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DÉCHÉANCE DU LYS D’OR

Publié le 14/07/2017 à 00:05 par laparousiedejesus
DÉCHÉANCE DU LYS D’OR

 

 

 

Victoire, victoire, triomphe sur tout l’Univers.

Gloire a gagné. La Ténèbre n’est plus.

 

Elle disparaît dans le Silence de l’Abîme.

La Cité des Hommes est délivrée. Acclamation,

liesse et cantique, longtemps auparavant,

n’avaient plus été chantée et vue.

 

 

C'est le cri de l’Aigle aux Ailes d’Or. Il plane depuis un long et fort temps éloigné, oubliés des hommes. Même la constellation de Tannhaüser l’a aperçu au loin. Il chante comme la Foudre en fureur. Ses Serres enlacent les tonnerres des cieux et les nuées sont dans une allégresse inouïe lors de son passage enflammé.

 

           Deux personnes, le père et le fils ont en leur cœur, son regard gravé par la brise tempétueuse. C’est la naissance de l’éternité chez les hommes. La citadelle sainte, recouvre sa virginale gloire, habit de pourpre pour Ses Noces d’avec son Prince. Le Grand roi arrive.

 

           C’est le chant d’une belle princesse amie des licornes sauvages et des chevaux volants dans l’Azur du soir, constellé de saphir et d’émeraudes. Le père regarde son fils qui l’écoute. Car ce n’est pas lui qui parle mais le fils, la bouche ouverte entonnant de sa voix la destiné des hommes tel l’Océan qui mugit sur les rives déchiquetées des soupirs des Enfants de la Cité d’Or.

 

 

À CE REGARD OUBLIÉ

 

Je l’ai vu, je l’ai vu, l’Aigle Royal glisser

Sur les hautes cimes, grises et célestes. L’instant

De l’Éclair noir, ses ailes frappèrent l’azur du temps.

Ah ! Son long silence ! C’est l’épée qui se hissait

 

Des champs tonitruants qui coulent vers Ophire.

Que scrutes-tu Femme ? La joie pleur son passage.

Les Séraphins s’inclinent et soupirent. Les Saphirs

sculptent la Gloire d’Or, et chantent son hommage.

 

Que d’attente en ce Cœur, blessé par le glaive

De Feu. C’est l’étreinte du rubis qui raisonne.

L’Esprit gémit d’Amour, et des Cieux, la sève

 

Suave, abreuve l’étoile fanfaronne.

Le lait des essences rares et fines, spire

L’effervescence à la lance qui respire.

 

Le Cœur de cet homme est une caverne traversée par les rayons obscurs du Soleil divin. Ses pas se perdent dans les méandres de sa tragique destinée. Mais pourquoi tant de pleurs sur la Terre. Sec mon Désir, son souffle me fait peur, car Elle est vraiment belle. Lumineuse, dans la Souffrance de sa Lumière. Elle s’habille de la Rosée du matin et son parfum et un nard qui enivre mes sens. Je ne suis plus qu’une Ombre qui passe.

Le Ciel c’est fermé dès lors que le temps se fut effondré dans la vallée transfigurée. La Durée n’est rien, le temps n’existe que comme un souffle d’éclair. C’est la régénération de la Femme qui regarde Celui qu’Elle attend depuis l’anamnèse réintégré. L’ère mécanique, remplace les mythes anciens qui animèrent les soirées des villages oubliés.

Principes et droits humains ont décapité le droit divin. Et nous voyons les moult soupires dramatiques des croyants esseulés. La France qui attend son grand monarque, dis-je le Roi mendiant, mendiant de l’Amour, est déchirée par la guerre partisane. Elle est devenue la Prostituée qui pleure ses Enfants morts sur les champs torturés des gaz.

Que d’ombre, de satyres qui tapissent les couloirs des Alysées Parisiens. Pauvre Prostituée à qui, ils enlevèrent Sa propre Génération royal. Elle divague dans ses entrailles. Elle fulmine et demande Celui qui vient et s’habille du Furieux Aquilon. Le Titre de ce jeune Homme est l’Épée de Dieu, qui va transpercer les Cœurs des Hommes par le pommeau de son Épée Divine. Ses habits sont la Gloire à son Armure transparente comme ce Fleuve de Vie limpide comme du cristal.

 

L’Aube a frémi bleu sur tes yeux ineffables,

La braise épurée rouge en ton sein vers tes hanches.

Le soir a bruni pourpre sur tes belles cuisses aimables

Et le Feu lavé clair en tes pieds pervenche.

 

Du plus profond du gouffre, je ressens les ressacs des flots déchaînés. Cette mer plus pure que l’éther, saoule les replis de mon cœur. Qu’est-ce que le cœur sinon l’indomptable volcan qui déverse sa fureur et sa colère. Cette colère est l’étincelle qui vibre dans la nébuleuse de l’Aigle. Il s’enivre des vins d’autrefois en pensant à Celle qu’il a perdu. Son Cœur n’est plus qu’une Ombre qui passe. Guerrier redoutable, Il attend avec patience, la Mort. Mort glaciale qui happera la Mort Elle même, et Elle le sait.

 

La mort, si forte soit-elle, Ô Mort, tu crains avec crainte la coulée terrible de son amertume et son mépris. Je descends lentement les marches humides du sépulcre futur de mon corps en perdition. Vision nocturne des loups noirs contre les loups blancs. C’est un combat atroce qui s’engage entre eux. Le sort de Celui qui croit être Dieu contre son Frère Jumeau, l’Épée de Feu, est lié par la folie céleste des Oiseaux Tonnerres.

 

Ceux des rivages gris, parlèrent de cette bataille entre Ces Deux Jumeaux. Ensemble, et séparément, sans cesse, ils pensent à leur destinée commune. Ils vont faire basculer le Monde avec eux. Et le Monde des Hommes, n’en savent pas la portée ni la gravité tragique. Ces deux Frères, les Jumeaux Mythiques ont entre leurs mains, la Destiné grandiose du Monde des Hommes. Et l’Univers en son entier le sait. Car les Terres habitables en frémissent. Les planètes habitées des lointaines constellations en connaissent les arcanes. Ce sera la dispute de la Lumière contre la ténèbre. Le premier sera absolument vêtu de noir, et le second croyant être le Divin Oint, sera habillé de blanc, comme pour refléter le Soleil Noir.

 

Ô combien d’être humain ont tenté de graver sur des pages blanches à défaut des noirs, la grande Récapitulation des créatures intelligentes qui constitue l’univers des Gardiens, les Flambeaux célestes. Ceux-ci, sont ivres de la mémoire des Hommes. Pauvres Hommes qui ont perdu leur Destiné. Elle est cette Femme qui pleure sa sanglante vie.

 

La pierre la plus dure, le bois, la feuille fine des eaux d’or ont laissé quelques signes des grands évènements. Il est sûr que le Temps n’existe pas. Seuls les évènements gravent sur la main du grand Kronos l’Histoire chaotique des Hommes sans Terre.

 

Dès l’apparition de l’homme sur l’Étoile bleue, le soupire fut à l’œuvre comme le souffle cristallin et purpurin. Depuis de longs millénaires, j’ai hésité à écrire avec le pommeau de mon Épée, l’Histoire tragique des Hommes au cœur bleu. Sera-t-il un jour achevé dans le sang de la Vie mêlé aux rayons divin de la vivante Émeraude aux sept Faces.

 

Sa Pensée jaillit telle la Source, qui se décompose en la plus sauvage des Cataractes. Licornes et chevaux aériens sont les plus terrifiants gardiens. Leurs armures d’or reflètent les nuées qui se dégagent de la Divine Émeraude. De leurs yeux, sort les Éclairs glorieux. Ils rient et jouent avec la Foudre, Sœur terrible d’Épée de Feu.

 

Une multitude de personnes, usurpateurs du titre d’Épée de la Flamme Fulgurante de Feu, essayèrent de se revêtir de sa Gloire. Beaucoup sont morts, possédés par la Déesse du lait de l’oubli. Ô comme son Nom est ineffable.

           

 

Vidhril

 

D’avant l’immense guerre noire, Vidhril la Blanche chantait.

Enchanteresse et fière, elle se montrait à ceux

Qui lui faisait hommage. Neige et Lys d’Or hantaient

Ses rêves. Ses Rayons nus, nourrissaient les Cieux

 

 

Et  Hautes cimes affables. Les Aïnars voguaient

Ivres, sur les bas plateaux. Leurs sens, par les Nuées,

Engendraient les Navires  noirs d’ivoires, aux aguets.

Et glissant sur les flots,  ensembles, ils se ruaient

 

 

Au-dessus des Éclairs, des Foudres incandescentes

Et des astres éternels. Elle était Reine puissante

Sur ses terres pourpres. Sceptre et diadème régnaient

 

 

Avec calme et douceur. Ses regards bleus peignaient

Les grands Arbres immortelles. Ce fut le premier Âge

Du plus grand des Royaumes, en ce terrible présage.

 

 

Par des chemins livides, j’ai rencontré le Lys.

Ce sont les Armées Noires qui transpercent son Cœur sombre.

Hurlement du furieux Enfer, le Sang et l’Ombre

Se répondent. Ah ! les Vandales épris des silices

 

 

Brûlantes et brutales, lances et flèches se croisent.

Le Phœnix de Feu chante la Gloire ensanglantée.

Du plus profond du puits de l’Abîme, il Lui toise

Un regard glacial. La Mort épouvantée,

 

 

S’effondre sur la Porte de la Perdition.

Frère fidèle et vrai, ta défaite à Byzance

Se conte d’âge en âge. C’est pure démission

 

 

De l’Aube d’or brisé, voyant en les ténèbres,

Son Roi pleurait des larmes. C’est le chant funèbre

Des hommes, dans la bouche de la Désespérance.

 

 

 

LA DESCENTE

 

Seul, Hinyre titube et tombe dans les méandres noirs

A cette fosse humide. Son esprit sombre sans fin

Autour des flammes brumeuses, au delà des confins

De l’espace sidéral. Il souffre le Désespoir

 

 

Qui lui brûle son triste Cœur. Les vivantes lames, avides

De sang, Pénètrent son Âme. Indigence et soupire

Manifestent la blafarde gloire se laisser pourrir.

Les sens étourdis lui provoquent un rire sordide.

 

 

Que de cris ! Que de spasmes ! C’est la lente émergence

Des vagues poussiéreuses face au surplomb lisse et froid.

L’harmonique Enfer ploie par les vices et encenses.

 

 

L’Homme veule encore, hagard, attend la finitude

De sa triste vie bien vile, le salaire de l’effroi.

Lointaines sont les marches des affres et la solitude.

 

I

 

L’AIGLE

 

Il planait sur les plus hautes cimes des monts sauvages

Glissant vers sa triste proie. Son rire tel le Tonnerre,

Faisait l’effroi des hommes portant le cimeterre.

Il foudroyait les airs et les cités volages.

 

 

Mais de très loin il vit sa compagne transpercée

Par la fatidique flèche. Pourchassé, il s’enfuit

En des déserts arides agonisant d’ennui.

Les phalanges le trouvèrent par des roches encaissées.

 

Il se trouva sur la place, au milieu des eaux noires.

Ses ailes étaient clouées par des pieux sur l’autel.

Pauvre Aigle tu es victime des fallacieux grimoires.

 

 

Ces Mages noirs possédés, veulent t’offrir à leurs dieux.

C’est l’Aube sanglante de l’ire en ce rouge Temple mortel.

Les éclairs t’extirpent à ce sacrifice hideux.

 

LE POIRIER

 

Dans le Jardin d’Ilbyr, sans barrière ni saison,

De ses branches élancées, quelques feuilles vertes et jaunes,

Au grés des vents sauvages, son tronc donne à foison

Et les mousses, et les hymnes à cette malicieuse faune.

 

 

Seul, avec le silence comme compagnon de route,

Il donne avec effroi, les vides et les blanches gazes,

L’azur bleu ordonné, loin de la blanche Beyrouth

Entouré des fines perles et des arcs en topazes.

 

 

Il se voit sans espoir, son unique et jeune poire.

Il sait que le temps passe, et le vent et la pluie.

Au loin les noirs épaves arrivent pourfendre les moires. 

 

 

C’est l’ultime râle hagard, auprès des sycomores.

Par delà les lys blancs, il aperçoit le buis.

Sève et feuille ne sont plus, le poirier était mort.

 

( Quelques ligne spoétiques etc …)

 

 

Commentaires (1)

Oudot Bertrand le 13/08/2017
J'aime vraiment beaucoup votre blog et y vois mon histoire, dans un langage merveilleux, d'une grande délicatesse, "sans rien qui pèse ou se repose"
Je suis moins bon poète que vous, mes vers sont trop rugueux, et je laisse au hasard les syllabes accentuées.
Je vous soumets celui-là :
" la Terre après la Vie"

Cruelle mort avant la vie
Des cathédrales où la mort
Du Christ au chef d'un grand parvis
Triste se hiéroglyphe en corps.

Tranquilité de la vie douce
Et la gauloise que j'allume
En priant Dieu pour que tout pousse
Avant que tout dise : "nous fûmes"


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