Nom du blog :
infosivoire
Description du blog :
Catégorie :
Blog Actualité
Date de création :
24.02.2011
Dernière mise à jour :
30.01.2014
Accueil
Gérer mon blog
Créer un blog
Livre d'or infosivoire
Contactez-moi !
Faites passer mon Blog !
· DIEU N'A PAS ABANDONNE LA COTE D'IVOIRE
· LA COLERE DE DIEU SUR LA CRISE IVOIRIENNE
· LE MASSACRE DU MINISTRE DESIRE TAGRO
· LA COTE D'IVOIRE RENAÎTRA EN FORCE
· LA VRAIE BIOGRAPHIE DE NICOLAS SARKOZY
· Découpage administratif de Ouattara : « Nous sommes choqués
· Ce qui reste de la résidence de la mère de Gbagbo à Gnaliépa
· INVESTITURE D'ALASSANE OUATTARA
· Awa Ehoura et Eloï Oulaï dans le couloir de la mort
· LA DELIVRANCE DE LA COTE D'IVOIRE N'EST PLUS
· LES DERNIERES NOUVELLES DU PRESIDENT GBAGBO
· Crime crapuleux à Bonoua
· Le règne de M OUATTARA
· Crise scolaire et universitaire au Burkina Faso
· LES CONFIDENCES DE HOUPHOUET BOIGNY
homme image blog belle 2010 chez france homme monde mort dieu annonce carte afrique éléments animal citation chez
Derniers commentairesl'assistenza finanziaria alle persone in difficoltà
buongiorno,
siete un dirigente aziendale, un padre d
Par Anonyme, le 22.04.2024
ciao hai bisogno di finanziamenti per la tua casa, per la tua attività, per l'acquisto di auto per la creazion
Par accardi, le 13.07.2020
nous contacter
hib alancecc@proto nmail.com
nous sommes de vieux cardeurs et expérimentés , nous avons
Par hi+balance+cc+sell, le 24.04.2017
pequeña oferta de crédito, en particular, en italia, seria y honesta: credito.locali .veloce@gmail. com
Par credto.locali, le 27.03.2017
la cote d'ivoire doit battre sa propre monnaie.l'inde pendance politique n'de sense que lorsqu'elle est accomp
Par mohammed kane, le 25.03.2017
Laurent Gbagbo devant la juge argentine, Sylvia Fernandez de Gurmendi, à sa première comparution devant la Cour pénale internationale. Un spectacle qui laisse interdit, incrédule. Tant le surréalisme révolte et la conspiration donne à vomir. Sentiments contradictoires, ambivalents, empreints à la fois de la joie de revoir, pour la première fois depuis sept mois, le « Woody » national, de tristesse, de recueillement, parfois de colère et finalement de soulagement et d'espoir. Après la valse des émotions, l'analyse froide. Tout bien considéré, c'est la meilleure chose que nous puissions espérer.
En effet, l'on ne pouvait qu'être habité de cette conviction intime à la vue d'un Laurent Gbagbo, certes amaigri et quelque diminué physiquement, mais qui a gardé la pugnacité légendaire que nous lui connaissions, ici, sur les bords de la Lagune Ebrié, depuis qu'il est en politique.
D'entrée de jeu, il annonce les couleurs en chargeant clairement et sans équivoque aucune la France et Alassane Ouattara. Ce qui laisse à tous une idée de ce que pourrait être la suite de ce transfèrement illégal, parti d'une arrestation illégale, suivie d'une déportation illégale, aggravée d'une détention illégale et couronnée d'une séance de jugement « volée » par le juge de l'application des peines, à Korhogo, ayant débouché sur un transfert inique et inqualifiable. Un véritable cas d'école qu'il faudra étudier dans les facultés de droit !
D'aucuns pourraient dire : « On ne revient jamais de la CPI. Gbagbo est fini ». Ce qui explique justement la joie - véritable énigme, il faut l'avouer - des militants du RHDP (pas tous, d'ailleurs), nostalgiques d'une époque antique, celle des esclavagistes et des colons qui cassent du noir et qui pillent impunément une Afrique riche et généreuse, malheureusement trop couarde et peu solidaire. Mais ils pourraient bien vite ravaler leur joie. Parce qu'en réalité, les choses ne font que commencer et ceux qui pensent avoir joué une belle carte pourraient bientôt se mordre le doigt jusqu'à l'os.
Nous en voulons pour preuve un certain nombre d'indices révélateurs. D'abord, cette déclaration sur TV5 Monde de l'avocat tunisien, Me Faouzzi Kamel Hamdaoui : « Le Président Gbagbo sera le premier homme politique à être acquitté par la CPI. Nous disposons d'un arsenal de preuves qui n'épargne personne tant en France qu'à travers le monde. En droit pénal, on appelle ces preuves PNRA. Je ne vois pas comment ce tribunal peut rendre un verdict autre que la relaxe du président Laurent Gbagbo, avant l'été 2012, dès la première audience. J'ai souhaité ce transfert; il était tant attendu. Le moment a sonné pour tous ceux qui ont soif de justice dans le monde. Des images et des écrits seront portés à leur connaissance pour (connaître) ce complot international ».
Nous le voyons, rien n'est gagné d'avance pour le camp Sarkozy-Ouattara. Ils ont peut-être réussi le tour de force - c'est le lieu de le dire ! - de déporter un autre africain à La Haye, au mépris de toutes les règles de droit, occasionnant ainsi un grave vice de procédure dans le transfèrement de l'ex-président ivoirien, mais celui-ci va immanquablement leur rester en travers de la gorge. Véritable animal politique au moral d'acier, ils ont véritablement à craindre Laurent Gbagbo. Non seulement pour sa combativité hors pair, mais aussi et surtout pour la mobilisation exceptionnelle et inédite que cette injustice criante à lui faite a engendrée chez tous les africains panafricanistes et chez tous les citoyens du monde, épris de justice et de vérité. Ce procès est donc sorti du domaine privé et personnel de Laurent Gbagbo pour se déporter sur la place publique et dans la cause commune, ralliant toutes les aspirations souverainistes, indépendantistes africaines et capitalisant les frustrations des peuples brimés et opprimés du continent noir, surtout après la « guerre humanitaire et démocratique » de Libye, menée par l'OTAN, qui a vu l'assassinat lâche du Guide libyen nationaliste et panafricaniste invétéré, Mouammar Kadhafi, et le coup d'Etat français en Côte d'Ivoire, dénoncé par le président Laurent Gbagbo à sa première comparution. En voulant mettre sous l'éteignoir un africain indocile, qui refuse de se plier au diktat de l'Occident et de la Françafrique, le trio infernal Sarkozy-Ouattara-Ocampo n'aura finalement réussi qu'à en faire une icône internationale, à l'image du célèbre prisonnier de l'Apartheid, Nelson Mandela.
Tous les ivoiriens et africains amoureux de la justice devraient s'en convaincre : il n'y a que de la mort et du séjour des morts que l'on ne revient pas. La CPI n'est justement et heureusement ni l'une ni l'autre. Il faut donc garder espoir et conserver un esprit incisif, combatif, à l'image de l'ex-président ivoirien. C'est désormais une affaire de procédures, d'argumentaires et de confrontation de preuves. En la matière, les avocats de Laurent Gbagbo sont plus qu'armés. Sûrement mieux outillés que l'adversaire. Si le Droit existe sur cette petite planète bleue, sur cette terre des hommes, alors aucun doute n'est permis : Laurent Gbagbo reviendra sur les bords de la Lagune Ebrié, en homme libre et blanchi. Ce sont même ses adversaires qui ont, au contraire, tout à craindre. Eux qui vont certainement prendre sa place dans les cellules des couloirs sinistres de la CPI, à Rotterdam.
Au chapitre des indices révélateurs de la conspiration politique contre l'ancien chef d'Etat ivoirien, il faut relever l'extrême rapidité de l'enquête menée en Côte d'Ivoire par le procureur Luis Moreno-Ocampo. Tant et si bien qu'elle est apparue invisible ! Comme le rapportait Le Nouveau Courrier, la semaine dernière, Christian Chartier, directeur du centre d'observation de la justice internationale, ancien porte-parole du Tribunal pénal international pour l'ex-Yougoslavie (TPIY), qu'on ne peut pas précisément accuser d'être un pro-Gbagbo, s'est indigné récemment sur RFI, la radio internationale française : « Ocampo aurait voulu faire en sorte que l'on comprenne que la justice internationale peut être instrumentalisée à des fins politiques qu'il n'aurait pas pu mieux faire... Cette enquête est d'une rapidité suspecte (commencée seulement le 3 octobre et bouclée en novembre. Un véritable record !) ».
Il a donc tout logiquement, en connaisseur de ce type de dossier, qualifié le mandat d'arrêt qui en est sorti « d'un vague extrêmement inquiétant ». Et pour cause : « Dans le mandat d'arrêt, on parle de violences contre des communautés ethniques et religieuses spécifiques sans pour autant les désigner. Il y a quand même des choses troublantes dans cette affaire et que je trouve extrêmement inquiétantes pour la CPI », a-t-il relevé. En clair, des charges contre Laurent Gbagbo mal qualifiées et dénotant d'un manque de professionnalisme déconcertant de la part d'un juriste du rang de l'argentin que seules ne peuvent expliquer que la mauvaise foi et l'imposture.
Les chefs d'accusation ont été, certes, faciles à formuler pour le Procureur Luis Moreno-Ocampo, mais une toute autre chose est de parvenir à les étayer. C'est là que les avocats du Président Gbagbo attendent de pied ferme ce procureur au service des grandes puissances, qui foulent au pied la justice pour satisfaire aux desiderata de « petits copains ».
Pire, Ocampo n'a pris l'attache ni de la division des droits de l'homme de l'ONUCI (incontournable dans le cas de figure) ni des magistrats envoyés en mission par la CPI (sa propre structure) sur le dossier ivoirien. Il s'est plutôt appuyé sur les investigations biaisées, maladroites, non professionnelles et forcément partisanes de la « Coalition pour la CPI » d'Ali Ouattara, en réalité un démembrement du RDR, le parti d'Alassane Ouattara. Quel crédit peut-on alors accorder à une telle association, si tant est qu'elle peut mener des investigations judiciaires, et à un tel homme de droit ?
Ces incongruités d'une rare énormité n'empêchent pas le procureur Ocampo de se fendre, dans un mandat d'arrêt loufoque, de chefs d'accusation tout aussi carnavalesques : « Au vu des éléments de preuve (quelles preuves ?), la Chambre conclut qu'il y a des motifs raisonnables de croire qu'au lendemain des élections présidentielles en Côte d'Ivoire, les forces pro-Gbagbo ont attaqué la population civile à Abidjan et dans l'Ouest du pays, à partir du 28 novembre 2010. Elles ont pris pour cible des civils qu'elles pensaient être des partisans d'Alassane Ouattara, et les attaques étaient souvent dirigées contre des communautés ethniques ou religieuses spécifiques (encore une fois, lesquelles ?) ». Or, il est clair pour tous que c'est le « Commando invisible » d'Ibrahim Coulibaly alias IB, partisan et chef de guerre d'Alassane Ouattara, et Soro Guillaume, depuis l'Hôtel du Golfe, qui ont commencé les hostilités et notamment les tueries à Abobo, après le deuxième tour de l'élection présidentielle du 28 novembre 2011. Qu'en est-il de leur citation ou de leur assignation devant la CPI ? Mutisme absolu !
Pour notre part, il n'y a rien à craindre pour le Président Laurent Gbagbo, même si la CPI est internationalement reconnue pour être particulièrement lente. Monsieur Christian Chartier le relève justement : « La CPI existe depuis dix ans et n'a pas rendu à ce jour un seul jugement ne serait-ce qu'en première instance ». Qu'à cela ne tienne, les meneurs de la lutte pour la libération de Laurent Gbagbo et pour le triomphe de la vérité et de la justice devront s'armer de courage et de détermination pour le faire relaxer, avec des preuves inattaquables qui vont renverser la vapeur. Bientôt, la peur va changer de camp. Un Nicolas Sarkozy empêtré dans l'écheveau de la crise financière européenne, à la remorque de l'Allemagne de la Chancelière Angela Merkel pour un salut problématique et un Alassane Ouattara qui devra redouter comme la peste que la défense de Laurent Gbagbo parvienne à fournir toutes les preuves de la guerre qu'il a livré à Laurent Gbagbo depuis le 19 septembre 2002 et qui a été couronnée, en 2011, par le massacre d'un milliers d'Ivoiriens à Duékoué. Et nous verrons bien qui sera gardé à la CPI pour le reste de ses jours.
Vu la maladresse avec laquelle Ouattara gouverne la Côte d'Ivoire et mène la réconciliation nationale, un changement du rapport de force n'est plus à exclure en Côte d'Ivoire. Et même en France où Nicolas Sarkozy est bien loin d'être assuré d'une victoire à la présidentielle de 2012. Cette inversion des polarités pourrait radicalement changer toutes les donnes et nous offrir un théâtre international et un décor national des plus inattendus. Face le Souverain que la vérité sur le dossier ivoirien éclate. à la face du monde.
Que DIEU bénisse la Côte d'Ivoire!
Nicolas Sarkozy témoin de Ouattara lors de son mariage a bien voulu
aidé son ami a prendre le pouvoir en Cote d'ivoire pour lui permettre
de piller aisement nos ressources a chaquefois qu'il en aura besoin
pour boucler ses budgets annuels.Mr Allassan Ouattara a toujour pris pour petexte les ethnies du nord pour son combat politique
devant tous ces adversaires tres affuté en politique comme le Woody sachant très bien qu'en occident les génocides
sont réprimandés.Il installe une milice appelé "commando invisible" a Abobo massacre les population et fais croire au monde
entier que c'est uniquement dans ce quartier que réside tous les
nordistes du pays c'est pourquoi Gbagbo a voulu les exterminés.Les
Blancs ne connaissant pas ce pays ne savent pas que les nordistes
sont nombreux dans tous les hameaux et toutes les villes du pays
et meme dans le village de Gbagbo.Si donc Gbagbo devais exterminé
les Dioulas ma fois il aurait pu commencé par ceux de son village.
Si ces Dioulas qui disent des contrevérités sur le net continuent
ils risquent d'attirer la colère de Dieu sur eux car si on
prétend etre de Lui on se garde alors de mentir pour se donné
raison et pour soutenir des personnes qui vous utilisent comme fond de commerce pour parvenir a leur fin quand bien il seraient vos frères.Merci