Agriculture - Pêche - Haute-Vienne

La récolte des pommes de l'appellation d'origine protégée Pomme du Limousin a débuté en Haute-Vienne et en Corrèze. 4.000 cueilleurs sont embauchés pour récolter entre 65 et 70.000 tonnes de pommes cette année.

La filière ovine, dont on parle beaucoup en ce moment à cause de la FCO, essaie toujours de séduire les jeunes. En Haute-Vienne, à Saint-Priest-Ligoure, la ferme expérimentale du Mourier, organise ce mercredi des portes-ouvertes.

On ne sait toujours pas si le centre d'engraissement de Peyrilhac verra ou non le jour. La préfecture de Haute-Vienne ouvre une enquête complémentaire avant de décider, car le projet de la société T'Rhéa a été modifié, suite à l'avis défavorable donné en juin dernier après l'enquête publique.

Le concours national de la race limousine s'ouvre ce vendredi matin à La Souterraine, dans la Creuse. Un événement important pour les éleveurs, qui ont plaisir à s'y retrouver, explique Jean-Marc Alibert, président de l'organisme France Limousin Sélection.

Un bovin a besoin en moyenne d'environ 70 litres d'eau par jour. L'abreuvement du bétail est donc un vrai défi pour les agriculteurs. Face aux épisodes de sécheresse à répétition, la Chambre d'Agriculture de la Haute-Vienne a lancé le projet Isabel avec le BRGM et présente les premiers résultats.

La chambre d'agriculture de Haute-Vienne organise ce mardi 10 septembre un Salon de l'eau à Saint-Mathieu pour parler des solutions innovantes mises en place sur les exploitations face au changement climatique. Illustration chez Patrice Jousse, éleveur de vaches laitières à Saint-Auvent.

La 61e foire nationale de reproducteurs ovins de Bellac en Haute-Vienne, prévue ce jeudi, est annulée. En cause : la multiplication en France des foyers de FCO, la fièvre catarrhale ovine. Entretien avec Jean-François Dubaud, le président de la Fédération départementale ovine de Haute-Vienne.

C'est un choc dans la filière, la 61e foire nationale de reproducteurs ovins de Bellac en Haute-Vienne, prévue ce jeudi 5 septembre, est annulée. En cause : la multiplication en France des foyers de FCO, la fièvre catarrhale ovine.

Certains agriculteurs de Haute-Vienne sont désemparés face aux dégâts causés par les grands gibiers sur leurs cultures. Malgré des battues organisées pour réguler la population de sangliers, la situation devient difficilement tenable témoigne un éleveur de Bessines-sur-Gartempe.

Ce mardi 27 août, au moins huit couples de cigognes blanches ont été aperçus sur les toits de la mairie de Limoges. Si la présence de ces oiseaux n'est pas rare en Limousin, les voir s'arrêter lors de leur périple migratoire reste inattendu.

Une campagne de vaccination ciblée a été lancée en urgence dans le nord de la France, où trois foyers d'un nouveau variant de fièvre catarrhale ovine sont désormais confirmés, dans les départements du Nord, de l’Aisne et des Ardennes. Une situation suivie de près par les éleveurs ovins du Limousin.

Chaussez vos bottes, on vous emmène à la pêche ! La fédération de la Haute-Vienne organise tout l'été des ateliers découverte en famille, pour apprendre aux enfants et aux parents à pêcher et aussi, resserrer les liens dans les familles.

Des éleveurs de la Coordination rurale promettent une prime de 1.000 euros pour toute personne qui tuera un loup. L'organisation accuse les animaux de s'en prendre aux troupeaux, mais l'espèce est protégée. L'association One Voice compte porter plainte.

Le printemps et le début d'été pluvieux ont des conséquences sur les cultures de Haute-Vienne. Les maraîchers voient leurs cultures détruites par le mildiou. À Rochechouart par exemple, l'un d'eux a perdu 50% de ses plants de pommes de terre, et une bonne partie de ses plants de tomates.

La Coordination rurale de la Haute-Vienne critique la politique de l'Office Français de la Biodiversité au sujet du loup. Le syndicat agricole dénonce, ce vendredi, une volonté de laisser le l'animal s'installer sur le territoire et propose une prime de 1.000 euros à toute personne tuant un loup.

La préfecture de la Haute-Vienne réagit après l'attaque d'un élevage de brebis à Bussière-Poitevine ce dimanche. Rien ne laisse à penser, selon la préfecture, que le loup est en cause comme a pu l'indiquer, par communiqué, la Coordination rurale.