HUMOURS
Publié le 16/12/2007 à 12:00 par magazanaanakaza
Où était le célibataire-divorcé Nicolas Sarkozy durant le long pont de la Toussaint ?
Si l’on en croit l’agenda officiel publié par l’Élysée, le président de la République n’a pas eu d’activité « publique » entre la fin de son voyage en Corse, mercredi après-midi 31 octobre, après le conseil des ministres décentralisé, et son apparition médiatique dimanche matin 4 novembre sur les radars aériens en direction du Tchad, afin d’aller récupérer les journalistes et une partie de l’équipage espagnol détenus dans l’affaire de l’Arche de Zoé.
En réalité, selon des sources officieuses concordantes, tant marocaines que françaises, Nicolas Sarkozy a profité de ces trois jours pour se rendre, de manière très discrète, au Maroc. Il avait effectué une visite officielle au royaume chérifien du 22 au 24 octobre, naviguant entre Rabat, Tanger et Marrakech. Les charmes de cette dernière belle cité l’ont visiblement séduits, puisqu’il y est revenu, cette fois pour une escapade « privée » en bonne compagnie.
Selon nos sources, il était entouré d’un cercle restreint d’amis, dont Nicolas Bazire. Resté très proche de Sarkozy, Bazire fut le directeur de cabinet d’Edouard Balladur entre 1993 et 1995 et il est actuellement le numéro deux du groupe de luxe LVMH, présidé par Bernard Arnault, autre intime du Président.
Nicolas Sarkozy, qui a eu, on le sait, une liaison passagère en 2005 avec une journaliste du Figaro, apprécie visiblement la compagnie des femmes du microcosme des médias : sa conseillère spéciale, Catherine Pégard, ancienne rédactrice en chef politique au Point, participait notamment à cette escapade à Marrakech. Et un autre nom est cité, parmi les hôtes privilégiés du président : celui d’une journaliste vedette de la télé et de la radio, habituée des interviews politiques. Sollicitée ce midi par Bakchich, cette charmante consoeur n’a pas encore pu nous confirmer ou infirmer officiellement ce déplacement.
Selon nos sources, l’Airbus présidentiel qui a conduit Nicolas Sarkozy au Tchad, venu de Paris le dimanche 4 novembre matin, se serait posé à Marrakech pour embarquer le Président et sa conseillère Catherine Pégard, avant de redécoller à destination de N’Djaména, puis de rentrer à Paris dans la soirée, après une escale à Madrid.
Questionné par Bakchich sur ce séjour « en cachette » du Président au Maroc, Franck Louvrier, chargé des relations avec la presse à l’Élysée, n’a pu nous répondre officiellement, malgré nos multiples relances. Mais une certaine effervescence était perceptible, vendredi 9 novembre, au Château, à l’évocation de ce périple marocain secret, qui a précédé de quelques heures le bruyant aller-retour au Tchad.
Publié le 16/12/2007 à 12:00 par magazanaanakaza
La variable « x » fait peur
Au lycée martyr de Faya, Hougué et son cousin Choua firent dans les mêmes classes et aimèrent la science à un degré hyper idéal. Hougué fut un élève très documenté et chercha à comprendre les mathématiques à cent pour cent. Tandis que Choua tellement qu’il maîtrisa le calcul, il se lança dans l’astrophysique.Chaque soir Hougué menu de tous ses documents se dirige vers le champ vectoriel de son cousin Choua qui, prit refuge dans un coin non loin de leur palmeraie (mettre certaines de ses connaissances en évidence) pour faire travailler les « x ».Soudain, Hougué demanda son cousin de lui expliquer exactement la notion de « x ».Choua répondît en disant que « x » est une variable qui peut ou pas prendre des différentes valeurs par exemple aujourd’hui elle peut prendre comme valeur 2 et demain 5.Hougué dît : « ok couz ». En outre ils auront un petit contrôle de mathématique de 15 mn le demain.Hougué, tout ce qu’il a retenu c’est la valeur que « x » pourra prendre demain.Le jour arriva et la question fut posée : « en combien de jours peut-on remplir une piscine de 100 mètres cube avec trois robinets qui, laissent 0,002 ; 0.005 et 0.01 mètre cube d’eau par seconde. Le prof donna comme indication « en prenant le nombre de jour comme la variable ‘x’».Hougué poussa un cri unique à son genre en disant : « monsieur j’ai fini en 20 secondes », car il eut la valeur de « x » d’aujourd’hui. (x prend aujourd’hui 5 comme valeur).Ce fut de cette façon que Hougué tapa à coté. Il partît chez Choua pour lui réexpliquer la notion de « x ».Ce fut la même chose dans le deuxième contrôle de mathématique.Finalement il rendît visite à Choua au Rogué de Faya et dît :( couz, si seulement en mathématiques, il n’y a pas ce « x », j’aurai dû avoir un 20 sur 20).
Leçon : Dans la vie, il faut avoir une vue, une écoute et une interprétation actives.En outre il fallait bien se renseigner sur une chose avant de la mettre en pratique.La prudence et l’optimisme deux choses à chercher dans cet article.Enfin pour réussir dans cet univers, il faut avoir un œil mathématique.
ABDALLAH CHIDI DJORKODEI Tchachadi.com
Publié le 16/12/2007 à 12:00 par magazanaanakaza
Les mathématiques servent aussi à distraire.
Traditionnellement dit-on qu’après la pluie c’est le beau temps.
C’était juste après la découverte du théorème dabyen et aussi juste après la pluie, toutes les fonctions usuelles mathématiques se sont réunies au quartier Rogué non loin de la mosquée Harazay pour partager ce moment opportun car en Mathématique toute formule qui nait, est une vie moins aisée qui apparait aux yeux des outils mathématiques.
Parmi les fonctions réunies on a : exponentielle, logarithme népérien, fonction inverse (1/x), fonction polynôme, fonction rationnelle……
Mais ce qui est étonnant, est le fait de voir la fonction exponentielle isolée des autres, assise sur une chaise toute en regardant ses sœurs entrain d’écraser les aliments biologiques.
Sais-tu pourquoi elle est isolée des autres ?
Parce que la fonction exponentielle ne s’intègre pas. Sa dérivée est elle-même et sa primitive est elle-même aussi.
Brusquement elles se sont décidées pour aller dans un restaurant non loin du lycée de la liberté (AL-AFIA). Elles ont commandé une viande de 10000f CFA et quelques sucreries.
Et comme elles sont internationales, elles ont un esprit qui dit « chacun paye ce qu’il a mangé ».
A la sortie, comme d’habitude, le caissier assis sur sa chaise et regarde des filles qui ont un air très intelligent. Chacune d’elles paye ce qu’elle a dévoilée .mais la fonction népérienne ne donne rien. Sais-tu pourquoi elle n’a pas payé ?
C’est parce que népérien « ne paye rien ».
Leçon : pour mieux comprendre le bon fonctionnement de la vie, il faut essayer d’interpréter chaque mot ou expression de plusieurs manières différentes. Chaque génération a son temps, à chaque temps sa chose et à chaque chose sa personne.
Abdallah Chidi Djorkodei
Tchachadi.com