Chouchoutons notre famille !

Il faut choyer sa famille ! D’autant que le 15 mai est la journée internationale des familles et le 16 mai, celle du bien vivre ensemble ! J 

Il est vrai que la famille a été plutôt malmenée ces derniers mois !
 

Oui il y a eu beaucoup de défis à relever pour les familles, soumises pour beaucoup d’entre elles à un climat de tension perpétuel. Le vivre ensemble a été un objectif à relever au quotidien. Lorsque différentes générations vivent sous le même toit cela demande énormément de bienveillance. Il a fallu affronter les peurs, les interrogations des enfants et y répondre, il a fallu pallier pour les parents, le rôle des  professeurs des écoles. Il a fallu aussi pour certains les parents, travailler à la maison dans des conditions ne facilitant pas forcément la concentration…
 

Et pour certains il y a même eu des deuils
 

Oui et le deuil a été d’autant plus compliqué pour les familles. Elles n’ont pas pu accompagner leurs proches en fin de vie ou même les revoir. Alors cela montre combien, plus que jamais, il est important de choyer la famille, de se serrer les coudes, de compter l’un sur l’autre, de voir tous côtés positifs de la famille ! 

Des pistes pour renforcer les liens familiaux ?
 

La base selon moi, c’est la communication. La communication réunit les personnes d’une même famille, physiquement ou grâce à la technique. On peut se réunir grâce à une conversation téléphonique (ce qui a été exponentiel et a plutôt bien marché pendant les confinements). Alors surtout n’arrêtons pas. Certes on peut se voir plus facilement maintenant mais prenons toujours le temps de ces partages ! Affichons notre soutien, notre intérêt pour les nôtres, partageons notre énergie, nos espoirs. Cela aide à reprendre confiance, cela aide à remonter le moral. Témoigner de l’attention et de l’amour pour sa famille c’est prendre soin d’elle !

Cependant, pour certains et comme chante Maxime le Forestier « on choisit pas ses parents, on choisit pas sa famille… »
 

Oui c’est vrai Alain, mais le besoin d’appartenance est toujours présent. Être né quelque part nous ramène au besoin d’avoir quelque chose en commun avec d’autres : un lieu géographique, un pays, une ville…être tourangeau…Dans un contexte de « cocon familial inexistant », les amis peuvent aussi devenir une famille de substitution, plus aimante. Enfin, on peut construire sa propre famille en choisissant pour le coup,  son conjoint et en ayant des enfants. À nous alors d’être attentif à choyer sa famille ! et comme dit aussi Maxime le Forestier : ils savent, ces oiseaux de basse-cour ou ces oiseaux de passage où sont leur nid.