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petit coucou du jours.j espère que tu vas bien.je remet petit à petit des photos sur mon blog.un peu le binss
Par koukla, le 06.06.2024
bonjour,
je te remercie doublement de ton aide. non seulement tu as donné ton appréciation, mais tu m'as mo
Par Paule Di Grézia, le 13.01.2013
salut leeloochatana. merci de tes visites.http:/ /drkaroloth.ce nterblog.net
Par drkaroloth, le 12.01.2013
un,deux,trois. ....... du soleil à la lune on s'endort en mélisse...... ... une journée un, deux, trois.......
Par leeloochatana, le 11.01.2013
"qu'allons nous faire que nous n'aurons pas à regretter ?" : fulgurant.http ://babayaga.ce nterblog.net
Par babayaga, le 05.01.2013
Date de création : 19.04.2011
Dernière mise à jour :
10.01.2020
772 articles
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Jour merveilleux
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Vous voilà partis à rire tous les deux des déboires de cet inconnu et tu te dis que décidément, c’est bon de rire avec un homme. Cela ne t’était pas arrivé depuis mille ans au moins. C’est un fou rire aux effets bénéfiques qui vous secoue et qui ne semble pas vouloir s’arrêter. Comme il est extraordinaire, sonore et libératoire, il attire l’attention. Tous les clients du bar tournent vers vous, le temps éphémère d’un battement de paupières, leur regard dubitatif et jaloux. Vous ne les voyez pas, vos yeux sont voilés de larmes heureuses. Vous vous en fichez des autres à cette minute.
Avec Damien, tu ne riais plus beaucoup les derniers temps. Jamais ! La vie s'était peu à peu transformée en une suite d'évènements sérieux agrémentés de conversations creuses dans lesquelles vous vous engluiez à longueur de temps. Comme il était séducteur, bien entendu, tu le savais, tu n’étais pas la seule femme dans sa vie. D’autres passaient dans ses bras et pour elles il gardait sa bonne humeur, ses sourires en coin, ses bons mots pleins d’ironie qui pourtant avaient été longtemps ton apanage. Tout ce qui t’avait fait l’aimer appartenait désormais à ces femelles fantomatiques, gourmandes de son corps et envieuses de ton bonheur dont tu devinais l’existence en humant la senteur des parfums qu’il rapportait d’elles quand il rentrait tard le soir. Il mentait bien, surtout au début, lorsqu’il éprouvait encore pour toi des sentiments suffisamment forts pour se sentir dans l’obligation de te ménager. Pourtant vous sembliez bien parti dans la vie, vous étiez fait l’un pour l’autre comme tu aimais à le penser, tout le monde le disait en se retournant sur votre passage, quel beau couple vous formiez ! Il était fidèle à cette époque. C’est lorsque tu es tombée enceinte que les choses ont commencé à changer, quand ton ventre est devenu bien rond. La première fois qu’il a été cherché ailleurs un substitut à ton corps aux moindres attraits, si celle-ci est véritablement la première fois, en tout cas c’est cette fois-là que tu as émis les premiers doutes, tu t’en es rendu compte en découvrant sur sa veste beige trois longs cheveux blonds, impossibles à confondre avec ceux de ta noire chevelure, et une trace légère de rouge à lèvres sur son col. De bien faibles indices ! pourraient dire certains. Oui ! Mais ils étaient suffisants pour te permettre de deviner que tu n’étais plus seule. Pourtant, tu ne ressentis pas de jalousie. Tu comprenais et même tu admettais qu’il pouvait faire l’amour à une autre femme tant que cela n’influait pas véritablement sur votre vie de couple. Cela ne l’empêchait pas de te prendre dans ses bras lorsqu’il rentrait à la maison et de te serrer contre lui ou de poser son oreille sur ton ventre gonflé. Tu avais cette certitude en toi : dès que le bébé serait né et que votre vie aurait repris la direction que vous lui aviez donnée, il oublierait ces passades et reviendrait à toi. Dans ton orgueil incommensurable, tu ne pouvais imaginer que les choses pussent se terminer différemment. Après ta grossesse, tu allais redevenir toi-même et donc pour lui un objet d’adoration et de désir.
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