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· Charles Xavier Grimaldi de La Porta (6)
tres emouvant!
Par Anonyme, le 15.09.2024
j adore cette evocation de notre tante
Par Anonyme, le 04.06.2024
pourquoi priver ,par exemple,les lyonnais d une occasion de se réjouir ,d être unis dans la liesse ...?
cela
Par Anonyme, le 15.05.2024
je remercie le hasard ou la rencontre de déterminismes , de passions,....d 'avoir rencontré ce trio, cette qua
Par DUBREUIL, le 23.04.2024
c'est bien cette mémoire que je souhaite valoriser avant qu'elle ne s'en...vole merci marc et les autres..
Par Anonyme, le 23.04.2024
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Date de création : 22.11.2008
Dernière mise à jour :
16.02.2025
2501 articles
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La guerre, c'est le mal absolu. Contrairement à ce que prétendait le docte général Clausewitz, la guerre n'est pas "la politique continuée par d'autres moyens". La guerre c'est le constat de faillite des diplomates et des politiques. La guerre, c'est lorsque les pauvres troupiers et les malheureux civils doivent payer l'ardoise des erreurs commises par leurs dirigeants. Je le sais. J'ai été promené, pendant toute ma carrière, dans des guerres diverses, ordonnées par des gouvernements inconsistants et à court d'idées. Et lorsqu'elles ont été finies (et perdues) on m'a expliqué que c'était ma faute et que j'avais eu tort de les faire. Clémenceau disait (et il avait raison) que la guerre est une chose trop sérieuse pour être confiée aux seuls militaires. Mais à qui, Bon Dieu! confiera-t-on la paix?
On ne me persuadera jamais que les ennemis de la France sont à Damas ou à Bagdad. Les ennemis de la France sont en France. Nous marchons à grand pas vers la guerre civile. Il y a les Corses, les Bretons, les Basques les Catalans. Et surtout il y a d'immenses collectivités récemment venues en France qui ne savent pas, qui ne peuvent pas, qui ne veulent pas respecter la culture et la civilisation de la France. L'immigration? Une chance pour la France? Oui! car celui-là qui appartient à une double culture m'enrichit. Mais dans notre cas il ne s'agit plus d'une immigration mais d'une invasion. De l'occupation de la France par des blocs étanches, insolubles, et qui trainent derrière eux des idées du moyen -âge et des querelles d'autres pays et d'autres temps.
Assez de croisades, Monsieur le Député! Elles n'ont jamais porté bonheur à la France. Tout récemment, monsieur Bernard Henry Lévy, philosophe de son état, ce qui devrait l'inciter à une certaine modération, a sorti sa plume et a prêché l'intervention en Libye contre l'abominable Kadhafi. "La Guerre! Vive la guerre!" Mais monsieur Lévy s'est montré convainquant. Il avait la vérité! Alors on est allé faire un petit tour en Libye et on s'est aperçu avec étonnement que notre intervention n'avait pas changé de façon sensible la mentalité des Libyens ni leur façon de régler (ou de ne pas régler) les problèmes.
Et ne me parlez plus du leadership de la France, de l'exemple français. "Gesta Dei per Francos!". On n'entend plus que ça. Cela nous rend odieux à nos partenaires. Mais la France n'est plus une grande puissance. Et cela depuis un instant bien précis. Depuis le 10 mai 1940, à 3h 30 du matin.
Cela ne veut pas dire que l'influence de la France est réduite à néant. Mais elle doit chercher l'efficacité plus que le geste. Elle doit œuvrer avec discrétion. Elle doit susciter des ennemis à ses adversaires. Elle doit profiter des querelles des autres sans jamais s'y impliquer. Elle doit tracer autour d'elle un cordon sanitaire qui la mette à l'abri des aventures risquées. Nous ne devons pas être les pompiers ni les gardiens de but. Parce que les pompiers finissent toujours par se brûler et que les gardiens de but finissent toujours par encaisser des buts.
Et s' "Ils" veulent se battre, eh bien! qu'ils se battent! Ce sont leurs affaires. Si elles font les nôtres tant mieux! Et il faut se débrouiller pour qu'elles nous soient favorables. En attendant rien ne nous empêche de "clamer le droit". C'est ce que font les bons apôtres depuis soixante ans. Ça ne mange pas de pain et ça n'engage à rien.