Deux nuits d'affilées, ensembles aux nuées cachées sous différentes ambres.

D’un discours de tendresse et la parole donnait à ta vie, en suspend, une richesse d'antan;

Le matin venait, sous un regret, là-haut avant quiconque d'un accord loyal d'envergure sous la ligne bleue d'un ciel en armure protégeant d'une liberté éternité tes ailes, en sécurité désormais, je te savais en paix.

Te correspondre d'un tout, de cet amour fou, aux reflets d'autrefois sans personne pour tuer les belles intentions, de mauvaises versions.

Combien de beaux visages nous restent ils vraiment, d'an en an?? Pour consoler nos pages, de tous ces naufrages d'existence, qui mangent les temps sous des ombres sauvages, vides de vrais sentiments.

Regarder l'horizon se sentant si près de mille partitions de bonheur et pouvoir sans filtre aux vagues de la lune te correspondre à jamais d'une émotion de paix.

D’un mot sortir une fleur à pauser sur ton coeur, te l'offrant de toutes les couleurs pour allumer le feu sur nos voeux si sincères d'une fabuleuse lumière, et grandir à nouveau d'une harmonie de chaleur qu'importe le souffle du vent, des flots, durs et méchants.

Braver d’une importance la chance de t’être si cher et regarder débout, d’une autre manière, demain.

Se mettre à l’abri, sous ton parapluie écrasant ma main de ne plus être seule, enfin; devant la tombe du monde qui s’étouffe, s’essouffle de tant de déchirures.

Dit moi que tu veilles à la rose nouvelle, de printemps en été camouflés, sous de précieux hivers aux disgracieuses façons, motivant la raison, par ton sourire charmeur  me gardant  dans cet univers de cœur, limpides sans raison, se faufilant par tout d’une clef d’émotion vive et salée, de cette éclat de vivre, instantané.

Tes bras m’enlacent d’une grâce, me laissant sur le bras une trace, venue dans la nuit, graver un mot d’une image sur ma peau de plage, à la ligne pointillé d’un cœur révélé un message, en règne de pensées éternelles, d'aimer au-delà des merveilles.

Auteur mpb.centerblog.net

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