Résilience et chatsUn blog pour témoigner sur la vie d'une résiliente...
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Date de création : 27.04.2011
Dernière mise à jour :
27.06.2024
1175 articles
Orléans, préfecture du Loiret
Un maire, très présent sur les chaines TV, fier d'avoir un départ du tour de France 2024
Un maire dans le paraitre qui pour cet évènement a commandé des drapeaux uniques,
représentant les 64 vainqueurs du tour de France,
Drapeaux qui sont déployés dans la ville pour un mois,, juste un mois, pour un cout modique
entre 20.000 et 30.000 euros l'opération, payée par les impôts bien sur.
Quel mépris pour ces concitoyens.
Comment justifier le paraitre pour un mois pour ce montant.
Cet argent représente plus d'une année de salaire pour les gens qui galèrent.
Crevez de faim pauvre gens, la ville s'est parée de beaux ornements
Crevez faute de soins, ka ville s'est faite belle pour le tour de France
Mais crevez en silence, pour ne pas déranger les édiles de cette ville.
J'aurais aimé que ce montant soit dépensé dans le bien être plutôt que dans le paraitre.
Vous montrez Monsieur le Maire au minima une méconnaissance de la pauvreté qui sévit aussi dans votre ville, soit un mépris pour les plus fragiles.
Aujourd'hui je suis en deuil,
Non de toi qui m'a mise au monde.
Toi dont la vie s'est éteinte hier
En gardant rancune contre moi.
Je suis en deuil donc pas de toi,
Mais d'un espoir enfantin qui ne s'est pas réalisé.
Je ne souhaitais pas de regrets de ta part,
Ni de pardon,
J'espérais juste que tu reconnaisse ce que j'avais subis,
Que tu reconnaisse que tu ne nous avais jamais protégé,
Mes frères et moi.
Car tu es partie en jouant une dernière partition
Pour que la fratrie ne se retrouve jamais.
Je ne devais pas être prévenue de ton décès
Par peur que je vienne à tes obsèques.
Mais le jour ou tu es devenue la femme de ce monstre
Qui m'a violé enfant, j'ai décidé que tu ne ferais plus partie de ma famille
Pas par colère mais pour me protéger, juste me protéger.
Je ne suis pas triste, seulement le regret que tu sois partie avec de la rancœur
Tu as bien semé les graines de la haine,
Me faisant la responsable de l'éclatement de la famille.
Responsable d'avoir parlé, d'avoir dit l'inaudible.
Responsable d'avoir mis fin à l'ignominie.
La mauvaise fille je ne le suis pas,
Victime je l'ai été.
Et je n'autorise personne à le nier,
Même si le monstre n'a pas été condamné.
Je n'irais pas pleuré sur ta tombe,
Je n'irais pas craché sur ta tombe,
Je n'irais pas à ton enterrement,
Je ne vais pas chanter de joie, ou tes louanges
Je vais juste fermer ce chapitre,
En souhaitant du courage à mon frère ainé.
Depuis plusieurs mois, des bruits de guerre proches, trop proches, puis des pogroms d'une haine sans nom, sans humanité, m'interroge sur mon propre vécu.
Sans manquer de respect aux victimes directes de la seconde guerre mondiale, des victimes d'aujourd'hui des guerres ou d'actes de terrorisme qui me glacent les veines, je me considère comme une victime de la seconde guerre mondiale, même si cette dernière s'est arrêtée vingt ans avant ma naissance.
Si le compagnon de ma mère n'avait pas été prisonnier de guerre pendant cette seconde guerre mondiale, si son camps de prisonnier n'avait pas été libéré par les soviétiques, si il n'avait pas vu ces derniers se payer sur les allemandes par des viols collectifs, des massacres subis par leur peuple par les nazis, peut être n'aurait il pas considérer que j'étais un lot de consolation à l'injustice qu'il l'avait vécu, sans se soucier de moi. Peut être ces idées de viols ne l'auraient pas effleurées.
Je pense que voir des horreurs peut produire chez certains le pire. Ce qu'ils auraient condamnés avant leur devient légitime.
Je me rappelle qu'il m'avait raconté qu'il avait lui même violé une allemande, qui "était contente" selon ses dires car ne subissant plus de viols collectifs des russes.
La barbarie engendre la barbarie.
Alors lorsque j'entends parler des viols sur des femmes, sur des enfants, je sais ce qu'ils endurent. Je sais qu'ils porteront à vie une douleur qui sera présente tout au long de leur vie. Car on leur a retiré leur identité d'humain par cet acte ignoble.
On leur a fait comprendre qu'ils n'étaient rien, qu'ils ne valaient rien. Aux victimes et aussi aux témoins.
Qu'on légitime ces actes barbares par de la vengeance ou autre est une ignominie sans nom.
Je veux dire à ces victimes qu'il est possible, non pas d'oublier, mais de vivre avec, d'avancer, de progresser, sans devenir un monstre à son tour.
On peut accepter les failles qui se créent par ce vécu, de s'en servir pour montrer de l'empathie, d'essayer de s'accepter, de s'aimer (c'est très compliqué), et de savoir que c'est un combat permanent.
A chaque embuche, on s'interroge sur sa responsabilité, sur le fait qu'on a baissé la garde. C'est cela aussi un viol.
Une hypervigilance au monde qui nous entoure, qui nous permet de voir les personnes qui ont besoin d'aide.
C'est usant mais enrichissant. Utiliser son traumatisme pour en faire une force, est à faire chaque jour pour donner un sens à l'ignominie subie
Photo du net Surréalisme art portrait d'une femme détruite
A l'arrière de ton vélo électrique,
On devine,
Des fous, des imbéciles,
Juste une paire de petits dieux,
Qui sous prétexte d'écologie,
Se prennent pour des dieux.
Code de la route,
C'est pour les autres,
Les voitures, les piétons.
A l'arrière de ton vélo,
Payé à prix d'or,
Tu te crois au dessus des lois,
Les trottoirs sont à toi,
Et plus aux piétons,
Pauvres êtres qui n'ont pas de droits pour toi.
A l'arrière de ta trottinette,
On devine,
Des roitelets, des crétins,
Juste des inconscients
Vitesse insensée, tu oublie,
Que de protections tu n'en as pas.
Quelques lignes pour ces bobos qui sous prétexte d'écologie,
Mais plus surement d'avoir payer cher leurs montures,
Se prennent pour les rois du monde,
Alors qu'ils ne sont que des scélérats pour les piétons et les voitures,
Se croyant exonéré du code de la route,
Nous mettent nous piétons en danger.
Je reviens de vacances ou j'ai rencontré de véritables amoureux du vélo
Qui sont respectueux,
Contrairement à cette nouvelle sous espèces qui apparait à chaque rentrée,
Et disparait au moindre petit froid,
Qui envahit nos trams en heures pleines,
Qui pensent que les trottoirs leur appartiennent,
Y compris quand ils ont une piste cyclable juste à coté.
Si vous n'avez pas encore compris,
Je vous exècre,
Vous qui nous mettez en danger.
A ceux qui me souhaitaient des temps difficiles, financièrement
Qu'ils soient contents, cela m'arrive,
Une chute, un pieds cassé,
Un employeur indélicat qui ne m'a pas réglé mon salaire,
L'administrateur judiciaire, suite à la Liquidation qui m'indique
Des paiements dans quelques semaines,
Et me voila avec à peine 50 euros pour les semaines à venir.
Et la je remercie mon papa dans le ciel.
J'ai suivi ton conseil.
J'ai quelques réserves, de pates, de riz, de boites de conserves,
De la nourriture pour mes chats, de la litière,
Je pense pouvoir tenir 4 à 6 semaines,
Le temps de harceler l'administrateur,
Le temps que le licenciement économique se fasse,
Informer mon propriétaire de la situation et demander des délais,
Faire pareil avec ma banque en transmettant ma fiche de paie non réglée,
Contacter la Sécurité Sociale pour accélérer le règlement de mes indemnités journalières d'accident du travail,
Parce qu'en plus je sais, en tant qu'ancienne comptable de mon employeur,
Que les fonds existent, qu'ils sont à disposition de l'administrateur,
Donc oui je compte mes sous, je calcule toutes mes dépenses à venir,
Je reporte certaines choses, je croise les doigts pour qu'aucun autre imprévu n'arrive,
Réjouissez vous ceux attendiez ce moment,
Mais pour votre information,
Je ne baisse pas les bras, je me bats
Et je vais réussir encore et toujours à passer ce cap difficile
Je suis et je reste une grande enfant
Naïve je crois en les mots des personnes que j'aime
Et même si cela est grotesque, farfelue
Je le crois.
Je refuse de voir ou de croire qu'on me prends pour une imbécile.
Et comme je n'apprends toujours pas la leçon,
La vie me redonne des exemples.
Qui me blessent, petit à petit.
Mais je laisse toujours une chance pendant très longtemps,
Souvent trop longtemps.
Je n'arrive pas à concevoir que si on me dit m'aimer ou m'apprécier,
On se joue de moi, on me raconte des balivernes.
Et un jour, quand la coupe est pleine,
Après plusieurs mises en garde de ma part,
Que la situation ne me convient pas,
J'ouvre les yeux et j'arrête de croire,
J'arrête de faire confiance.
Je deviens un fauve blessé qui se cache,
Soignant comme il peut ses blessures.
Ma seule crainte est de m'isoler,
De ne plus faire confiance
De devenir aigrie
Et peut être de ne pas me sentir à ma place dans un monde superficiel
Et puis un jour le vent se lèvera
Et je serais à nouveau naïve,
J'espère juste un peu moins
Depuis quelques mois,
Je me sens seule
Depuis quelques semaines,
Je suis seule.
Ce n'est pas une punition,
C'est une bénédiction
Je commence à devenir ma priorité
Pour ma santé physique et psychique
Penser à moi avant tout
Penser à moi avant les autres
Quelque soit mes sentiments
Est devenu important
Tant au niveau personnel que professionnel.
Je dois penser JE
Avant de penser NOUS
Et si cela m’amène à une certaine solitude,
Cette dernière est choisie et non subie
Cette dernière n'est pas encore heureuse
Mais elle m'apporte une certaine sérénité
Importante pour ma santé
il y a des mots surement que tu attends,
Il y a des mots que je sais que je n'entendrais jamais de toi.
Tu vois je te tutoie, surement une dernière fois.
J'aurais aimé pas que tu me demandes pardon
Parce que tu nie ma vérité, mon passé, ma douleur,
Parce que tu nie mes maux.
Alors j'ai fait le deuil de ces mots de pardon venant de toi.
j'ai longtemps espérer non pas un pardon mais de simples mots.
"Je suis désolée de ce que tu as enduré, je n'ai pas vu, je n'ai pas pu voir".
Mais ces mots la tu ne les diras pas.
Et toi jamais tu ne m'entendras m'excuser de ne pas avoir été la fille que tu avais espérer.
Je ne te demanderais pas pardon d'avoir brisé tes rêves d'avoir ta fille près de toi,
De ne pas avoir correspondu à ce que tu attendais de moi.
J'en suis incapable.
Incapable de vivre sans me soucier de moi pour te plaire à toi,
Incapable de ne vivre que pour toi,
C'était facile enfant de me faire croire que cela était ma vie.
Je ne suis plus une enfant depuis que j'ai eu 12 ans.
Tu garderas en toi surement une peine, de la colère.
Mais je ne ferais pas un pas vers toi.
Je ne veux pas t'entendre me faire des reproches
Je ne pourrais m'empêcher de t'en faire aussi.
Tu as fait des choix qui m'ont un jour brisée.
Mon père m'a porté à bout de bras pour m'empêcher de tomber.
Je porte toujours en moi les stigmates de mon enfance violée.
Déjà ces mots doivent te heurter.
Tu refuse de les croire.
Je refuse d'être entourée de personne qui refusent de me croire.
Tu ne me diras jamais
"Je suis désolée"
Je ne te dirais jamais
"Pardonne moi de ne pas avoir été la fille que tu avais rêvée"
Je nous souhaite de ne pas nous rencontrer
Puisque ces mots de réconfort tu ne pourras pas me les dire
Comme moi je ne m'excuserais pas d'être qui je suis.
Je sais que parfois tu lis les mots que j'écris.
Sache qu'il n'y a pas de colère dans mes mots ce soir.
Je fais juste le deuil de toi...
A ma mère qui refuse de croire que son compagnon ai abusé de moi
Car non condamné par manque de preuve
Non condamné car trop âgé pour recommencer,
Et aussi parce qu'ancien prisonnier de guerre
J'ai dernièrement appris des choses sur elle.
Je n'en parlerais pas.
Cela me conforte dans ma décision.
Je ne veux aucun contact avec elle.
Je croyais ma colère apaisée contre elle.
Disons qu'elle n'est pas aussi importante qu'il y a 30 ans.
Mais je fulmine dès qu'elle essaye de devenir amie avec mes amis de FB.
Je considère cela comme du harcèlement.
Je sais qu'elle rentre en contact avec eux (qui refusent d'ailleurs) pour,
Au mieux avoir des nouvelles de moi, au pire rentrer en contact avec moi.
Alors que ma position est claire.
Je ne veux pas d'elle dans ma vie.
Elle ne fera pas partie de ma vie.
Elle est toxique. Sous une légère couche de gentillesse se cache une perverse narcissique.
Ne compte que son bonheur, elle a été capable de détruire ceux qu'elle devait protégée pour son bien être.
Elle oublie qu'elle s'est mariée avec l'homme qui m'a abusé alors que j'étais enfant,
Pas moi.
Elle oublie lorsque j'ai déposé qu'elle a essayé de me interné à l'hôpital pour me faire passée pour folle et réfuter mes accusations.
Pas moi.
Elle oublie qu'elle a vidée mon compte en banque lors de mon départ.
Pas moi.
Certes j'ai été débouté de ma plainte contre son mec. Mais la justice ne m'a pas dis que j'étais une menteuse.
Je n'ai pas été condamnée à payer les frais de justice.
Parce qu'en France, on ne juge pas pour le crime commis, on juge pour le risque encourue par la société.
Alors un homme âgé, ancien prisonnier de 39-45, quel risque pour la société.
J'ai pardonné pour me reconstruire et pour être libre.
Mais pardonner ne veut pas dire oublier.
Je souffre toujours dans mon cœur et dans mon âme de ces abus, de ce qui s'est passé pendant cette année de procédure.
Certaines personnes me prédisent d'être mal à la mort de ma mère parce que je ne lui aurais pas parlé, dis ce que je ressens.
Je sais que cela est une perte de temps.
Elle nie ce qui m'est arrivé. Pour elle je ne suis qu'une menteuse.
Alors à quoi bon lui parler.
Pour entendre sa rancœur, ses reproches, je n'en ai pas besoin.
Je ne crois pas qu'elle me fera des excuses pour son attitude.
Elle m'a abandonné au moment ou j'ai été le plus en souffrance,
Elle m'a manipulée toute mon enfance. et pendant cette procédure.
Elle est bien vivante plus de 30 ans après mon départ,
Après alors qu'elle m'avait annoncé que je devais retirer ma plainte car elle n'avait plus que quelques mois à vivre pour cause de cancer.
Les rares échanges que j'ai eut avec elle, elle ne m'a jamais demandé pardon, jamais eut des paroles de réconfort.
Je pleurerais peut être à sa mort car qu'elle est ma mère (ou pas)
Mais je ne veux pas d'elle dans ma vie.
Je neveux pas des personnes qui nient ce qui m'est arrivé.
J'ai été abusé sexuellement j'avais 12 ans.
J'étais innocente,
Je n'ai même pas compris ce qui m'arrivait par manque d'éducation sexuelle..
Alors toute personne qui réfute mon passé n'a pas a être présente dans ma vie, dans mon avenir
Je me suis retractée à un mois de mon mariage.
Je suis peut être un monstre à vos yeux d'avoir fait cela.
Moi la personne de parole qui reprends la mienne,
Non pas sur un sentiment de panique
Mais sur le sentiment de ne pas me respecter en disant oui.
Ce qui m'a alerter quand j'ai commencé à dire que ce n'était qu'un bout de papier.
Il faut dire qu'en quelques mois je suis passé d'un avenir simple
A quelque chose de contraire à ce que je suis.
La promesse était de vivre ensemble dans la maison de Monsieur, seuls.
A un mois du mariage c'est devenu en enfer en devenir
La maison de Monsieur est un achat en indivision entre plusieurs personnes,
Dont son ex compagne....
Me voyez vous venir.
Cela fait plus de 10 ans que la dame doit partir mais qu'elle refuse,
Vendre cette maison n'est pas une option pour Monsieur.
En décembre, elle acceptait de vendre ses parts sans soucis
Sauf qu'elle a changé d'avis
Elle ne veut pas vivre seule.
Donc la nouvelle proposition était de vivre ensemble dans cette maison,
Moi vivre avec son ex compagne qui n'affiche que mépris pour moi,
Alors que je ne suis pas responsable de leur séparation,
Je l'ai rencontré alors qu'il ne vivait plus dans cette maison,
Mais la vie et les soucis l'on ramené à vivre dans ce lieu avec sa maman, sa soeur et elle.
Sauf que sa maman n'est plus la, sa soeur non plus
Et d'une maison en cohabitation multiple on est arrivé à une vie à deux, entre eux deux,
Et moi, je me retrouve dans un rôle de maitresse, méprisée par son ex compagne .
Et Madame accepte dans sa grande bonté que je vienne vivre avec eux.
Mais personne ne m'a demandé mon avis.
Alors j'ai rompu ma parole
Et j'ai compris qu'il y avait plus fort qu'un contrat de mariage,
Un contrat d'achat en indivision d'une maison.
Entre moi et sa maison, il a choisi sa maison,
Moi je me suis choisie Moi
Pour Survivre, pour correspondre à mes valeurs
Même si cela fait mal,
Le douleur est immense