Les mots sont une chance quand l'écho se balance, d'un doux refrain d'importance, écoutant un discours établi, pour donner cours à la partition de nos vies.

Pourtant ! Selon les êtres en présence, la tactique de mauvaises intentions, comme peut être ? Louable d'une sincérité adorable, et le temps s'arrête d'une discorde malhonnête, brouillant d‘un sâle temps au chemin mouvant, la majesté des êtres.

La saison devient tremblante d'une belle partie honnête, de s'aimer dans nos différences d'être.

Seulement rien n’est si simple au principe, d’un actif quotidien, et le monde se meurt, faute de douceur.

Un brin de tempête pour noyer le bon de l'être sous une rumeur de tornade, giflant à tout va, la condition d'un émoi.

Auteur mpb

Se sentir si léger d'être au pays de la vie, pour bénir même cet instant, d'un prix du poids sous les ans, et s'aimer de se sentir en vie d'un justement, par l'esprit se sentir si léger, au poids des endurances qui viennent avec les années.

Croire en demain de sa philosophie, d'un rien qui donne ce bijou d'un bien à nos teints.

Et tout devient bleu, d'avoir observer avec le bleu de tes yeux.

Le coeur est un fruit qui se nourrit à la clarté de midi.

Auteure mpb

Au coeur de la petite église, en catimini d'une famille, un au revoir se signe d'une simplicité de lignes.

Une semaine se glisse emportant un deuxième complice.

Deux copains se retrouvent sous la voie immense d'un hotel en partance, vers des horizons inconnus.

Une prise de vue revient vers hier,  ensemble un sourire sur les lèvres, non rien n'est fini tout continue, juste, d'une autre manière; au coeur d’une entente sous différents airs, d’un adieu au père, d’un adieu au grand -père;

Dans ce long voyage une compagne d'osmose, une rose.

Soulignant de son parfum, le divin d'un amour, que tu savais donner à chacun; Accompagner ton chemin de notre présence, désormais de son pétale d‘attrait, dans ta main, pour élaborer de douceur ton au-delà de chemin.

Auteur mpb

Au revoir, sous un jour de plus où le temps se rappel d'un visage qui s'en va, aux éternelles absences, dont seul le souvenir des jours d'hier, permettra à jamais de regarder vers sa lumière.

 Confondant l‘oubli aux instants partagés, d‘un oui, d‘une belle volonté de soutien, une main reste seule, au ciel de l'absence, mais le coeur se maintien à jamais, te gardant unique, de ta présence.

A Gérard

Auteur mpb

Des jours qui s'inquiètent aux yeux d'une maman qui sent bien une différence à l'être, sortit de son sein, son petit être qu'elle mettait au monde, épanouie, et heureuse, espérant lui donner les plus belles chances sur terre.

Perdue, seule avec son chagrin, épuisée d'un manque de sommeil, ne baissant pas les bras, telle une femme parmi tant d'autres, une églantine appelle.

D’une solidarité à l'autre, pour panser, son devoir de trouver une émotion aux problèmes d'autres femmes, un désir de bénir la vie en donnant aux enfants différents un espace pour mieux vivre.

Tant d'amour dans ses yeux d'une beauté d'un voeux, d'une main tendue pour animer l'enfance d'un sauvetage d'urgence. Une mère ne baisse jamais les bras, quand l'enjeu de sa chair se désespère de trouver une attention pour gagner une bataille face au temps, à la douleur d'un enfant.

Et de son monde endormi sous d'autres ondes, l'on trouvera surement demain, la clef, pour communiquer au livre, où les pages restent en énigme au paysage de multiples signes.

L'espoir donne des ailes pour renseigner les vents, d'une clémence, rendant une tendresse aux jours de détresse, activant d'une joie, le fait de te savoir entre de bonnes mains, les jours où l'on doit continuer à vivre, un peu plus loin, de toi.

Ne t'inquiète de rien petit homme, ta maman veille sur ta pomme.

Il n'est plus fort et courageux combattant, qu'une mère pour son enfant.

Auteur mpb

Une silhouette déambule sous le matin paisible cajolé, d'une pluie fine, tranquille.

Quelques minutes plus tôt, avant de franchir la porte de son intimité, pour accueillir ce chemin d'un jour qui l'attendait, une femme avec amour, se levait.

Une apparence douce, des cheveux un peu en cambrousse qui lui donnait un air d'enfant, des gestes lents, remplis de mille et un présent, d'attention.

_ Ne prend pas froid, en sortant, couvre toi bien mon aimant; et l’aidant à placer son bras pour atteindre la manche de son manteau, lui posant sa casquette à carreaux sur ses cheveux d'un blanc bouclé, ajustant son écharpe moirée d‘un fuchsia orné, son cache nez, elle lui caressait la joue, d'une symphonie inouïe, il était l'homme de sa vie.

Lentement de la main lui signait un petit signe d'amour, son regard ne se lassait pas de le suivre jusqu'au bout de ce détour, de route, qui lui masquerait, son charme, n'entendant juste de loin, qu'un bruit de pas résonnant sous le matin.

Alors doucement, la porte se refermerait, attendant vers le soir un homme pour miroir, après avoir vaqué, à sa propre destinée.

Un homme, une femme pour compléter la trame d'une belle histoire, simple, perdue sous la mémoire, d'il était une fois, une belle rencontre, d’un automne, hier au square.

L’eau du ciel chante à merveille, parsemant le dehors de ce rêve mouillé d'étincelles, d'un clapotis fervent pour réveil.

La vie arrive, l'aube se lève, une page recommence, d‘une aube de privilèges.

Auteur mpb

Ecrire par instant une pensée, un mouvement, venant indépendamment sur le printemps de mon identité cherchant toujours une occasion d'un mot, d'une phrase à partager.

Mon coeur de poète, de ta philosophie d'harmonie une séduction naît de chaque conquête à la vie, d'une eau de source servant à boire un espoir en cet infini en fête.

Auteur mpb