THEORIE
Théorie unificatrice . Topologie . Symétrie , Supersymétrie . Onde,Corpuscule,Particule. Loi ultime.

Thèmes

art article base blog boson cadre causalité centerblog champs cinetique complexe conscience

Rechercher
Derniers commentaires Articles les plus lus

· QUE NUL N’ENTRE ICI S’IL N’EST GEOMETRE
· LA GEOMETRIE NON COMMUTATIVE EN QUELQUES MOTS.
· La poupée russe et la grande théorie unificatrice
· L’HISTOIRE DE L’ESPACE TEMPS, theorie Eddaal
· La résolution neuronale, du monde sensible (suite)

· Le boson de Higgs et la théorie des cordes
· La théorie des cordes est un grand pas vers l’unification.
· LA THEORIE DU TOUT; EDDAAL
· LA DEFINITION FORMELLE DU FACTEUR TEMPS ; EDDAAL.A
· INITIATION A LA THEORIE DU TOUT
· DEFFINITION DU BOSON DE HIGGS
· LA THEORIE DU TOUT EDDAAL, définition restreinte
· GEOMETRISATION DE LA LUMIERE
· Vers une géométrisation intuitive de la physique
· LA RAISON DES MATHEMATIQUES

Voir plus 

Abonnement au blog
Recevez les actualités de mon blog gratuitement :

Je comprends qu’en m’abonnant, je choisis explicitement de recevoir la newsletter du blog "supersymetrie" et que je peux facilement et à tout moment me désinscrire.


Blogs et sites préférés

· badz
· astroculture
· maumaryg
· leslimitesdelaconnaissance
· La cite des scences.
· Nature
· scientific american
· pour la science
· Techno-science
· Le Point.fr

Voir plus


Statistiques

Date de création : 19.04.2009
Dernière mise à jour : 27.02.2025
507 articles


L’esprit géométrique des sciences fondamentales.

Publié le 27/02/2025 à 18:39 par supersymetrie Tags : nature centerblog base monde article raison effic
L’esprit géométrique des sciences fondamentales.

La raison géométrique, de l’efficacité des mathématiques dans les sciences de la nature.

 

L’image, authentique, globale de la cartographie de l’espace-temps, réside essentiellement dans la géométrie synthétique qui justifie la continuité fonctionnelle entre l’aléatoire de la mécanique quantique, et le déterminisme du monde macroscopique. L’image en question, émane d’une géométrie algébrique d’ordre complexe, qui fait de l’intégralité du corps topologique de la droite réelle, un espace fonctionnel complet, normé et borné, dont les normes sont dictées par la résolution du profil géométrique de la matrice carrée à dix dimensions de base du noyau générateur de l’ensemble des entiers naturels. Ce profil géométrique, incarne la raison de l’efficacité des mathématiques dans les sciences de la nature, comme, il simule le flux algorithmique du réseau neuronal à l’origine des performances intellectuelles du cerveau humain.

Le nouveau paradigme, auquel nous venons de faire allusion, consiste à dévoiler la liaison, intime, qui raccorde l’intelligibilité du profil géométrique des entiers naturels, au déploiement cinétique de la gamme complète des ingrédients de base la matière. Cette liaison insoupçonnable, puise ses fondements, de l’esprit géométrique du noyau générateur de l’ensemble des entiers naturels, dont la matrice carrée à dix dimensions de base, étale ses performances combinatoires au développement de la nouvelle version, dite fonctionnelle, du corps topologique de la droite réelle. Cette version cerne l’intégralité l’espace-temps dans un ordre cinétique spectral, qui balaye, sans obstacle et sans paradoxe, les fines structures d’un univers fini et sans bord.

Le langage, la méthode et le raisonnement, inédits, que nous adoptons dans ce nouveau paradigme, nous permettent de toucher concrètement aux fondements théoriques constitutifs de la science fondamentale. Ce nouveau paradigme nous initie à dresser un diagramme dont la lecture inépuisable, éclaircit la raison de l’efficacité des mathématiques dans les sciences de la nature.

La grande théorie, EDDAAL.A, article 507, 27.02.2025, supersymetrie.centerblog.net 

La théorie du tout, en quelques mots

Publié le 06/12/2024 à 11:03 par supersymetrie Tags : centerblog sur article nature theorie du tout gravi
La théorie du tout, en quelques mots

 

L’univers, c’est un phénomène ondulatoire qui tombe, éternellement, sur lui-même dans un ordre gravitationnel cumulatif, déployant un domaine énergétique massif, qui précipite les rugosités évolutives de l’espace-temps.

La théorie du tout, c’est la théorie qui répondrait légitimement aux raisons de toutes les théories spéculatives à visées unificatrices des interactions fondamentales de la physique des particules élémentaires de la matière.

La théorie du tout est avant tout, un concept géométrique de raison, dont émanent, les fondements de toutes les intelligibilités physiques ou morales de la nature.

C’est une géométrie algébrique d’ordre complexe qui ne laisse aucun point de l’espace, sans lui attribuer un sens spectral significatif, dans le temps et dans l’espace.  Tous les points de l’univers, sont catégorisés en groupes de classes d’équivalences d’évènements ponctuels qui s’engagent méthodiquement et systématiquement dans le tissage topologique, harmonieux, de la trame de l’espace-temps.

C’est à travers ces petits paragraphes, que se conçoit théoriquement, l’amorce géométrique de la théorie du tout, dont émanent les principes et les lois qui régissent la complétude fonctionnelle de l’enceinte de notre univers. A suivre…EDDAAL.A

La grande théorie, EDDAAL.A, article 506, 06.12.2024, supersymetrie.centerblog.net 

Résolution géométrique de l’espace-temps

Publié le 21/11/2024 à 17:54 par supersymetrie Tags : centerblog base article histoire champ particule matiere
Résolution géométrique de l’espace-temps

Le champ unifié

 

L’espace-temps, c’est la projection d’une suite serial cumulative de familles d’évènements ponctuels, qui se manifestent simultanément, et instantanément, en synchronie avec les spectres sensibles de la lumière. Autrement dit, chaque point de l’espace a son propre temps et sa propre histoire cinétique, qu’il partage avec une famille spectrale de points similaires qui se déploient dans un ordre corpusculaire supersymétrique. L’emboitement serial de la gamme complète de ces familles corpusculaires, développe le diagramme panoramique intégral de l’enceinte de notre univers. Le diagramme ainsi abouti, incarne l’éternité d’un espace fonctionnel complet, normé et borné, où le passé et le futur se marient dans un présent permanent.

L’ordre corpusculaire supersymétrique dans lequel se performe la trame de l’espace-temps, que nous venons de décrire, est dicté par la résolution géométrique du corps topologique de la droite réelle dans sa version matricielle carrée à dix dimensions de base. Cela, sous-entend que la structure fondamentale de l’espace-temps provient essentiellement de l’enchainement qualitatif du profil géométrique des éléments de l’ensemble des entiers naturels. Lequel enchainement, décrit les changements de phases spectrales d’une onde gravitationnelle, dite primordiale, dont les transformations itératives finissent par créer le champ unifie des particules élémentaires de la matière. A suivre ..   EDDAAL.A

La grande théorie, EDDAAL.A, article 505, 21.11.2024, supersymetrie.centerblog.net 

La raison des mathématiques

Publié le 15/11/2024 à 11:20 par supersymetrie Tags : naturel centerblog supersymetrie base univers article histoire création cadre carte
La raison des mathématiques

Raison de (la déraisonnable efficacité des mathématiques dans les sciences de la nature, Eugene Wigner).

 

L’histoire gravitationnelle de notre univers, ne peut se concevoir, que dans un cadre théorique pur, car les dimensions dans lesquelles elle se performe, échappent à notre perception. Reste à savoir donc, comment aborder l’analyse théorique de cette histoire phénoménale.

Ce qui est fabuleux insoupçonnable, c’est qu’il y a une corrélation très étroite entre la théorie quantique des champs et la géométrisation fonctionnelle du noyau générateur de l’ensemble des entiers naturels.

Si toutes les créations artificielles développés par l’intelligence humaine, sont inspirées essentiellement de l’intelligibilité didactique de l’ensemble des entiers naturels, c’est que la création de l’univers lui-même est, impérativement conditionnée par cette intelligibilité. Car, le jeu combinatoire matriciel carré à dix dimensions de base du noyau générateur de l’ensemble des entiers naturel, est omniprésent dans le développement des supersymétries plus ou moins complexes, qui régissent le raccordement des deux bouts extrêmes de notre univers. C’est-à-dire que tous les points de l’espace fondamental de notre univers, se raccordent et se parlent dans un langage numérique, qui formule des événements, intelligibles et significatifs géométriquement, que nous désignons tout simplement par le concept de l’espace-temps, qui forge les rugosités évolutives du monde sensible.

Les fluctuations combinatoires des entiers naturel entre le chiffre zéro et le chiffre neuf, structurent géométriquement, la complétude fonctionnelle du corps topologique de la droite réelle dans sa version matricielle carrée à dix dimensions de base, qui dicte l’ordre des transformations spectrales d’une onde gravitationnelle, depuis sa phase primordiale jusqu’au bout de sa phase quantique, là où se confinent les interactions fondamentales, dont émanent les forces nécessaires au développement de la complétude fonctionnelle de notre univers. Cela, ouvre nos yeux sur un nouveau paradigme qui ne fait plus la part entre les fondements des mathématiques et ceux de la science physique. Les deux disciplines sont interdépendantes et se justifient mutuellement par des formules, dont la résolution géométrique unifiée, dresse la carte panoramique de l’enceinte de notre univers. C’est dans cette carte où réside le secret de la déraisonnable efficacité des mathématiques dans les sciences de la nature. A suivre EDDAAL.A

La grande théorie, EDDAAL.A, article 504, 15.11.2024, supersymetrie.centerblog.net 

Le profil caché des entiers naturels

Publié le 08/11/2024 à 11:17 par supersymetrie Tags : centerblog base monde article création nature
Le profil caché des entiers naturels

L’image synthétique de l’histoire gravitationnelle de notre univers

 

L’image synthétique de l’histoire gravitationnelle de notre univers, résolue aux spectres sensibles de la lumière, projette en un clin d’œil, toutes les phases spectrales transformant une onde gravitationnelle pure, dite primordiale, en une suite cumulative d’ondes similaires, de plus en plus restreintes, et qui convergent vers les fluctuations du vide quantique. Chaque point du diagramme synthétique ainsi projeté, il fait partie d’une famille spectrale d’ondes gravitationnelles, qui performent l’intégrité d’un corpuscule vibrant à un rythme spécifique. La sommation des corpuscules ainsi développés, se raccorde par emboitements, aboutissant à un espace fonctionnel complet, normé et borné à dix dimensions de base. Cet espace définit théoriquement un modèle topologique de base, dont émaneront les fondements géométriques de toutes les lois de la nature.

 Ainsi, les fluctuations gravitationnelles entre le néant et la dixième dimension, dite de base de notre univers, tissent en permanence la trame du vide quantique, berceau des interactions fondamentales, dont émergent les forces nécessaires au confinement des rugosités évolutives du monde sensible. Ces rugosités se manifestent sous l’égide spectrale de la lumière, persuadant ainsi, toutes les formes et les couleurs de la nature.

Finalement, si nous nous referons à notre thèse qui se résume à la résolution géométrique du corps topologique de la droite réelle, dans sa version matricielle carrée à dix dimensions de base, qui projette un diagramme qui, dicte le sens logique de toutes les intelligibilités physiques ou morales de la nature. Pour dire tout simplement, que les entiers naturels, ne sont pas de simples symboles permettant de quantifier les choses, mais sont de véritables objets discrets, dont le profil qualitatif, d’ordre géométrique, s’impose dans la création des intelligibilités significatives de notre univers. A suivre… EDDAAL.A

La grande théorie, EDDAAL.A, article 503, 08.11.2024, supersymetrie.centerblog.net 

L’histoire gravitationnelle de notre univers

Publié le 27/10/2024 à 18:21 par supersymetrie Tags : centerblog monde article particule conscience pensee Higgs
L’histoire gravitationnelle de notre univers

 

Le diagramme qui illustre notre article, représente finalement l’image synthétique de l’histoire gravitationnelle de notre univers. Car, il s’agit en vérité d’une même onde gravitationnelle, dite primordiale, qui exhibe curieusement, instantanément et spontanément, les différentes phases de ses transformations, qui se présentent en familles d’ondes d’ordre corpusculaires. Les corpuscules ainsi élaborés ne sont rien d’autre que l’emboitement spectacle de la gamme complète des particules élémentaires, dont les interactions partielles et différenciées, créent les forces fondamentales à l’origine du développement rugueux et évolutif du monde sensible.
L’intelligibilité supersymétrique de ce diagramme, nous initie à comprendre explicitement les fondements d’ordre géométriques des propriétés mystérieuses des particules élémentaires de la matière, notamment, la dualité onde corpuscule, la notion de superposition ou de l’intrication. La perfection de cette supersymétrie, nous permet aussi de donner un sens géométrique lisible et significatif au rôle fondamental, que joue le phénomène de Higgs (B.E.H) dans le confinement massif des particules élémentaires de la matière. Mais, pour comprendre tout cela, il faut savoir se situer dans un contexte spectral précis, c’est-à-dire, un espace-temps qui se fige géométriquement à notre regard, comme si on appliquait un stroboscope rythmé qui ne visualiserait que les dimensions lumineuses d’un multivers. Autrement dit, nous vivons en synchronie avec l’ambiance de la lumière, et nous ne pouvons quitter cette ambiance qui borne notre existence. Laquelle existence, est conditionnée par l’instantanéité de notre conscience, qui définit le spectre dans lequel notre pensée se manifeste et se performe en permanence. A suivre..EDDAAL.A
La grande théorie, EDDAAL.A, article 502, 27.10.2024, supersymetrie.centerblog.net

La magie du jeu combinatoire des bouts des doigts.

Publié le 18/10/2024 à 15:01 par supersymetrie Tags : centerblog base monde jeux article nature enfant
La magie du jeu combinatoire des bouts des doigts.

 

Géométriquement, toutes les théories spéculatives à visées unificatrices des interactions fondamentales, notamment, la théorie des cordes (Gabriele Veneziano, Edward Witten), la théorie de la gravite quantique à boucles (Lee smolin, Carlo rovelli) et la théorie des twister (Roger Penrose), sont analogues quant à la nature fonctionnelle de leurs supposés êtres, ingrédients de base de la matière. Car ces ingrédients, se résument en fin de compte à des brins oscillants d’Energie, que chaque théorie symbolise à sa propre guise. Mais en vérité, le modèle synthétique commun qui incarne les parts de vérités géométriques de toutes ces théories, serait dicté par l’explore historique d’une onde gravitationnelle, dite primordiale, dont la décomposition en une suite d’ondes de plus en plus restreintes qui finissent par converger et se dissiper dans les fluctuations du vide quantique. Le modèle synthétique ainsi développé, incarne les principes et les propriétés fonctionnelles de toutes les théories spéculatives déjà citées. Ce modèle, serait théoriquement formulé par une géométrie algébrique d’ordre complexe, connue sous le nom de la fameuse géométrie dite non commutative (Alain Connes).

   Nous venons finalement de sillonner en un clin d’œil la signification des théories de pointes concernant la mise au point de l’unité fonctionnelle de l’enceinte de notre univers. Grossièrement, toutes ces théories buttent contre un obstacle conceptuel, à savoir, comment unifier ou connecter géométriquement, sans obstacle et sans paradoxe, les deux pôles extrêmes de l’enceinte de notre univers, autrement dit, comment réconcilier concrètement et explicitement, la mécanique quantique avec la relativité générale.

   Si nous revenons à nos anciens articles, nous allons nous rendre compte qu’un enfant de l’école primaire serait capable de lever ce défi par un simple jeux combinatoire des dix bouts de ses doigts, que nous appelons, le noyau régénérateur de l’ensemble des entiers naturels. Car il n’y a pas plus magique et plus génial que l’omniprésence de ce noyau dans les symétries plus ou moins complexes des phénomènes naturels. L’intelligibilité géométrique des éléments de ce noyau, initient les transformations de l’espace gravitationnel depuis sa phase primordiale jusqu’au bout de sa phase de dissolution quantique, là où la matrice carrée à dix dimensions de base de ce noyau, formule l’unification des forces fondamentales nécessaires au développement des rugosités évolutives du monde sensible. 

A suivre…EDDAAL.A

La grande théorie, EDDAAL.A, article 501, 18.10.2024, supersymetrie.centerblog.net 

Le générateur des ingrédients de base de la matière

Publié le 03/10/2024 à 22:20 par supersymetrie Tags : centerblog accelerateur generateur particule noyau
Le générateur des ingrédients de base de la matière

Un authentique accélérateur des particules élémentaires

Si nous nous référons attentivement à nos articles précédents, et si nous assimilons la signification exacte de la transcription géométrique du corps topologique de la droite réelle dans une nouvelle version dite, matricielle carrée à dix dimensions de base, nous allons nous rendre compte d’un exploit mathématique fabuleux. C’est que, ce que nous appelons par la géométrisation synthétique du noyau générateur de l’ensemble des entiers naturels, serait en vérité, l’idée promotrice d’un authentique accélérateur, d’ordre vectoriel, qui balaye méthodiquement l’aire du corps topologique de la droite réelle en strates ondulatoires cumulatives, développant un espace vectoriel complet, normé et borné, qui simule la configuration des spectres cinétiques de la gamme complète des ingrédients de base de la matière, que nous appelons tout simplement, le modèle standard de la physique quantique. Mais la particularité singulière et extraordinaire de ce nouveau modèle, d’ordre numérique, c’est qu’il ne se limite pas dans ses interprétations à la physique quantique, car il étale aussi ses exploits aux dimensions gravitationnelles de la relativité générale. En vérité, ce modèle simule les transformations harmonieuses d’une onde gravitationnelle dite primordiale qui, par enroulement, rotation et translation, itératives, finit par se dissiper en fluctuations du vide quantique, un réservoir, dont émane l’énergie nécessaire au développement, et à l’entretient des rugosités évolutives du monde sensible. A suivre….EDDAAL.A

La grande théorie, EDDAAL.A, article 500, 03.10.2024, supersymetrie.centerblog.net

Le langage unifié des sciences fondamentales.

Publié le 19/09/2024 à 19:28 par supersymetrie Tags : centerblog base monde voyage article matiere masse
Le langage unifié des sciences fondamentales.

L’esprit géométrique de l’enceinte de notre univers

 

Les sciences fondamentales ont actuellement tendance à unifier l’abstraction de leurs langages dans un concept, ayant trait commun avec l’essence géométrique dont émanent toutes les intelligibilités physiques ou morales de la nature. Ce concept, a pour but de déduire la logique de notre raisonnement ainsi que le sens original des constantes universelles, à partir de la configuration géométrique fondamentale de l’enceinte de notre univers, et de faire des mesures expérimentales, une justification et non plus une raison des principes qui régissent la complétude fonctionnelle de notre univers. L’esprit géométrique de notre univers serait tout simplement le fruit d’un aggloméra de brins d’énergies, qui se déploient et se raccordent dans un ordre gravitationnel cumulatif, qui fluctue entre les deux bouts extrêmes de l’enceinte de notre univers.

 La géométrie de l’espace-temps à quatre dimensions, bute actuellement, contre les limites qui la séparent des dimensions profondément exquises dont elle émerge. La topologie segmentaire et dynamique du noyau générateur de l’ensemble des entiers naturels, est un outil fondamental, qui nous initie à réaliser le parcours aller-retours, sans obstacle et sans paradoxe, entre les deux bouts extrêmes de l’enceinte de notre univers. Ce voyage topologique harmonieux, nous permet d’élucider le fameux seuil critique de transition qui fait basculer un monde gravitationnel pur, atemporel et sans masse, vers un monde de supergravité quantique où se performent les interactions fondamentales nécessaires au développement des forces qui régissent la complétude fonctionnelle de notre univers, et par conséquent, la mise en valeur de l’ordre chronologique dans lequel se déroulent les rugosités évolutives et massives des phénomènes naturels. Les forces en question, sont théoriquement générées par les nœuds agencés des performances extrêmement délicates de la résolution géométrique du corps topologique de la droite réelle, dans une nouvelle version dite, matricielle carrée à dix dimensions de base. Celle-ci, projette un diagramme synthétique qui incarne l’histoire cinétique de la gamme complète des ingrédients de base de la matière et leurs interactions, dans un ordre en synchronie avec les spectres sensibles de la lumière.  A suivre….     EDDAAL.A

La grande théorie, EDDAAL.A, article 499, 19.09.2024, supersymetrie.centerblog.net 

LA THEORIE DES CORDES, en quelques mots

Publié le 06/09/2024 à 17:25 par supersymetrie Tags : centerblog corde supercorde supersymetrie complexe
LA THEORIE DES CORDES, en quelques mots

LA SUPERCORDE

 

La définition que nous allons donner à la théorie des cordes, est une définition qui émane d’un nouveau paradigme fondé sur les dimensions géométriques profondes dont émerge le corps topologique de la droite réelle. Mais cette définition, dans sa composition, finit inopinément par rejoindre les principes originaux de la théorie des cordes comme elle a été décrite et conçu depuis sa découverte. Ce qui est nouveau alors, c’est que les fondements de cette théorie seront beaucoup plus opportuns et raisonnables.

La théorie des cordes, est apriori un concept mathématique d’ordre géométrique pur, qui simule les ingrédients de base de la matière, à des brins d’énergies qui vibrent tout en cumulant les raccords synchrones, de leurs rythmes et leurs fréquences, dans un ordre dicté par la suite segmentaire logique, dite géométrique, du noyau générateur de l’ensemble des entiers naturels. Créant ainsi par homologie, un espace vectoriel complet, normé et borné à dix dimensions de base, que nous appelons tout simplement, la supercorde. Cette supercorde, se présente finalement sous forme d’une droite complexe, dynamique et supersymétrique, ayant le pouvoir de se modeler et de se remodeler sous l’égide des transformations cinétique spectrales profondes du vide quantique.

L’intérêt de cette définition très restreinte de la théorie des cordes, c’est qu’elle puise ses fondements de l’universalité de la résolution géométriques du corps topologique de la droite réelle dans une nouvelle version dite, matricielle carrée à dix dimensions de base. Le but de cette définition, ce n’est pas la mise au point ou la découverte des principes de la supercorde en elle-même, mais c’est la façon ou la méthode qui permet de transformer le corps topologique de la droite réelle classique en un espace fonctionnel complet, susceptible par son pouvoir logique et universelle, d’affirmer ou d’infirmer la véracité de toute théorie spéculative à visée unificatrices des forces fondamentales de la nature, notamment, la théorie de la gravitation quantique à boucles(Lee smolin, Carlo Rovelli), la théorie des twitteurs(Roger Penrose), la théorie de la géométrie non commutative(Alain Connes), et finalement la théorie des supercordes. Avec la lecture analytique conclusive du corps topologique de la droite réelle dans sa nouvelle version, matricielle carrée à dix dimensions de base, les théories en question seront épargnées de justifications expérimentales, car elles découlent dans leur raisonnement profond, de la logique suprême et inébranlable de la géométrisation du noyau générateur de l’ensemble des entiers naturels.

 Nous voilà donc, devant un nouveau paradigme qui réveille en nous, l’essence même, de la causalité primitive à l’origine d’un sorte de chiquenaude, qui aurait ébranlé le silence d’une onde gravitationnelle primordiale, qui par rotations, enroulements et translations, successives et en saccades, finit par imager la version matricielle carre a dix dimensions de base du corps topologique de la droite réelle, autrement dit, géométriser la complétude fonctionnelle de notre univers… A suivre  EDDAAL.A

La grande théorie, EDDAAL.A, article 498, 06.09.2024, supersymetrie.centerblog.net