THEORIE

Un langage mathématique du premier ordre, ce sont des expressions bien construites, sans ambigüité et sans paradoxes qui mènent à des aboutissements que la raison admet comme des axiomes générateurs de nouvelles méthodes qui préparent le terrain à de nouveau théorèmes et de nouvelles définitions qui perfectionnent les théories acquises sans anéantir leur sens fondamental. Autrement dit, si on arrive à édifier un système mathématique formel du premier ordre qui serait en mesure de générer de nouvelles dimensions systémiques sans enfreindre le principe de causalité dont il est issu, cela nous mènera de proche en proche, et sans aucun doute vers une théorie unificatrice du raisonnement mathématique, sur laquelle se rapporteraient toutes les intelligibilités physiques ou morales de la nature.

Si les mathématiques cherchent à établir une théorie formelle et complète, sur laquelle se rapporteraient sans paradoxes toutes les vérités axiomatiques acquises, dans un ordre bien précis et consistant structurant les raisons fondamentales du corps topologique de la droite réelle, les physiciens eux cherchent à établir une sorte de cartographie numérique, ayant pour but d’identifier et de suivre le principe de causalité qui régie le déploiement de l’arbre généalogique des ingrédients de base de la matière. Entre ces deux perspectives, émerge un nouveau paradigme d’ordre géométrique à visée unificateur, qui tend à mettre à cheval les caractères cinétiques des ingrédients de base de la matière sur les intelligibilités algébriques de l’ordre logique des entiers naturels, créant ainsi une sorte de model  qui serait l’étalon géométrique de l’ordre logique des entiers naturels sur lequel se rapporterait la structure numérique du champs unifié des fluctuations ondulatoires du vide quantique. C’est ça l’ébauche intuitive de la théorie du tout que nous essayerons de développer dans nos articles prochains. EDDAAL.A