Thèmes

aimer ami amis amour ange animal auteur auteure azur belle bleu caliner

Rubriques

>> Toutes les rubriques <<
· Nature (35)
· Sentimental (18)
· Lecture (10)
· Visage (7)
· Animal (4)
· Les saisons (9)
· Vue (7)
· Blog sur la vie (8)
· Lumiere (6)
· Azur (5)

Rechercher
Derniers commentaires Articles les plus lus

· Petit rat des champs
· Un homme sous la pluie
· Rose pour demain
· Au coeur de la petite église
· L'élan & la horde de loup (sur la 5 ce matin superbe)

· un homme de valeur
· Avoir la force en soi
· Potion d'espoir
· Bouton
· Une mère son enfant
· Foulard de bleu
· Avancer dans de jolis souliers
· A vous deux
· Débordement en eau douce
· Sous l'averse de grêle

Voir plus 

Abonnement au blog
Recevez les actualités de mon blog gratuitement :

Je comprends qu’en m’abonnant, je choisis explicitement de recevoir la newsletter du blog "mpb22" et que je peux facilement et à tout moment me désinscrire.


Statistiques

Date de création : 18.12.2011
Dernière mise à jour : 10.07.2019
127 articles


Sentimental

J. sauvage Monsieur le président de la république mpb

 J. sauvage   Monsieur le président de la république mpb

Oh ! pays de la vie, chaque vie est précieuse,

qu’il s’agisse d’un homme, d’une femme, d’un enfant, d’un animal sous le firmament.

On a tous, au fond du cœur une pudeur d’aimer qui nous permet en général,

de dissimuler nos peines, nos chagrins et sous le silence, en catimini,

de régler chaque échange, d’un partage pour trouver aux solutions

d’un problème survenu dans nos vies, un pansement pour réparer ce qui doit l’être,

au chemin de notre route.

Quand un déni s’installe, tout se complique et finit par mordre cet idéal de vie

D'une absurde volonté d’avoir raison, alors qu’en discutant face, à face,

dans cet ensemble cordialement, sans une volonté de nuire, à l’un ou à l’autre,

tout devrait finir au bout de maintes concertations,

par finir de rentrer dans l’ordre, avec cette tendresse d’aimer que l’on se porte.

Vivre n’est pas toujours simple aux confins de nos dilemmes,

mais quand ne passent plus l’écoute, ni les mots,

le pire peut advenir sous nos tempos.

Femme ! un jour tu finis par ôter la vie, de cet homme, de ce mari pourtant aimé,

qui sous sa propre volonté de détruire, lui étant advenue qui sait au nom de quoi ?

ou de qui, se prenant pour l’enfant roi de ce toit, prenant autorité d’en exercer une force,

vilaine, au point de se croire tout permis, de cette ivresse de rendre l’autre aux ordres,

encore et sans cesse, ne lui permettant plus de réfléchir ni de vivre en paix.

Et ce malheur arrive. Une femme perdue d’années de violence, se sentant fragiles et forte,

malgré tout pour avoir tenue de ce tout d’un déséquilibre, d’un parjure à la promesse donnée,

ce jour d’une protection promise, à l’un ou à l’autre, en ces épousailles heureuses,

n’ayant pas tenues toutes ces promesses. Hélas ! a fini par se faire justice dans une dernière souffrance.

Mais! quand en plus cette femme apprend l’abus fait sur ses enfants la chair de sa chair,

et n’ayant pas trouver un choix, pour protéger ses enfants, les amours de sa vie,

n’était elle pas déjà, dans ce trop tard, d’une déchéance moral et physique, pour ne pas avoir réagis à temps.

 dans l’époque actuelle, et en tenant compte des moeurs d’hier,

n’a t elle pas assez payé sa faiblesse ? par lui ce conjoint, perdu dans sa douleur,

devenu abject dans sa violence, par le mal, qu’elle n’a pas su éviter, à la protection de ses enfants ;

et sur le long terme, d’avoir tout cela à porter sur ses épaules, en plus du reste,

devoir à se supporter avec sa conscience en berne,

n’aurait elle pas Monsieur le président de la république le droit,

d’avoir quelques années d’une seconde chance.

En tout homme le coeur d’une mère, de ces parents qu’on aime,

même si au sein des familles rien n est simple à régler à comprendre.

Alors, rendre une grand mère à des petits enfants, pour, remplacer par le calme, dans une paix retrouvée,

une dernière partie d’existence, comme pour espérer réparer un peu d’hier, dans ce présent, ne serait ce possible ?

Sauver dans un dernier geste d’amour, l’amour.

Et priant pour ce père qui dévalorisé par ses mauvais choix a mortifié à jamais sa famille.

Vous adressant aussi une prière, pour trouver le courage

devant ce dilemme de décider d’un oui ou d’un non, à définir, le vrai.

A la paix des coeurs

Auteur mpb.centerblog.net

blogs

un mot pour y croire_écrire sous la plume des temps_

mpb.centerblog.net

Au souvenir de tes paroles de père

Au souvenir de tes paroles de père

Parler, pour ne plus vivre à genoux, sous le joug de ceux qui perdus dans leur part d'ombres,

blessent des destins leur infligeant la peur.

A la gloire d'un père qui un jour parlait ainsi, assis sous le chêne, d'un viril de manières,

sur ce banc de pierre dressé, là, pour lui,

sous l'ombre bienfaisante, d'un arbre ancien, en émoi d'un fort de bois, et d’une douce odeur de lilas:

- à toi ma fille,

tu es la fille d'un boxeur, ne laisse jamais personne mettre à bat ton coeur, sans que toi-même tu le choisisses,

avance et soit de ta philosophie, dans ce jour qui simplement se glisse.

Et pour sauver ceux que l'on aime, oser, ne pas se laisser faire, c’est leur rendre service, avant qu’ils ne glissent eux aussi dans un chemin sans retour, sans manière de velour, cela aussi est un geste d’amour.

Auteur mpb.centerblog.net

blogs

rêver sous la lumière

un mot pour y croire

Une place au banc de la glace

Publié le 23/02/2015 à 11:52 par mpb22 Tags : richesse vie merci bonne coeur pensée aimer douceur pensées tendresse
Une place au banc de la glace

Une place se garde d'un esprit volontaire

de toujours vous correspondre au fil de ma pensée

à ma manière;

Merci d'être là, ne se dit pas au hasard, c’est d’un savoir faire d’attention qui se distingue louable, de votre volonté d’attentions.

Une richesse de tendresse

se noie, d’un désir de toujours croire en cet autre, un choix.

Et avance la vie, encore merci, aux portes dans ma voie, d‘être ici et là, de ton choix.

à travers toi, comme à genou, le coeur au pilori, s'avoue, de rendre  féerique la peine involontaire, d'un hasard malicieux, dompté, aux vestiges du passé, éblouie de belles pensées.

A travers vous, aimer ce bois,

À travers toi, aimer mon roi,

À travers ce tout, aimer, le peuple de tes joues.

Et de mes yeux vous cristalliser d'un mieux, de bonne attitude, d'un élixir joyeux.

Des pétales se sèment sous le vent en mitaine qui déclame sa force pour souffler aux écorces, une protection de glaneuse douceur.

Auteur mpb

Secret de nature

Publié le 19/11/2014 à 12:46 par mpb22 Tags : histoire papillon nature prose oiseau pilo pensee azur ciel avion regard charme chat animal poissons mers oceans vie
Secret de nature

Histoire de papillon pour une romance aux airs d'illusion.

Ne rien déchirer pour se satisfaire, pour garder une beauté vraie, à ce jeu de lumière, qui pourtant vous écrase de sa force d'éclat.

Se laisser bercer, d’une douce manière pour ne pas se réveiller, d'une autre banalité, encore, éphémère.

Auteur mpb

Coquelicot et compagnie

Coquelicot et compagnie

Légèrement, des ailes s'avancent aux lèvres rouges d'un coeur de coquelicot, rubicon, d'autant de passion.

Auteure,mpb

Oeillet du poète

Oeillet du poète

Au bord de son coeur se butine le jeu, d'une bande de copains lui donnant un coup de main, pour paraître sur demain.

Auteure mpb

Casquette levée

Casquette levée

Casquette levèe, tout se posait d'un baiser.

Auteure mpb

Rose pensées

Rose pensées

Non seulement elle rayonne de son pétale nuancé, mais en plus, elle sent bon de sa loyauté de penser.

Auteure mpb

Un mot d'amour

Publié le 10/06/2014 à 12:37 par mpb22 Tags : fleur poésie vie amour coeur belle nuit fleurs rose jardin coeurs
Un mot d'amour

Au coeur d'un petit jardin, un mot d'amour promenait sa rengaine, donnant à qui mieux mieux du nouveau d'un,

_ je veux.

_ Quand soudain s'arrêtant au chevet d'une rose, qui hélas! S’en allait de sa prose de rose, penchant la tête, se laissant aller, d'une pluie de larmes de la nuit tombée, qui l'avait presque anéantie, lui redonnait, enfin l'envie;

_ Je vous ai t'en cherchée, ma belle amie, même abîmée, maintenant que je vous ai trouvé, je vous garde emmitouflé d'un mot d'amour, pour baiser;

_ ne me regardez pas disait la fleur, au marchand de bonheur, se laissant envahir d'une vague de ferveur, devant son défait de velours, devenu mineur.

_ Qu’importe si tu tombes, je tomberai avec toi, à jamais réuni, je baignerai ma philosophie, d'une rose poésie.

A la vie des fleurs qui donnent du bonheur, pour l’ardeur des coeurs.

Quand ne pensant rien attendre, de rien, une main  la saisissait  d'un bien, lui rendant une tenue, d'un certain plaisir, qui accompagnerait, d'un pieu désir, demain.

Auteure mpb

Enlacer

Enlacer

Enlacer d'une symphonie d'aimer, une dernière fois,  sa feuille, entre ses bras, avant qu'au coeur du monde à tous ses yeux voyeurs, elle dépose sa rondeur, si soyeuse de fleur.

L’aimant plus que tout, tenant sur la tige, à ses côtés, il veille, pour ne laisser personne brûler son rouge aux lèvres, d'un baiser de sortilège.

Un accord tacite d'un procéder insolite entre une fleur, une feuille, sur une plante qui s'honore de cette complicité d'accueil.

Auteure mpb