait, je pensais mes exhortations être la cause de ce renouveau. Quelle ironie !
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Donc, pour revenir à cette soirée chez mon oncle et ma tante, Mylène attendait un appel de moi. Au bout de quelques longues secondes, je m’excusai en me levant de mon fauteuil et je pris la direction du dehors en allumant mon portable. Un petit vent frais m’accueillit lorsque je franchis la porte. L’été était encore loin. Je trouvai un coin où me mettre relativement à l’abri de son souffle et après avoir entré le code PIN, je composai le numéro de téléphone de Mylène non sans remarquer auparavant la réception d’une vingtaine d’appels en absence. Sans doute Mylène guettait-elle mon appel avec impatience, car elle répondit aussitôt. « — Oui, Bruno. » Entendis-je.
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