Thèmes

chute collection rechute louria isaac lourianique cabale scholem gershom chute péché du enfant lilith succubus succube anges vie monde bonne roman homme france chez enfants femme société sur mort dieu nuit nature femmes texte saint livre pouvoir livres love maison love

Rubriques

>> Toutes les rubriques <<
· Archange Michel Archange (51)
· A NEWS OF WORLD (146)
· FUNNY CAT (191)
· ACTUALITE FRANCAISE (74)
· CULTURE PUB (102)
· REBECCA BROWN (2)
· News du monde et de l'Église (43)
· LE MONDE DES ELFES (80)
· La programmation mentale (15)
· Le Messie de la Kabbalah ou l'AntiChrist (17)

Rechercher
Derniers commentaires

??????????????
Par Anonyme, le 30.04.2024

bonsoir ! heureuse d'avoir pu lire un post nouveau sur la situation en terre sainte et sur le " roi mendiant"
Par Anonyme, le 17.01.2024

l'époque où ce genre de site de vraies informations grouillaient sur le net (tout a été effacé!), me manque, j
Par Anonyme, le 23.12.2023

c'est très intéressant !
Par RETY Fabienne, le 31.10.2023

bonsoir que devenez vous ? les événements s'accélèrent et là des explications et visions du futur seraient le
Par Anonyme, le 09.10.2023

Voir plus

Articles les plus lus

· Tremblement de terre à Fukushima mars 2011
· Saint Michel Archange selon Maria Valtorta
· l'implantation d'une puce RFID, aux USA en 2013
· Rebecca Brown
· LA LUNE ROUGE SANG

· Mais d’où viennent le M&M'S?
· Le mystère de la tribu de Dan
· Deep Web, la face cachée d’Internet
· Valérie Bègue : Miss déboutée
· enluminure moderne
· la Franc-Maçonnerie disséquée II
· Xerxes Roi de Perse
· magnifique enluminure
· le Messie des kabbalistes
· Voici la pyramide

Voir plus 

Abonnement au blog
Recevez les actualités de mon blog gratuitement :

Je comprends qu’en m’abonnant, je choisis explicitement de recevoir la newsletter du blog "laparousiedejesus" et que je peux facilement et à tout moment me désinscrire.


Statistiques

Date de création : 28.12.2010
Dernière mise à jour : 06.03.2025
2473 articles


Liste de lecture Deezer
Images

Les enfants du péché, les succubes et les incubes

 

Ce qui suit ci-dessous est une explication des enfants procrées sans rapport sexuel, mais par magie. Cela implique les succubes et les incubes.

 

 Les tenants de la cabale lourianique croyaient qu’un jeûne entrepris au cours de ces semaines était particulièrement efficace contre les « enfants de la rechute » [dans le péché] à savoir les esprits demeurant dans les gouttes de spermes perdues par l’homme à la suite d’un rêve érotique ou d’une masturbation et qui offraient des « corps aux démons et aux esprits maléfiques. La définition donnée par la cabale lourianique aux « enfants de la rechute » (l’expression est triée de Jérémie 3,14) et l’usage – presqu’un jeu de mots – du terme hébreu pour « rechute (dovadim) expliquent le choix de cette période précise de l’année pour l’exercice des pratiques pénitentielles.

 

           Le nouveau tiqoun restituerait ces étincelles tombées à la sphère de sainteté. Si le prophète avait annoncé dans sa lettre qu’il n’y avait plus d’étincelles divines emprisonnées dans la qelipa, il n’avait pas évoqué le cas des étincelles d’âmes humaines. Les étincelles de lumière divine sont différentes de celles des âmes humaines individuelles et des dernières, selon les principes Lourianiques, sont encore à sauver par des moyens humains.[1]

 


                Cette explication magistrale donnée par Gershom Scholem nous démontre la réalité de ces enfants du péché, ceux de la révolte. Ces géants remplis de magie noire, fameuse goétie sinistre.

 

Les curieux phénomènes de l’Incubat et du Succubat remontent aux temps très anciens, à l’origine du monde. Le serpent qui « se mêla avec Eve » c’était l’Incube Samaël. Le rabbin Elias raconte que pendant cent trente ans Adam fut visité par des diablesses qui accouchèrent d’esprits de larves et de succubes. Ces diablesses étaient des formes de Lilith l’épouse de Samaël. Dans la Genèse (Ch. 6. v. [p. 10] 4), il est dit que les fils de Dieu connurent des filles des hommes.De ce commerce naquirent des géants. D’après les commentaires des théologiens qui discutèrent longuement sur ce point, ces fils de Dieu n’étaient autres que des anges déchus qui jouaient le rôle d’Incubes[2].

 

Ce qu’écrit Jules Delassus, concerne le livre du Zohar (livre des Splendeurs dit de Moïse de Leon, XIIIe siècle).

 

 

 

Voici ce qu’écrit saint Augustin dans la Cité de Dieu à propos des enfants de Dieu qui épousèrent les filles des homes, dont naquirent les géants, ces fameux Niphilim :

 

Toutefois l’Écriture témoigne que les anges ont apparu aux hommes dans des corps tels que non-seulement ils pouvaient être vus, mais touchés. Il y a plus: comme c’est un fait public et que plusieurs ont expérimenté ou appris de témoins non suspects que les Sylvains et les Faunes, appelés ordinairement incubes, ont souvent tourmenté les femmes et contenté leur passion avec elles, et comme beaucoup de gens d’honneur assurent que certains démons, à qui les Gaulois donnent le nom de Dusiens[3], tentent et exécutent journellement toutes ces impuretés[4], en sorte qu’il y aurait une sorte d’impudence à les nier, je n’oserais me déterminer là-dessus, ni dire s’il y a quelques esprits revêtus d’un corps aérien qui soient capables ou non (car l’air, simplement agité par un éventail, excite la sensibilité des organes) d’avoir eu un commerce sensible avec les femmes[5].

 

Saint Thomas d’Aquin commente la parole de saint Augustin concernant les subbes dans la Somme Théologique :

 

Cependant, si parfois certains hommes naissent des démons, ce n'est pas au moyen d'une semence émise par ceux-ci, mais par la semence d'un autre homme qu'ils ont recueillie, de telle sorte que le démon qui est succube d'un homme se fasse l'incube d'une femme. De même ils utilisent les semences d'autres êtres pour produire certaines générations, comme dit S. Augustin ; et ainsi celui qui est engendré n'est pas fils du démon, mais de l'homme dont on a recueilli la semence[6].La remarque de saint Thomas d’Aquin confirme la réflexion judicieuse de Gershom Scholem dans son livre sur Sabbataï Tzevi. Ce que révèle sainte Hildegarde de Bingen, nous montre comment l’antiChrist fut conçu. Sa conception veut ressembler à celle de Jésus par la Vierge. Mais Satan ne fit qu’un simulacre sacrilège entre une femme et un incube.

 

 

 

Tout ce qui concerne la conception surnaturelle de Merlin lui appartient(Merlin Roman du XIIIe siècle par robert de Boron). Il a pris évidemment dans l’évangile de Nicodème, dont il pouvait connaître une traduction, l’idée du conseil tenu par les démons. Quant à la gé-nération de Merlin par un démon dans le sein d’une vierge, il en doit l’idée première à Gaufrei, qui, lui-même, indique Apulée comme sa source ; mais il paraît y avoir joint une application des idées qui circulaient sur la façon dont l’Antéchrist viendrait au monde : on croyait que, comme le Christ était né d Dieu et d’une vierge, son adversaire suprême naîtrait du diable et d’une vierge[7].

 

 

 

L’évangile de Nicodème influença tout le Moyen-Âge dans leur introduction, comme l’écrivain R. de Boron. Le mythe du Graal vient de cet évangile comme la légende arthurienne de la Table ronde. Merlin l’enchanteur prend sa source dans celui de Nicodème écrit par un Juif converti à la foi chrétienne. Dante Alighieri prit sa source pour écrire l’Enfer. Le saint Graal vient quant à lui grâce à Joseph d’Arimathie recueillant le sang de Jésus dans un calice. Pour revenir à Merlin, sa mère était une femme bonne par nature. Dans ce roman, Merlin possède la puissance de son père incube mais de la bonté de sa mère. Dieu donnant la vertu de voir l’avenir. Cela nous fait souvenir le Merlin dans la Trilogie Cosmique[8] de Clive S. Lewis. Merlin l’enchanteur est bon, pris par l’appel à sauver le monde auprès de Ficher King (Ransom) auprès des Oyarsa, archontes des planètes habitées.

 

Quant pour homme si soutument / Vous en terre neistre de mere/ Sanz nule semence de pere/ Et essaucier vin tle tourment/ En terre si tres sagement/ Sanz delit d’omme ne de femme ; Nunques n’i pecha cors ne ama ;/[Sans le soutiens d’un d’homme, vous êtes devenue une mère sans la semence d’un père, et vint le tourment. Sur terre avec sagesse et sans délit d’adultère, entre une femme et un  homme, elle n’a pas péché ni corps et âme,]…

 

Li uns dist : « De ce n’ei pooir /Ne de semence en feme avoir ; / Meis se le pouoir en avoie/ Sachiez de voir je le feroie,/ C’est une femme  en men pouoir ei / Ki fera quanque je vourrei[9]. »…[Lui de dire : de ce que je peux faire, car cette femme est soumise en mon pouvoir,

 

J’en fais ce que je veux. »]…

 

Celui qui parle c’est le démon dans le conseil de la Hiérarchie Infernale. Cet esprit, est celui d’un succube prendre semence lors des dites pollutions nocturnes, ces accidents, liés au démon femelle Lilith.

 

Dans le livre cité ci-dessus, de Merlin de Robert Boron, au chapitre Fragment en vers, nous lisons très clairement la conception à partir d’une femme sans l’aide d’un homme. C’est un prodige préternaturel. La mère de Merlin, eu un enfant dans un contexte particulier, extraordinaire. Il n’y eu pas de rapport sexuel avec un homme.

 

 

 

Dans le livre du Zohar (Sefer ha-Zohar : le livre de la Splendeur, prend naissance du principe du succube et de l’incube. Le premier principe est un démon femelle du nom Lilith. Elle est cette écorce qui tombe de la lumière, elle est déchue. Ce sont aussi Aza et azaël :

 

Quand l’épée flamboyantes se mit à tournoyer, l’écorce s’enfuit, pour-suivant son errance sur la terre. Elle y découvrit des enfants qui devaient être punis, elle les railla puis les tua. Cela se produit quand la lune est incomplète, dans l’amoindrissement de sa lumière. C’est cela le « luminaire » (où manque le Vav). Pendant la naissance même de Caïn, l’écorce ne réussit pas à s’attacher à lui, ce n’est qu’ultérieurement qu’elle s’approcha de lui et enfanta des souffles mauvais et des êtres volants. Quand Adam eu atteint l’âge de cent trente ans, il s’accoupla à des souffles féminins, donnant naissance à Naama. A cause de sa beauté, les fils d’Elohim se prostituèrent à elle, ils se nommaient Aza et Azaël. Elle fut enceinte d’eux, et répandit des souffles mauvais et des succubes qui rôdent la nuit en parcourant le monde. Ils jouent avec les hommes et font en sorte qu’ils fassent jaillir leur semence au hasard. Partout où les hommes demeurent solitaires dans leur maison, ils se posent sur eux et s’en saisissent, ils se collent à eux et s’accapa-rent leur désir, puis, ils enfantent d’eux[10].

 

Ce qui nous intéresse aussi, c’est que cette écorce identifiée à Lilith s’identifie à la lune absente de lumière, la lune noire. Lilith est cette lune noire dans la magie kabbalistique. Elle est le premier succube. Lilith qui s’approche et donne naissance à Caïn des souffles mauvais, sont les démons féminins, dont la reine est Naama. C’est la genèse, le commencement de la dépravation entre les démons et les hommes. Ces fameux néphilim sont le produit entre les fils de Dieu, ces démons mal et femelle, selon le Zohar. La nuit, l’obscurité, les ténèbres sont l’absence de la lumière créatrice, vivifiante génératrice de vie. Là, c’est la mort spirituelle.

 

 « Elo-him créa les grands monstres marins » (Id. I :21,), c’est-à-dire le Léviathan et sa compagne. « Et tout individu vivant qui rampe » (Id.), il s’agit de l’essence de la force de vie (aya) qui rampe aux quatre coins du monde. Et quelle est cette aya rampante ? Il convient de dire que c’est Lilith. (en note nous apprenons ceci : selon plusieurs versions, il ne faut par lire « Liith », mais « layela », la nuit[11].Lorsque Lilith s’approche de Caïn, c’est après le meurtre de son petit frère, Able le Juste. Cette génération impie vient de Caïn le père de la première Cité, celle des hommes dévoyés par les démons, males et femelle.

 

Il existe même identiquement des souffles masculins qui s’approchent des femmes de ce monde et les rendent enceintes et celles-ci donnent naissance à ces souffles. Tous ces souffles sont appelés « plaies des fils de l’homme ».Et plus loin pour finir : Rabbi Aba s’adressa à rabbi Siméon : Un maître avait dit que Naama se joignit à Lilith pour jouer avec les hommes [dans leurs rêves nocturnes][12].Lilith la lune noire, peut s’identifiée dans l’œuvre d’Aleister Crowley à ce souffle féminin qui entre dans la Babalon selon sa doctrine[13]. La semence des hommes devient un artéfact. Et chez les occultistes dans la magie sexuelle d’A. Crowley c’est la semence divine. Cette pratique se trouve très tôt en Inde Védique et out l’extrême Orient. Selon Cyprien de Carthage nous savons que les démons se dépravent un peu plus au contact des hommes.Nous le voyons en Genèse avec les Nephilim :

 

Lorsque les hommes commencèrent d'être nombreux sur la face de la terre et que des filles leur furent nées, fils de Dieu trouvèrent que les filles des hommes leur convenaient et ils prirent pour femmes toutes celles qu'il leur plut.Yahvé dit : "Que mon esprit ne soit pas indéfiniment responsable de l'homme, puisqu'il est chair ; sa vie ne sera que de 120 ans."néphilim étaient sur la terre en ces jours-là (et aussi dans la suite) quand les fils de Dieu s'unissaient aux filles des hommes et qu'elles leur donnaient des enfants ; ce sont les héros du temps jadis, ces hommes fameux[14].

 

Dans le livre d’Énoch voici ce passage que Dieu révèle à son ami sur ces Nephilim :

 

Pourquoi avez-vous abandonné le ciel très haut et saint ^,qui est éternel, vous êtes-vous couchés avec les femmes, vous êtes-vous souillés avec les filles des hommes, avez-vous pris des femmes et avez-vous agi comme les enfants de la terre, et avez-vousengendrépour fils, des géants ?Et maintenant les géants qui sont nés des esprits et dela chairseront appelés, sur la terre,esprits mauvais, et sur la terre sera leur séjour. Des esprits mauvais sont sortis de leur chair (des géants) parce qu'ils ont étéfaits par les hommes[15],…

 

           Dans le Zohar[16] nous apprenons qu’il existe ce « mauvais œil ». C’est Léviathan et tout autre créature que sont les souffles. Nous sommes en pleine démonologie traitant sur la Hiérarchie Infernale.

 

 

 

Le Wewelsburg était le Sanctuaire des SS, Chevaliers du Soleil Noir. Nous pouvons attester que l’AntiChrist aura comme les Allemands son Sanctuaire Noir. D’abord, il sera à Babylone la Grande à nos jours et bien sûr à Jérusalem. Ce Sanctuaire sera sur le Mont du Temple, reconstruit en trois Jours par les Démons déguisés en Anges de Lumière. Ce Sanctuaire Maudit fera face à la Cathédral en bois, le Sanctuaire du Dernier Pape, Pierre II.

 

Le Soleil Noir est Lucifer et la Lune Noir est Lilith. Rappelons-nous le Signe Grandiose dans le ciel :: une Femme ! le soleil l’enveloppe, la lune est sous ses pieds et douze étoiles couronnes sa tête.

 

L’Être Hybride, le Baphomet ou l’Androgyne parfait est une contrefaçon de Satan face au Signe Grandiose, la Femme qu’est la Vierge Marie. Qui peut singer si bien Marie enveloppée du Soleil de Justice, Elle qui est la Stella Matutina, la Lune qui reflète les Rayons du Soleil Divin : La Lune Noire, Lilith :

 

La Lune noire, que l’on associe à Lilith, la première femme d’Adam, dont le sexe s’ouvrait dans le cerveau, est liée essentiellement à des notions d’intangibles, d’inaccessible, de présence démesurée de l’absence (et l’inverse), d’hyperlucidité douloureuse à force d’intensité… Elle est toujours liée à des phénomènes extrêmes, oscillant entre le refus et la fascination… La lune noire est l’aspect néfaste de la lune : symbole de l’anéantissement, des passions ténébreuses et malfaisantes[17],…

 

Lilith, dans la Kabbale, aurait été la première femme d’Adam, créée elle aussi à partir de la terre. Elle fut jalouse d’Eve. Elle fit la guerre aux familles, aux enfants et à l’amour. Elle est la Déesse Mère des plaisirs voluptueux et la Magie sexuelle. Elle est vêtue de noir est assise sur la Lune Noire. Elle possède deux ailes d’aigles et elle est entourée du lion et de chouettes. Ses jambes peuvent se muer en serpents. Elle a une couronne ou une tiare au-dessus de la tête. Son origine remonte à la Civilisation Assyrio Babylonien. Elle fut un esprit succubus, l’esprit des vampires.

 

Lilith sera le point central du Grand Œuvre chez les occultistes comme les Satanistes. Elle est l’Esprit qui mettra au monde l’Enfant Lune : l’AntiChrist. Affligée par son abandon avec Adam, elle sera prie de pitié par Shamael, le Poison de Dieu. Ce couple infernal s’installe dans la Vallée de Ben Hinnom ou la Géhenne. Elle deviendra par son union avec ce Démon infernal, la Reine du Sabbat Satabique. Lilith s’apparente avec Hécate, la Reine des Vampires et des Strigges. Selon la tradition talmudique Adam et Lilith aurait été créé ensemble , unis par le dos. C’est le mythe de l’Androgyne. Lilith devient la Reine des Succubus et des Inccubus. Elle puise la semence pour le prendre et féconder des Enfants démoniaques. Léviathan dans la Civilisation Babylonienne avale le soleil et s’identifie lui-même à Dieu et qui veut s’oppose contre Dieu. Léviathan, le Serpent Fuyard est l’esprit même du Baphomet. Il se love dans la crypte et la tombe de celui qui possède. Léviatha, fait la guerre à Tiamat et gagne contre lui. L’Esprit de Satan plane sur les eaux déchaînées de l’Enfer. Léviathan est donc le nouvel Adam, un Adam crée par l’homme, pour sauver l’homme de l’homme[18].

Cet Adam nouveau est le golem théurgique qui se métamorphose en Adam Kadmon, l’homme univers qui épouse l’En-Soph. Cet Adam microposope, homme microcosme, dans sa masse collective, engendre l’Adam Kadmon, le Corps mystique de l’AntiChrist.



[1] Sabbataï Tsevi, Gershom Scholem, Editions traduit de l’anglais par Marie-José Jolivet et Alexis Mouss, Verdier Poche, 1983, Lonrai, Normandie, p. 294

[2] Les Incubes et des Succubes, par Jules Delassus, Edition Société du Mercure de France, 1, volume in-12, 1897, Paris, p. 10

[3]Ces Dusiens, des Gaulois font penser aux Dievs, divinités malfaisantes de la mythologie persane. Sur les Faunes, comp. Servius (ad , Aeneid., lib. VI, V. 776), Isidore (Orig., lib. VIII, cap. 11, § 103) et Cassien (Collat., VII, cap. 32). (Notes de

[4]Sur les démons mâles et femelles, incubes et succubes, voyez le commentaire de Vivès sur la Cité de Dieu(tome II, page 157) et le livre de Psellus, De natura daemonum.(Notes du ttraducteur de la Cité de Dieu).

[5] La Cité de Dieu, saint Augustin, livre 15e, chapitre XXIII, P. 325, http://www.livres-mystiques.com/partieTEXTES/Staugustin/citededieu/livre15.htm

 

[6] Somme Théologique de saint Thomas d’Aquin, Prima Pars, volume I, question 51, les rapports des anges avec les réalités corporelles, articles 3 : Les anges exercent-ils les fonctions de la vie dans les corps qu’ils assument ?© Edition numérique, p. 438

[7]Merlin, roman en Prose du XIIIe siècle, de Robert de Boron, par Gaston Paris et Jacob Ulrich, tome premier, édition Librairie de Firmin Didot et Cie, 1886, p. XIII de l’introduction du même livre.

[8] Au-delà de la Planète Silencieuse, Perelandra et Cette Hideuse Puissance.

[9] Merlin, robert de Boron, Roman du XIIIe, Textes Littéraires Français, Edition critique par Alexandre MICHa, Librairie Droz S.A., Genève, 2000, p. 4-6-7

[10] Le Zohar, Genèse, Tome I, (Préliminaires, Béréchit, Noah, Leck Leckha), Collection Les dix Paroles, Edition Verdier, traduction de l’araméen et de l’hébreu, annotation et avant-propos par Charles Mopsik, suvi du Midrach ha Néelam traduit par Bernard Maruani, Lagrasse, avril 2015, p. 113 et 114.

[11] Ibid. p. 191

[12] Ibid p. 281

[13]Liber Cheth Vel Vallum Abiegni Sub Figurâ CLVI.Elle est la Prostituée, la mère des Abominations, la fiancée du chaos qui chevauche la Bête Écarlate.

[14] Gn 6, 1 à 4

[15] Le Livre d’Énoch, traduit sur le texte Ethiopien par François Martin, Paris, édition Letouzey et Ané, 1906, p. 40-41 et 42.

[16]Cette œuvre majeure de la kabbale hébraïque inspira un certain Isaac Louria(1534-1572), l’un des principaux fondateurs de la cité de Saphed en l’extrême nord de la Galilée en Israël, cité des rav kabbalistes. Il n’écrivit rien sinon l’un de ses disciple fameux, Haïm Vital avec le Sefer Êts H'ayyim - L'Arbre de Vie, sinon l’arbre des séphirots.

[17] Le Dictionnaire des Symboles, Jean Chevalier et Alain Gheerbrant, Édition revue et augmentée, Robert Laffont/Jupiter, 1982, Paris, p. 595

[18] Eucharistie et Mondialisation, William Cavanaugh, Édition Ad Solem, collection Angles vifs, Genève, Suisse, 2001, p.30 à 32 p.139

 

 

 



Commentaires (1)

RETY Fabienne le 31/10/2023
C'est très intéressant !


Ecrire un commentaire