THEORIE
Théorie unificatrice .
Topologie .
Symétrie , Supersymétrie .
Onde,Corpuscule,Particule.
Loi ultime.
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Rechercherje le lirai et relirai pour comprendre ce que je désire apprendre merci bcp
Par Anonyme, le 22.08.2024
avez-vous entendu parler de la théorie mega - modèle d'espace granulaire animé ? cette théorie trouverait sa p
Par Camille, le 23.12.2023
bonjour mes chers amis.biontot je reprendrai la suite de mes articles.
mer ci pour votre fibelite. eddaal.a h
Par supersymetrie, le 12.02.2023
... toujours un insigne & infini plaisir de vous retrouver, de vous lire, & relire, monsieur eddaal ... je pe
Par Anonyme, le 19.03.2021
merci pour votre blog, j'apprends beaucoup. j'ai hâte d'en faire le tour !
Par Anonyme, le 06.01.2021
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Date de création : 19.04.2009
Dernière mise à jour :
21.11.2024
505 articles
Le champ unifié
L’espace-temps, c’est la projection d’une suite serial cumulative de familles d’évènements ponctuels, qui se manifestent simultanément, et instantanément, en synchronie avec les spectres sensibles de la lumière. Autrement dit, chaque point de l’espace a son propre temps et sa propre histoire cinétique, qu’il partage avec une famille spectrale de points similaires qui se déploient dans un ordre corpusculaire supersymétrique. L’emboitement serial de la gamme complète de ces familles corpusculaires, développe le diagramme panoramique intégral de l’enceinte de notre univers. Le diagramme ainsi abouti, incarne l’éternité d’un espace fonctionnel complet, normé et borné, où le passé et le futur se marient dans un présent permanent.
L’ordre corpusculaire supersymétrique dans lequel se performe la trame de l’espace-temps, que nous venons de décrire, est dicté par la résolution géométrique du corps topologique de la droite réelle dans sa version matricielle carrée à dix dimensions de base. Cela, sous-entend que la structure fondamentale de l’espace-temps provient essentiellement de l’enchainement qualitatif du profil géométrique des éléments de l’ensemble des entiers naturels. Lequel enchainement, décrit les changements de phases spectrales d’une onde gravitationnelle, dite primordiale, dont les transformations itératives finissent par créer le champ unifie des particules élémentaires de la matière. A suivre .. EDDAAL.A
La grande théorie, EDDAAL.A, article 505, 21.11.2024, supersymetrie.centerblog.net
Raison de (la déraisonnable efficacité des mathématiques dans les sciences de la nature, Eugene Wigner).
L’histoire gravitationnelle de notre univers, ne peut se concevoir, que dans un cadre théorique pur, car les dimensions dans lesquelles elle se performe, échappent à notre perception. Reste à savoir donc, comment aborder l’analyse théorique de cette histoire phénoménale.
Ce qui est fabuleux insoupçonnable, c’est qu’il y a une corrélation très étroite entre la théorie quantique des champs et la géométrisation fonctionnelle du noyau générateur de l’ensemble des entiers naturels.
Si toutes les créations artificielles développés par l’intelligence humaine, sont inspirées essentiellement de l’intelligibilité didactique de l’ensemble des entiers naturels, c’est que la création de l’univers lui-même est, impérativement conditionnée par cette intelligibilité. Car, le jeu combinatoire matriciel carré à dix dimensions de base du noyau générateur de l’ensemble des entiers naturel, est omniprésent dans le développement des supersymétries plus ou moins complexes, qui régissent le raccordement des deux bouts extrêmes de notre univers. C’est-à-dire que tous les points de l’espace fondamental de notre univers, se raccordent et se parlent dans un langage numérique, qui formule des événements, intelligibles et significatifs géométriquement, que nous désignons tout simplement par le concept de l’espace-temps, qui forge les rugosités évolutives du monde sensible.
Les fluctuations combinatoires des entiers naturel entre le chiffre zéro et le chiffre neuf, structurent géométriquement, la complétude fonctionnelle du corps topologique de la droite réelle dans sa version matricielle carrée à dix dimensions de base, qui dicte l’ordre des transformations spectrales d’une onde gravitationnelle, depuis sa phase primordiale jusqu’au bout de sa phase quantique, là où se confinent les interactions fondamentales, dont émanent les forces nécessaires au développement de la complétude fonctionnelle de notre univers. Cela, ouvre nos yeux sur un nouveau paradigme qui ne fait plus la part entre les fondements des mathématiques et ceux de la science physique. Les deux disciplines sont interdépendantes et se justifient mutuellement par des formules, dont la résolution géométrique unifiée, dresse la carte panoramique de l’enceinte de notre univers. C’est dans cette carte où réside le secret de la déraisonnable efficacité des mathématiques dans les sciences de la nature. A suivre EDDAAL.A
La grande théorie, EDDAAL.A, article 504, 15.11.2024, supersymetrie.centerblog.net
L’image synthétique de l’histoire gravitationnelle de notre univers
L’image synthétique de l’histoire gravitationnelle de notre univers, résolue aux spectres sensibles de la lumière, projette en un clin d’œil, toutes les phases spectrales transformant une onde gravitationnelle pure, dite primordiale, en une suite cumulative d’ondes similaires, de plus en plus restreintes, et qui convergent vers les fluctuations du vide quantique. Chaque point du diagramme synthétique ainsi projeté, il fait partie d’une famille spectrale d’ondes gravitationnelles, qui performent l’intégrité d’un corpuscule vibrant à un rythme spécifique. La sommation des corpuscules ainsi développés, se raccorde par emboitements, aboutissant à un espace fonctionnel complet, normé et borné à dix dimensions de base. Cet espace définit théoriquement un modèle topologique de base, dont émaneront les fondements géométriques de toutes les lois de la nature.
Ainsi, les fluctuations gravitationnelles entre le néant et la dixième dimension, dite de base de notre univers, tissent en permanence la trame du vide quantique, berceau des interactions fondamentales, dont émergent les forces nécessaires au confinement des rugosités évolutives du monde sensible. Ces rugosités se manifestent sous l’égide spectrale de la lumière, persuadant ainsi, toutes les formes et les couleurs de la nature.
Finalement, si nous nous referons à notre thèse qui se résume à la résolution géométrique du corps topologique de la droite réelle, dans sa version matricielle carrée à dix dimensions de base, qui projette un diagramme qui, dicte le sens logique de toutes les intelligibilités physiques ou morales de la nature. Pour dire tout simplement, que les entiers naturels, ne sont pas de simples symboles permettant de quantifier les choses, mais sont de véritables objets discrets, dont le profil qualitatif, d’ordre géométrique, s’impose dans la création des intelligibilités significatives de notre univers. A suivre… EDDAAL.A
La grande théorie, EDDAAL.A, article 503, 08.11.2024, supersymetrie.centerblog.net
Le diagramme qui illustre notre article, représente finalement l’image synthétique de l’histoire gravitationnelle de notre univers. Car, il s’agit en vérité d’une même onde gravitationnelle, dite primordiale, qui exhibe curieusement, instantanément et spontanément, les différentes phases de ses transformations, qui se présentent en familles d’ondes d’ordre corpusculaires. Les corpuscules ainsi élaborés ne sont rien d’autre que l’emboitement spectacle de la gamme complète des particules élémentaires, dont les interactions partielles et différenciées, créent les forces fondamentales à l’origine du développement rugueux et évolutif du monde sensible.
L’intelligibilité supersymétrique de ce diagramme, nous initie à comprendre explicitement les fondements d’ordre géométriques des propriétés mystérieuses des particules élémentaires de la matière, notamment, la dualité onde corpuscule, la notion de superposition ou de l’intrication. La perfection de cette supersymétrie, nous permet aussi de donner un sens géométrique lisible et significatif au rôle fondamental, que joue le phénomène de Higgs (B.E.H) dans le confinement massif des particules élémentaires de la matière. Mais, pour comprendre tout cela, il faut savoir se situer dans un contexte spectral précis, c’est-à-dire, un espace-temps qui se fige géométriquement à notre regard, comme si on appliquait un stroboscope rythmé qui ne visualiserait que les dimensions lumineuses d’un multivers. Autrement dit, nous vivons en synchronie avec l’ambiance de la lumière, et nous ne pouvons quitter cette ambiance qui borne notre existence. Laquelle existence, est conditionnée par l’instantanéité de notre conscience, qui définit le spectre dans lequel notre pensée se manifeste et se performe en permanence. A suivre..EDDAAL.A
La grande théorie, EDDAAL.A, article 502, 27.10.2024, supersymetrie.centerblog.net
Géométriquement, toutes les théories spéculatives à visées unificatrices des interactions fondamentales, notamment, la théorie des cordes (Gabriele Veneziano, Edward Witten), la théorie de la gravite quantique à boucles (Lee smolin, Carlo rovelli) et la théorie des twister (Roger Penrose), sont analogues quant à la nature fonctionnelle de leurs supposés êtres, ingrédients de base de la matière. Car ces ingrédients, se résument en fin de compte à des brins oscillants d’Energie, que chaque théorie symbolise à sa propre guise. Mais en vérité, le modèle synthétique commun qui incarne les parts de vérités géométriques de toutes ces théories, serait dicté par l’explore historique d’une onde gravitationnelle, dite primordiale, dont la décomposition en une suite d’ondes de plus en plus restreintes qui finissent par converger et se dissiper dans les fluctuations du vide quantique. Le modèle synthétique ainsi développé, incarne les principes et les propriétés fonctionnelles de toutes les théories spéculatives déjà citées. Ce modèle, serait théoriquement formulé par une géométrie algébrique d’ordre complexe, connue sous le nom de la fameuse géométrie dite non commutative (Alain Connes).
Nous venons finalement de sillonner en un clin d’œil la signification des théories de pointes concernant la mise au point de l’unité fonctionnelle de l’enceinte de notre univers. Grossièrement, toutes ces théories buttent contre un obstacle conceptuel, à savoir, comment unifier ou connecter géométriquement, sans obstacle et sans paradoxe, les deux pôles extrêmes de l’enceinte de notre univers, autrement dit, comment réconcilier concrètement et explicitement, la mécanique quantique avec la relativité générale.
Si nous revenons à nos anciens articles, nous allons nous rendre compte qu’un enfant de l’école primaire serait capable de lever ce défi par un simple jeux combinatoire des dix bouts de ses doigts, que nous appelons, le noyau régénérateur de l’ensemble des entiers naturels. Car il n’y a pas plus magique et plus génial que l’omniprésence de ce noyau dans les symétries plus ou moins complexes des phénomènes naturels. L’intelligibilité géométrique des éléments de ce noyau, initient les transformations de l’espace gravitationnel depuis sa phase primordiale jusqu’au bout de sa phase de dissolution quantique, là où la matrice carrée à dix dimensions de base de ce noyau, formule l’unification des forces fondamentales nécessaires au développement des rugosités évolutives du monde sensible.
A suivre…EDDAAL.A
La grande théorie, EDDAAL.A, article 501, 18.10.2024, supersymetrie.centerblog.net
Un authentique accélérateur des particules élémentaires
Si nous nous référons attentivement à nos articles précédents, et si nous assimilons la signification exacte de la transcription géométrique du corps topologique de la droite réelle dans une nouvelle version dite, matricielle carrée à dix dimensions de base, nous allons nous rendre compte d’un exploit mathématique fabuleux. C’est que, ce que nous appelons par la géométrisation synthétique du noyau générateur de l’ensemble des entiers naturels, serait en vérité, l’idée promotrice d’un authentique accélérateur, d’ordre vectoriel, qui balaye méthodiquement l’aire du corps topologique de la droite réelle en strates ondulatoires cumulatives, développant un espace vectoriel complet, normé et borné, qui simule la configuration des spectres cinétiques de la gamme complète des ingrédients de base de la matière, que nous appelons tout simplement, le modèle standard de la physique quantique. Mais la particularité singulière et extraordinaire de ce nouveau modèle, d’ordre numérique, c’est qu’il ne se limite pas dans ses interprétations à la physique quantique, car il étale aussi ses exploits aux dimensions gravitationnelles de la relativité générale. En vérité, ce modèle simule les transformations harmonieuses d’une onde gravitationnelle dite primordiale qui, par enroulement, rotation et translation, itératives, finit par se dissiper en fluctuations du vide quantique, un réservoir, dont émane l’énergie nécessaire au développement, et à l’entretient des rugosités évolutives du monde sensible. A suivre….EDDAAL.A
La grande théorie, EDDAAL.A, article 500, 03.10.2024, supersymetrie.centerblog.net
L’esprit géométrique de l’enceinte de notre univers
Les sciences fondamentales ont actuellement tendance à unifier l’abstraction de leurs langages dans un concept, ayant trait commun avec l’essence géométrique dont émanent toutes les intelligibilités physiques ou morales de la nature. Ce concept, a pour but de déduire la logique de notre raisonnement ainsi que le sens original des constantes universelles, à partir de la configuration géométrique fondamentale de l’enceinte de notre univers, et de faire des mesures expérimentales, une justification et non plus une raison des principes qui régissent la complétude fonctionnelle de notre univers. L’esprit géométrique de notre univers serait tout simplement le fruit d’un aggloméra de brins d’énergies, qui se déploient et se raccordent dans un ordre gravitationnel cumulatif, qui fluctue entre les deux bouts extrêmes de l’enceinte de notre univers.
La géométrie de l’espace-temps à quatre dimensions, bute actuellement, contre les limites qui la séparent des dimensions profondément exquises dont elle émerge. La topologie segmentaire et dynamique du noyau générateur de l’ensemble des entiers naturels, est un outil fondamental, qui nous initie à réaliser le parcours aller-retours, sans obstacle et sans paradoxe, entre les deux bouts extrêmes de l’enceinte de notre univers. Ce voyage topologique harmonieux, nous permet d’élucider le fameux seuil critique de transition qui fait basculer un monde gravitationnel pur, atemporel et sans masse, vers un monde de supergravité quantique où se performent les interactions fondamentales nécessaires au développement des forces qui régissent la complétude fonctionnelle de notre univers, et par conséquent, la mise en valeur de l’ordre chronologique dans lequel se déroulent les rugosités évolutives et massives des phénomènes naturels. Les forces en question, sont théoriquement générées par les nœuds agencés des performances extrêmement délicates de la résolution géométrique du corps topologique de la droite réelle, dans une nouvelle version dite, matricielle carrée à dix dimensions de base. Celle-ci, projette un diagramme synthétique qui incarne l’histoire cinétique de la gamme complète des ingrédients de base de la matière et leurs interactions, dans un ordre en synchronie avec les spectres sensibles de la lumière. A suivre…. EDDAAL.A
La grande théorie, EDDAAL.A, article 499, 19.09.2024, supersymetrie.centerblog.net
LA SUPERCORDE
La définition que nous allons donner à la théorie des cordes, est une définition qui émane d’un nouveau paradigme fondé sur les dimensions géométriques profondes dont émerge le corps topologique de la droite réelle. Mais cette définition, dans sa composition, finit inopinément par rejoindre les principes originaux de la théorie des cordes comme elle a été décrite et conçu depuis sa découverte. Ce qui est nouveau alors, c’est que les fondements de cette théorie seront beaucoup plus opportuns et raisonnables.
La théorie des cordes, est apriori un concept mathématique d’ordre géométrique pur, qui simule les ingrédients de base de la matière, à des brins d’énergies qui vibrent tout en cumulant les raccords synchrones, de leurs rythmes et leurs fréquences, dans un ordre dicté par la suite segmentaire logique, dite géométrique, du noyau générateur de l’ensemble des entiers naturels. Créant ainsi par homologie, un espace vectoriel complet, normé et borné à dix dimensions de base, que nous appelons tout simplement, la supercorde. Cette supercorde, se présente finalement sous forme d’une droite complexe, dynamique et supersymétrique, ayant le pouvoir de se modeler et de se remodeler sous l’égide des transformations cinétique spectrales profondes du vide quantique.
L’intérêt de cette définition très restreinte de la théorie des cordes, c’est qu’elle puise ses fondements de l’universalité de la résolution géométriques du corps topologique de la droite réelle dans une nouvelle version dite, matricielle carrée à dix dimensions de base. Le but de cette définition, ce n’est pas la mise au point ou la découverte des principes de la supercorde en elle-même, mais c’est la façon ou la méthode qui permet de transformer le corps topologique de la droite réelle classique en un espace fonctionnel complet, susceptible par son pouvoir logique et universelle, d’affirmer ou d’infirmer la véracité de toute théorie spéculative à visée unificatrices des forces fondamentales de la nature, notamment, la théorie de la gravitation quantique à boucles(Lee smolin, Carlo Rovelli), la théorie des twitteurs(Roger Penrose), la théorie de la géométrie non commutative(Alain Connes), et finalement la théorie des supercordes. Avec la lecture analytique conclusive du corps topologique de la droite réelle dans sa nouvelle version, matricielle carrée à dix dimensions de base, les théories en question seront épargnées de justifications expérimentales, car elles découlent dans leur raisonnement profond, de la logique suprême et inébranlable de la géométrisation du noyau générateur de l’ensemble des entiers naturels.
Nous voilà donc, devant un nouveau paradigme qui réveille en nous, l’essence même, de la causalité primitive à l’origine d’un sorte de chiquenaude, qui aurait ébranlé le silence d’une onde gravitationnelle primordiale, qui par rotations, enroulements et translations, successives et en saccades, finit par imager la version matricielle carre a dix dimensions de base du corps topologique de la droite réelle, autrement dit, géométriser la complétude fonctionnelle de notre univers… A suivre EDDAAL.A
La grande théorie, EDDAAL.A, article 498, 06.09.2024, supersymetrie.centerblog.net
Le concept de la géométrisation des entiers naturels, consiste à substituer les chiffres par une suite spectrale de segments normés, qui balayent le domaine du corps topologique de la droite réelle en strates hélicoïdales, ne laissant aucun point, sans lui procurer une histoire cinétique qui se manifeste par la configuration corpusculaire d’une catégorie d’espaces topologiques. Les différentes catégories d’espaces, se raccordent harmonieusement par emboitements consécutifs, aboutissant à l’épanouissement, parfaitement supersymétrique, d’un espace fonctionnel complet, normé et borné à dix dimensions de base. Cet espace, incarne l’esprit géométrique de toutes les intelligibilité physiques ou morales de la nature.
Ce que nous voulons faire savoir à travers ce nouveau paradigme, c’est que le concept de l’ensemble des entiers naturels, dans son essence, émane des performances géométriques, innées, de l’espace fondamental de notre univers. La logique suprême de l’enroulement segmentaire des éléments de l’ensemble des entiers naturels, est investie dans le développement topologique de toutes les formes du monde sensible, notamment et spécialement, la nature du concept décimal lié à la numération de nos doigts, ainsi que la symétrie en miroir de nos deux mains(chiralité). Les deux phénomènes que nous venons de citer, résument à eux seules, les fondements de toutes les lois qui régissent la complétude fonctionnelle de notre univers. D’ailleurs, c’est à ces deux principes que nous devons la méthode aboutissant à la définition du corps topologique de la droite réelle dans sa version matricielle carrée à dix dimensions de base, et delà, la projection supersymétrique, majestueuse, du diagramme qui illustre notre article. A suivre… EDDAAL.A
La grande théorie, EDDAAL.A, article 497, 23.08.2024, supersymetrie.centerblog.net
L’histoire gravitationnelle de notre univers, fait parler géométriquement le noyau générateur de l’ensemble des entiers naturels, qui se déploie dans un ordre segmentaire concentrique, transformant le concept du corps topologique de la droite réelle classique, en un diagramme matricielle carré à dix dimensions de base dont, émanent les lois et les principes qui régissent la perfection architecturale de notre univers.
Grâce à leurs performances topologiques, les transformations ondulatoires, spectrales, des dimensions gravitationnelles profondes de notre univers, développent les fondements analytiques de toutes les intelligibilités physiques ou morales, de la nature. Cela, nous incite à comprendre, qu’il y a un lien inné, insoupçonnable et incontournable, entre la logique des mathématiques, et les rugosités évolutives du monde sensible. Ce lien, procure à notre existence une raison morale, significative, dont témoignent les exploits fabuleux de la pensée humaine, qui ne fait plus la part entre le réel et le virtuel, dans sa façon d’approcher les fins de ses œuvres. A suivre…EDDAAL.A
La grande théorie, EDDAAL.A, article 496, O2.08.2024, supersymetrie.centerblog.net