Dans cet article, vous aurez les principaux facteurs entravant l'assimilation du calcium et accélérant la perte osseuse :

- carence en vitamine D.

- troubles digestifs pour les raisons suivantes : intolérance au lactose, allergie aux protéines du lait, etc...

- hypochlorhydrie gastrique.

- stress chronique qui affecte la digestion. Le niveau d'acide chlorhydrique et d'enzymes digestifs n'est pas identique d'une personne à l'autre, ce niveau ayant tendance à baisser avec les années ou lorsqu'on est stressé en permanence. Un stress aigu peut stimuler une forte sécrétion acide dans l'estomac.

- grand excès de protéines et, ou, de lipides.

- aliments riches en acide phytique : une alimentation végétarienne riche en fibres peut engendrer une déperdition calcique puisque les fibres alimentairesentravent le contact calcium/muqueuse intestinale. Les acides oxalique et phytique, contenus dans certains légumes et fruits, gênent l'absorption calcique par formation de sels insolubles.

Consommé en grandes quantités, le pain complet riche en acide phytique s'oppose à l'assimilation du calcium, du phosphore, du magnésium et du fer.

- les situations de charge acide et d'acidose sont associées à une hypercaliurie et une balancecalcique négative. Des études ont démontré que le rapport protéines/potassium augmente l'excrétion d'acide, corrélée à l'excrétion du calcium. Il s'agit là de l'effet acidifiant des protides et de l'effet alcalinisant du potassium. Comme les fruits et les légumes sont riches en potassium, leur consommation régulière est bénéfique pour l'os par leur apport en minéraux et en sels alcalins.

- la prise de cortisone sur une longue période est également nocive pour notre structure osseuse.

Qui n'a jamais eu de douleurs articulaires passé la trentaine...et souvent bien avant ?

Les lésions des cartilages tibiaux et fémoraux présentant des stades différents d’arthroses sont très fréquents dans la population générale. 

Maintenant, la pratique régulière de la course à pied est-elle une source supplémentaire de risque d'arthrose à un stade précoce ?

- La course sur route ou le trail provoque-t-il, à lui seul,  l’arthrose du genou ?

- La pratique intense de la course est-elle sans danger face à une gonarthrose ?

On est pris ici dans le grand dilemme qui veux d’une part qu’une activité physique régulière améliore le fonctionnement articulaire par augmentation du tonus musculaire, augmentation de la lubrification articulaire et renforcement de la structure osseuse et d’autre part que des chocs répétés sur l’articulation peuvent provoquer des dommages cartilagineux. Alors, que fait-on ?

Tout d’abord, les experts en médecine sportive affirment  que la course à pied ne provoque quasiment jamais d’entorse de genou et engendre donc beaucoup moins  d’arthrose que les sports de pivots et de contact tels le football, le rugby et le basketball.

Ensuite le morphotype du coureur est un facteur essentiel dans la gestion des risques d’aggravation d’une arthrose par la pratique de la course à pied. Une inégalité de longueur des membres, un genu varum, un genu valgum, un surpoids ou des antécédents familiaux d’arthrose sont autant de facteurs favorisants la dégradation cartilagineuse.

Bien évidemment, le volume d’entraînement ainsi que le type de terrain sont des éléments à prendre en compte. Courir 120 km par semaine sur le bitume ou faire 50 km sur chemins n'engendrera pas des réactions identiques au niveau de vos articulations.

Bien que ce fait en dérange certains, notamment des vendeurs de chaussures toujours plus chères et n'apportant aucune amélioration, le type de foulée a également son importance. Une foulée antérieure générera moins d’ondes de choc dans le membre inférieur et sera donc favorable en cas de gonarthrose.

Le niveau d’arthrose est un élément essentiel pour savoir si vous pouvez continuer ou non  la poursuite de la course à pied et que le niveau de douleur est un facteur qui vous apporte une réponse claire et sans appel.

Il semble évident qu’une arthrose de niveau IV, surtout si elle est étendue, vous interdira la pratique de la course à pied tandis qu’une arthrose de grade II à III sur des zones plus circonscrites permettront la pratique sportive.

Les traitements chondro-protecteur récents ainsi que la visco-supplémentation permettent une meilleure gestion de l’arthrose débutante. Ils seront systématiquement proposés dans les cas de lésions chondrales de grade II à III et ils ont l’avantage de ne pas masquer les douleurs éventuelles.

Plus récemment, l’injection de cellules souches semble donner des résultats prometteurs dans les stades II et II d’autant plus que la lésion cartilagineuse est circonscrite. Cette méthode n'est pas à la portée de tous comme vous vous en doutez bien...

De manière générale on n’interdira pas la pratique de la course à pied chez un patient arthrosique à condition qu’il respecte strictement le seuil de la douleur et qu'il pratique sur terrain souple avec des chaussures adapté à sa foulée.

Les champs électromagnétiques pulsés(CMP) peuvent influencer bénéfiquement les tissus humains et ces bonnes ondes sont couramment utilisés en médecine et notamment contre les douleurs articulaires chroniques.

Les effets thérapeutiques comprennent le soulagement de la douleur, une guérison plus rapide des fractures, la relaxation et la tonification musculaire ainsi qu'une plus grande amplitude articulaire.

Les CMP sont utiles contre les tendinites, l'arthrite, les lombalgies, l'arthrose du genou ou de la nuque en favorisant une microstimulation répétée des muscles entourant l'articulation, ce qui peut permettre de retrouver rapidement de bonnes aptitudes articulaires et musculaires.

En raison de l'amélioration de la circulation sanguine locale et du métabolisme tissulaire, les CMP participent à une reconstruction accélérée des os et des tissus à la suite d'une fracture, avec un temps de guérison diminué de 20 à 30%.

J'aborde içi un sujet qui dérange tous ceux qui ne croient que la parole unique de l'industrie agro-alimentaire  mais qui  intéresse un nombre croissant de personnes...l'effet néfaste des produits laitiers chez des millions de personnes.

Aujourd'hui, beaucoup de personnes comprennent qu'on leur ment depuis des décennies en leur faisant croire que les produits laitiers sont indispensables à leur bonne santé...ce qui ne semble plus du tout d'actualité et apparaît comme un mensonge de plus dans le long catalogue des tromperies commerciales.

Comme la plupart des gens, j'ai consommé beaucoup de produits laitiers durant des années, j'ai constaté certains troubles, j'ai cherché et constaté que la très nette diminution voir l'abandon des produits laitiers m'était bénéfique. En parcourant en profondeur les livres, thèses et recherches scientifiques sur le sujet, voiçi quelques points essentiels qui peuvent vous convaincre :

Le lait de vache et ses dérivés que sont le beurre, les fromages gras, les crêmes, les glaces, les yaourts...sont à proscrire de l'alimentation de la plupart des individus.

Pourquoi ?

Nous ne possédons pas d'enzyme capable de digérer les produits laitiers d'où des mycoses intestinales. Une fois les mycoses installées, elles puisent dans le sang l'énergie dont elles ont besoin et ce de façon irrégulière, causant des hauts et des bas d'énergie, des hauts et des bas des taux hormonaux et des problèmes tels que des allergies, des pellicules, des plaques d'eczéma, des ballonnements, des boulimies de sucre...

Des chercheurs, médecins, scientifiques, ont constaté que le lait de vache et ses dérivés ont été incriminés dans diverses maladies :

- la polyarthrite rhumatoide ( Darlington - 1986 - Lancet)

- le dibète sucré juvénile ( Karjaleinen - 1992 - New England Journal of Medecine)

- certaines migraines tenaces ( Monro - 1984 - Lancet)

- la sclérose en plaques ( Kousmine - 1980 ; Swank - 1981)

Les produits laitiers ne sont pas la meilleure source de calcium pour l'homme, les légumes verts, cruciféres (brocoli, choux de Bruxelles...), les légumes en général, les légumineuses, les crudités et les fruits contiennent du calcium et des éléments excellents pour la construction des os.

Pourquoi n'y aurait-il pas une campagne nationale en faveur des légumes pour bénéficier de son calcium quotidien ? Evidemment, vous connaissez la réponse...

Le calcium est très abondant dans le sol, ainsi que dans certaines eaux minérales et il est bien mieux absorbé que le calcium du lait qui n'est assimilé qu'à 32 % contre 50 à  60 % pour les légumes...mais même les médecins ne le savent pas (dans leur grande majorité).

Sachez aussi que les sardines et les anchois vous donnerons plus de calcium que le lait. La grande majorité du calcium des produits laitiers est transformé en phosphate de calcium insoluble et éliminée par les voies naturelles. 

Ce sont dans les pays où l'on consomme le plus de laitages que l'ostéoporose est la plus forte (Suéde, Irlande, Finlande, Allemagne, Norvège, Etats-Unis). En revanche, en Gambie, les laitages sont quasi inexistants et l'ostéoporose également. C'est simplement la réalité mais peu de gens le savent puisque les grands médias tout puissants n'en parlent jamais.

Le lait animal est un aliment qui présente quelques qualités mais beaucoup trop d'inconvénients pour un adulte et c'est à chacun d'en prendre conscience car jamais les politiciens ne s'engageront sur cette voie.

Trop riche en graisses et contenant un sucre souvent mal digéré (le lactose), engendrant de nombreuses allergies et infections, le lait animal contient des hormones de croissance qui peuvent favoriser le développement des tumeurs chez les gros consommateurs.

On peut détecter l'intolérance au lait par des troubles tels que fatigue chronique, problèmes digestifs et cutanés, spasmophilie, douleurs du sein.

Un test indicatif permet de distinguer parmi les protéines du lait celle qui est à l'origine des troubles de santé.

Le mensonge fait partie de la société et les mensonges d'Etat ne manquent pas, n'ayons pas la mémoire courte et ne faites confiance qu'à vous même, à votre bon sens et à votre intelligence.

Pour tous ceux qui veulent en savoir beaucoup plus de la part de médecins réputés, lisez les livres du Professeur Joyeux, du Docteur Seignalet ou du docteur Willem.

Ne croyez pas les médecins "people" médiatiques que vous voyez sur toutes les chaînes et qui, la plupart du temps, ne font que servir les arguments des industriels et certains sont vraiment insupportables.

"Il semble bien qu'une incitation constante de consommer des produits laitiers soit directement liée à un matraquage publicitaire et à des enjeux économiques plutot qu'à des impératifs de santé publique. Les médecins; conseillers en diététique, qui sévissent sur nos chaines, se soumettent à ce diktat. On continue d'affirmer que les produits laitiers sont nos amis pour la vie et qu'ils préviennent l'ostéoporose. Quand on considère l'alimentation frelatée des vaches laitières (farines animales, antibiotiques, facteurs de croissance), on est vite affranchi".

Dr Jean-Pierre Willem : "Les intolérances alimentaires".

Il existe trois principaux problèmes liés au lactose et aux protéines du lait.

- L'intolérance au lactose :

passé l'âge de trois ans correspondant au sevrage du lait maternel, nous ne produisons plus de lactose, l'enzyme permetttant de digérer le lactose du lait. Le lactose apporté par les produits laitiers n'est plus digéré et enflamme l'intestin grêle.

- L'effet opioïde des protéines du lait :

en traversant la paroi enflammée de l'intestin grêle, les protéines du lait peuvent se fixer dans le cerveau sur des récepteurs à la surface de nos neurones. Cette fixation provoque de nombreux désordres psychiatriques allant des troubles de l'attention jusqu'à la schizophrénie en passant par la dépression.

- L'effet perturbateur des protéines du lait sur la flore bactérienne du côlon :

plus on consomme de produits laitiers, plus on apporte de protéines au système digestif et cet apport souvent excessif va favoriser la multiplication des bactéries de la flore de putréfaction. Par manque de place, ces bactéries colonisent une partie de l'intestin grêle, provoquant une inflammation chronique.

Demandez donc à un gros consommateur de protéines en poudre prises plusieurs fois par jour avec du lait les effets que cela peut engendrer.

INTOLERANCE AU LACTOSE :

Il semblerait que beaucoup de personnes ne supportent pas le lactose, ce sucre que l'on trouve dans le lait, car leur système digestif est incapable de le décomposer.

Ceci est dû à un manque en lactase, une enzyme produite par les cellules de la paroi intérieure de l'intestin grêle.

Dans un sytème digestif optimal, les aliments que nous ingérons sont décomposés pour que l'organisme en absorbe tout ce dont il a besoin.

La lactase décompose le sucre du lait en glucose et en galactose ( 2 autres sucres) qui peuvent être absorbés par le flux sanguin mais si la lactase manque pour digérer le lactose, c'est là que surviennent les problémes.

Une intolérance au lactose entraîne des diarrhées liquides chez le nourrisson, des douleurs, des crampes abdominales, des flatulences aprés la prise de produits contenant du lactose. Avec le temps, il peut s'installer des mycoses intestinales entraînant, entre autres, des baisses d'énergie et de la fatigue soudaine.

Pour savoir si l'on est intolérant ou allergique aux produits laitiers, il existe un petit test trés simple à effectuer.

Buvez deux verres de lait sur un estomac vide et constatez si des symptômes gastro-intestinaux vous dérangent dans les 4 heures qui suivent. Faites la même chose avec du fromage qui contient peu de lactose.

Si les symptômes apparaissent avec le lait mais pas avec le fromage, il y a sans doute une intolérance au lactose.

Par contre, si vous êtes malmené par le lait et le fromage, il y a un fort risque d'allergie aux produits laitiers.

Il est rare qu'une intolérance au lactose soit si forte que le fait de manger du fromage entraîne de désagréables symptômes.

Bien sûr, il y a divers degré d'intolérance au lactose et chaque cas particulier mérite une attention particulière de la part de votre médecin.

Pour en savoir, beaucoup plus, vous pouvez lire le livre de Thierry Souccar et Isabelle Robard : "Santé, Mensonges et Propagandes" Editions Seuil.

A ce jour,selon les experts mondiaux en nutrition, les meilleurs aliments reconnus comme étant  protecteurs des os  sont :

 - les oléagineux crus : amandes, noisettes, noix

- les cruciféres : tous les choux, brocolis, épinards, salades

- les légumineuses : lentilles, pois

- les poisons gras : saumon, sardines, fruits de mer

- les fruits : agrumes, dattes, figues, abricots secs

Ces aliments vont apporter du calcium bien assimilé par l'organisme, beaucoup mieux que le calcium des produits laitiers même si l'on nous dit le contraire depuis des décennies car il faut bien vendre le lait et tous ses dérivés.

Il a été démontré par de nombreuses études que les pays les plus consommateurs de lait sont aussi ceux dont la population a le plus de fractures...mais ce n'est pas là une information à transmettre au grand public qui risquerait de moins se gaver de produits laitiers...et de contrarier toute une industrie qui se fout complétement de notre santé.

Notons aussi que la perte osseuse sera plus rapide chez les fumeurs et les gros consommateurs de sodas et de café (qui augmentent tous deux la fuite du calcium par voie urinaire ).

Vous pouvez également consommer du thé pour ses vertus sur la densité osseuse, comme l'on démontré plusieurs études.

La vitamine K est méconnue du grand public et pourtant elle joue un rôle très important dans l'ostéoporose.

Il existe deux sortes de vitamine K :

- la K1,  phylloquinone, que l'on trouve dans les légumes verts.

- la K2, ménaquinone, la plus puissante, fabriquée surtout par notre intestin. Elle représente 75% de notre vitamine K.

La vitamine K, en synergie avec la fameuse vitamine D, favorise la synthèse d'ostéocalcine (un marqueur de la formation osseuse) et permet de réduire le niveau de parathormone qui a fait l'objet d'un autre article.

Cette vitamine, associée aux bisphosphates va réduire les risques de fracture et elle a démontrée ses effets bénéfiques en cas de prise prolongée de corticoïdes.

Vous trouverez de la vitamine K dans les épinards, le brocoli, la laitue, les asperges, les bettes, le choux frisé, les choux de Bruxelles...

Hormis les médecins et certains culturistes avides de connaissance, qui connaît la parathormone ? 

Il s'agit de la grande hormone de la régulation du calcium, donc d'une importance capitale  et pourtant méconnue. Avec l'âge, les taux de parathormone ont tendance à augmenter, les os absorbent alors moins bien le calcium et celui-ci passe dans la circulation sanguine pour se fixer dans les organes.

Le manque de vitamine D déclenche la sécrétion de parathormone, ce qui démontre qu'un apport suffisant et régulier de vitamine D est essentielle pour notre santé.

Des millions de personnes souffrent de douleurs articulaires plus ou moins invalidantes, quelque soit l'âge , et nous avons tous une forte probabilité d'être touché par ces douleurs tôt ou tard.

Pour les sportifs passionnés qui s'imposent de lourdes charges d'entraînement, les douleurs articulaires font souvent partie du quotidien et les soins réguliers sont indispensables pour tenir le coup. Pour beaucoup d'individus, l'arthrose sera un redoutable ennemi des années qui passent et la soigner est toujours très délicat.

L'arthrose engendre des atteintes articulaires chroniques, douloureuses et déformantes mais non inflammatoires, liées à des altérations du cartilage articulaire avec retentissement secondaire sur l'os.

L'arthrose est très répandue dans la quasi totalité des pays, avec environ 80% de la population des plus de 70 ans qui doivent affronter cette maladie articulaire. Pour les spécialistes, la plupart des formes sont silencieuses et seules les formes graves et déjà anciennes ont une expression clinique.

Malheureusement, l'arthrose peut toucher n'importe quelle articulation mais ce sont surtout le genou, la hanche, le rachis, le pied et les doigts qui sont affectés.

De nombreux travailleurs manuels aux gestes répétitifs, ainsi que les sportifs qui ont fortement sollicités leurs articulations durant des années, connaissent des microtraumatismes qui usent lentement les cartilages. Pour les sédentaires, l'excès de poids est un facteur reconnu favorisant l'apparition de l'arthrose et des complications qui l'accompagne.

Que se passe t-il dans le cartilage ?

Le cartilage connait une dégénérescence progressive; il se fissure, s'amincit et peut disparaître à certains endroits en laissant l'os à nu. Lorsqu'une région de l'os n'est plus protégée par le cartilage, elle va subir directement les pressions, s'épaissir et donner une ostéosclérose.

La capsule articulaire et les ligaments s'ossifient, des bourgeons osseux pénètrent dans le cartilage restant. L'étape suivante peut être la chute de débris cartilagineux irritant la synoviale avec formation d'un épanchement limité, toujours de type mécanique et non inflammatoire.

Après avoir vu ce qui se passe à l'intérieur, voyons ce que ressent la personne atteinte par l'arthrose.

Les douleurs de type mécanique surviennent lors des appuis, des efforts, au lever mais elles doivent s'estomper au repos et la nuit. Les articulations craquent souvent, l'amplitude de mouvements devient limitée et peuvent se déformer progressivement mais sans devenir ni rouges ni chaudes.

Hélas, l'arthrose tend vers une aggravation douloureuse, pénible et invalidante pour les moindres gestes de la vie quotidienne.

Un tassement vertébral n'étant pas à prendre à la légère, je vous propose l'extrait d'un article provenant du site : neuro-chirurgie.org

1. Description

"La solidité d'une vertèbre peut être affectée par différentes causes, l'une d'entre elles étant la décalcification osseuse (ostéoporose). Il s'agit d'une affection dans laquelle la destruction de l'os est plus importante que sa fabrication. Une tumeur dans une vertèbre peut également entraîner une diminution de solidité. Lorsque la solidité d'une vertèbre est amoindrie, celle-ci peut alors se tasser suite à la pression élevée qui s'exerce dessus. En termes médicaux, on parle de fracture par compression (tassement). La colonne vertébrale se compose de 34 vertèbres reliées entre elles par les disques intervertébraux. De haut en bas, on compte 7 vertèbres cervicales, 12 vertèbres thoraciques, 5 vertèbres lombaires, 5 vertèbres sacrées et 5 vertèbres coccygiennes.

Ces vertèbres empilées les unes sur les autres forment la solide - mais néanmoins mobile - « colonne » centrale du tronc. Les vertèbres entourent en outre le canal vertébral dans lequel se trouve la moelle épinière. (Les disques intervertébraux fonctionnent comme une sorte « d'amortisseur » : ils absorbent les forces de pression générées dans la colonne vertébrale lors de la station debout, de la marche, des sauts, etc.)

L'illustration ci-dessous vous montre clairement la différence entre une vertèbre saine et une vertèbre tassée. Une fracture par compression peut avoir les conséquences suivantes : douleurs intenses, nerfs coincés (enclavement), symptômes déficitaires et douleurs dans les membres.

2. Que peut-on faire lorsqu'une vertèbre est tassée ?

Si le tassement et les douleurs sont récents, un corset de soutien plâtré ou synthétique peut soulager efficacement la douleur et favoriser la guérison. En outre, on administre souvent des antidouleurs. Heureusement, la plupart des tassements vertébraux se traitent facilement sans intervention, surtout s'ils sont provoqués par l'ostéoporose. Le choix du traitement dépend directement de la cause et de la sévérité du tassement vertébral.

Si le patient continue à présenter beaucoup de symptômes en dépit du traitement habituel par corset et analgésiques, on peut dans certains cas obtenir un bon soulagement de la douleur grâce à une nouvelle technique, officiellement appelée « vertébroplastie percutanée ». L'avantage de cette technique est que, si le traitement réussit, les patients peuvent déjà reprendre leurs activités normales après quelques jours".

Pour lire la suite de l'article et en découvrir d'autres, consulter le site : neuro-chirurgie.org

Combien de sportifs, et notamment des cyclistes, ont connu les douleurs de la fracture de la clavicule ?

Il s'agit de la fracture la plus répandue chez les cyclistes, qui se produit lors d'une chute sur l'épaule, au cours de laquelle la clavicule va subir un choc relativement violent.

Les fractures concernent le plus souvent le tiers moyen de l'os qui représente sa zone la plus faible, plus rarement le quart externe et le quart interne de manière exceptionnelle. Pour ne rien  simplifier la fracture est parfois associée à une luxation acromio-claviculaire ou sterno-claviculaire, parfois à une fracture d'omoplate ou costale. 

Dans la grande majorité des cas, il sera posé des anneaux claviculaires ajustables qui vont maintenir la fracture, sans toutefois la réduire. Ils seront à porter environ trois semaines de manière permanente et encore deux semaines de façon plus épisodique. Si tout se déroule pour le mieux, vous pouvez reprendre le vélo après six à huit semaines.

Evidemment, il s'agit içi de généralités concernant la fracture de la clavicule et je souhaite simplement à tous les cyclistes de ne jamais faire l'une de ces mauvaises chutes si courantes.

 En 2016,  une nouvelle étude sur la gestion des douleurs liées à l’arthrose, maladie touchant de nombreuses personnes donc médiatiquement intéressante, était portée à l'attention du grand public. Pour l'industrie pharmaceutique, l'arthrose, comme tant d'autres maladies, est une source de profit non négligeable et les malheureux qui en souffrent ne sont que des clients qu'il faut attirer.

Cette fameuse étude concerne les préparations médicamenteuses, avec pour objectif de proposer un classement des meilleurs médicaments antidouleurs, en examinant et en comparant les études effectuées sur le sujet. 

Leur conclusion est nette et précise : à raison de 150 mg/jour , le Diclofénac serait "l’AINS le plus efficace disponible à l’heure actuelle pour les douleurs arthrosiques, en termes d’amélioration à la fois de la douleur et de la fonction"...et le paracétamol ne sert à rien !

Le Diclofénac...une véritable merveille pour le plus grand bonheur de l'humanité... magnifique molécule dont les risques cardiovasculaires ont été démontré et dénoncé il y a quelques années... ( 4 fois plus de risque de mortalité cardiovasculaire)

Molécule dangereuse selon les membres de la Société Française de Rhumatologie...

En cherchant quelque peu, nous apprenons que cette belle étude a été financée par le Fonds national suisse et, par le plus grand des hasards, évidemment, le Diclofénac est commercialisée en France sous le nom de Voltarène par Novartis, un groupe pharmaceutique… suisse.

Vous pouvez constater par vous-même, une fois de plus, que la manipulation de masse est un phénomène en constante progression et il est d'usage de se servir du terme "scientifique" pour faire avaler n'importe quoi aux pauvres imbéciles que nous sommes tous à un moment ou un autre.

N'oublions le rôle majeur de certains médiasqui ne recherchent que le scoop, délaissant les préceptes qui devraient constituer la déontologie de leur métier.

La palme revient sans conteste à France TV, télé public de la redevance, avec cette annonce :

"Arthrose : le meilleur traitement antidouleur est… le Diclofénac". 

C'est de la désinformation pure et simple !

Comme lorsque ces gens-là parlent de nutrition, de compléments alimentaires ou de dopage, nous sommes dans un abîme de mensonges et de bêtises !

Il a été démontré que le Diclofénac engendrait des effets secondaires nombreux et dangereux, qu’il ne pouvait être indiqué pour des personnes à risques de maladies cardiovasculaires (hypertension artérielle, hyperlipidémie, diabète sucré) ou polymédicamentées...ce qui est souvent le cas de la majorité des personnes touchées par l’arthrose.

Pour les experts indépendants, ce médicament ne doit être utilisé que sur une courte période, à petites doses et ce n'est absolument pas le produit idéal contre les douleurs dûes à l'arthrose.

Gardons tous en mémoire les affaires du Médiator, de la Dépakine...et d'autres que le grand public ne connaît pas encore.