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Par cours-pour-le-plai, le 30.09.2023
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Par Anonyme, le 28.09.2023
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Par Anonyme, le 02.08.2022
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Date de création : 07.04.2017
Dernière mise à jour :
01.12.2024
418 articles
Je découvre une vraie préparation de 10 km. A croire que cela ne m'étais jamais arrivé.
Il faut dire que je me suis habitué à un rythme ces dernières années, qui consiste en deux fractionnés mardi et jeudi et une sortie longue le dimanche. J'ajoutais un puis deux puis trois joggings les lundi mercredi vendredi ou éventuellement ces derniers temps, en bi-quotidien de façon à m'accorder un jour de repos pour une activité de renforcement, de Pilate et parfois juste de la marche à pied ou du repos.
La sortie du dimanche c'était un peu l'aventure. J'ai découvert des parcours originaux et cela permettait de diversifier la semaine. Mais le souci c'est qu'elle devenait de plus en plus lourde. Parfois je courais 25 km ou plus. Je voulais être profilé pour des distances supérieures au 15 km, et en même temps découvrir des coins inconnus dans un périmètre raisonnable accessible en train, ou à vélo. C'est ainsi que je me suis orienté vers les trails courts (longs pour certains mais courts pour d'autres) comme celle dans la forêt de Montmorency, sa boue et ses 1200 mètres de dénivelé positif ou bien ce trail fort sympathique de 34 km près Meaux. Oui mais voilà tout ceci est bien beau, mais ne m'aide pas à courir plus vite.
Il est vrai qu'en trail ce n'est pas toujours déterminant pour le classement. Il faut gérer bien d'autres choses que le cardio, l'alimentation, l'hydratation, la préparation spécifique tel que l'accumulation de dénivelé positif ou la casse de fibre, se prémunir contre les douleurs par du renforcement, et pratiquer des sports croisés comme le vélo, pour allonger la durée des entrainements.
Je dirais que faire un trail ou deux dans l'année, cela peut être intéressant mais il faut selon moi revenir aux valeurs fondamentales de la course à pied qui reste la vitesse. Après je ne juge pas, chacun ressent les choses à sa manière mais pour ma part, j'ai besoin de travailler la vitesse toute l'année car c'est mon point faible. C'est dommage de ne pas être prêt le jour J vu le prix des courses. Et pour être prêt rien de tel qu'une bonne préparation hivernale avec des cross par exemple.
Sur un plan annuel, ce qui est bien à mon avis, est de travailler des allures soutenues et rapides de la période de septembre (voir août ) à février (je ne parle plus d'allure VMA car c'est un indice qui induit en erreur lors des séances de fractionné court et je crois que l'exploitation absurde de cet indicateur est cause de blessures nombreuses). A partir de février jusqu'à juillet c'est bien de se consacrer à des distances un peu plus longues, et ne pratiquer qu'une seule séance de type fractionné court par semaine. D'une manière générale il faut essayer de rendre un plan annuel plus attractif afin de ne pas rester dans une zone de confort. De plus ce travail axé sur un temps de pratique accru, s'il n'est pas facteur d'amélioration de la VMA, possède au moins le mérite de nous préparer à des semis, voir des marathons ou en trail à des distances équivalentes. En un mot c'est notre durabilité, notre Indice d'endurance qui s'en trouvera amélioré et pour mesurer ceci vous ne disposez pas d'instrument, sauf tests en labo, le seul paramètre sur lequel vous pourrez vous appuyer c'est votre kilométrage pendant la période considérée. Ce que j'appelle durabilité c'est notre capacité à maintenir un pourcentage élevé de notre allure pendant une compétition. Prenons deux coureurs, l'un avec une VMA à 16 et l'autre à 15. Si le premier court son 10 km à 83 % de sa VMA et le second à 89%, lequel finira premier ? Le premier courra à une moyenne de 13,28 km/h et le second qui parvient à mieux synthétiser l'utilisation de ses lactates à 13,35 km/h.
Mais en trail je me répète, cet indicateur, pas plus que la vitesse ne sont déterminants à eux seuls. L'économie de course et la gestion des douleurs et de la fatigue liées à la déshydratation, jouent un rôle clé surtout dans la dernière heure.
Mais lorsqu'on parle de trail, je ne fais pas allusion aux courses natures de moins de 21 km. Celles-ci se préparent comme un 10 ou un semi. Il faudra peut être ajouter un travail de côte.
Je disais donc plus haut que durant la première partie de la saison, se concentrer sur du 5 et 10 est une bonne chose car nous devrons axer nos séances sur des allures rapides qui nous permettront d'envisager la seconde partie de la saison, dès le printemps sur des distances supérieures. Pour ma part je ne viserai pas de marathon mais juste des semis. Je fais exclusion des 1500m et 3000m parce que c'est un domaine que je ne connais pas.
Quel intérêt pour moi de faire un marathon si un excellent coureur boucle le parcours en 2h40 alors que je vise 3h40, soit une heure de plus. Ce n'est plus vraiment la même course entre l'élite et le reste du peloton. Le mérite des derniers est d'autant plus grand mais il existe un effet de mode. Le marathon est une distance qui fait rêver mais si des gens visent 4h00 par exemple, se rendent-ils bien compte du sacrifice que cela représente s'ils courent d'habitude 5 heures chaque semaine ? Je pense qu'il vaut mieux viser les 10 heures de travail hebdomadaire et se préparer avec un plan de 12 semaines. C'est quelque chose qui ne me fait pas trop rêver car je sais l'investissement que cela implique. Mais je comprends que chacun relève ses propres défis.
Pour conclure je dirais qu'à mes yeux une bonne préparation, c'est 6 mois de travail sur des allures rapides, et les autres 6 mois, tout en conservant une bonne vitesse via du fractionné court une fois par semaine, axer sa préparation sur des courses un peu plus longues, lesquelles resteront selon le niveau du coureur inférieures à 2h30 (3 heures max), mais sûrement pas au-delà de 4 heures ce qui risquerait à mon sens de freiner la progression. Après c'est un avis, d'autres trouveront beaucoup de plaisir dans ce genre de courses et je les comprends, à chacun son dada. Et surtout tout dépend de l'objectif des uns et des autres
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