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qui ils reposent en paix ne jamais
les oublier ils ont donné leurs
vies pour nous contre les criminels
naz
Par Anonyme, le 25.04.2025
dommage ce mélange entre les deux châteaux d'audrieu.
fa brice d'audrieu
Par Anonyme, le 09.02.2025
c est mon arrière grand pété et la grand mére
Par Anonyme, le 21.02.2024
bonjour
il ne vous est pas permis de reprendre mot pour mot, pour ne pas dire piller les articles que vous av
Par LENNE, le 09.01.2024
je pence que c est mon oncle ou mon grand père car mon père était orphelin a cette âges la mon père s'appelait
Par Anonyme, le 04.01.2024
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QUIGNOT Serge, Pierre
Né le 4 avril 1923 à Angers (Maine-et-Loire), mort en action le 29 mars 1944 à Sarrazac (Dordogne) à l'âge de 21 ans ; résistant du bataillon « Violette » de l’Armée secrète (AS).
Dans la commune de Sarrazac, un combat opposa sept maquisards du bataillon de l’Armée secrète (AS) « Violette » (du nom du pseudonyme de son chef, René Tallet) à un fort détachement de la division Brehmer. Une autre source indique comme formation la brigade R.A.C. placée sous le commandement du Colonel Adeline.
Dans un premier temps, le groupe de maquisards, placé sous le commandement de Serge Quignot, s’était heurté à un détachement allemand au village du Mas en voulant récupérer des armes.
Après s’être repliés, les Allemands revinrent en force et les maquisards eurent quatre tués parmi lesquels Serge Quignot.
Il obtint la mention Mort pour la France
Une stèle commémorative fut élevée à la mémoire de ces maquisards, ainsi qu’à celle d’une victime civile, Élisa Mèze, abattue le même jour, et à celle d’un déporté, Louis Buisson, mort le 16 janvier 1945 à Bitterfeld (Saxe, Allemagne).
Les noms sont accompagnés de l’inscription : « Au Mas - Victimes du Nazisme, abattus dans l’accomplissement de leur devoir le 29 mars 1944 ».
Son nom y est orthographié par erreur Guigniot.
KINDER Raymond Ricard dans la résistance
Né le 23 décembre 1916 à Angers (Maine-et-Loire), mort à l’hôpital le 12 juin 1944 à Châteauroux (Indre) à l'âge de 28 ans ; AS. FFI.
Fils d’Aloïs Kinder et de Caroline, Mélanie Gwinner son épouse ; Alsacien, instituteur, Raymond Kinder s’était replié à Périgueux (Dordogne) en 1940 avec sa famille .
Engagé dans la résistance à Combat, dès les premiers jours, il dirigea le NAP (noyautage des administrations publiques), puis il fut envoyé dans l’Indre en février 1944, où il devint secrétaire départemental des MUR, organisateur des CDL et CLL dans l’Indre.
Membre de l’Armée secrète (AS), il siégeait à l’État-major du Groupe Indre Est ; il était domicilié, en dernier lieu au 63 rue Fontaine Saint Germain à Châteauroux.
Il fut blessé mortellement le 12 juin 1944 dans l’après-midi, lors de l’attaque, par une colonne allemande conséquente, du maquis installé aux Laboureaux, commune de Jeu-les-Bois (Indre).
Fait prisonnier, interné à la caserne Bertrand à Châteauroux puis transporté à l’hôpital.
L’acte du décès à 21h à Châteauroux a été établi au nom de Maders Raymond, sur déclaration d’Émile Boulay secrétaire de police et rectifié par jugement du tribunal civil de Châteauroux du 29 mai 1945.
Reconnu « Mort pour la France » 17 décembre 1945.
Son nom est inscrit sur la stèle érigée à « Les Laboureaux » au carrefour de D12 et D74a.
MADELEINE Jean, Raymond, Maurice, dit Bob, dit Jean VERNIER
Né le 15 janvier 1922 à Angers (Maine-et-Loire) ; exécuté sommairement le 22 août 1944 au champ de Tir de Creney-près-Troyes (Aube) à l'âge de 22ans ; résistant FFC-FFI.
Fils naturel d’Angèle Madeleine, domestique, Jean Madeleine était domicilié à Quimperlé (Finistère).
Résistant, agent P1 et P2, du réseau Cohors-Asturies.il fut arrêté puis interné dans la prison de la rue Hennequin à Troyes (Aube).
Jean Madeleine a été exécuté avec 48 autres personnes, sous le nom de Jean Vernier.
Le tribunal civil de Troyes rectifia par jugement son nom, le 11 juillet 1945.
Jean Madeleine a reçu la mention « Mort pour la France » en octobre 1950 et a été homologué sous-lieutenant chargé de mission 3e classe des Forces françaises combattantes (FFC).
FROUIN Louis, Marie, Jean, Paul
Né le 1er janvier 1912 à Champ-sur-Layon (Maine-et-Loire) à l'âge de 32 ans ; exécuté le 15 juillet 1944 à Angers (Maine-et-Loire).
Fils de Louis Frouin et de Marie Durand, cultivateurs, Louis Frouin s’était marié le 29 avril 1940 à Bourgueil (Indre-et-Loire) avec Hélène Couineau.
Résistant adjudant FFI, membre du groupe Libération-Nord et du réseau Alliance, il avait une entreprise de transport ce qui rendait le trafic d’armes auquel il se livrait pour la Résistance plus aisé.
Certaines sources indiquent qu’il serait né à Savennières (Maine-et-Loire) et mort lors d’une fusillade à Sarrigné (Maine-et-Loire).
Louis Frouin a été déclaré « Mort pour la France ».
Une rue de Angers porte son noms.
Témoignage de sa fille :
Mon père Louis FROUIN est bien ne le 1er janvier 1912 au Champ-sur-Layon (Maine-et-Loire. J'habitais, en 1944, à Savennieres avec mes parents et mon frère, ou mon père avait une entreprise de transports. Après un accord avec Jacques Vasseur qui se faisait passer pour un résistant (en fait collabo a la Gestapo d'Angers), il fut décide d'aller récupérer un dépôt d'armes parachutées a la ferme des Ecoubleres, route de Sarrigne, a St-Barthelemy-d'Anjou (Maine-et-Loire). C'était un piège, et mon père, son frère Maurice et deux autres résistants furent abattus sur-le-champ, le 15 juillet 1944, tombes dans un piège immonde, dresse par Vasseur.
TEMPLÉ Jean, Alphonse, Raymond, Eugène
Né le 20 mai 1924 à Angers (Maine-et-Loire), fusillé le 13 juillet 1944 à Nantes (Loire-Inférieure, Loire-Atlantique) à l'âge de 20 ans ; mécanicien.
Fils d’Alexandre Templé, laitier, et d’Hélène Leduc, tailleuse, Jean Templé, célibataire, travaillait comme mécanicien.Il était domicilié à La Meilleraye-de-Bretagne (Loire-Inférieure).
Réfractaire au Service du travail obligatoire (STO), il prit le maquis en juin 1944.
Il fut arrêté par la Wehrmacht le 28 juin 1944 lors d’une attaque du maquis des Forces françaises de l’intérieur (FFI) de Saffré (Loire-Inférieure, Loire-Atlantique) et détenu à la prison Lafayette de Nantes.
Le tribunal allemand FK 518 de Nantes le condamna à mort le 29 juin 1944.
Il a été fusillé le 13 juillet 1944 à la prison Lafayette avecMarcel Legendre.
Son frèreAlexandre Templé, maquisard de Saffré, avait été fusillé le 29 juin 1944 à La Bouvardière, Saint-Herblain.
Son nom est inscrit sur le monument aux morts de La Meilleraye-de-Bretagne ainsi que sur les plaques commémoratives de Saffré et de Nantes.
Il a été reconnu Mort pour la France le 19 février 1945.
LECESVE Eugène, Louis
Né le 26 février 1908 à Angers (Maine-et-Loire), fusillé le 23 avril 1942 au Mans (Sarthe) à l'âge 34 ans ; ouvrier d’usine.
Marié à Alice Rousset, Eugène Lecesve eut six enfants.
La famille demeura au Mayet (Sarthe) puis à Ecommoy (Sarthe) à partir de 1934.
Eugène Lecesve fut employé dans une scierie, mécanicien et ouvrier d’usine. Son épouse exerça la profession d’employée de chemin de fer.
Le 14 avril 1942, suite à une dénonciation, les autorités allemandes arrêtèrent Eugène Lecesve à Ecommoy pour détention illégale d’armes.
Il fut interné à la prison du Mans (Sarthe).
Le 22 avril 1942, le tribunal militaire allemand du Mans (FK 755) le condamna à mort pour détention d’armes.
Le lendemain, les Allemands le fusillèrent au Mans à 7 h 34.
TEMPLÉ Alexandre, Élie, Félix, Jean
Né le 16 mai 1922 à Angers (Maine-et-Loire), fusillé le 29 juin 1944 au château de La Bouvardière, commune de Saint-Herblain (Loire-Inférieure, Loire-Atlantique) à l'âge de 22 ans ; ajusteur ; résistant.
Ouvrier métallurgiste, Alexandre Templé, fils d’Alexandre Templé, boulanger, et d’Hélène Leduc, sans profession, vivait à La Meilleraye-de-Bretagne (Loire-Inférieure, Loire-Atlantique) et était célibataire. il était le frère deJean Templé.
Réfractaire au Service du travail obligatoire (STO), il avait rejoint les Forces françaises de l’intérieur (FFI) et était membre du maquis de Saffré.
Le 28 juin 1944, les forces allemandes attaquèrent le maquis, et Alexandre Templé fut arrêté par la Wehrmacht.
Incarcéré à la prison Lafayette de Nantes, il fut condamné à mort le 29 juin 1944, par le tribunal militaire allemand FK 518 de Nantes.
Il fut fusillé le jour même au château de La Bouvardière, commune de Saint-Herblain.
Pour la date et le lieu d’exécution, il y a parfois confusion avec celle de son frèreJean Templé, fusillé le 13 juillet 1944 à la prison Lafayette à Nantes.
Son nom figure sur la plaque commémorative de la Seconde Guerre mondiale de Saffré et sur le monument aux morts de La Meilleraye-de-Bretagne.
GROIZELEAU Roger, Georges, Louis
Né le 6 octobre 1920 à Angers (Maine-et-Loire), fusillé le 10 décembre 1941 au Mont-Valérien, commune de Suresnes (Seine, Hauts-de-Seine) à l'âge de 21 ans ; membre duGroupe Élie, Confrérie Notre-Dame (CND) Castille.
Roger Groizeleau vécut à Brest durant cinq mois, au 18 de la rue Bugeaud. Ce célibataire travaillait comme manœuvre à l’établissement Armor commeJoseph Thoroval, membre du même groupe) et jouissait d’une bonne réputation dans son entourage.
Il appartenait au groupe de résistance formé dès novembre 1940 parLouis Élie,entrepreneur de transports, dont la plupart des membres faisait partie du patronage Saint-Martin.
En janvier 1941, Roger Groizeleau avait cherché à rejoindre l’Angleterre à partir de Roscoff en compagnie de Thorovallui aussi fusillé. Leur projet consistait à s’emparer de la vedette allemande affectée à la surveillance des côtes.
Arrêtés au port, ils échappèrent au pire grâce à un alibi (un prétendu bal à l’île de Batz) et furent libérés après un certain temps à la prison de Pontaniou à Brest.
La mission duGroupe Élie consistait notamment à récupérer des armes dans des cafés fréquentés par les Allemands. C’est lors d’une de ces opérations, le 28 avril 1941, que se joua le destin du groupe, lors d’une bagarre dans un café de la rue Blanc avec plusieurs soldats allemands. Si tous parvinrent à s’échapper, la Gestapo, par l’arrestation d’un suspect, mit ensuite la main sur une liste où figuraient plusieurs noms de membres duGroupe Élie,qui furent arrêtés les uns après les autres.
Interpellé le 19 mai 1941 à Brest par les autorités allemandes, incarcéré à Brest puis à Fresnes à partir du 5 juillet 1941, Roger Groizeleau fut condamné à mort le 22 novembre 1941 par le tribunal militaire allemand du Gross Paris, rue Boissy-d’Anglas (VIIIe arr.), en dépit de l’intervention du préfet du Finistère, qui axa sa défense sur sa situation familiale périlleuse, et fusillé au Mont-Valérien le 10 décembre 1941 avec dix autres résistants.
Un service religieux célébré en mémoire du Groupe Élie à Saint-Martin le 8 janvier 1942 réunit plusieurs centaines de personnes.
Le nom d'une rue de Angers porte sont nom depuis le 23 mars 1953.
SANGUY Marcel
Né le 23 décembre 1908 à Angers (Maine-et-Loire), abattu le 16 juillet 1944 par les Allemands à Garzonval en Plougonver (Côtes-du-Nord ; Côtes d’Armor) à l'âge de 36 ans ; chiffonnier ; FTP.
Le 11 juillet 1944, Marcel Sanguy, chiffonnier à Kergrist-Moëlou ( Côte d'Armor), est arrêté avec son camarade Albert Torqueau à Canihuel ( Côte d'Armor) au cours d'une opération menée par l'armée allemande et par des miliciens de Bezen-Perrot. Dans ce secteur la résistance FTP est fortement implantée.
Détenu dans la maison du notaire Monsieur Souriman occupée par le Bezen Perrot au bourg de Bourbriac (Côtes-du-Nord ; Côtes d’Armor), il y fut martyrisé.
Le 16 juillet 1944, les miliciens emmenèrent sept détenus donc Marcel Sanguy à bord d'un camion jusqu'à Garzonval en Plougonver.
Ils furent tous abattus dans un fossé en bordure de la voie ferrée Guingamp (Côtes-du-Nord ; Côtes d’Armor) Carhaix (Finistère) d’une balle dans la nuque.
Pierre Maillard, François-Louis Le Berre, Jean-Louis Corbel, Pierre Sécardin, Albert Torquéau et Marcel Sanguy furent abbatus.
Marcel Sanguy était marié, un enfant, il avait 36 ans.
Le nom de Marcel Sanguy figure sur le monument de Garzonval en Plougonver.
Une rue de Rostrenen porte le nom de Marcel Sanguy.
Au sujet de Louis FROUIN, mon père, il est bien ne le 1erjanvier 1912 au Champ-sur-Layon (Maine-et-Loire). En 1944, j'habitais avec mes parents et mon frère a Savennieres (Maine-et-Loire),ou mon père avait une entreprise de transports.
Mon père Louis FROUIN est bien ne le 1er janvier1912 au Champ-sur-Layon (Maine-et-Loire). J'habitais, en 1944, a Savennieres avec mes parents et mon frère, ou mon père avait une entreprise de transports. Après un accord avec Jacques Vasseur qui se faisait passer pour un résistant (en fait collabo a la Gestapo d'Angers), il fut décide d'aller récupérer un dépôt d'armes parachutées a la ferme des Ecoubleres, route de Sarrigne, a St-Barthelemy-d'Anjou (Maine-et-Loire). C'était un piège, et mon père, son frère Maurice et deux autres résistants furent abattus sur-le-champ, le 15 juillet 1944, tombes dans un piège immonde, dresse par Vasseur.
Merci Monsieur Frouin pour ce témoignage que je rajouterai en dessous de sa fiche
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Merci pour avoir ajoute mon commentaire au sujet de mon père Louis FROUIN, J'ai oublie de vous dire que je suis la fille et non le fils: Madame Maciet née Frouin.
OUPS! désolé Madame Maciet, j'ai corrigé
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Bonjour,
Je recherche toute information concernant sa période 1933/1944 (Sa venue dans les côtes d'Armor). (ROSTRENEN/KERGRIST MOELOU)
Merci pour ce devoir de mémoire !
Cordialement,
Pascal
ooops... désolé...
Je parle de SANGUY Marcel (Henri, Théodore)
Pascal
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