Afficher De Mopti à Sikasso |
Une petite pause à Sikasso avant de franchir la frontière du Burkina Faso. Encore tout un périple pour y arriver. Autant je n’ai pas cru ceux qui à Mopti m’assuraient qu’en partant à 15h je serai à Sikasso vers 23h, autant j’espérais quand même arriver avant 3h30 du matin… Sûrement le bus le plus pourri que j’ai pris jusque-là, avec tout son chargement (mon sac compris) sur le toit, les sièges arrachés, des sacs de riz plein l’allée centrale, un troupeau de chèvre dans la soute (qu’on vendra en cours de route pour y mettre… des moutons). Bref, une fois arrivé je décide de finir ma nuit à la gare routière, sur une petite chaise.
Sikasso, une petite ville dans le sud, le « jardin du Mali ». Effectivement plein de cultures un peu partout, un petit air de Casamance sans la mangrove. Rien de bien excitant, mais c’est plaisant, vide de touriste et de tourisme, on me laisse tranquille. Je trouve quelqu’un pour m’emmener à moto dans les environs ("bien sûr, c’est possible"). A Farako voir les champs de thé. Puis à Missirikoro où se trouve une grotte, évidemment « sacrée ». Les habitants des alentours, musulmans et animistes viennent y faire des sacrifices. Le guide du coin insiste pour que je sacrifie un poulet. Hum… non merci ça ira.
Cet après-midi, départ pour Bobo-Dioulasso, Burkina Faso.
Sikasso, une petite ville dans le sud, le « jardin du Mali ». Effectivement plein de cultures un peu partout, un petit air de Casamance sans la mangrove. Rien de bien excitant, mais c’est plaisant, vide de touriste et de tourisme, on me laisse tranquille. Je trouve quelqu’un pour m’emmener à moto dans les environs ("bien sûr, c’est possible"). A Farako voir les champs de thé. Puis à Missirikoro où se trouve une grotte, évidemment « sacrée ». Les habitants des alentours, musulmans et animistes viennent y faire des sacrifices. Le guide du coin insiste pour que je sacrifie un poulet. Hum… non merci ça ira.
Cet après-midi, départ pour Bobo-Dioulasso, Burkina Faso.
Fabrique de thé près de Sikasso |