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petit coucou du jours.j espère que tu vas bien.je remet petit à petit des photos sur mon blog.un peu le binss
Par koukla, le 06.06.2024
bonjour,
je te remercie doublement de ton aide. non seulement tu as donné ton appréciation, mais tu m'as mo
Par Paule Di Grézia, le 13.01.2013
salut leeloochatana. merci de tes visites.http:/ /drkaroloth.ce nterblog.net
Par drkaroloth, le 12.01.2013
un,deux,trois. ....... du soleil à la lune on s'endort en mélisse...... ... une journée un, deux, trois.......
Par leeloochatana, le 11.01.2013
"qu'allons nous faire que nous n'aurons pas à regretter ?" : fulgurant.http ://babayaga.ce nterblog.net
Par babayaga, le 05.01.2013
Date de création : 19.04.2011
Dernière mise à jour :
10.01.2020
772 articles
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ne serait pas satisfaite. Je m'exécutai et donnai tous les renseignements nécessaires bien que je trouvai cette exigence préalable un peu exagérée. On ne traitait quand même pas d'affaires d'État dans cette assemblée. Quand j'eus terminé, Carlos Santos examina rapidement la feuille griffonnée et contrôla mes papiers d'identité d'une manière qu'il voulait faire paraître superficielle, mais que je devinais attentive. Il me rendit mon permis de conduire, rangea ma demande dans son porte-documents puis lança à la cantonade :
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— Bien, je déclare la session ouverte.
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Carlos Santos était le président de l'association, Kader Bouada en était le secrétaire et Agnès Jocelin la trésorière, ces précisions étaient portées à mon attention en avant-propos. À peine avait-on commencé à passer en revue les activités du groupe que la porte d'entrée s'ouvrit. Un rayon de soleil pénétra la pièce sous la forme d'une jeune femme pleine de charme. C'était la petite-fille de Carlos Santos. Immédiatement, elle me fit penser à Marie. Je ne sais pourquoi, car autant Marie était grande avec des cheveux blonds et bouclés, autant Karolanne, c'était son prénom, était petite et possédait une chevelure lisse et brune. Peut-être ses yeux clairs et l’expression de son visage aux traits fins étaient-ils pour quelque chose dans le sentiment qui m'avait gagné.
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— Désolé, dit-elle d'une voix cristalline et en guise de bonjour, je suis en retard. C'est que...
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— Nous l'avions remarqué, Karolanne, coupa son grand-père, il est inutile de te justifier. Tes excuses nous suffisent.
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Il me présenta à elle en insistant sur le fait que j'avais été gendarme. Je ne voyais pas l'intérêt de cette précision, mais bon, il devait avoir ses raisons, peut-être était-ce une manière de flatter mon égo. Puis il me fit l'éloge de la belle dont le sourire persistant éclaboussait de lumière toute la pièce. Son rôle au sein de l'association consistait à tenir la permanence le samedi matin et plus particulièrement d'accueillir les éventuels visiteurs. « Y en avait-il beaucoup ? — Heu, pour ainsi dire, jamais. » En bref, la demoiselle ne servait à rien.
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