Jacques Morin
S’il y a bien un constructeur qui mérite le titre de Maître du Mans, c’est Porsche. Des débuts faits de modestie aux premières victoires et à l’hégémonie dans les années 80, Porsche a marqué de son sceau l’épreuve mancelle. Fabrice Bourrigaud nous emmène sur la piste des 908 et autres 917...
Souvenez-vous : les 24 Heures sont créées pour éprouver la résistance des autos. Dès le début, la course est un laboratoire d’essais, vecteur d’améliorations que l’on retrouve ensuite sur les voitures de série. Les exemples ne manquent pas, du phare antibrouillard au carburant renouvelable.
Les courses auto ont inspiré les cinéastes, avec plus ou moins de bonheur. Le Mans ne fait pas exception, les duels mythiques des années 60 ont été la base de scénarios propices aux plus grands exploits projetés sur grand écran. Matt Damon et Steve McQueen aiguisent la curiosité des spectateurs.
Vexé par le refus de Ferrari de sa proposition d’achat, Henri Ford va tout faire pour battre les machines italiennes. Après deux tentatives infructueuses, la firme de Détroit s’impose à la fin des années 60, déstabilisant Ferrari. Le point d’orgue sera « la course du siècle » en 1967...
C'est le retour officiel de Ferrari dans la catégorie reine depuis 50 ans ! Une longue absence malgré l’histoire d’amour entre la firme italienne et les 24 Heures du Mans. Les victoires en GT ces dernières années ont aiguisé la soif des tifosi. Retour sur les belles années de la Scuderia en Sarthe.
Comment dissocier Le Mans des 24 Heures ? Depuis 100 ans, l’histoire de la ville, de la Sarthe est rythmée par le rendez-vous de juin. Emplois, retombées financières forment un héritage économique et culturel comme l’explique Fabrice Bourrigaud, Directeur du Musée des 24 Heures du Mans.
La superbe bataille du début d’épreuve entre Ferrari, Jaguar et Mercedes semblera bien anecdotique après 2h30 de course : la Mercedes de Pierre Levegh se désintègre et fauche des dizaines de spectateurs. On relèvera 82 morts : c’est la plus grande catastrophe du sport automobile.
C’est en 1949 que reprennent les 24 Heures du Mans après l’arrêt dû à la guerre. Si Ferrari s’impose d’abord, Jaguar ne tarde pas à suivre l’exemple de Bentley presque trente ans plus tôt. La firme britannique ne laisse que des miettes à Mercedes, Talbot et ses autres concurrents.
C’est un digne héritier du Mayennais Géo Ham , LE peintre de la vitesse. Mais lui est Sarthois. Depuis 1982, François Bruère dessine peint et sculpte même des voitures et des motos dans un style unique et reconnaissable. Peintre officiel des 24 Heures du Mans, il est d’abord un passionné.
Fin 1922, l’Automobile Club de l’Ouest et la ville du Mans souhaitent organiser et pérenniser un rendez-vous annuel et exceptionnel sur le Circuit de la Sarthe... Avec leurs partenaires, ils décident du principe d’une course d’endurance. Ils vont créer un concept unique !
Les 10 et 11 juin prochain se tiendra la 91ᵉ édition des 24 Heures du Mans. Elle sera exceptionnelle car cela fera 100 ans que la plus grande course automobile du monde est née.
Cette année, c’est le Centenaire des 24 Heures du Mans ! Pour fêter cet évènement, Jacques Morin vous propose de revenir sur l’histoire des 24 Heures tous les mercredis sur France Bleu Maine
La célébrité s’obtient non pas de la richesse de biens mais plutôt de la qualité du cœur et quelquefois de la mémoire.
Les pompiers sont intervenus dans la nuit du jeudi 12 au vendredi 13 mai à Château-Gontier-sur-Mayenne devant la gare pour un feu de voiture.
Moteur… action ! Mylène Demongeot nous fait son cinéma !
Moteur… action ! Découvrez les films tournés en Mayenne !
Retrouvez Il était une fois en Mayenne du lundi au vendredi à 9h13 et 16h10 et le week-end à 9h15 sur France Bleu Mayenne !
Ecoutez cette série sur France Bleu Mayenne pendant les vacances du lundi au vendredi à 9h25, 11h35 et 17h35 et le week-end à 8h45.