Un regard de pétales, enclin à offrir, le meilleur pour l'avenir, et tout se subjugue d'une étoile avenir.

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un mot pour y croire

Chacun, au sens propre de son devoir, perdu quelque part, se sentant négligé de ne pouvoir, au propre l'appliquer.

Et conjuguer sans encombre, le verbe aimer, sorti de l'ombre, pour embrasser sa vie, même sous l'impuissance qui se joue de tout, pour avoir raison, de nous, de cet intime qui nous lie, comme de ces extérieurs qui nous blessent, de tellement de détresses.

_ Où trouver la sagesse ?

Grandir d'un statut d'homme et de femme de bien, pas facile en somme ! au chemin.

_ Faut il se perdre ? Faut il mourir ?

Pour ne pas s'être mis d'accord, au livre des temps.

Aucun de nous, ne sait tout, aucun de nous n’est un grand manitou.

Alors ! Conjurer les heures, en espérant le meilleur.

Auteur mpb

Un homme de valeur donne vie à un coeur.

Un homme de bonheur donne vie à la vie.

Un homme d'honneur grandit sa vie en donnant sa vie pour le bonheur d'un coeur.

Un homme de paix foisonne l'horizon pour apporter du bon, dans l'assiette, sous nos saisons.

 Un homme de bien réconforte tes jours, d'une simple parole vraie, d'un geste d'amour.

Un homme de tendresse sèche les larmes qui coulent sur une veste.

Un homme, c’est un bonheur, quand il agit avec le coeur.

Auteur mpb

Le poète à la tête dans les étoiles,

Pauvre petite tête, sa rêverie l'entraîne vers un mot, une conquête,

Qui! par fois, lui joue des tours au détour d'un son d'o.

Il mélange d'un bien être étrange,

des histoires pour dissoudre le cafard,

ajoutant aux visages qui passent, ses couleurs à l'espace,

À l'oiseau qu'il croise,

Au papillon qui se promène,

sur la laine des fleurs, sous la crème des heures.

Tout va bien, apaisé il rêvasse sa pensée,

Y mettant multiples nuances pour rencontrer le bonheur, une chance.

La tête dans les nuages, il raconte des pages.

Inventées de la vie, de son imaginaire inscrit, n'essayiez pas de le changer,

le poète porte son sceau, celui de ses mots, même inventés.

Par fois d'un jeu, il est idiot, d'un sot quand il s'embrouille d'un mot.

Alors prenant un élan à nul autre pareil, d'un saut, il bondit, il rigole seul de sa bêtise, inscrite

laissée en éveil, sous l'oeil d'un autre, pour s'en amuser, d'un désabuser.

La vie est déjà bien assez sérieuse,

pour ne pas s'amuser de sa propre bévue.

Attendre un jour de plus, pour corriger demain, de son doigt ce sot,  d'un rien,d' incertitude,

qu'il trouve joyeux dans son habitude pour se moquer de sa petite turpitude.

Certains jours tout glisse, certains autres l'on se sent si petit de la moindre phobie.

Mais de se moquer de soi apporte un je ne sais quoi? De joli, pour nourrir sa vie, d'une gaffe, d'une connerie.

Auteur mpb

Tu m'as dit ce jour là, que tu croyais en moi, d'écrire une nouvelle, je l'ai fait pour toi.

L'idée, m est venue lors d'un enterrement où deux garçons prenaient un grand soin de leur maman;

et au fil des jours, j ai trouvé la suite dans diverses idées entendues, ici et là, au hasard de la vie ? un peu de la mienne et des rencontres de dilemmes à résoudre pour chacun.

D'un livre merveilleux que j ai lu, et qui m a donne

l envie de me remettre à écrire, plus long que de petites pensées.

Une femme simple parmi tant d'autres:- un portrait de douceur.

Connaissant aussi le problème de l'absence au travers des yeux d'une mère, quand un fils prend de l'avance, la laissant désemparée d'une souffrance à jamais indélébile, devant une  mort, innatendue, ou l'inverse.

De ces gens qui se retrouvent confrontés d'un face à face du jour au lendemain, dans cette retraite tellement attendue, et qui ne savent comment remettre leur quotidien en fleur sur ces demains qui deviennent compliqués.

Des petites parties de tant d'univers pour en inventer, d'autres.

Auteure mpb

Le temps est un chemin qui caresse un visage, une main, une image pour embellir nos pages d'une rengaine d'hommage.

Un simple regard pour rendre digne les heures au soleil qui somnole sous sa coupole de beurre.

Tout paraît docile d'une obole câline régnant en paix sur le coeur d'un printemps en demeure.

Auteur mpb

Ne pas se regarder le nombril, vivre même sous l'exil.

Se laisser porter par la vie, au-delà, par ce tout qui définit l'instant précis.

Embellir d'un rien, le petit train de votre entrain à la glace même, d'une réalité blême.

Baigne ta joie de cette envie là, fleur de tissu flottant au-dessus d'une pomme de pain, un peu perdue de son chemin, lui murmurant un secret sûrement divin, sous son hérissement de teint.

Complices solitaires sous un grain de lumière, retrouvant pour un temps, la confiance sous le chant de l'oiseau siffleur, conteur averti de leur étrange mélodie.

Auteur mpb

Tangible aisance sous la lumière de vie, pour ne jamais tarir la source d'une pensée sereine? Sous la promenade informelle des vents, qui ameute les temps.

Farfouiller aux brindilles sous la belligérance persuasive d'un calme magistral pour régner à la rive, d'un coeur, au corps d'un ami ('e), clément sous sa douleur, laissant passer les heures, pour soigner d'une paisibilité, sa fragilité.

Flamboyance d'un flux pour guérir à sa vue toutes les craintes, de sa rue.

Beigeasses herbes folles, sèchement décoratives, tel un col sur une veste, brodant d'une allure, la berge.

Gourgandine jacasse, siffle ta parole de pluie qui ainsi divertie s'envole, laissant divaguer les nuages, ne s'étiolant en rien de ce maudit carnage.

L’eau tranquille se glisse, dans son lit devenu lisse, où la diffuse talentueuse, de son rayon éclair caresse sa peau d'une douceur de trêve.

Auteur mpb

Au revoir petite histoire d'un mot pour un autre au clair de lune qui sommeille, rendant si belle la nuit, d'une étincelle de vie.

Mais tout finit par finir, aussi autant se dire adieu, impalpable soleil, au sourire d'un voeux.

Et l'étoile se mire au bassin qui transpire d'une larme d'eau, rendant un hommage de flot, à la nuit descendue.

Auteur mpb

Un mot pour y croire sortant de l'histoire, regardant autour de soi, pour s'évader ailleurs sous une candeur qui disparaît partout, d'un jeu simple avec nous, rendant le monde fou, sans un bonheur au coeur de nos coeurs pour le rendre plus parfumé de cette envie d'aimer.

L'orage dresse sa cage, griffonnant d'une audace, la chance qui se place, sous ton rayon de lune inventant sa fortune sur le tableau d'un ciel immense de surnaturel.

Tout s'invente de tes prémices universels, l'oiseau grincheux attaque la tourterelle, au faucon qui défend son territoire sous le vent.

Puis le calme revient, un aboiement de chien, la campagne s'installe au tracteur qui passe, puis travaille sous la lumière fatale qui l'honore de son virginale attrait.

Le bonheur s'allume sous le rêve d'un jour tapissant son antre d'un velours de venise.

Auteur mpb