"Le collectif avant tout, Paris arrive rodé" - 100% PSG, le billet

Il y a des actus qui concernent le club comme la victoire face à Brest, le match de Ligue des Champions qui se profile. Et puis y’a aussi des actus extérieures qui font qu’on parle du PSG.

Comme quand Adrien Rabiot, formé au Paris Saint-Germain, décide de s’engager avec l’Olympique de Marseille.

J’aborderai son cas, mais pas tout de suite, pas aujourd’hui, parce que je pense à l’équipe avec tout, au Paris Saint-Germain avant tout, qui aborde sa première semaine importante de l’année.

Le PSG prêt pour la Ligue des Champions

Mercredi 21h au Parc des Princes : PSG-Girona on a hâte d’y être ! La pression qui va s’augmenter d’heure en heure, l’impatience également.

Avec cette grande question : est-ce qu’on est prêt pour ce premier grand rendez-vous ?

Bah la meilleure des réponses c’est de regarder le match de samedi face à Brest (Brest qui, on le rappelle, est aussi qualifié en Ligue des Champions).

Et le match de samedi face à Brest, il a été vraiment convainquant.

Un premier quart d’heure de folie, des actions dingues, des passes qui donnent le tournis aux adversaires, une sensation de puissance collective comme on l’a plus ressenti depuis bien longtemps.

Alors tout n’est pas parfait, loin de là. On a pris ce but un peu bête, la faute de Nuno Mendes dans la surface qui donne le penalty de l’ouverture du score bretonne.

On peut faire des erreurs, mais on ne doute pas. Et c’est logiquement qu’on a égalisé avant la mi-temps grâce au deuxième but de la tête d’Ousmane Dembélé cette saison (oui deuxième but de la tête !).

En deuxième mi-temps la sensation de puissance était toujours là et forcément face à un adversaire française ça craque.

Frappe incroyable de Fabian Ruiz puis Dembélé qui trouve la faille à nouveau, deux buts en 80 secondes et on ne nous revoit plus : 4e victoire en 4 matches de Ligue 1.

Une équipe illisible

Bah le mieux c’est qu’on pose la question à ceux qui nous affrontent : écoutez Eric Roy l’entraineur de Brest après la rencontre.

Cette équipe court plus, joue ensemble et est illisible.

Luis Enrique est en train de construire un groupe homogène où chacun connait sa mission, mais aussi celle de tous ses partenaires pour pouvoir l’exécuter à merveille s’il est amené à changer de poste.

Fabian Ruiz peut jouer les 3 postes au milieu de terrain. Pareil pour Vitinha et Warren Zaïre-Emery. Joao Neves est en train d’apprendre le poste de relayeur, lui qui été formé comme sentinelle.

Asensio peut jouer n°9, relayeur ou ailier, pareil pour Kang-In Lee.

Hakimi peut jouer arrière droit mais se place également quand on a le ballon comme un milieu relayeur.

Beraldo et Pacho peuvent jouer défenseur centraux ou arrière gauche. Et il y en a certainement d’autres.

Sauf que quand vous êtes adversaires et que vous devez préparer une rencontrer face au PSG et que vous faites face à temps de diversité : bah vous vous faites des maux de têtes, souvent vous paniquez et donc vous faites des erreurs.

Face à Brest c’était la victoire du collectif, du don de soi pour un succès commun. C’est pour ça que je voulais plus en parler aujourd’hui que de l’histoire d’Adrien Rabiot.

Pour suivre le leitmotiv du PSG cette saison. Parce que l’ordre de priorité cette année à Paris c’est les prouesses collectives d’abord ; les discussions sur les cas individuels ensuite, si on a le temps.