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quand j'écoute ce texte de danielle camin-massabia u
je suis toujours aussi touché.ma mélodie ne doit pas êtr
Par lecompo, le 01.06.2024
quand j'écoute ce texte de danielle camin-massabia u
je suis toujours aussi touché.ma mélodie ne doit pas êt
Par lecompo, le 01.06.2024
jolie musique bravo jean-pierre et bravo jean-michel pour le texte
gros bisous http://patrici a93.centerblog
Par patricia93, le 17.04.2024
coucou jean pierre, cette chanson un peu triste mais qui ne manque pas d'énergie ( que le diable l'emporte !)
Par Anonyme, le 03.03.2024
une très jolie chanson
bravo à vous deux
gros bisous jean-pierre http://patrici a93.centerblog .net
Par patricia93, le 24.11.2023
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Date de création : 16.07.2006
Dernière mise à jour :
03.10.2023
166 articles
TU SAIS PETITE
Ça vient… tu sais petite…
On ne sait jamais d’où
À peine viens-tu à naître…
Et déjà tu te couches
Dans le matin dressé
Quand le rêve se mouche
Dans son ventre d’hiver…
Dans la trace des loups
Quand l’automne se froisse au plus clair des saisons
Quand se fanent les fleurs dans le froid de tes yeux
Quand le rose voit rouge un amour diapason
Qu'un rêve t’abandonne où s’invente le bleu
Ça vient… tu sais petite…
On ne sait jamais d’où
À peine viens-tu à naître…
Et déjà les vautours
Planent, tournent et s’élancent
Au premier carrefour
Sous le fard d'un ange…
A la mort à l’amour
A t’offrir des lunes…
Un ciel aux alouettes
Dans leurs îles lointaines…
Enivrés de serrements
D’inédits de Van Gogh
Au soleil qui s’émiette
Où la fleur est du mal…
Un silence fait d’argent
Dans un gris cathédral…
Fait de dômes et de voûtes
Dans un lit jamais fait…
En vitrine en tes rêves
Où les dés sont jetés
A chaque heure de ta route
Comme un dieu de hasard…
Dans un ciel qui crève
Quand l’automne se froisse au plus clair des saisons
Quand se fanent les fleurs dans le froid de tes yeux
Quand le rose voit rouge un amour diapason
Qu'un rêve t’abandonne où s’invente le bleu
Puis un jour petite…
Tu pars on ne sait où
C’est à peine qu’on t’aime…
Et déjà tu te couches
Dans le matin dressé
Quand la mort se mouche
Dans son ventre d'hiver…
Au parking des cailloux
paroles Jacques GOURVENNEC
virgule@neuf.fr
site
[url]http://poetesaletype.new.fr[/url]
musique Jean-Pierre LOMBARD
courriel
lombardjp4@orange.fr
Jean-Michel ROVELLI au piano.
Tu penses à qui ?
Tu penses à quoi ?
Quand tu t’en vas te fabriquer des mondes
L’éternité couchée dans tes petits papiers
Tu penses à qui, lorsque tu penses ?
Aux promesses exhumées
Aux paroles qu’on enterre ?
Au faux dieu pour prier
Qui se prend pour ton père ?
La tendresse exilée
Sur des airs de routine ?
Aux mimiques du temps
Dans ses heures assassines ?
Tu penses à qui… ?
Tu penses à quoi ?
À ta vie bétonnée
Au chagrin qu’on devine
A ces voix emmurées
Dans le fer des usines
Tu penses à qui… ?
Tu penses à quoi ?
Quand tu t’en vas ?
Avec un rêve au chaud
A la nuit pour la rime
Les mots déshabillés
D'un poème indécis
Ses voix pour t'attacher
Le cœur en stéréo
Le temps de tes vingt ans
Battant mille musiques
Tu penses à qui ?
Tu penses à quoi ?
Ses mains imaginées
Ses bras pour te hisser
Le coeur éthériser
Des essences exotiques
Tu penses à qui ?
Tu penses à quoi...
Quand je te pense un peu
Juste à coté de moi ?
Aux fleurs à inventer
Les nuits désordonnées
Quand poussent dans mon vers
Tes prochaines folies
Tu penses à qui ?
Tu penses à quoi ?
Paroles : Jacques GOURVENNEC
virgule@neuf.fr
[url]http://poetesaletype.new.fr[/url]
Musique : Jean-Pierre LOMBARD
lombardjp4@orange
Tout ce qui ne se dit pas
La nuit cambrée de tes folies
Le jardin clos de nos je t’aime
Le poivre blanc où je me plie
Et… Tout ce qui ne se dit pas
Tes lèvres ouvertes d’où j’émigre
A l’autre bout de tes pensées
Nos pôles au sud en tête à tête
A l’indécence des idées
Ta symphonie qui me rappelle
L’autre rivage sous ta voix
A mes délires à tes pluriels
Dans un voyage au long de toi
Ce souffle tendre où je m’enlise
L’aigre douceur dont tu te pares
Quand ton vin m’italianise
Quand tout s’allume sous ton fard
Ton alphabet quand tu m'emmènes
Les mots mouillés qui m’acheminent
Au temple chaud de nos haleines
Au figuré comme une rime
Mon Alpe blanche Mon altitude
Où je me penche à l’infini…
Le point virgule de tes hanches
Ta vérité comme l’on dit
Des mots voyant de ta lumière
Qui ne sont pas au dictionnaire
Et… Tout ce qui ne ce dit pas
Et de ton rouge sidéral
Ses profondeurs où tu te mires
Ta barque aux flaques hormonales
Où sombrent au soir des délires
Outre le rêve qui t’incarne
Comme une épreuve qui s’immisce
A ton berceau teinté d’arcanne
La fleur au secret d’un calice
Ce rouge au blanc qui va croissant
Croissant de roux de lune en lune
Aux sources rares au ras des sangs
La corde au mât de ta lagune
Teintée de l’onde où va dormant
Comme un péché sous la dentelle
Aux pierres froides où va longtemps
Une habitude menstruelle
Vingt déjà riche de rose
Ce jour aux jours à l’amertume
Le temps de nos métamorphoses
Comme l’époque se consume
De fille en femme
Dans tes carnets
D’orbes infâmes lassée livide
L’ex jeunesse médicinée …
A ses effets d’éphéméride
Et….tout ce qui ne se dit pas
Mes yeux cachés comme une ride
Qui ne regardent plus que toi.
Texte: Jacques Gourvennec. http://poetesaletype.new.fr
Musique: Lombard Jean-Pierre
œuvre de Marie-Hélène Nocent
Tout ce qui ne se dit pas
La nuit cambrée de tes folies
Le jardin clos de nos je t’aime
Le poivre blanc où je me plie
Et… Tout ce qui ne se dit pas
Tes lèvres au vert d’où j’émigre
A l’autre bout de tes pensées
Nos pôles au sud en tête à tête
A l’indécence des idées
Ta symphonie qui me rappelle
L’autre rivage sous ta voix
A mes délires à tes pluriels
Dans un voyage au long de toi
Ce souffle tendre où je m’enlise
L’aigre douceur dont tu te pares
Quand ton vin m’italianise
Quand tout s’allume sous ton fard
Ton alphabet quand tu m'emmènes
Les mots mouillés qui m’acheminent
Au temple chaud de nos haleines
Au figuré comme une rime
Mon Alpe blanche
Mon altitude
Où je me penche à l’infini…
Le point virgule de tes hanches
Ta vérité comme l’on dit
Des mots voyant de ta lumière
Qui ne sont pas au dictionnaire
Et… Tout ce qui ne ce dit pas
Et de ton rouge sidéral
Ses profondeurs où tu te mires
Ta barque aux flaques hormonales
Où sombrent au soir des délires
Outre le rêve qui t’incarne
Comme une épreuve qui s’immisce
A ton berceau teinté d’arcanne
La fleur au secret d’un calice
Ce rouge au blanc qui va croissant
Croissant de roux de lune en lune
Aux sources rares au ras des sangs
La corde au mât de ta lagune
Teintée de l’onde où va dormant
Comme un péché sous la dentelle
Aux pierres froides où va longtemps
Une habitude menstruelle
Vingt déjà riche de rose
Ce jour aux jours à l’amertume
Le temps de nos métamorphoses
Comme l’époque se consume
De fille en femme
Dans tes carnets
D’orbes infâmes lassée livide
L’ex jeunesse médicinée …
A ses effets d’éphéméride
Et….tout ce qui ne se dit pas
Mes yeux cachés comme une ride
Qui ne regardent plus que toi
Texte: Jacques Gourvennec.
http://www.lulu.com/product/paperback/la-langue-de-statue/13212452
Musique: Lombard Jean-Pierre
Le juste nécessaire
De toi, j'inventerai le juste nécessaire
Tous les mots de l'absence
D'éphémères regrets
Des destins en retard une gorge qui tremble
Des paroles d'oiseaux que tu n'entendais pas
J'inventerai le vent qu'un matin me fredonne
Si le temps le permet si le cœur est bien là.
Comme un chat dans sa langue.
Comme un loup me ronronne.
Tous tes rêves d'enfant que tu ne me dis pas
Des matins de chasseur où le cœur est à prendre
Dans un piège à musique un geôlier dans ta voix.
Tout le souffle de l'eau d'un cheval aquatique
A ta lèvre où s'agrippe un murmure de toi.
Je serai sous ton pas l'invisible d'un ange
Des fanfares en treillis une armée sans combat
Ma guitare à minuit un théâtre exotique.
Tout de toi dans ma tête
Comme moi, comme toi ...
Au matin ranimé où s'en va ta blessure
Un bateau sur le sable aux voilures d'un drap
Un orage en hiver allumé à l'azur
Une source mouillée du brillant dans ta voix.
Puis quand rien n'ira plus comme un rêve s'en va
Je serai un poème en baiser sur ta bouche
Un sourire à tes veilles.
Au matin qui se couche.
L'infini d'un sommeil en prières de toi
En prières de toi ...
« Tiens encore un truc pour toi….. »Quel poème oui !
Allez vite sur le site de Jacques Gourvennec(Livre : "La Langue de Statue"... indispensable !!)
Texte: Jacques Gourvennec.
Musique :Jean-Pierre Lombard-lecompo.