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Publié le 20/03/2025 à 22:02 par bourbaky

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Publié le 20/03/2025 à 21:53 par bourbaky

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Publié le 20/03/2025 à 19:56 par bourbaky

temoignage

Publié le 20/03/2025 à 15:37 par bourbaky
Eli Sharabi à l’ONU:  »Où était la Croix Rouge? A Gaza, personne ne m’a aidé »
 

L’ex-otage Eli Sharabi est en ce moment à New York pour témoigner devant le Conseil de sécurité de l’ONU. Eli Sharabi  a été libéré, considérablement amaigri et affaibli après 491 jours de captivité. A son retour, il a appris que son épouse et ses deux filles avaient été assassinées le 7 octobre.

 

 

Cet après-midi (jeudi) il a fait une déclaration à la presse, au cours de laquelle il a partagé les jours difficiles qu’il a passés en captivité et appelé les dirigeants du monde à agir pour libérer tous les otages détenus par le Hamas à Gaza.

 

 

« Je m’appelle Eli Sharabi et j’ai 53 ans. J’ai survécu à l’enfer. Je suis revenu et j’ai survécu pour raconter mon histoire.

 

Pendant 491 jours, j’ai été retenu sous terre, dans les tunnels terroristes du Hamas – enchaîné, affamé, battu, humilié. Les chaînes qui me retenaient m’ont déchiré la peau dès le moment où j’ai été enlevé jusqu’à celui où j’ai été libéré. On m’a traité pire qu’un animal.

 

 

 

Je devais supplier pour obtenir de la nourriture et de la pitié. Supplier était devenu mon existence même », a raconté Sharabi.

 

 

Il s’est interrogé : « Où était la Croix-Rouge quand nous avions besoin d’elle ?

 

Où était l’ONU ? 491 jours de souffrance et personne n’est venu. Personne à Gaza ne m’a aidé. Les civils nous voyaient souffrir et ils acclamaient les terroristes. Il n’existe pas de ‘non impliqués’. »

 

 

« Je suis ici aujourd’hui parce que j’ai survécu. Mais survivre ne suffit pas. Pas quand 59 otages sont encore dans les tunnels du Hamas à Gaza.

 

J’ai été libéré il y a moins de six semaines et je suis venu ici, à l’ONU, avec un message simple : ramenez tout le monde à la maison », a-t-il lancé.

 

 

L’ambassadeur d’Israël auprès de l’ONU, Danny Danon, a ajouté : « Pendant trop longtemps, l’ONU et le Conseil de sécurité ont détourné le regard.

 

 

Nous ne nous tairons pas et nous continuerons à révéler la vérité. Eli Sharabi est ici aujourd’hui parce qu’il a survécu. Il est ici pour regarder dans les yeux ceux qui sont restés silencieux et leur rappeler les otages qui sont toujours en captivité entre les mains du Hamas. Le monde entendra son histoire.

 

 

Et le monde devra choisir – se tenir aux côtés des otages et lutter pour les valeurs de justice et de moralité, ou se ranger du côté des terroristes, d’une organisation meurtrière ».

 

 

La vice-ambassadrice des États-Unis à l’ONU, Dorothy Shea, a déclaré: « le témoignage difficile d’Eli Sharabi est important, il offre au Conseil de sécurité une perspective réelle et nous rappelle à tous comment le Hamas a déclenché cette guerre le 7 octobre 2023 avec son attaque terroriste brutale, au cours de laquelle plus de 250 personnes ont été enlevées.

 

Il est essentiel pour le Conseil d’entendre directement les otages revenus de la captivité du Hamas. Ce sont des témoins et des survivants, dont les récits apportent la preuve de la barbarie du Hamas.

 

Le président Trump a été clair : le Hamas doit libérer immédiatement les 59 otages restants – y compris les citoyens américains Idan Alexander, Itay Chen, Yehudit Weinstein, Gad Haggai et Omer Neutra – ou en payer le prix fort.

 

Les États-Unis continuent de se tenir aux côtés d’Israël alors qu’ils se défendent et œuvrent pour assurer la libération de tous les otages détenus par le Hamas », a-t-elle conclu.

 



LES JUIFS EN ALGERIE

Publié le 20/03/2025 à 12:18 par bourbaky
Algérie : le massacre des juifs à l’indépendance, une histoire interdite-Par Karim Serraj

Chronique -Derrière les discours officiels sur une guerre d’indépendance « héroïque » se cache une vérité longtemps occultée : l’Algérie a été le théâtre entre 1954 et 1963 du plus grand massacre de juifs de l’après-guerre. Une persécution méthodique, menée par le FLN et l’ALN, que le régime d’Alger refuse encore aujourd’hui d’admettre, mais que les historiens ont documentée.

L’Algérie a été le théâtre du plus vaste et barbare massacre de juifs de l’après-Seconde Guerre mondiale, perpétré froidement entre 1954 et 1963 par l’armée algérienne, avec la complicité d’une partie de la société. Entre 1.000 et 2.000 Algériens de confession juive ont été brûlés, émasculés, exécutés, parfois en groupe ou en famille, ou portés disparus. Et cela a duré jusqu’après l’indépendance. Ces exactions ont été rigoureusement documentées en 2015, dans un ouvrage collectif initié par une douzaine de chercheurs universitaires : « Les Juifs d’Algérie : une histoire de ruptures » (Presses universitaires de Provence). Leurs conclusions font froid au dos.

 

 

Le FLN et les juifs

Cette dynamique s’installa, selon les auteurs, « dès le moment où le Front de libération nationale (FLN) prit la direction du mouvement indépendantiste en l’entraînant tout à fait consciemment dans une direction de ségrégation ethnique, fondée sur une violence sélective ciblant les petites gens ». Tout au long de la guerre d’Algérie, des juifs sont visés explicitement en raison de leur identité religieuse : « chacune des sept années de la guerre, les juifs furent ciblés en tant que juifs. »

 

 

Sans être exhaustif, voici un aperçu de l’horreur : en août 1955, plusieurs familles juives sont exterminées à Philippeville (aujourd’hui Skikda) et Constantine « aux cris de ‘Djihad fi sabilillah’ (Djihad pour la cause de Dieu) » et aussi de « Nkatlou Yahoud (Tuons les juifs) ». Des femmes et enfants sont tués avec une extrême cruauté et des commerçants comme les frères Bittoun « disparaissent » sans que leurs corps soient retrouvés.

 

 

La voiture des Benchetrit est arrêtée, avec ses cinq occupants, dont trois enfants, « égorgés et achevés à coups de hache en quelques minutes », comme la maman. Le père, lui, sera castré et étouffé avec ses chairs. Des synagogues sont brûlées et les rabbins attaqués, des médecins, des bouchers, des femmes au foyer sont éliminés cruellement.

 

Personne n’est à l’abri. Au total, « environ 130 civils périssent, en quelques jours, lors de ces pogroms coordonnés du Nord-Constantinois ». Cela se passe le plus souvent dans la rue et en plein jour.

 

 

 

Le FLN va multiplier les attaques contre des cibles juives : 1956 voit l’assassinat à Alger d’Émile Atlan (héros juif de la Seconde Guerre mondiale) et du doyen de la communauté de Constantine, Jacob Choukroun. Des « grenades contre des cafés juifs » sèment la terreur à Tlemcen, Constantine et Alger. En novembre, « une bombe explose au domicile du rabbin Isaac Aziza : tué avec trois autres personnes de sa famille. »

 

 

En 1957 de nouveaux attentats frappent la communauté : à Nédroma encore, sept juifs (dont trois enfants) sont tués en janvier ; en mars le rabbin Jacob Chekroun est assassiné près de la synagogue de Médéa ; en mai des grenades explosent dans le quartier juif de Constantine, faisant plusieurs blessés dans un marché, et à Alger un commerçant juif, David Chiche, est arrosé d’essence et immolé sur une avenue fréquentée. En juin 9 morts et 85 blessés dans le dancing de la Corniche « fréquenté surtout par la jeunesse juive de Bab El Oued ».

 

 

À Alger encore, la station d’essence Lévy explose en août. À Oran, le docteur Cohen est tué et « très populaire dans le quartier arabe de la ville nouvelle, le FLN dira que c’était une erreur… », ironisent les auteurs.

 

 

 

En 1958-1959, des synagogues du Sud algérien sont visées : à Boghari une grenade lancée pendant l’office fait des morts et onze blessés, et à Bou Saada, la veille de Yom Kippour, la fillette du rabbin est tuée par une bombe.

 

En 1960, « des manifestations sont dirigées par le FLN dans plusieurs villes d’Algérie » et «la grande synagogue de la Casbah d’Alger prise d’assaut est saccagée aux cris de “Mort aux juifs” ».

 

Des croix gammées sont dessinées sur les murs, les Rouleaux de la Loi profanés et le drapeau indépendantiste vert-blanc-rouge substitué en leur lieu et place. En 1961, à Constantine, un célèbre musicien, Raymond Leyris est assassiné en plein marché. Le cimetière juif est profané le jour de la nouvelle année juive ; Henri Choukroun, coiffeur ambulant, est poignardé à mort, alors qu’il se rend à la synagogue avec ses enfants.

 

 

On pourrait multiplier les exemples. Ces violences arbitraires expliquent en grande partie la peur existentielle qui saisit les juifs d’Algérie à l’approche de l’indépendance. Les massacres planifiés vont provoquer un exode massif vers la France avant son avènement. Mais le pire était à venir.

 

 

 

L’apogée de la violence : Boumediene, c’est « l’apothéose des massacres »

 

 

 

L’implication, à partir de 1962, de Houari Boumediene, qui devient l’homme fort du pays, est fortement soulevée par les auteurs. Selon eux «la logistique mise en œuvre implique une organisation et l’implication de l’ALN de Boumediene et du FLN local ».

 

Néanmoins, ajoutent-ils, on ne « saurait occulter la collaboration active de la foule déchaînée et encouragée à “finir le travail” ». Ce ciblage des juifs durant la fausse « guerre de libération » dessine parfaitement les contours de la stratégie ethnique d’épuration des nationalistes indépendants.

 

 

 

La période suivant le cessez-le-feu (mars-juillet 1962) fut particulièrement propice aux kidnappings : les sources comptabilisent plusieurs centaines de disparus, colons français et juifs confondus, pendant ces quinze semaines de transition vers l’indépendance. Ces victimes n’ont jamais été retrouvées et sont présumées mortes, enterrées dans les fosses clandestines du FLN.

 

Mais le plus grave épisode survient juste après cette trêve : « L’apothéose est le massacre de très grande ampleur du 5 juillet 1962 à Oran, le jour même de la célébration de l’Indépendance, 700 morts et disparus officiellement recensés. »

 

 

Ce jour-là, en l’espace de quelques heures, des émeutiers armés de la wilaya FLN locale et des éléments de l’ALN envahissent les quartiers juifs, attaquant systématiquement les civils. Parmi eux, de nombreuses femmes. « Des familles juives entières disparaissent ce jour-là dans le chaos », selon l’ouvrage.

 

 

Dans les semaines qui suivent ce massacre, l’ensemble, presque, des juifs quittent précipitamment le sol algérien. Ce massacre accompli avec la bénédiction de Boumediene « peut être considéré comme un message » ferme de l’armée militaire. Des 150.000 juifs, en 1954, il n’en restera, en 1963, que quelques dizaines dans le pays, la plupart ayant choisi «la valise » plutôt que « le cercueil ».

 

 

L’héritage (forclos) des juifs dans la mémoire algérienne



TSEDEK-TSEDEK

Publié le 20/03/2025 à 11:07 par bourbaky
L’Etat s’engage à attribuer le statut d’invalide à 100 % aux ex-otages sans condition
 

Le ministère de la Défense, l’Institut national d’assurance et l’Administration des personnes enlevées ont annoncé aujourd’hui jeudi un changement majeur dans la prise en charge des ex-otages libérés de Gaza.

 

Face aux critiques concernant le manque de soutien des pouvoirs publics, qui a poussé certains proches à lancer des cagnottes pour aider financièrement les otages, les autorités ont décidé d’accorder automatiquement à chaque personne revenue de captivité le même statut que celui des soldats handicapés de Tsahal et des victimes civiles des hostilités.

 

 

Cette mesure exceptionnelle garantira à tous les ex-otages une reconnaissance d’invalidité à 100% conformément à la loi, sans qu’ils aient à comparaître devant une commission médicale. Une décision qui vise à leur épargner des démarches administratives lourdes et potentiellement traumatisantes.

 

 

La reconnaissance, accordée à vie, comprend un ensemble complet de droits et avantages couvrant de nombreux aspects:

 

 

  • Soins de santé mentale et physique sans limite de temps et intégralement pris en charge par l’État
  • Aide à la réinsertion professionnelle
  • Financement de différents types d’études
  • Assistance au logement
  • Participation aux frais de véhicule
  • Exonération fiscale totale
  • Nombreux autres droits complémentaires

 

Selon le communiqué conjoint des trois institutions, cette initiative répond à « une demande venue du terrain » et s’appuie sur « l’expérience de réadaptation et médicale accumulée ces derniers temps ».

 

Les autorités reconnaissent « la situation complexe et traumatisante » vécue par les ex-otages, avec « des effets de grande ampleur sur les plans physique, mental et fonctionnel ».



HISTORIA

Publié le 20/03/2025 à 10:35 par bourbaky
HISTORIA
Les « migrants » sub-sahariens sont en train de coloniser la Tunisie pour en faire leur base arrière pour la conquête de l’Europe.

 

 

Ce ne sont pas pas des damnés de la terre qui fuient la misère chez eux. Ils se comportent en pays conquis, des envahisseurs qui balaient tout sur leur passage. Ils sont en train de transformer son paysage urbain et tout particulièrement sa façade maritime, où des villages africains poussent comme des champignons. Ils se promènent dans les rues du pays armés de machettes et de couteaux narguant ses forces de sécurité et et terrorisant sa population.

 

 

Si la Tunisie tombe, c’en sera fini de l’Europe. Que peut-on faire demain contre une armée de plusieurs millions d’hommes voire des dizaines de millions ?

 

 

La Tunisie risque de disparaître sous la pression des vagues migratoires qu’aucune digue ne saurait enrayer.

Un pan entier de cette Afrique dite blanche qui sert de zone tampon entre l’Afrique noire et l’Europe s’africanise à une vitesse vertigineuse.

 

 

L’Union Européenne ne semble pas prendre la mesure du péril démographique noir africain qui est tout aussi redoutable et dangereux que les périls islamiste et nucléaire russe.

TU VOIS LES ARABES ONT RENVOYE LES JUIFS ILS RECOLTENT LE SUB-SAHARA

je me souviens il y a 40 ans j'écoutais à midi une radio d'extreme droite et le presentateur avait invité un général et un historien pour débattre sur l'immigration 

 

 

le général: je ne comprends pas que viennent faire ces gens ici.

ils ont leur pays.

 

alors l'historien: c'est le reflux de la colonisation.

 

regardez en angleterre: ils ont les pakistanais et les indiens.

 

nous avons les africains

 

alors le général d'un air gavroche: alors, on n'aurait jamais du les coloniser***

TROP-TARD



AHTUNG

Publié le 20/03/2025 à 10:33 par bourbaky
Le magasin Hypercacher de la porte de Vincennes ciblé par un incendie volontaire

Le magasin Hypercacher situé porte de Vincennes à Paris a été la cible d’un incendie volontaire dans la nuit de mercredi à jeudi.

Selon les images de vidéosurveillance, un individu a mis le feu à des containers placés devant l’entrée du commerce. L’incendie qui s’est propagé à la devanture du bâtiment a heureusement été rapidement maîtrisé par le pompiers.

BAGAGEONS

Le parquet de Paris a ouvert une enquête pour pour dégradation volontaire par incendie.

C’est ce même magasin Hypercacher qui avait été le lieu d’une prise d’otages en janvier 2015, deux jours après l’attentat contre Charlie Hebdo.