Formação sobre jornais escolares - sinais
"Como se escreve uma notícia? E um título? Qual a importância da fotografia? Que cuidados importa ter com a língua portuguesa? E quais são os cuidados gráficos que não podem ser descurados? Foi para dar resposta a esta e outras perguntas, e simultaneamente dotar os professores de ferramentas que lhes permitam fazer jornais escolares de qualidade, que o PÚBLICO, através do projecto PÚBLICO na Escola, em parceria com a Direcção Regional de Educação do Norte, resolveu dar corpo à acção Jornais Escolares - Partilhar para (in)formar. O pontapé de saída deste programa foi dado ontem, na Escola Secundária António Nobre, no Porto. Um conjunto de profissionais do PÚBLICO - uma jornalista, uma editora, um copydesk, um fotojornalista e um gráfico - partilharam a sua experiência com os cerca de 60 docentes da Região Norte que compunham a plateia. A ideia é que estas sessões se estendam a todo o país".
(No Público de hoje)
segunda-feira, setembro 04, 2006
Um fosso nítido entre a casa e a escola
O relatório a que aqui se fez referência no dia 15 de Junho, de Mediapro - L' Appropriation des Nouveaux Médias par les jeunes - tem uma apresentação disponível na Internet.
Através do site InternetActu, tive conhecimento deste comentário de François Jarraud do Café Pédagogique :
"La conclusion la plus frappante de l'ensemble de cette 'etude réside dans le fossé marqué entre les usages de l'Internet à la maison et à l'école. Dans tous les pays, Québec inclus, ce fossé s'impose en termes de fréquence d'utilisation, d'accès, de régulation, d'apprentissage et de développement d'aptitudes, et de type d'activités. Les données montrent que c'est un gouffre qui s'ouvre. Toutes les fonctions importantes pour les jeunes existent hors de l'école, comme l'essentiel de leurs apprentissages (surtout de l'auto-apprentissage et de l'apprentissage entre pairs). Dans le même temps, les écoles restreignent l'accès, interdisent certaines pratiques sans aucune nécessité, ne parviennent pas à comprendre la fonction communicationnelle d'Internet, et, pire que tout, échouent à transmettre les compétences de recherche documentaire, d'évaluation des sites, de recherche et de production créative qui devraient être les plus importantes pour elles. On note partout clairement que les jeunes ne peuvent pas acquérir les savoir-faire nécessaires dans de bonnes conditions. Alors que dans certains pays, ils se révèlent des usagers sophistiqués de l'Internet, comprenant bien les aspects moraux et culturels, en France en particulier, il existe des pays où ils sont beaucoup plus faibles, surtout en ce qui concerne les questions d'ordre légal qui sont liées à ces médias. En outre, il est évident dans tous les pays qu'ils surestiment leur propre capacité à évaluer. Ce sont des types de connaissances et de compétences critiques que seule l'école peut transmettre. Alors que la littérature académique discute beaucoup du potentiel créatif des nouveaux médias, on constate ici que le travail créatif est limité, et qu'une minorité de jeunes développent des sites personnels ou des blogs. De plus, ces objets peuvent facilement être laissés en sommeil. A nouveau, il y aurait un rôle évident à jouer pour les écoles dans le développement de ces aptitudes plus délicates à acquérir.?
O relatório a que aqui se fez referência no dia 15 de Junho, de Mediapro - L' Appropriation des Nouveaux Médias par les jeunes - tem uma apresentação disponível na Internet.
Através do site InternetActu, tive conhecimento deste comentário de François Jarraud do Café Pédagogique :
"La conclusion la plus frappante de l'ensemble de cette 'etude réside dans le fossé marqué entre les usages de l'Internet à la maison et à l'école. Dans tous les pays, Québec inclus, ce fossé s'impose en termes de fréquence d'utilisation, d'accès, de régulation, d'apprentissage et de développement d'aptitudes, et de type d'activités. Les données montrent que c'est un gouffre qui s'ouvre. Toutes les fonctions importantes pour les jeunes existent hors de l'école, comme l'essentiel de leurs apprentissages (surtout de l'auto-apprentissage et de l'apprentissage entre pairs). Dans le même temps, les écoles restreignent l'accès, interdisent certaines pratiques sans aucune nécessité, ne parviennent pas à comprendre la fonction communicationnelle d'Internet, et, pire que tout, échouent à transmettre les compétences de recherche documentaire, d'évaluation des sites, de recherche et de production créative qui devraient être les plus importantes pour elles. On note partout clairement que les jeunes ne peuvent pas acquérir les savoir-faire nécessaires dans de bonnes conditions. Alors que dans certains pays, ils se révèlent des usagers sophistiqués de l'Internet, comprenant bien les aspects moraux et culturels, en France en particulier, il existe des pays où ils sont beaucoup plus faibles, surtout en ce qui concerne les questions d'ordre légal qui sont liées à ces médias. En outre, il est évident dans tous les pays qu'ils surestiment leur propre capacité à évaluer. Ce sont des types de connaissances et de compétences critiques que seule l'école peut transmettre. Alors que la littérature académique discute beaucoup du potentiel créatif des nouveaux médias, on constate ici que le travail créatif est limité, et qu'une minorité de jeunes développent des sites personnels ou des blogs. De plus, ces objets peuvent facilement être laissés en sommeil. A nouveau, il y aurait un rôle évident à jouer pour les écoles dans le développement de ces aptitudes plus délicates à acquérir.?
sexta-feira, setembro 01, 2006
Internet: Manual de Literacia
O Comselho da Europa publicou um instrumento útil para quem se propõe abordar criticamente a Internet: The Internet Literacy Handbook - A guide for parents, teachers and young people. Está disponível uma versão em Flash e uma outra em texto simples.
O Comselho da Europa publicou um instrumento útil para quem se propõe abordar criticamente a Internet: The Internet Literacy Handbook - A guide for parents, teachers and young people. Está disponível uma versão em Flash e uma outra em texto simples.
quinta-feira, junho 15, 2006
38% des jeunes de 12 à18 ans sont entrés dans la blogosphère !
Les résultats de l?enquête Européenne Mediappro dressent un nouveau portrait de l?appropriation d?Internet et des technologies par les jeunes.
Les 12 et 13 juin, à l?invitation de Média Animation asbl, les 9 équipes de recherche sont venus présenter et débattre en public des résultats et recommandations issues de l?enquête qui a été menée entre janvier et mai 2006.
Nonante pourcents des jeunes européens âgés de 12 à 18 ans utilisent Internet et plus de 7 sur dix communiquent entre-eux via la messagerie instantanée, révèle lundi l?étude internationale Mediappro, soutenue par la Commission européenne et réalisée auprès de plus de 9.000 jeunes issus de neuf pays européens et au Québec. Il ressort de cette vaste étude qu?Internet est surtout utilisé à domicile (80%), pour discuter entre amis (70%), à des fins de recherche (90%), pour envoyer des mails (69%), pour télécharger des fichiers (60%) et pour écouter de la musique (67%). Moins naïfs que ce que l?on pouvait imaginer, les jeunes déclarent ne jamais (47%) ou rarement (22%) rencontrer en personne des inconnu(e)s qu?ils auraient croisés sur Internet. Nonante-cinq pourcents des jeunes européens possèdent par ailleurs leur propre téléphone portable et envoient plus de sms (79%) qu?ils ne téléphonent (65%). Cinquante-deux pourcents des jeunes jouent sur une console, 64% sur l?ordinateur. Ils y jouent essentiellement de manière épisodique.
Plusieurs autres pratiques ont été mises en évidence par l?étude universitaire Mediappro. Ainsi, 38% des jeunes belges déclarent posséder leur propre blog. Un chiffre qui apparaît comme particulièrement important car la moyenne européenne ne se situe qu?à 18%. Pour les auteurs de la recherche, le fait qu?un grand opérateur d?accès à Internet (Skynet) fournisse une solution de blogging pourrait en partie expliquer ce chiffre. Une autre explication pourrait être avancée au vu des chiffres fournis récemment par la plateforme de blogs de Microsoft (plus d?1,5 million). Il reste que le succès de ce nouveau mode d?expression est indéniable en Belgique "d?autant que cela ne fait pas plus d?un an que cette technologie s?est étendue au grand public", souligne le professeur Thierry De Smedt (UCL), qui a coordonné cette vaste étude. Les filles "bloguent" plus souvent, surtout entre 14 et 16 ans (44,2%), que les garçons (chez qui la pratique diminue avec l?âge). Ce qui fait dire aux chercheurs que le fait d?avoir un blog serait sans doute une activité temporaire (la durée de vie d?un blog étant de 6 mois à 1 an) survenant au moment où le jeune se cherche une identité sociale. Toutefois, "ce mode d?expression ne semble pas relever d?une volonté de contrefaire son identité, mais au contraire d?une mise en scène médiatique du jeune lui-même", souligne l?étude. Les jeunes mettent en outre en avant un modèle d?identité authentique, à l?opposé des conseils d?anonymat et de masquage que leurs prodiguent les adultes.
Les blogs et la messagerie instantanée développent ainsi chez les jeunes la conscience que la liberté d?expression a ses limites. "L?un des pires comportements que quelqu?un peut avoir sur le net consiste à avoir une attitude anti-sociale", notent les chercheurs. D?une manière générale, les jeunes belges sont dans la moyenne des constatations relevées au niveau européen en ce qui concerne leurs autres activités sur Internet. La principale observation étant l?usage grégaire voir tribal que les jeunes ont du web. L?objectif est de rester en permanence connecté avec ses amis. La possibilité d?intrusion d?individus mal intentionnés dans ce cercle restreint est par ailleurs battue en brèche par les jeunes, qui estiment disposer des "armes" nécessaires pour les démasquer. Le téléchargement constitue une pratique courante et 48,4% des jeunes disent qu?ils continuent à télécharger alors qu?ils savent que c?est interdit. Paradoxalement, ils n?ont qu?une très faible connaissance des risques encourus, même si le volet éthique de l?usage des oeuvres d?autrui ne leur échappe pas totalement. En outre Internet ne semble pas tuer l?usage de la télévision, mais en limiter la consommation, même si leur usage est souvent concomitant, tout comme celui des téléphones portables. L?usage d?un gsm (95%) avec carte prépayée (78%) est en effet très bien implanté chez les jeunes belges. Leur carnet d?adresse étant quasi identique à celui de leurs contacts sur le net. Les photos sur gsm restent quant à elles marginales, à l?inverse des sms qui sont plus souvent utilisés que les appels vocaux. Les sms "interactifs" avec d?autres médias (jeux TV, concours) sont également très peu prisés par les jeunes interrogés et ils ne sont que 11% à télécharger des sonneries payantes. Enfin, faute d?avoir confiance en ces sites, 78,3% des jeunes belges n?achètent jamais rien sur des sites à vocation commerciale.
in Media Animation
Les résultats de l?enquête Européenne Mediappro dressent un nouveau portrait de l?appropriation d?Internet et des technologies par les jeunes.
Les 12 et 13 juin, à l?invitation de Média Animation asbl, les 9 équipes de recherche sont venus présenter et débattre en public des résultats et recommandations issues de l?enquête qui a été menée entre janvier et mai 2006.
Nonante pourcents des jeunes européens âgés de 12 à 18 ans utilisent Internet et plus de 7 sur dix communiquent entre-eux via la messagerie instantanée, révèle lundi l?étude internationale Mediappro, soutenue par la Commission européenne et réalisée auprès de plus de 9.000 jeunes issus de neuf pays européens et au Québec. Il ressort de cette vaste étude qu?Internet est surtout utilisé à domicile (80%), pour discuter entre amis (70%), à des fins de recherche (90%), pour envoyer des mails (69%), pour télécharger des fichiers (60%) et pour écouter de la musique (67%). Moins naïfs que ce que l?on pouvait imaginer, les jeunes déclarent ne jamais (47%) ou rarement (22%) rencontrer en personne des inconnu(e)s qu?ils auraient croisés sur Internet. Nonante-cinq pourcents des jeunes européens possèdent par ailleurs leur propre téléphone portable et envoient plus de sms (79%) qu?ils ne téléphonent (65%). Cinquante-deux pourcents des jeunes jouent sur une console, 64% sur l?ordinateur. Ils y jouent essentiellement de manière épisodique.
Plusieurs autres pratiques ont été mises en évidence par l?étude universitaire Mediappro. Ainsi, 38% des jeunes belges déclarent posséder leur propre blog. Un chiffre qui apparaît comme particulièrement important car la moyenne européenne ne se situe qu?à 18%. Pour les auteurs de la recherche, le fait qu?un grand opérateur d?accès à Internet (Skynet) fournisse une solution de blogging pourrait en partie expliquer ce chiffre. Une autre explication pourrait être avancée au vu des chiffres fournis récemment par la plateforme de blogs de Microsoft (plus d?1,5 million). Il reste que le succès de ce nouveau mode d?expression est indéniable en Belgique "d?autant que cela ne fait pas plus d?un an que cette technologie s?est étendue au grand public", souligne le professeur Thierry De Smedt (UCL), qui a coordonné cette vaste étude. Les filles "bloguent" plus souvent, surtout entre 14 et 16 ans (44,2%), que les garçons (chez qui la pratique diminue avec l?âge). Ce qui fait dire aux chercheurs que le fait d?avoir un blog serait sans doute une activité temporaire (la durée de vie d?un blog étant de 6 mois à 1 an) survenant au moment où le jeune se cherche une identité sociale. Toutefois, "ce mode d?expression ne semble pas relever d?une volonté de contrefaire son identité, mais au contraire d?une mise en scène médiatique du jeune lui-même", souligne l?étude. Les jeunes mettent en outre en avant un modèle d?identité authentique, à l?opposé des conseils d?anonymat et de masquage que leurs prodiguent les adultes.
Les blogs et la messagerie instantanée développent ainsi chez les jeunes la conscience que la liberté d?expression a ses limites. "L?un des pires comportements que quelqu?un peut avoir sur le net consiste à avoir une attitude anti-sociale", notent les chercheurs. D?une manière générale, les jeunes belges sont dans la moyenne des constatations relevées au niveau européen en ce qui concerne leurs autres activités sur Internet. La principale observation étant l?usage grégaire voir tribal que les jeunes ont du web. L?objectif est de rester en permanence connecté avec ses amis. La possibilité d?intrusion d?individus mal intentionnés dans ce cercle restreint est par ailleurs battue en brèche par les jeunes, qui estiment disposer des "armes" nécessaires pour les démasquer. Le téléchargement constitue une pratique courante et 48,4% des jeunes disent qu?ils continuent à télécharger alors qu?ils savent que c?est interdit. Paradoxalement, ils n?ont qu?une très faible connaissance des risques encourus, même si le volet éthique de l?usage des oeuvres d?autrui ne leur échappe pas totalement. En outre Internet ne semble pas tuer l?usage de la télévision, mais en limiter la consommation, même si leur usage est souvent concomitant, tout comme celui des téléphones portables. L?usage d?un gsm (95%) avec carte prépayée (78%) est en effet très bien implanté chez les jeunes belges. Leur carnet d?adresse étant quasi identique à celui de leurs contacts sur le net. Les photos sur gsm restent quant à elles marginales, à l?inverse des sms qui sont plus souvent utilisés que les appels vocaux. Les sms "interactifs" avec d?autres médias (jeux TV, concours) sont également très peu prisés par les jeunes interrogés et ils ne sont que 11% à télécharger des sonneries payantes. Enfin, faute d?avoir confiance en ces sites, 78,3% des jeunes belges n?achètent jamais rien sur des sites à vocation commerciale.
in Media Animation
terça-feira, junho 06, 2006
"Ecrãs em Mudança", novo livro de J. Carlos Abrantes
A Feira do Livro, em Lisboa, é palco hoje, pelas 18.30, do lançamento do livro coordenado por José Carlos Abrantes "Ecrãs em Mudança", editado pela Livros Horizonte e pelo Centro de Investigação Media e Jornalismo (CIMJ). O livro será apresentado por José Manuel Paquete de Oliveira, provedor do telespectador da RTP, Tânia Morais Soares, investigadora do ISCTE e do Centro de Investigação Media e Democracia (CIMED), e por Maria Emília Brederode Santos, directora da revista Noesis.
O livro "Ecrãs em mudança" reúne contribuições sobre as relações da televisão e da internet com os seus públicos, sobretudo os jovens. Dá também relevo ao provedor de televisão recentemente instituído pela na RTP.
Refere a apresentação:
"A interacção entre os públicos e tais tecnologias faz-se, sobretudo, a partir dos ecrãs, face aos quais nos entregamos, quotidianamente, mais ou menos tempo, na nossa actividade profissional e de lazer. Tais ecrãs estão em mudança pois, quer uns quer outros, sofrem transformações constantes nos conteúdos, nos dispositivos, nos públicos, nas tecnologias que os fazem estar presentes nas sociedades modernas".
Os textos publicados na obra têm como autores Jacques Piette, da Universidade de Sherbrooke (Canadá), Dominique Pasquier, da École des Hautes Études en Sciences Sociales, Jacques Gonnet, da Université de Paris III, Eduardo Marçal Grilo, da Fundação Calouste Gulbenkian, Serge Tisseron, da Université de Paris VII, e de Geneviève Guicheney, da France Télévisions.
A Feira do Livro, em Lisboa, é palco hoje, pelas 18.30, do lançamento do livro coordenado por José Carlos Abrantes "Ecrãs em Mudança", editado pela Livros Horizonte e pelo Centro de Investigação Media e Jornalismo (CIMJ). O livro será apresentado por José Manuel Paquete de Oliveira, provedor do telespectador da RTP, Tânia Morais Soares, investigadora do ISCTE e do Centro de Investigação Media e Democracia (CIMED), e por Maria Emília Brederode Santos, directora da revista Noesis.
O livro "Ecrãs em mudança" reúne contribuições sobre as relações da televisão e da internet com os seus públicos, sobretudo os jovens. Dá também relevo ao provedor de televisão recentemente instituído pela na RTP.
Refere a apresentação:
"A interacção entre os públicos e tais tecnologias faz-se, sobretudo, a partir dos ecrãs, face aos quais nos entregamos, quotidianamente, mais ou menos tempo, na nossa actividade profissional e de lazer. Tais ecrãs estão em mudança pois, quer uns quer outros, sofrem transformações constantes nos conteúdos, nos dispositivos, nos públicos, nas tecnologias que os fazem estar presentes nas sociedades modernas".
Os textos publicados na obra têm como autores Jacques Piette, da Universidade de Sherbrooke (Canadá), Dominique Pasquier, da École des Hautes Études en Sciences Sociales, Jacques Gonnet, da Université de Paris III, Eduardo Marçal Grilo, da Fundação Calouste Gulbenkian, Serge Tisseron, da Université de Paris VII, e de Geneviève Guicheney, da France Télévisions.
sexta-feira, junho 02, 2006
Comunicação para a saúde
O mais recente número da revista Comunicar é dedicado em grande parte ao tema da Comunicação para a Saúde.
Esta edição foi coordenada pelos professores José Maria López e Miguel de Aguilera, ambos da Universidade de Málaga, instituição onde está em curso um projecto de pesquisa, intitulado "Grupo de Investigação sobre Comunicação, Jovens e Saúde".
Esta revista científica iberoamericana de comunicação e educação vai já no número 26 e anuncia os temas dos próximos números: moda e meios de comunicação; educação para os media na Europa e educação para os media no mundo.
O mais recente número da revista Comunicar é dedicado em grande parte ao tema da Comunicação para a Saúde.
Esta edição foi coordenada pelos professores José Maria López e Miguel de Aguilera, ambos da Universidade de Málaga, instituição onde está em curso um projecto de pesquisa, intitulado "Grupo de Investigação sobre Comunicação, Jovens e Saúde".
Esta revista científica iberoamericana de comunicação e educação vai já no número 26 e anuncia os temas dos próximos números: moda e meios de comunicação; educação para os media na Europa e educação para os media no mundo.
Uma nova sintaxe visual
O Centro de Estudos de Comunicação e Sociedade da Universidade do Minho disponibiliza o texto de uma entrevista feita a Gunther Kress, intitulada "Uma nova sintaxe visual / A new visual grammar". A autora é Helena Pires e a entrevista foi feita aquando da deslocação a Braga daquele reputado especialista de sócio-semiótica, da Universidade de Londres.
O Centro de Estudos de Comunicação e Sociedade da Universidade do Minho disponibiliza o texto de uma entrevista feita a Gunther Kress, intitulada "Uma nova sintaxe visual / A new visual grammar". A autora é Helena Pires e a entrevista foi feita aquando da deslocação a Braga daquele reputado especialista de sócio-semiótica, da Universidade de Londres.
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