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les fameuses joies d'une famille divisée !!
jo lie texte ! je continu m
Par panvrid, le 07.06.2018
t'es pas la seule à avoir besoin de changement... ^^
Par Miss Nana, le 28.09.2015
ce poème me fait penser à la mort du roi tsongor... ^^
Par Miss Nana, le 09.08.2015
salut, encore une fois ce poème est merveilleux. puis -je le publier sur mon blog si tu n'y voit pas d'inconvé
Par leroyaumedelalitte, le 23.03.2015
salut, ton poème est tellement beau, je me retrouve dedans car c'est ce qui m'arrive. puis-je te l'empreinté p
Par leroyaumedelalitte, le 23.03.2015
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Date de création : 14.04.2014
Dernière mise à jour :
17.07.2017
25 articles
J'ai entendu ton cœur battre au milieu du vacarme des enfers,
Ton amour à coupés mes liens de parts en parts, je me suis trouvé devant Cerbère.
C'est main dans la main que nous l'avons vaincu.
L'espoir à surgis en moi et m'a enivrée,
Tu m'a emmenée avec toi, nous nous sommes échappés.
Puis tu es parti, tu m'as sauvé mais tu as disparu.
Pourtant je sens encore ton cœur battre contre le miens,
Je sens tes mots de courage à mon oreille et la chaleur de ta main.
Je le sais, tu reparaîtra,
tu m'as laissé ce message en moi.
Tu dois combattre tes propres démons, je les ai sentit en toi,
Tu m'a laissée, mais je ne te laisserai pas te battre seul,
Je te retrouverai, compte sur moi,
Tu est venu me chercher, c'est ensemble qu'on va leur péter la gueule.
Père et mère s'arrachant,
Dans une lutte éperdue, leurs enfants.
Et se battent, comme des chien affamés,
Pour prouver que leur revient la dernière bouchée.
Il voudraient nous faire croire que c'est parce qu'il nous aiment,
Mais est-ce aimer,
que de déchirer ?
Dans cette histoire il oublient que les victimes ne sont pas eux-mêmes,
Et que le divorce est leur choix,
Qu'il n'y a pas de gagnants dans celui là.
Broyées, une enfance perdue,
Par l'attention de parents aux intentions corrompues.
Écartelées, entres deux partis,
Grandirent deux enfant inabouties,
Jetées trop tôt,
Au milieu d'une course à l’ego,
Ce furent vite des adultes,
Des déchiquetées, qui en résultent.
Et même aujourd'hui,
Alors que tout semblait enfin fini,
Les deux démons reviennent,
Et se toisent de toute leur haine,
En attendant le verdict du juge,
S'abat à nouveau sur les enfant un véritable déluge.
Pourtant dans toute cette violence,
Certains y voient une preuve d'amour.
Les enfants, de la simple arrogance,
Une haine sans détour,
Une famille sur un carrefour,
Une tristesse sans retour.
À ma petite soeur.
Une nouvelle année qui débute,
De nouveau horizons,
De nouveau buts.
De l'espoir plus que de raison,
Et une envie de changement,
Qui me prends tout le temps.
Moi aussi, je change,
Cette nouvelle vision de la vie m'arrange,
Je grandi calmement,
Et oublie peu à peu ma vie d'avant.
Car ma vie aussi est en train de changer,
Je ne sais à quoi elle va ressembler,
Mais j'espère, continuellement,
Aimer ce qu'elle sera dans quelques temps.
On savais tout les deux,
Qu'à la fin de la semaine tout serai terminé,
Pourtant on a pas hésité,
On est tombé amoureux.
Au début on flirtait,
Nos mains se frôlaient,
C'était évident,
Ce n'était qu'une question de temps.
Puis, le troisième jour,
On s'est finalement embrassé,
On voulait que ça dure toujours,
Que plus jamais on ne serait séparé.
Mais, la volonté ne fait pas tout.
Malgré ça, on en a profité jusqu'au bout,
Chaque instant comme une perle rare,
Chaque baisé comme un phare,
Pour ne pas se perdre, se séparer,
Sachant pertinemment que ça devait arriver.
Vint le dernier jour,
Les larmes vinrent à leur tour,
Un dernier baisé,
Avant de te quitter à jamais,
Un dernier regard,
Avant de te laiser rejoindre la gare,
Nos mains qui se lâchent,
Mes larmes que je cache.
Plus rien. Plus jamais,
Je ne te reverrai.
Plus de "nous",
Je ne l'accepte pas du tout.
Oublie moi,
Mais moi je ne pourrai pas.
La bataille à commencé,
Dans la prairie, s'entre choquent les deux armées,
La bruit des armes, qui tuent,
Résonne dans le pays tout entier,
Et le souvenir de ce que fut,
Autrefois, cette contrée de paix,
Ne reviens qu'aux plus anciens des guerriers,
Ce qui sont fier de ne jamais avoir tué.
Aux palais on admire du haut des tours,
Le carnage qui à lieu dans la cour.
Les dames se mettent à l'abris,
Les nourrices font taire les cri des petits.
Mais les jours de batailles s'enchaînent et se ressemblent,
Tandis que les forgerons, eux se rassemblent,
Il engagerons à l'aube les jeunes hommes du village,
Et leur apprendrons à manier les alliages.
Les hommes tombent et aucun ne se relève,
Des deux côtés, dans les deux armées,
Chaque combattant rêve en secret d'une trêve,
Mais ce n'est qu'un rêve et ce n'ai pas ainsi qu'il vont gagner.
Maintenant les jeunes savent forger.
Ils font de nouvelles armes, de nouvelles épées.
Mais c'est le cas dans les deux armées,
Chaque guerrier est mieux équipé.
Après un mois de bataille,
Il faut aussi faire de nouvelles cotes de mailles,
Les jeunes forgerons s'améliorent,
Et certain vendent à l'ennemi pour des pièces d'or.
La guerre continue,
Les soldats restant s'entre-tuent.
Au final, après la bataille,
Quand tout est fini, qu'il ne reste que les corneilles qui baillent,
Et les cadavres entassé sur la paille.
Et aussi les derniers debout ,
Qui ne peuvent prétendre à la vie,
Tant il se sont pris de coup,
Et tant ils ont encore l'impression d'être assaillit.
Pour les forgerons, aucun doute,
La bataille à été dure mais aucun pas ne leur coûte.
Ils partent vers d'autres villes vendre leur armes,
Créant des ennemis aux meilleurs lames
Les yeux grand ouvert dans le noir,
Fixant le plafond toute la nuit,
L'insomnie de chaque soir,
Te tournant, retournant sur ton lit,
La longue attente de la fatigue qui ne vien pas,
Les souvenirs de ta journée qui reviennent te hanter à chaque fois,
Le tic tac de l'horloge au mur,
Et toi qui te demande si ta vie est réellement si dure.
Les secondes qui passent comme des heures,
Le couloir sombre que tu traverse sans avoir peur.
Les ennuis qui te rattrapent et que tu replonge dans l'oubli,
La faim qui te tracasse et que tu maudit,
La pente glissante des cauchemars,
Ta vie entrecoupé par les remparts,
L'incompréhension que tu à pour le monde,
La sonnerie de ton réveil qui gronde...
Tes pied nus qui touchent le sol froid,
Le doute d'avoir dormi qui subsiste en toi,
La fatigue qui t'atteins maintenant,
Et toi qui te demande pourquoi elle n'est pas venue avant.
Le silence pesant devant la télé,
Le souvenir fugasse d'avoir revé.
L'espoir léger,
D'une bonne journée.
Cette impression de voir une fin à ce tunel sombre,
Une issue, pour sortir du cercle vicieux sans encombres,
Je m'âprète à passer la porte, vois la lumière,
Mais soudain, quelque chose m'attrape, me tire en arrière.
La vie me fait croire que c'est fini, que tout va mieux,
Puis tout revient, en bien pire qu'auparavant,
Je pensais avoir passé ce temps de souffrances, de lui avoir dit adieu,
Et bien non, ce temps est là, il me poursuivait, cherchait le meilleur instant.
Un jour, quand je me sentait bien,
Le malheur m'a rejoint.
Il se joue de moi, il me traque et m'attrape quand je ne m'y attends pas,
Encore et encore,
Il me fait sombrer dans le malheur,
Me tire encore une fois vers le bas.
Oh que c'est dur, de croire encore,
De s'immaginer que c'est la fin des maleurs,
Puis de se rendre soudain compte qu'on avait tord,
Et que, maintenant, c'est pire encore.
Je veux faire un voyage
Vers l'autre bout du monde,
Tenter de changer son visage,
De voir la vie en moins immonde.
Je veux faire un voyage
Vers le tonner qui gronde,
Pour devenir plus sage,
Touver ma longueur d'onde.
Je veux faire un voyage
À travers les âges.
Je veux être une vagabonde,
Qui aurait vu le monde.
Merci à la mer déchaînée,
Aux longues journées d'été.
Merci à l'arbre tenace,
Qui pousse et vit dans le goudron de glace.
Merci à tout ses sentiments,
Qui ne peuvent s'exprimer correctement,
Merci aux petites choses qui font la vie,
Aux jours qui nous font changer d'avis.
Merci aux avis divers,
Qui nous servent de repères.
Merci aux erreurs qui nous apprènent
À ne pas alimenter la haine.
Merci à la patience,
Merci à la pertinence,
Au courage solide,
Qui vainc la peur terrible.
Le ciel était gris,
Comme mon coeur,
Envahit par le maleur.
Mais le vent a permi,
De faire place nette,
Dans ma petite tête,
J'ai pu réfléchir d'un autre point de vue,
Et voir ce qui causait ma retenue,
De voir les choses autrement,
Et de trouver des solutions pour l'intant présent.
Maintenant, j'ai l'impréssion de vivre,
D'avoir cassé ce mur,
D'être redevenue pure,
D'avoir ouvert un autre livre,
Sans même avoir pris la peine,
De tourner la page du précedent,
J'ai brisé mes chaines,
Et veux profiter de l'intant présent.