CORONAVIRUS 19 & 20

L'image ci-dessus fut dessinée par Éliphas Lévi Zahed : le Baphomet

La pandémie de grippe espagnole s’était déroulée en trois vagues: une petite dite annonciatrice en fin d’hiver 1918, une très forte seconde vague à l’automne et une dernière vague en hiver 1919.

(Texte pris du Figaro, lors d'un entretien avec l'épidémiologiste Antoine Flahault. Cette nuit à minuit, d’après le premier ministre français, tout lieux publics, comme les lieux de cultes seront ouverts mais sans leur cérémonie. La Haute Maçonnerie a enfin gagné sa Guerre. Et l’Église catholique a désormais perdu.

Rome, à travers l’Italie a perdu contre la Haute Vente et les Carbonari, comme la loge maçonnique de l’Orient à Rome. L’O.T.O. a gagné contre l’Église. Nous devenons enfon les Perdants de Dieu. Cette dernière parole me fut dite par Jésus dans mon cœur, il y a de cela plus de cinq ans : Jean Marie, lors de la Venue de l’AntiChrist, vous devez devenir les Perdants de Dieu.

Je l’ai très mal pris. Je suis bien plus un Guerrier qu’un soldat. Le guerrier se bat au corps à corps avec son ennemi avec couteau et hache tandis que le soldat tenant son arme de guerre, tue à distance.

L’Église a baissé les bras, toute l’Église Catholique. Elle hurle contre l’homosexualité, comme pour les questions d’éthiques, ou la génétique. Et, là elle fait LA MORTE.

Où te trouve-tu Ô Rome ?

Où se trouve Tes martyrs, Ô Rome ?

Où se trouve ta parole, tu deviens bien silencieuse !

Le Moleck Ba’al, à l’entrée du Colisée à Rome hurle le nom de son Maître :

MARDOUK, MARDOUK, MARDOUK…

MARDOUK est la divinité suprême dans la religion Babylonienne, du temps du roi Nabuchodonosor. Moleck Ba’al es tle dieu infernal qu’adora Israël du temps de Moïse, lui au Sinaï. Molek Ba’al est le dieu dans les plaines, il est le dieu qui dévore les enfants par le feu. Moleck Ba’al est MARDOUK

MARDOUK veut en français : DRAGON ROUGE FEU. IL est ce nom écrit dans l’Apocalypse selon l’Aigle de Pathmos. Il est cité pour la première fois au début du chapitre 12, il est le second Signe dans le ciel après la Femme.

Enlevez-leur la religion, ils adoreront au bout d’un mois les Bêtes disait le Curé d’Ars. Le Jour du règne de l’AntiChrist sera effectif le jour de l’Abolition du sacrifice non sanglant : c’est l’abolition de la sainte Messe : 1260 jours. Mais ce que je comprends, en ce jour, c’est que l’AntiChrist n’est toujours pas là, mais la messe est supprimée. Durant la Peste bubonique à Paris et toute la France en 1830, il y eut toujours des messes ?

Du temps de Léon le grand, au cinquième siècle (390- 461), pendant le Fléau de la grande peste à Rome. Il était pieds nus, avec derrière lui des milliers de pénitents. Saint Michel apparaît au-dessus du château saint Ange (château du temps d’Adrien en 125, situé sur la rive droite du Tibre, tombeau de l’empereur Auguste), lui disant que la peste était finie. Il y eut la FOI, en ces époques. Maintenant les décrets préfectoraux, et lettres ministérielles sont plus important en autorité que l’Église. L’Église a perdu, elle devient perdante.

Où se trouve les prophètes ? Ou sont les fous de Dieu ? Plus rien. Nous sommes des Zombies.

Bienvenue à ZOMBIELAND.

Les Chrétiens se calfeutrent chez eux. 98 ù des évêques de France obéissent au président de la petite république de France.

FRANCE, FILLE AINÉE DE L’ÉGLISE, OÙ EST TA LIBERTÉ, OÙ SE TROUVE TA FOI ?

FRANCE, FILLE AINÉE DE L’ÉGLISE OU SE TROUVE LE SANG CHRÉTIEN ?

Tu t’est fait entubée tout ton sang depuis la mort ignominieuse de Louis XVI avec sa femme. Vous, Francs-Maçons Français, ASSASSINS de la France royale, vous êtes coupables de Régicide. Vous êtes coupables du sang des Prêtres réfractaires. VOUS allez le payer de votre vie, VOUS ÊTES MAUDITS, VOUS ÊTES LES MAUDITS DE LA France ? Tous les présidents de France, furent tous des Damnés. Vous êtes en ENFER.

France, tu mérites de disparaître dans le FEU et le SANG.

Et, toi REIMS, tu vas payer avec toutes tes messe noires et sacrifices humains dans tes cryptes. France, pays Damnées, à la tête des pays damnées. Tu vas PAYER de ton Sang, par tes MESSES NOIRES, depuis le XVIII ^eavec l’abbé Etienne Guibourg. Quels sont les Français au courant de toutes ces choses. Presque personne, seulement les spécialistes en religion comparée, les chercheurs. Je me fatigue pour rien, en hurlant dans le désert de ce monde.

Morphéus ne disait-il pas ceci Néo: Bienvenue dans le désert du réel, mon cher Néo.

La France a voté pour le mariage homosexuel, avec la GPA etc… Je ne parle pas de l’avortement ni de rien d’autre. Ce n’est pas le sujet. Mais la France est première sur la liste noire concernant les Fléaux. Avec Rome, elle tient la palme d’or. Ce sont les deux premiers pays qui abolissent la messe. Lourdes, sanctuaire mariale, est vidé de sa substance. J’entends le Rire colossale de Satan/Lucifer. Il hurle de rire inouï avec sa Hiérarchie Infernale. Les hommes sont trop CONS.

Certains le disent que je voie le diable partout. C’est moi, qui vais rire d’un rire colossal, le jour où les Démons vont débarquer par LEGIONS, sur notre Terre. Cette guerre est eschatologique. C’est la grande Bataille entre les Anges et les Démons. Nous sommes l’enjeu. La Terre est devenue la partie de chasse, de ces redoutables Prédateurs. Concernant le coronavirus, il va y avoir dès la première vague plus de cent millions de morts à travers le monde. Après cela, il y aura deux autres vagues encore plus meurtriers. Les Chinois croient que l’épidémie est finie. Qu’ils le croient. Ils n’ont vécu que les prémices. Tous ceux et celles qui sont sous médicaments, diabétiques, cancer, vieux ou jeunes vont tous et toutes mourir. Ils n’ont pas le choix, et dans de grandes souffrances. Je fais partis de ceux-là, je suis asthmatique, c’est la vie. Je n’ai pas le choix. Ma seule chance de survie, est que j’habite dans les bois en montagnes. Ce choix est délibéré depuis des années. Car je suis au courant de tout cela depuis si longtemps. Je me suis volontairement isolé du monde.

Le jour où Dieu, peut être le permettra si je suis encore de ce monde. Je sortirai de mon trou, pour lutter corps à corps contre …. Je ne serai pas seul et le seul. Nous sommes quelques-uns. Je l’espère.

Lorsque j’étais jeune, vers les quinze ans, j’étais PUNK (je le suis toujours dans mon âme), et je disais en hurlant : NO FUTUR.

Nous avions raisons, mais tout le monde se foutaient de notre grande gueule. Je savais à mes 15 ans que le futur était derrière moi, c’est en 1980. Il ay de cela 40 ans. Tétais toi, qui me lis. A cette époque, je lisais Bakounine, j’étais anarchiste comme Diogène le Cynique. Alors que personne ne me la raconte, s’il te plait, j’ai fait mes preuves. Ma vie est très chargée, radioactive. Je ne regrette rien, j’ai fait parfois de très mauvais choix, ma vie a pu sentir la merde à plein nez, mais j’assume. Je n’ai pas peur de dire la Vérité, je ne me voile pas la face. La Vérité vous rendra libre dit Yeshoua. Je suis un Chrétien bien space, zarbi, c’est vrai, mais je suis encore là.

Les Français prennent de haut de ce qui arrive maintenant. Cela va être un massacre atroce. Je le sais depuis plus de 30 ans. A 27 ans j’étais comme je suis aujourd’hui. Je suis très affuté concernant la Démonologie. J’ai beaucoup étudié sur la magie noire, les hauts phénomènes de la haute magie, la Grande. Je continue de travailler sur la Kabbale Juive etc… Je suis frappé par l’ignorance des gens, leur refus de savoir, de comprendre cet immense complot mondial qui arrive. Ils se fichent de nous en nous traitant de conspirationniste, de théoriste du complot. Je ne suis dans aucun réseau d’influence, je n’ai pas de fortune, je suis toujours en débits financier, je hais la politique politicarde, je suis seul comme le loup solitaire. Les complots ont toujours existé dans les royaumes. Là où il y avait des rois, les complots étaient légions.

Le Mahâbhârata où le grand poème de La BHAGAVAD-GTTA est remplis de complot meurtrier. Regardez ne serait-ce le film RHAN de Akira Kurosawa, c’est flagrant. Ayez de la culture et des arguments avant de nous juger. Vous serez jugés par l’Histoire. Lisez le poème immense de la « Chanson des Nibelungen ». Arrêtez de nous montrer du doigt. Lorsque vous serez sous aspirateur artificiel, vous ne vous moquerez plus de rien, mais vous mégisserez comme des pauvres enfants. Je serai déjà mort moi aussi depuis bien longtemps. Je ne suis pas immortel. Je suis fier d’être mortel. Car mon âme aspire à l’Éternité.

Elle est retrouvée ! Quoi ? L’Eternité. C’est la mer allée avec le soleil, disait A. Rimbaud dans ses Illuminations (1972).

Je n’ai pas peur de mourir je n’ai pas peur de la mort. Mais j’aime vivre comme un fou. J’ai tout perdu, tout. Il ne me reste rien. Et je ne suis pas désespéré. J’aime vivre de la liberté des enfants de Dieu. Le jour où la mort sera face à moi, je lui ferai mon plus beau sourire, ô combien je l’espère.

Réveillez-vous ! Car c’est déjà trop tard. Cela fait presque dix ans que je vous écris à certains. Cela fait dix que vous lisez ce pauvre blog. J’ai fait ce que j’ai pu. Je n’écris pas toujours bien, j’écris trop vitre, trop impulsif avec mon clavier mac. Mais au moins, personne ne pourra me critiquer de ne pas vous avoir pas prévenu de ce qui allait arriver. Ce fut mon job dans ce blog. Je vous ai donné toutes mes sources, mes références, mes bibliographie immenses, mes notes. Et tout cela gratuitement. Je travaille depuis près de 30 ans. Cela ne ma JAMAIS fait gagner de l’argent. Tout est gratuit. Vous avez lu, critiqué, insulter, jugé, menacé, gardé le silence, piller. C’est la règle du jeu, dans l’arène du WEB. Je suis très fier de mon travail. Car j’ai gardé le meilleur pour en faisant des tirage papier. J’ai quatre volumes de mes écrits sur papier glacé, je les ai relus bien sûr. Je fus seul pour faire ce blog. Ce blog possède un sujet fumeux, inabordable pour la majorité. Car cela traite sur les Démons entre autres et les dérives sectaires.

Et j’annonce la Venue immédiate de la personne de l’AntiChrist ou ha-Mashia Daggal. J’ai accès à des sources d’information inégalées. C’est tellement vrai que personne ne me croit :

SUEUR DE SANG

Des isoles, des trainards sans nombre, des sol-dats de toute arme et de toute espèce ; artilleurs sans pièces, cavaliers démontes, fantassins qui n'avaient plus ni sacs ni fusils, et les campagnards affoles par ces vagabonds dévorateurs dont le pas- sage annonçait l'imminente Venue de l'Étranger[1].

… C'étaient des guerriers sans expérience qui n'avaient jamais vu chose pareille chez leurs ma-mans. Pleins d'enthousiasme, ils s'étaient enga-gés de tout leur cœur, un mois auparavant, sous un chef dont le Nom célèbre évoquait tous les héroïsmes de la Vendée militaire et ils avaient promis, comme de braves enfants qu'ils étaient, de ne déposer les armes que lorsque le. Roi légi- time serait assis sur son trône.

C'était tellement infaillible ! Les bons Pères leur avaient fait lire tant de prophéties formelles et circonstanciées relatives à ce Grand Monarque et à cet admirable Pontife qui devaient régner ensemble sur toute la terre, qu'il eût été vraiment difficile de ne pas les reconnaître en la grandeur géminée de Pie IX et du Comte de Chambord.

Sur ce point, les témoignages étaient unanimes, depuis l'évêque Amadée et le Bienheureux Théo-lophre qui fonctionnèrent aux environs du XII^e siècle jusqu'au Solitaire d'Orval et au vénérable com-mentateur Holzhauser, confirmés en leurs asser- tions par les plus récents inspirés.

Ils étaient donc arrivés de diverses provinces de l'Ouest, en chantant des choses décisives telle ce tronçon de dithyrambe que je me glorifie d'avoir pu sauver de l'oubli :

Il est écrit que deux grands hommes,

L'auguste bandeau sur le front,
Dans la nuit des temps où nous sommes,

En Occident apparaîtront :

L'un, d'une sainteté sublime,

Doit, dans la nouvelle Solyme,

Glorifier la vérité ;
Par son audace et sa prudence,

L'autre, sur le trône de France,

Étonnera l'humanité[2].

LE CAMP D’EXTERMINATION : TREBLINKA

Quelques jours après son installation dans le ghetto le docteur Dvorjetsky fut réveillé un matin par des grattements furtifs contre la porte de la chambre qu’il occupait avec sa famille. Le jour se levait à peine et toute la maison dormait encore. Inquiet, il hésitait à aller ouvrir lorsqu’il entendit une voix de femme l’appeler par son nom. La voix était suppliante.

« Docteur, ouvrez. C’est moi, Pessia Aranovitch, je me suis évadée de Ponar. »

Lorsqu’il ouvrit la porte, il vit une femme habillée comme une femme lituanienne, qui portait un bouquet de fleurs dans les mains…

… « … Je suis venue pour me faire soigner et pour vous dire que Ponar n’est pas un camp de travail ! On y tue tous les Juifs !

• Tous les Juifs ? voyons, ce n’est pas possible. Pourquoi tuerait-on tous les Juifs ? » lui dit douce-ment le docteur Dvorjestky en essayant de la rai-sonner.

Elle eut un geste de la main et son visage prit une expression enfantine. Le docteur la regarda de plus en plus étonné. Il la reconnaissait main-tenant.

« Raconte-moi ce que tu as vu. Lui demanda-t-il, sentant qu’elle avait besoin de parler.

• Quand nous avons vu le flot des gens se séparer en deux bras, tous le monde a demandé : « Qu’est-ce qui se passe, qu’est-ce cela signifie. « Mon mari m’a dit que certains ne dormiraient pas dans leur lit ce soir. D’abord, je n’ai pas compris ; alors il a ajouté que c’était le moment de ne pas se trom-per. Il voulait que je prenne à gauche ave notre petite fille et lui à droite. Moi, je n’ai pas voulu. Je lui ai dit que si nous devions être déporter, il valait mieux être ensemble. « Espérons que ceux qui se « tromperont ne risqueront que la déportation », m’a-t-il répondu. Je ne savais pas ce qu’il voulait dire, mais j’ai commencé à avoir peur. Nous cherché un indice qui nous indiquerait la bonne direction. Nous avancions toujours et le carrefour se rapprochait.
•  

« La foule était devenue silencieuse, chacun sentait quel avenir allait se décider à ce carrefour. Insen-siblement, nous nous laissions déporter vers la gauche. Nous discernions déjà les quelques Alle-mands et miliciens qui s’y tenaient, corps immobiles, visages impénétrables. Leur groupe était comme une étrave sur laquelle la foule venait se fendre. Le pre-mier soldat qui formait le tranchant de cet éperon était un vrai Allemand grand, blond, très beau. Il nous regardait amicalement avec un léger sou-rire, l’air lointain. Son regard ne s’arrêtait sur per-sonne… »

… Nous arrivâmes finalement à ce que nous croyons être le ghetto…

« … – Et nous serons tous tuer.

« – Nous le serons de toute façon. Ils ont cerné le ghetto. Nous allons tous être emmenés.

« – Mais avez-vous des preuves qu’ils tuent les Juifs de Ponar.

« – Pourquoi alors les emmèneraient-ils dans la forêt ? »

« – Celui qui voulait se révolter avec une voix très basse il parlait yiddish avec un accent d’Ukraine. Je ne voyais que sa silhouette courte, massive. Il m’inspirait confiance.

« – Et pourquoi tueraient-ils les Juifs ? demanda une autre voix.

« – Et pourquoi les Lituaniens les tuent-ils ?

« – Ils ne nous tuent pas, ils nous battent. Ils ne tuent que les Juifs qui se défendent. »

…

« Je ne vis pas la forêt arriver. Soudain des cris, des coups, des barbelés et une odeur terrible. Nous nous arrêtâmes. Je ne savais pas comment cela allait se passer, je serrais ma petite fille dans mes bras et je fermais les yeux. Je les rouvris quand mon mari me dit au revoir. Il était très calme et me regardait intensément.

« – Pardon, ajouta-il, je me suis trompé. »

« Par cinq, les hommes s’avançaient, ils mar-chaient cinquante mètres, s’arrêtaient et se bais-saient. On entendait une salve et on les voyait dis-paraître.

« Puis, il n’y eut plus personne devant moi et je m’avançais à mon tour. Je n’avais pas peur, je ne vivais déjà plus. Soudain, à mes pieds, une grande fosse pleine de cadavres. Je n’entendis pas les déto-nations, mais je ressentis une douleur dans mon bras. Je me laissais tomber en avant en me disant : « Ca y est, je suis morte » et je perdis connaissance. »…

…Ma petite fille était morte étouffée. Je ne savais pas comment je soulevai tous les cadavres qui me recou-vraient. Je me souviens que je rampai. Il y avait des barbelés, je réussis à me glisser dessous. J’avais telle-ment peur que je rampai encore longtemps, puis je me redressai et me mis à courir. Alors je rencontrai une paysanne. Elle me donna une robe et ce bou-quet, mit un chiffon autour de mon bras et me dit de retourner au ghetto en me faisant passer pour une paysanne qui venait vendre des fleurs. En arri-vant, j’ai demandé ou vous étiez, personne ne savait. Je ne me souviens plus comment je suis arrivée ici. Mais j’étais sûr que c’était ici. »

… « On dirait que c’est une balle qui a fait cela », murmura-t-il.

Il trempa un mouchoir dans l’eau et de pencha pour nettoyer la plaie. Quelque chose grouillait au fond. Il se pencha encore plus et soudain bredouilla, terrifié :

« Emma ! Des fourmis rouges de la forêt[3]. »

Shalom

[1] Sueur de Sang de Léon Bloy, chapitre le Bon Gendarme, (18780-1871), avec autographe & portrait de l’Auteur, Paris, Collection « Les Proses », Georges Crès et Cie°, Éditeurs, 116 boulevard Saint-Germain, MCMXIV, p. 41

[2] Ibid Chapitre La Messe des Petits Crevés, p. 52 et 53

[3] Treblinka, la Révolte d’un Camp l’Extermination, de Jean-François Steiner, préface de simone de Beauvoir, Editions Fayar, 1966, Brodard et Taupin – Imprimeur Relieur, Pris, 3^e trimestre 1968 pp. 25 à 36