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c'est la vérité que beaucoup de gens n'admettent pas.
Par Anonyme, le 29.04.2024
el hamdou lillah. louanges à allah le seigneur des mondes.
Par Anonyme, le 29.04.2024
mon cher georges, toutes mes excuses.
Par Anonyme, le 29.04.2024
bel article.
Par Anonyme, le 29.04.2024
khadija vous souhaite à vous tous et à vos familles, une bonne fête de l'aïd al-fitr.
qu'a llah pardonne vos
Par khadijamine, le 09.07.2022
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Date de création : 15.10.2010
Dernière mise à jour :
20.12.2018
87 articles
Un adage arabe dit que « seules les montagnes ne se rencontrent pas ». C’est vrai, toutes personnes encore vivantes sur terre peuvent se rencontrer. Après quarante ans, voilà que je retrouve cet (homme inoubliable). Ce fut le titre d’un article que j’ai écrit il y a longtemps en hommage à mon maître d’école Mr Peurichard Jacques ; et c’est grâce à cet article que j’ai pu avoir quelques informations le concernant et enfin son adresse.
Le 06 Avril 2017 je lui écris une lettre où j’ai essayé de lui rafraichir la mémoire sachant qu’il a dû tout oublier. Ce n’est que 7 mois après, début Octobre, que je trouve un e-mail non pas de Mr Peurichard mais du frère de sa femme Georges Roques. Il m’apprit que ma lettre était arrivée accusant un retard de 7 mois. Et s’il n’a pu me répondre lui-même c’est parce qu’il ne voit pas bien et que tous deux (lui et sa femme) sont devenus vieux et ne savent pas manier l’ordinateur. Dans une seconde lettre je lui envoyai l’article « Un homme inoubliable » que Georges devait le lui lire et qui d’après lui (ne manquera pas de faire plaisir à Jacques et qui lui rappellera sans doute de beaux souvenirs).
Après avoir quitté l’Algérie, Mr Peurichard a enseigné dans un petit village du jura, puis à Blois, à l'île de la Réunion et enfin dans les Pyrénées orientales avant de prendre sa retraite à côté de Pau.
Enfin je tiens à remercier André Sanchez qui m’a mis sur le bon chemin de ces belles retrouvailles et Georges Roques qui m’a donné des nouvelles de ce cher homme.
Les peuples arabes et musulmans en colère. La décision de Donald Trump de transférer l’ambassade de son pays à El Qods les a vexé. Ils trouvent que cette décision qui est synonyme à la reconnaissance de cette ville musulmane comme étant capitale de l’état juif est inacceptable. Ils appellent à protéger leur patrimoine religieux, de sauver leur première Qibla et troisième lieu saint des projets du sionisme avec l’appui des USA. Et s’il y aura des débordements, des attentats, une nouvelle guerre dans la région? Sans doute le monde entier criera au terrorisme mais personne n’aura le courage de citer Trump comme étant le principal instigateur à de sanglants évènements. C’est pour ça, et avant que la catastrophe ne se produise, que tout le monde doit dire à ce président: Tu as tort de prendre une telle décision, tu ne fais que bruler une mèche qui va sauter la poudrière.
Des fois l'individu passe par un temps vide seulement le mien je reconnais qu'il a trop duré. Je me suis trouvé bloqué, incapable d'écrire alors je me suis tout simplement éclipsé. J'ai abandonné mon blog, non seulement sans sa mise à jour mais sans lui rendre visite durant longtemps. Celà explique peut être à tous mes frères et soeurs et amis(es)ma longue absence. A toutes et à tous je présente toutes mes excuses.
Son ami est mort depuis longtemps mais il n’a pas supprimé son nom de son téléphone, savez-vous pourquoi? Cet individu nous dit : Non seulement que je ne l’ai pas supprimé mais il m’est arrivé de changer de puce alors j’ai ajouté le nom de mon défunt ami. Pourquoi, lui a-t-on demandé? Il répondit: Chaque fois que je vois son nom je prie sur son âme et implore Allah de lui pardonner toute faute commise en ce bas monde.
C’est la vraie amitié et la vraie fidélité n’est-ce pas? Fidèle à son ami même après sa mort. J’aime bien avoir des amis comme celui-là.
Avis de recherche.
Les souvenirs d’enfance nous accompagnent durant notre vie. Ils sont les plus chers parce qu’ils sont d’une période où on était encore libre de toute responsabilité. Ce sont les amis de cette période à qui on s’attache le plus aussi parce que c’est avec eux qu’on a vécu ces bons moments. Il y a des moments où, sans faire attention, ces souvenirs émergent alors on les revit délicieusement. Quant aux amis de cet âge d’or, s’ils sont loin, on sent les larmes aux yeux, on a envie de les revoir. On ne perd pas confiance, on espère qu’un jour ils reviennent. Même s’ils ont quitté le pays et qu’on a perdu leur trace, on a toujours cet espoir de les rencontrer un jour.
Pour activer cette rencontre avec mon ami Amari je vais tenter un « Avis de recherche » peut être qu’il me portera bonheur.
C’est un marocain qui a quitté le pays avec sa famille en 1965. Cette famille a rejoint le Maroc de son plein gré. D’ailleurs elle n’était la seule. Ces gens là n’avaient pas de noms. L’administration Française qui occupait l’Algérie leur a donné des initiales (S.N.P.), c'est-à-dire : Sans Nom Patronomique, ou, Son Nom Perdu. C’est ainsi que mon ami s’appelait SNP Amari. Son père Mohamed, son grand père Moh, sa grand-mère Leïtmès. Ses oncles portaient le nom de Didouh.
Nous habitions le Douar Chafaa, la rue Benaskar Bouziane ex Ali Chekal. On fréquentait la même école ; on apprenait le Coran chez le taleb Si Maamar. Nous aussi on avait notre petite équipe de football de rue, le RCR avec d’autres amis : Mimoun, Ahmed et Himmi (oncles d’Amari) …
Le peu d’information que j’ai, c’est qu’il habite la ville d’Oujda et qu’il enseigne le Français.
Si par hasard quelqu’un lira mon article et reconnaîtra cet individu qu’il l’informe qu’un de ses amis d’enfance le cherche ou qu’il me donne de ses nouvelles. Avec tous mes remerciements.
Une journée en plein air.
Hier je me suis évadé. J’ai emmené ma famille hors de la ville, loin delatélé, de l’Internet pour passer une journée dans la nature, entre la plage, la forêt et la montagne.
La mer était en colère et m’a fait rappeler ces photos horribles du Japon. Elle faisait entendre un bruit effrayant qui donne la frousse.
Je sais que ce n’est pas le moment d’aller à la plage mais mon évasion m’a poussé à le faire. D’ailleurs nous ne sommes pas restés longtemps.
La forêt c’était mieux. Il n’y avait que quelques familles. Comme il a fait beau, ces gens ont profité pour sortir en plein air. Ici, c’est le monde des oiseaux. Leur parade n’a cessé durant ces heures passées en leur compagnie. Ils sautillaient d’une branche à l’autre, atterrissaient, picotaient puis s’envolaient. A chaque fois apparaissait un nouveau et pour se présenter il nous faisait entendre une de ses belles chansons. Parfois ils entamaient une tous à la fois. Moi, resté seul un moment, allongé sur le dos, oisif, immobile de peur de les effrayer, je suivais leurs mouvements, contemplais leurs couleurs. Eux, prenant confiance, ils s’approchaient de plus en plus.
Tout à coup je me souvins d’une chanson de mon enfance. ‘‘’ Au clair de la lune ‘‘’. Je crois que vous la connaissez. Elle est très populaire. A force d’y penser et essayant de me rappeler ses vers, j’ai construit un quatrain :
Sur l’olivier vert
Chantait un pivert.
Durant tout l’hiver
A chanté ce pivert
L’endroit m’a fait penser aussi au Paradis et ses différents noms : El Khould (l’éternité) – El Firdaous (le jardin) – Ennaïm (la prospérité) – Es Salam (la paix) …
J’ai aussi essayé de pratiquer une séance de sophrologie que j’ai vu dans le blog de Marie mais je n’ai pas réussi. La cause c’est que j’étais sur un sol dur et non pas sur un matelas.
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La journée de la femme.
La femme ! Qui est cette femme ? Elle ne peut être qu’une de ces quatre :
-- Ma mère et je l’adore car elle est la cause de ma vie. Elle m’a porté en elle durant neuf mois. Elle m’a nourrit de son sein. Elle m’a entouré de toute son affection. J’en suis sûr qu’elle m’aime plus que je l’aime.
Ma religion m’a appris que « Le Paradis est sous les pieds des mères »
« Nous avons conseillé à l’être humain de prendre soin de ses parents »
-- Ma femme et je l’adore car elle est mon conjoint, mon amour, la mère de mes enfants. Elle est ma seconde moitié, elle me complète.
-- Ma fille et je l’adore car elle est le fruit de ma vie conjugale, le joyau de ma famille.
-- Ma sœur et je l’adore car elle est le reflet de mes parents, l’album de mes souvenirs d’enfance.
A ces femmes, les plus proches, pour moi leur fête n’est pas un seul jour, elle est toujours.
Au XIè siècle arrivent à Sennane les Béni Ameur, issus des Beni Hilal tribu arabe venant de l’Orient, plus précisément du Hijaz lors des conquêtes musulmanes. C’est avec eux que la cité va connaître un nouveau pseudonyme arabo-berbère« Ain Témouchent »(signifiant source du chacal) qui dominera celui de Sennane et à jamais. Leur principale activité est devenue l’élevage du mouton après la pose d’armes, eux qui étaient de vaillants guerriers.
Après des années, Ouled Khalfa, une fraction de la tribu Béni Ameur, se détache pour aller s’installer et créer non loin de là, au pied d’une colline et au bord de Oued Sennane, un nouveau site. Cette fraction va à son tour se scinder en deux groupes de familles. Le premier, celui de Ouled Chafaa est resté près de l’oued et créa le douar Chafaa, le second – Ouled Sidi Ben Adda- s’est un peu éloigné pour s’installer sur le versant nord de la colline des Trois Marabouts.
C’est avec cette fraction des Béni Ameur, qui sont les Ouled Khalfa, qu' un nouveau site commença à se démarquer d’Ain Témouchent. C’est à elle que revient donc la présence permanente de l'homme dans cet endroit.
Sur le versant sud de la colline était leur cimetière avec trois mausolées – koubbas – de leurs cheikhs vénérés. De là-bas, d' Ain Temouchent, on pouvait voir ces trois koubbas érigées sur une altitude de 205m, ce qui signifiait la présence de gens habitants ces lieux. De là, de ces hauteurs, c’était peut être le signe d’une indépendance envers la terre mère, ou du moins une séparation à l’amiable entre mère et fils.
J’étais invité à un mariage et voila que je rencontre un ancien ami de classe. Depuis des années qu’on ne s’est pas vu. Saïdi Saïd a quitté le village et sa fonction l’a obligé de vivre ailleurs. Que font des amis dans de telles circonstances ? Bien sur évoquer le passé, revivre les souvenirs d’enfances.
On a longtemps parlé d’un homme qui ne s’oubli jamais. Il s’agit de Monsieur Peurichard Jacques notre maître et directeur de l’école mixte Douar Chafaa, à Sidi Ben Adda (ex. Trois Marabouts). Dans notre vie estudiantine on a connu des dizaines de maîtres et de profs, mais celui là est un cas à part. Il est le plus distingué de tous.
Qui est Mr Peurichard ?
C’était un homme de grande taille avec des moustaches rousses. Sa pipe ne le quittait que rarement. Il fumait aussi des « Gitanes »
Il est venu après l'indépendance (1963) comme maître et directeur de notre école. Il nous était très familier.
Il est le gendre de Mr Roque, directeur de l'école du centre et mari de sa fille Claudette .
En plus de sa femme qui était médecin il y avait aussi sa fille, son fils Alain et même sa chienne Boulka. De temps à autre c'était sa femme qui l'amenait en voiture, une Dauphine. Souvent à la fin des cours à onze heurs et à seize heurs elle venait le prendre en compagnie de leurs enfants.
Il est originaire du Nord-ouest de la France. D'ailleurs c'est dans cette région qu'il est revenu, plus exactement au Havre, après avoir quitté l'Algérie en 1966.
C’est de cet homme qu’on a parlé. C’est vrai qu’on a perdu ses traces mais les hommes de tel genre ne s’oubli pas. Cet homme restera vivant dans la mémoire de ceux qui l’on connu. A travers ces lignes- si par hasard il les lira – il saura à quel point ses anciens élèves l’estiment.
Correction:
Le 21.09.2012, m'est parvenu un message de Mr Georges Roque me signalant des erreurs dans mon article. Je le remercie et toutes mes excuses aux familles: Roque et Peurichard. Yvonne c'est Mme Roque, alors que Mme Peurichard c'est Claudette.